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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Jésus-Christ est Merveilleux

9 Août 2021 Publié dans #Divers

Le chemin de l'homme parfait :

Louons le Seigneur Jésus ! Rendons-lui gloire, Lui qui a quitté les hauteurs de la gloire, et est descendu dans les profondeurs de la mort pour pouvoir nous racheter et nous avoir pour son trésor particulier. Son nom est Jésus-Christ. Il a créé toutes choses ; Il les soutient toutes ; Il héritera de toutes.

Jésus est venu dans ce monde, Il a pris Lui-même la forme de serviteur, parfait dans son obéissance et dans son amour. Ces perfections ont été soumises à l'épreuve extrême, mais elles ont brillé de tout leur éclat à la croix. Jésus était “débonnaire et humble de cœur” (Matthieu 11. 29).

Dans tous les détails de son chemin, Jésus faisait les délices de Dieu, son Père. Jésus montrait de la compassion pour les malheureux ; Il secourait les affligés ; Il réconfortait ceux qui avaient le cœur brisé. Il était rempli de zèle pour la gloire de Dieu. Il faisait des reproches aux scribes et aux pharisiens ; Il démasquait leur hypocrisie; il prononçait des “malheurs” sur leur incrédulité.

Jésus était incompris, méprisé et rejeté, haï et indésirable. Cependant, Il ne nourrissait pas de rancune à l'égard de ses ennemis : il ne leur résistait pas et ne se vengeait pas. Alors qu'Il souffrait sur la croix, entendant et ressentant vivement les moqueries amères et les railleries cruelles de ses ennemis, Jésus a prié : “Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font” (Luc 23. 34).

Jésus a “aimé les siens qui étaient dans le monde… jusqu'à la fin” (Jean 13. 1). Beaucoup de choses chez eux Le peinaient – leur orgueil et leur esprit peu charitable –, mais Il les aimait. Pierre, à la fin, l’a renié ; tous ses disciples l'ont abandonné, mais Jésus les aimait. Il a tout supporté, tout cru, tout espéré. Il a laissé sa vie pour eux. Il a été enseveli, mais Il est ressuscité en puissance et en triomphe le troisième jour, ayant “dépouillé les pouvoirs et les autorités” (Colossiens 2. 15), “les puissances spirituelles de méchanceté” (Éphésiens 6. 12), et ayant ainsi complètement brisé le pouvoir du diable.

Jésus, l’Homme parfait :

Quand nous méditons sur la création, nous devrions nous prosterner avec reconnaissance, sachant que le Seigneur Jésus en est le Créateur. La grandeur de l’Éternel Dieu se montre dans la création – sa puissance, sa sagesse et son amour. Mais combien nos cœurs et nos bouches devraient déborder d’actions de grâces en considérant le Seigneur Jésus dans sa marche sur la terre, le salut qu’Il nous a accordé, ses soins constants et quotidiens, et l’avenir qu’il nous a préparé !

Considérons chacun de ces caractères de notre Seigneur Jésus, et méditons-lez. Jésus est Dieu, et bien qu’Il n’ait jamais abandonné sa divinité, Il a quitté le Ciel pour se faire un homme ; Il est né dans une étable, Il a été un petit enfant dépendant de Marie, sa mère. Il a été soumis à ses parents, Il a travaillé pour gagner sa vie, mais n’a jamais eu de maison, ni rien qui Lui appartienne. Bien que Jésus soit Roi, Il servait, guérissait les malades, consolait les affligés ; Il était rempli de compassion pour le peuple. Il pourvoyait aux besoins matériels et spirituels des autres, alors que Lui aussi avait des besoins, avait faim et soif, et était fatigué. Dans son ministère public, Jésus a été incompris et méprisé par beaucoup, même par ses amis et sa parenté; Il a été renié et abandonné par ceux qui étaient les plus proches de Lui, et trahi par l’un d'eux.

Quoique innocent, Jésus a été arrêté, insulté, raillé, fouetté, couvert de honte, déclaré coupable et crucifié. Or, pendant ce temps, Il soutenait Lui-même toutes choses par sa puissance, et pardonnait à ceux qui commettaient de tels forfaits contre Lui. En mourant pour nous sauver, Jésus a été “fait péché” (2 Corinthiens 5. 21) en portant sur Lui tous nos péchés, Lui qui n’avait jamais péché.

Jésus connaissait à l’avance tout ce qui allait arriver (Jean 18. 4), mais Il a accepté volontairement de parcourir son dur chemin, glorifiant entièrement son Père – Celui qui l’avait envoyé et qu’Il a pleinement satisfait. Cela, aucun autre ne l’a jamais fait. Puis, ressuscité et remonté dans la gloire, Jésus a envoyé pour nous le Saint Esprit. Maintenant, dans le Ciel, Il attend le moment de nous avoir auprès de Lui. Et en attendant, Jésus s’occupe de nous et répond à nos besoins de chaque jour.

Jésus debout à la droite de Dieu :

"Etienne, étant plein de l’Esprit Saint et fixant les yeux vers le ciel, vit la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu; il dit : Voici, je vois les cieux ouverts et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu" (Actes 7. 55, 56)

Étienne, les yeux fixés vers le Ciel, a vu le Fils de l’homme se tenant à la droite de Dieu – un Homme glorifié dans le ciel vu par un homme sur la terre ! Quelle bénédiction unique d’avoir Christ dans le Ciel, de le voir là et de lui être associés d’une manière vivante dans cette gloire ! Mais Étienne a vu le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. Pourquoi était-Il vu debout ? Christ ne pouvait pas s’asseoir alors que le peuple accomplissait cet acte de rejet en lapidant Etienne. C’est impressionnant ! Quel péché l’être humain a commis et que de malheurs il a amassés sur lui-même !

Dieu nous a fait asseoir en Christ, en esprit et selon ses plans éternels, à la droite de Dieu (Éphésiens 2. 6), jusqu’à ce que les cieux s’ouvrent pour la dernière fois, et que le Fils de l’homme vienne pour juger tous ses ennemis qui Lui sont rebelles depuis le commencement. Cela nous alarme-t-il en tant qu'enfants de Dieu ? Aucunement, car nous sommes en sécurité jusqu’à la fin. Quel effet cette vision dans le Ciel devrait avoir sur nos âmes ! Chez Étienne, elle a produit une ressemblance pratique avec Christ. Le Seigneur Jésus a témoigné par une belle confession devant Ponce Pilate (1 Timothée 6. 13), et qu’en est-il d’Étienne ? Fidèle imitateur de Celui qu’il voit dans le Ciel, il rend témoignage à son Maître ; il s’oublie lui-même et les dangers qui le menacent, sans craindre les conséquences. Christ était l’unique objet qu’il avait devant les yeux. Il était semblable à Christ en confessant son nom, semblable aussi à lui dans la souffrance.

Après avoir dit : “Seigneur Jésus, reçois mon esprit”, Etienne pense, dans une ardente intercession, à ceux qui le lapident jusqu’à la mort : “Seigneur, ne leur impute pas ce péché” (Actes 7. 59, 60).

Le Saint-Esprit dont il a été scellé (voir Éphésiens 4. 30), produisait en Étienne le reflet du caractère, de la marche et des paroles de Christ; mais il en résultait des épreuves douloureuses, et il en sera toujours ainsi. Nous aurons la croix, mais qu’importe ? La croix a un pouvoir d’un prix infini ; elle élève le croyant et lui montre quelle est sa part en Christ, qui attend pour prendre à lui ses rachetés, afin que là où il est, ils y soient aussi avec lui (Jean 14. 3).

 

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