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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Le Don de Dieu

20 Juin 2020 Publié dans #Divers

Lire Éphésiens 2. 1-10

S’il y a un esprit de sagesse et de révélation (Éphésiens 1. 17), il y aussi un esprit de rébellion et d’aveuglement (2. 1-2). Pour être reconnaissants envers Dieu du premier, nous devons admettre l’existence du second à qui personne n’échappe, car il fait partie de la nature humaine (2. 3).

Selon le cours de ce monde (2. 1-3). Si les forces du mal sont à l’œuvre dans le monde et veulent l’anéantissement de l’être humain, pourquoi l’être humain ne s’y oppose-t-il pas ardemment ? Parce que l'être humain en est incapable, mort qu’il est spirituellement ! Ses interventions ne font que satisfaire ses convoitises charnelles. Sa religion, pas plus que celle de Paul (« nous tous aussi », 2. 3), ne peut rien changer à sa condition.

Par la Grâce de Dieu (2. 4-9). La situation de l’être humain était désespérée jusqu’à ce que Dieu intervienne. Pourquoi Dieu a-t-il pris la décision d’intervenir ? Uniquement parce qu’Il nous aime d'un amour parfait. Ainsi par Amour, Dieu nous a fait le grand Don de la Vie Éternelle pour quiconque croit et se confie en son Fils Jésus-Christ, le seul Sauveur. Dieu nous offre la Vie Éternelle en Jésus-Christ et nous associe à notre destinée glorieuse au Paradis. Ce qui nous était impossible à cause de notre nature corrompue, Dieu l’a accompli pour nous en son Fils Jésus-Christ. La foi est d'accepter et de recevoir humblement le Don de Dieu pour nous.

Pour les œuvres (2. 10). L’amour parfait de Dieu accomplit notre Salut pour que nous puissions témoigner de sa grâce par nos paroles et nos actions. Nous ne saurions tirer orgueil de ces œuvres bonnes, car c’est Dieu qui les a préparées d’avance pour nous.

Réfléchissons : Nous sommes son ouvrage (2. 10). Voilà ce que les gens devraient dire de l’Église. Si Dieu nous a créés en Jésus-Christ pour les œuvres qu’il a préparées d’avance, il n’y a plus de place pour les querelles ou les conflits de personnalité, puisque nos oeuvres sont le don de Dieu et que toute la gloire Lui revient.

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L'Amour de Dieu envers tous

19 Juin 2020 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Dieu nous aime tous sans exception. Non pas parce que nous le méritons, mais parce que Dieu est Amour. Son Amour ne dépend pas de ce que nous avons fait, son Amour est premier et infini. Le Nouveau Testament souligne ce fait à maintes reprises. “Dieu a tant aimé le monde (l'humanité) qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16). “Dieu est Amour” (1 Jean 4. 8). “En ceci a été manifesté l'Amour de Dieu pour nous : c'est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui ; en ceci est l'Amour : non en ce que nous, nous ayons aimé Dieu, mais en ce que lui nous aima et qu'il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés” (1 Jean 4. 9, 10).
Rien dans notre monde ne peut se comparer à un amour qui se donne, non pour ses amis, mais pour ses ennemis. C'est cet Amour que Jésus nous a révélé. On ne peut le comparer ni au sacrifice d'un capitaine qui sombre avec son navire, ni à celui d'une mère qui périt pour sauver son enfant. Rien dans les diverses religions ne peut se comparer, même de loin, à l'Amour merveilleux de Jésus. Il est absolument et glorieusement unique. Il n'existe rien dans ce vaste monde qui ressemble à l'Amour parfait de Dieu pour tous les êtres humains. Oui, Dieu nous aime tous et Il veut nous sauver. Voilà pourquoi nous devons répondre à l'appel de Jésus-Christ. Il nous aime tant, qu'il a accepté de mourir pour chacun de nous.
Tel que je suis, sans rien à moi,
Sinon ton sang versé pour moi
Et ta voix qui m'appelle à toi,
Agneau de Dieu, je viens, je viens.

Ce merveilleux Amour de Dieu notre Créateur, nous les êtres humains l'avons rejeté et cette relation si profonde et si belle avec Lui, nous l'avons brisée... "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3. 23). Tous, vous, moi, nous avons péché, et nous avons offensé Dieu au plus haut point par nos péchés. "Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; Ce sont vos péchés qui vous cachent Sa face et L'empêchent de vous écouter" (Esaïe 59. 2). La Bible va jusqu'à dire que nous nous sommes positionnés en "ennemis de Dieu" (Jacques 4. 4) !
L'amour de Dieu pour chacun de nous êtres humains n'a cependant pas changé, ni diminué. Dieu veut que ce mur de séparation soit brisé ; Il veut que nous puissions tout à nouveau avoir cette relation intime et personnelle avec Lui.
Dieu est parfaitement Pur et Saint, et Il ne peut pas accepter le péché qui se trouve en nous. Parce que Dieu est Juste, chaque être humain, qui néglige ou refuse de se repentir et de croire en Jésus pour avoir le pardon de ses péchés, sera condamné éternellement en enfer, c'est-à-dire être rejeté loin de Dieu pour l'éternité, sans retour possible. Mais dans son parfait Amour pour les êtres humains, Dieu le Père nous offrit Son Fils bien-aimé Jésus-Christ pour que nous soyons éternellement sauvés en croyant en Lui. Car à cause de Sa Justice et de Sa Sainteté, Dieu doit condamner celui qui a péché. Et à cause de Son Amour, Dieu veut nous avoir éternellement auprès de Lui, au Paradis.
Ainsi, Dieu mit en oeuvre Sa parfaite Solution : Jésus vint dans ce monde, nous montrant le Chemin de la Vie Éternelle, prit sur Lui à la croix tous nos fautes et tous nos péchés, en subi l'horrible chatiment, et mourut sur la croix. "Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris" (Esaïe 53. 5). C'est Jésus qui a subi notre condamnation et ensuite Il est ressuscité ! Maintenant, Dieu peut nous pardonner en toute justice !
"Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous" (Romains 5. 8). Il est étonnant de voir que Jésus a accepté de nous aimer jusqu'à un tel sacrifice, jusqu'à une telle souffrance, alors que nous-mêmes nous rejetions cet amour ; et peut-être vous chers lecteurs, rejetez-vous encore cet amour ? Jésus est mort pour sauver Ses ennemis, nous êtres humains qui avons péché ! Dieu laisse la possibilité à tous d'être sauvés !
Cet amour, chacun peut l'accepter ou le refuser. Dieu a laissé l'être humain libre de choisir. Ceux qui l'accepteront rétabliront cette relation intime et personnelle avec Dieu et iront au Paradis pour l'éternité ; et les autres qui négligeront ou rejetteront l'Amour de Dieu en Jésus et Son parfait Salut seront jetés en Enfer pour l'éternité.

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Un chrétien né de nouveau peut-il perdre son salut ?

18 Juin 2020 Publié dans #Salut

La réponse biblique à cette question est un retentissant, clair, joyeux et glorieux « non ». Une personne née de nouveau ne peut pas redevenir morte spirituellement, il est impossible d’annuler sa nouvelle naissance. Je vais donner ici quelques réflexions bibliques, en essayant de me concentrer sur les textes autant que possible, et de ne pas donner seulement dans le raisonnement théologique.

Aucune perte

La vie qui est donnée à la Nouvelle Naissance est précisément la vie éternelle. « Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils » (1 Jean 5.11). Il ne nous a donc pas donné une vie temporaire. Il nous a donné la vie éternelle. Nous participons déjà à la vie du siècle à venir.

Un autre verset crucial à ce sujet dit : « Ceux qu’il a prédestinés. » Ceci est tiré de Romains 8. 30 : « ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés. » Or, la glorification est l’état final de salut permanent, et ce verset dit que tous ceux qui ont été appelés – sans qu’aucun ne se perde – sont justifiés ; et que tous les justifiés – sans qu’aucun ne se perde – sont glorifiés.

La réponse est donc que : si vous avez été appelés, vous ne pouvez pas perdre votre salut. Nous sommes justifiés, et nous serons glorifiés, parce que nous avons été appelés : c’est-à-dire parce que nous sommes nés de nouveau après avoir entendu l'Évangile. L'appel crée la vie. Et c’est ce qui est arrivé à tous ceux qui sont chrétiens : l’appel Souverain de Dieu a créé la vie. Cela signifie donc qu’il y a une promesse liée à l’appel.

Voici quelques textes qui illustrent cela. D’abord Thessaloniciens 5. 23-24 dit : « Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers . . . lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est lui qui le fera. » La logique ici est donc la suivante : si vous avez été appelés, Dieu est fidèle. Vous serez préservé jusqu’aux derniers jours.

Ou encore dans 1 Corinthiens 1. 8-9 : Christ « vous affermira aussi jusqu’à la fin, pour que vous soyez irréprochables au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur ». Ainsi, maintenant vous êtes en mesure de relire Romains 8. 30 et de comprendre pourquoi, tous les appelés sont justifiés, et tous les justifiés sont glorifiés : parce que Dieu est toujours fidèle.

La préservation des prédestinés

Beaucoup de gens pensent que la sécurité éternelle du Salut en Jésus est comme se faire vacciner. Comme si, ayant prié lorsque j’avais six ans, Dieu m’avait vacciné le bras et que donc je ne pouvais pas attraper la maladie de la condamnation éternelle. Mais ce n’est pas ainsi que les choses se passent. C’est plutôt comme si j’entamais une thérapie à vie avec un médecin qui me disait : « Tu es mon patient. Tu feras ce que je dis, et je te mènerai en entier jusqu’au bout, jusqu’aux derniers jours. »

Jérémie 32. 40 est sans doute l’un de mes versets préférés de tous les temps sur la préservation : « Je traiterai avec eux une alliance éternelle, je ne me détournerai plus d’eux, je leur ferai du bien, et je mettrai ma crainte dans leur cœur, afin qu’ils ne s’éloignent pas de moi ». La Nouvelle Alliance que Jésus a achetée par son sang est donc une alliance de préservation. Il ne s’agit pas seulement de sécurité sur le plan « mécanique ». Il s’agit d’une préservation active. Dieu est actif dans ma vie.

Voici encore quelques autres versets qui insistent sur la fidélité de Dieu : « Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ » (Philippiens 1. 6). Paul parle ainsi parce que la fidélité de Dieu est liée à son appel, à la Nouvelle Naissance qu’il donne.

Ou Jude 24 : « À celui qui peut vous préserver de toute chute. ». « Merveilleux ! Incroyable ! Gloire à celui qui m’a préservé et qui me préservera ».

L’assurance du salut n’est pas automatique

Il ne reste, je pense, qu’une question clef que les gens se sont toujours posée et qu’ils devraient se posés : qu’en est-il des personnes qui sont dans l’Église ? Ils ont été diacres, ou anciens, et ils semblaient avoir été sauvés et, des années plus tard, ils ont tout abandonné. Et certains d’entre eux meurent dans cet état. Qu’en est-il d’eux ?

Je pense qu’il y a deux versets clefs auxquels on devrait réfléchir longuement et sérieusement. 1 Jean 2. 19 dit : « Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres ; car s’ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous, mais cela est arrivé afin qu’il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres. » Et « des nôtres » dans ce verset veut sûrement dire : « Nés de nouveau avec nous, greffés en Christ avec nous. » Mais ils ne l’étaient pas – ils semblaient l’être, ils disaient la plupart du temps ce qu’il fallait, ils avaient goûté aux pouvoirs du siècle à venir – mais ils n’étaient pas nés de Dieu.

De plus, Hébreux 6 est une grande pierre d’achoppement pour les gens au sujet du genre d’expériences spirituelles qu’une personne peut avoir et être quand même perdue. Mais Hébreux 3. 14, je pense, est un verset clef de très grande importance dans ce livre : « Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous retenions fermement jusqu’à la fin l’assurance que nous avions au commencement. » L’auteur ne dit pas : « Si tu gardes ta confiance jusqu’à la fin, tu participeras à Christ. » Il dit : « Nous savons que nous avons eu, dès le début de notre vie avec Christ, part à Christ, parce que nous persévérons jusqu’à la fin, ce qui signifie que la persévérance dans la foi est la preuve que nous avons été rendus participants de Christ. »

Et lorsque cette persévérance faillit, alors cela veut dire que nous n’avons jamais participé à cette assurance. Et voici la clef : l’assurance n’est donc pas automatique. C’est une assurance enracinée dans notre confiance en un Dieu absolument Souverain, qui tient ses alliances et qui a donné son Fils Jésus-Christ en faveur de pécheurs, afin que l’Esprit Saint nous témoigne que nous sommes les enfants de Dieu lorsque nous nous tournons vers Lui.

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L'Agneau qui a été promis par Dieu (2)

17 Juin 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

IV- L’IMAGE DE L’AGNEAU PROMIS (Genèse 3. 21)

Après avoir prononcé un jugement sur Adam et Ève, Dieu va faire quelque chose de remarquable. Il va lui-même tuer une bête et utiliser sa peau pour couvrir Adam et Ève. Ce qu’il a fait est une merveilleuse image de l’Agneau qui doit venir.

4. 1) C’est une image du sacrifice à venir
Imaginons l’horreur qui a dû remplir les coeurs d’Adam et Ève alors qu’ils voyaient la mort pour la première fois de leur vie. Ils n’avaient jamais vu de sang auparavant, maintenant ils vont voir Dieu lui-même abattre un animal pour couvrir leur nudité. Ils ont compris maintenant que “le salaire que paie le péché, c’est la mort” (Genèse 2. 17 ; Romains 6. 23).
Nous voyons à travers ce verset une image très nette de ce que l’Agneau à venir ferait pour nous. Rappelons-nous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Rappelons-nous “qu’il n’a jamais commis de péché, on n’a jamais entendu de mensonge sortir de sa bouche” (1 Pierre 2. 22) et qu’il ne méritait pas de mourir. Rappelons-nous que Jésus est venu dans ce monde pour être blessé au talon afin qu’il puisse écraser la tête du serpent.
Portons maintenant notre regard au Calvaire et voyons Jésus, l’Agneau de Dieu, crucifié sur la croix. Voyons ses bourreaux qui Lui crachent au visage. Regardons-les Lui arracher la barbe. Écoutons-les se moquer de Lui, Le maudire et Lui crier toute sorte de noms. Regardons-les, parce que ce sont pour ces mêmes personnes que Jésus est venu dans ce monde pour les sauver et les délivrer du mal.
Pouvons-nous entendre le bruit que fait le fouet sur Jésus alors que les coups pleuvent sur son dos ? Pouvons-nous imaginer la souffrance qu’Il supporta alors qu’Il fut cloué sur cette croix suspendu entre ciel et terre ? Pouvons-nous voir le sang coulé de sa tête, de ses mains et de ses pieds ?
Essayons d’imaginer maintenant que tout ce que Jésus a subi, tous les coups de fouet qu’Il a reçu, toutes les douleurs qu’Il a ressenties, toutes les moqueries dont Il a été l’objet, toutes les insultes qu’Il a entendues au cours de sa vie, son procès et sa mort, Il a vécu tout cela à cause de tous nos péchés.
“La plupart en le voyant, ont été horrifiés, tant son visage était défiguré, car son aspect n’avait plus rien d’humain” (Ésaie 52. 14). “Jésus supportait nos maladies qui auraient dû nous atteindre, Il subissait la souffrance que nous méritions, et nous pensions que c’était Dieu qui le punissait ainsi, qui le frappait et l’humiliait. Pourtant Il n’était blessé que du fait de nos fautes, Il n’était accablé que par l’effet de nos propres torts. Il a subi notre punition, et nous sommes acquittés; Il a reçu les coups et nous sommes épargnés. Nous errions tous ça et là comme un troupeau éparpillé, s’était chacun pour soi. Mais le Seigneur lui a fait subir les conséquences de nos fautes à tous” (Ésaie 53. 4-6).
Pensons à ce que Jésus a vécu à Golgotha et voyons la haine terrible que Dieu éprouve envers le péché. Portons nos regards sur cette croix et voyons l’immense Amour de Dieu pour les pécheurs
(Romains 5. 8). Pensons à tout ce que Jésus a souffert pour vous et pour moi pour que nous ayons la vie éternelle.

4. 2) C’est une image qui confirme que ce sacrifice est seul suffisant
Après qu’Adam et Ève eurent péchés et qu’ils prirent conscience de leur nudité, ils ont tenté de se couvrir en fabriquant des tabliers avec des feuilles de figuier. Mais leurs efforts n’ont pas suffis et Dieu a dû tuer un animal innocent pour couvrir leur corps. Dieu voulait leur montrer ainsi qu’à nous, que les oeuvres de la chair ne peuvent jamais expier ou couvrir le péché. La loi exige la mort d’un innocent à la place du coupable. Le péché est enlevé, effacé, pardonné seulement si du sang est versé
(Hébreux 9. 22).
C’est une belle image de l’incapacité de l’être humain à faire quoi que ce soit pour se rendre présentable devant Dieu par ses propres efforts. “Nous sommes tous des gens impurs, et toutes nos actions sont comme un vêtement souillé aux yeux de Dieu. Nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous emportent comme le vent” (Ésaie 64. 6).
L’être humain a toujours essayé de se fabriquer des vêtements de justice et de religion pour lui-même, mais les efforts de l’être humain n’ont jamais réussi à couvrir ses péchés du regard terrible du Dieu Tout-Puissant. L’être humain a besoin d’une couverture qu’il ne peut pas fournir pour lui-même.
Lorsque Jésus, l’Agneau de Dieu qui efface le péché du monde, est venu dans ce monde et qu’Il est mort sur la croix, Dieu a pourvu une couverture suffisante pour le péché de l’être humain. Lorsque quelqu’un vient à Jésus par la foi et qu’il nait de nouveau, Dieu le revêt d’un manteau de justice et le rend alors digne de se tenir dans sa présence (Philippiens 3. 9).
“Lui qui était sans péché, Dieu l’a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous puissions bénéficier de l’oeuvre par laquelle Dieu nous rend justes à ses yeux” (2 Corinthiens 5. 21). Lorsque le fils prodigue est retourné à la maison, il fut revêtu de la plus belle robe, celle du Père. Sa souillure fut recouverte et on aurait pu le prendre lui-même pour le Père.
Chaque être humain peut essayer tout ce qu'il veut, que ce soit la religion, les bonnes oeuvres, une vie sans reproche, plaire à Dieu, mais rien ne de tout cela ne pourra suffire pour se débarrasser du problème que constitue ses péchés, jusqu’à ce qu'il vienne à Jésus et qu'il accepte le salut que Dieu lui offre dans sa grâce à travers son Fils Jésus. Pour nous êtres humains, seul le sang versé par l’Agneau de Dieu sur la croix
(Jean 1. 29) nous permet de nous tenir dans la sainte présence de Dieu (Éphésiens 2. 6).

CONCLUSION

Imaginons à quoi ressemblerait le monde aujourd’hui si Adam et Ève n’avaient pas péché ! Mais ils l’ont fait et parce qu’ils ont péché, vous et moi nous sommes nés dans ce monde avec un grave problème dans nos vies. Nous devons toujours rendre grâce à Dieu qu’Il ait vu notre besoin et qu’Il ait envoyé son Fils Jésus-Christ mourir sur la croix pour nous comme étant l’Agneau parfait.
Durant notre vie sur la terre, nous pouvons avoir la certitude de savoir que, après notre vie d'ici-bas, nous irons au Paradis, au Ciel. Un jour viendra où chaque être humain va entrer dans l’éternité et nous avons besoin de savoir où nous allons partir lorsque la mort frappera à notre porte. Chers lecteurs, êtes-vous sauvés par le moyen de la foi en Jésus ? Si c’est le cas, louez le Seigneur Jésus, sinon, vous avez besoin de savoir que vous pouvez être sauvés aujourd’hui même. Le Seigneur Jésus vous appelle à venir à Lui, et c’est maintenant le moment de faire ce pas de foi. Que chaque être humain sache que Jésus est le Sauveur et vienne à Jésus pour Le rencontrer, Lui l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.

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L'Agneau qui a été promis par Dieu (1)

16 Juin 2020 Publié dans #Divers

I- L’AGNEAU QUI A ETE PROMIS (Genèse 3. 1-21)

Dieu a créé l’être humain à son image. Il l’a créé dans une innocence parfaite et Il l’a placé dans un environnement parfait. Dieu lui avait donné l’autorité de dominer sur toute sa création et Il lui avait présenté une compagne parfaite, une femme qui s’appelle Ève.
Ils vivaient une existence dont nous rêvons tous de connaître, c’est-à-dire, une existence où la souffrance, la maladie, la douleur et la mort n’existent pas. Chaque besoin qu’ils éprouvaient était rencontré et ils profitaient d’une communion ininterrompue avec Dieu
(Genèse 2. 8-9).
La seule chose que Dieu a demandé à Adam, c’est de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal qui se trouvait dans le jardin d’Eden, parce que le jour où il mangera de son fruit, la mort apparaîtra dans le monde
(Genèse 2. 15-17).
Pendant un temps, les choses se passent bien dans le jardin, jusqu’au jour où Ève se retrouve confronter avec le serpent qui est Satan. Ce serpent lui dit que Dieu leur a caché quelque chose quand Il leur a demandé de ne pas manger de l’arbre qui donne la connaissance du bien et du mal, parce que Dieu sait que lorsqu’ils mangeront du fruit de cet arbre, ils deviendront comme lui. Ève va succomber à la tentation et manger du fruit de cet arbre. Elle en donna aussi à Adam qui était auprès d’elle et il en mangea.
En un instant, ils prennent immédiatement conscience que tout a changé. Ils ne sont plus innocents et purs, mais ils sont devenus des pécheurs, c’est-à-dire des êtres déchus. Pour la première fois, ils s’aperçoivent qu’ils sont nus et ils en ont hontes, au point où ils vont coudre des feuillent de figuier pour s’en faire des tabliers
(v. 7).
Au milieu de cette tragédie, Dieu apparaît dans le jardin pour prendre un temps de communion avec Adam et Ève. Dieu les appellent et lorsqu’ils ont entendu sa voix, ils se sont cachés loin de Lui
(v. 8). Dieu sait très bien ce qu’ils ont fait, et ils cherchent à faire en sorte qu’Adam confesse son péché (v. 10-12). Alors la partie de blâme va commencer. Adam va blâmer sa femme et Dieu, tandis qu’Ève va blâmer le serpent (v. 12-13). Dieu va immédiatement prononcer un jugement sur Adam, sur Ève et sur le serpent et il va les chasser du jardin d’Eden.
Pourtant au milieu de cette tragédie, une lueur d’espoir apparaît.
Le verset 15 nous montre jusqu’à quel point Dieu est un Dieu de grâce. Pour la première fois, nous avons l’évangile du salut par grâce qui est annoncé. Pour la première fois, nous avons un aperçu de l’Agneau de Dieu qui donnera sa vie sur la croix à Golgotha pour racheter un monde perdu.
Nous pouvons voir ici le premier d’une liste de passages à travers toute la Bible qui nous parlera de la venue de l’Agneau de Dieu et du sacrifice qu’Il accomplira pour les pécheurs.

II- LA PERSONNALITE DE L’AGNEAU QUI A ETE PROMIS

2. 1) Cet Agneau est unique quant à son origine (Genèse 3. 15)
Nous apprenons que Celui qui vient sera “de la semence de la femme.” C’est une affirmation étrange que Dieu fait ici puisque en principe la semence provient de l’homme et non de la femme. Nous apprenons que la femme produira une progéniture sans l’aide de l’homme. Ce verset nous donne le premier indice d’une grande vérité qui nous sera révélée tout au long de la Bible. C’est la première prophétie annonçant la naissance virginale de Jésus-Christ.
Satan ne l’a pas compris, Adam et Ève ne l’ont probablement pas compris au moment où Dieu prononce cette prophétie, mais Dieu leur révélait que son Agneau sortirait un jour du ventre d’une femme, et ce, sans la participation de l’homme. Évidemment que nous savons, nous, comment Jésus est venu au monde puisqu’Ésaïe l’a prophétisé
(Ésaie 7. 14) et que l’ange Gabriel l’a annoncé à Marie (Luc 1. 26-35) et à Joseph (Matthieu 1. 18-25).
Pourquoi est-ce si important pour nous de connaître ces choses ? Parce que la Bible souligne clairement ce péché lorsqu’elle dit que c’est “par un seul homme que le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes, parce que tous ont péché” (Romains 5. 12). Quiconque est venu au monde à travers l’union sexuelle d’un homme et d’une femme vient au monde avec le péché habitant en lui. “Le monde entier est depuis soumis à la puissance du péché” (Galates 3. 23) et cela fait partie de l’héritage que le premier Adam nous a laissé.
Cependant, la naissance de Jésus fut très différente. Il est venu dans ce monde sans l’aide d’un père humain. “Etant sans péché, Dieu l’a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous puissions bénéficier de l’oeuvre par laquelle Dieu nous rend justes à ses yeux” (2 Corinthiens 5.  21). Ce qui rend la naissance de Jésus particulièrement unique, c’est le fait que ce n’était pas un bébé ordinaire. Il était et il est Dieu fait homme (Jean 1. 1,
1. 14 ; Philippiens 2. 8-11).

2.2) Cet agneau est unique pour ce à quoi il est appelé
Cet Agneau est venu dans le monde pour vaincre les forces du mal. Il est écrit au verset 15 qu’il est venu pour “écraser la tête du serpent” faisant ainsi référence à une blessure fatale. Cet Agneau n’était pas venu dans le monde pour montrer à l’être humain une meilleure façon de vivre, ni pour lui dire comment améliorer son sort, “il était venu dans le monde pour parler de la vérité” (Jean 18. 37), “chercher et sauver ceux qui étaient perdus” (Matthieu 18. 11), et “détruire par sa mort le diable qui détenait la puissance de la mort” (Hébreux 2. 14).
Cet Agneau viendrait libérer l’humanité du péché dans lequel Adam venait juste de tomber. Cet Agneau envoyé par Dieu est venu accomplir pour les êtres humains ce qu’ils n’auraient jamais pu faire par eux-mêmes. Il est venu pour les libérer de l’esclavage du péché et les sauver du péché.

III- LE BUT DE L’AGNEAU PROMIS PAR DIEU

3. 1) Il viendrait combattre le Malin (v. 15a)
Ce passage nous rappelle que Satan est notre ennemi. Il éprouve une haine envers le Seigneur Dieu et envers tout ce que Dieu aime. La haine qui habite son cœur l’a poussé à s’attaquer à Adam et Eve dans le jardin d’Eden pour les amener à commettre ce péché. C’est une haine qui l'a poussé à chercher à se faire reconnaître comme étant l’égal de Dieu.
(Ésaie 14. 12-16 ; Ezéchiel 28. 11-19). Voilà le combat qui faisait rage dans le jardin d’Eden: faire la guerre à Dieu en s’attaquant à l’homme que Dieu aimait.
Il est écrit que Celui qui viendrait dans ce monde livrerait une guerre avec un ennemi déterminé. Il reprendrait le combat qu’Adam avait perdu dans le jardin d’Eden. Il viendrait pour combattre Satan. Et c’est exactement ce que Jésus a fait. À partir du moment où cette prophétie a été annoncée dans
Genèse 3. 15, Satan va tout faire pour empêcher “la semence de la femme” de naître.
Il a agi à travers Caïn pour tuer Abel
(Genèse 4). Il a essayé de faire disparaître le peuple d’Israël en Egypte (Exode 1 ; 2). Il a essayé de les détruire en les amenant à sombrer dans l’idolâtrie durant la période des Juges et des rois en Israël.
Quand Jésus est né, Satan a essayé de le faire mourir alors qu’il n’était qu’un bébé
(Matthieu 2). Alors que Jésus est conduit dans le désert par le St-Esprit, Satan va essayer de l’amener à pécher (Matthieu 4. 1-11).
Il a sûrement pensé qu’il avait remporté la victoire lorsque Jésus est mort sur la croix, mais ce que Satan n’avait pas réalisé, c’est que la plus grande salve tirée à partir du ciel, fut le moment où Jésus est devenu péché pour nous et qu’il est mort pour nous.

3.2) Il viendrait en tant que Vainqueur
Il est écrit “qu’il briserait le talon” de la semence de la femme, mais que la semence de la femme “écraserait la tête du serpent.” “Briser le talon” fait référence à une blessure qui n’est pas fatale, tandis qu’écraser la tête fait référence à une blessure qui sera mortelle. Le mot “écraser” fait ressortir l’idée “de mettre en miettes.” Le serpent pourrait frapper le talon de l’Agneau à venir, mais l’Agneau écraserait la tête du serpent et cela fut accompli à la croix.
L’Agneau de Dieu a accepté de mourir pour tous les pécheurs, mais la mort ne pouvait pas le retenir. Le troisième jour, il est ressuscité des morts pour sortir vainqueur de la plus grande bataille qui ait jamais eu lieu. Car par sa mort et par sa résurrection, Jésus a infligé le coup de grâce sur la tête du serpent qui se terminera ultimement pour lui lorsqu’il sera condamné et “jeté dans l’étang de feu et de soufre où il sera tourmenté jour et nuit, aux siècles des siècles” (Apocalypse 20. 10).
Jésus, le Prince de la vie est entré dans l’arène pour combattre Satan le Prince de la mort. Lorsque le combat a pris fin, le Prince de la vie est apparu comme étant le seul Vainqueur. Maintenant, toux ceux qui Le connaissent, profitent de sa Victoire et partagent les bénéfices de sa conquête.
“Lorsque Jésus est ressuscité, il a donné ainsi la garantie que tous ceux qui sont morts reviendraient également à la vie” (1 Corinthiens 15. 20) et en tant que tel, Il a promis “que celui qui écoute ses paroles et croit en celui qui l’a envoyé, a la vie éternelle, qu’il ne sera pas condamné, mais qu’il est déjà passé de la mort à la vie” (Jean 11. 25-26).

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Jésus-Christ nous sauve et nous lave de tous nos péchés

15 Juin 2020 Publié dans #Salut

Il est un virus aux conséquences bien plus grave que tout autre ! C’est le péché et nous n’avons pas besoin d’être testés ! Nous sommes tous, dès notre entrée dans ce monde, manifestés positifs ! Très tôt, l’enfant démontre les caractéristiques de sa nature pécheresse.

Le péché a brisé la communion de l’être humain avec Dieu ! Adam a été chassé du jardin d’Éden, ce lieu de délices.

Dans sa grâce, Dieu avait donné à l’être humain, par des sacrifices, la possibilité d’une approche distante, mais les conséquences de la chute sont demeurées : l’homme travaille à la sueur de son front et ses jours sur terre sont « comme la largeur d’une main, et sa durée comme un rien devant Dieu » (Psaumes. 39. 5).

Tous les sacrifices sanglants, qui ont permis aux saints de l’Ancien Testament de s’approcher de Dieu n’ont pas pu ôter un seul péché. Aussi, les êtres humains ont déployé toute leur énergie à œuvrer pour le pardon de leurs péchés. Par la Bible, nous apprenons que Dieu avait en réserve, non pas un vaccin contre le péché, mais le moyen de l’ôter parfaitement. L’Agneau de Dieu était en réserve dès avant la fondation du monde (voir 1 Pierre 1. 19-20).

Jésus-Christ, la Parole devenue chair (Jean 1. 14), est entré dans le monde sous la forme d’un bébé. Mystère que la foi seule peut accepter et croire. Au temps voulu de Dieu, notre Seigneur Jésus a débuté son ministère public en s’identifiant aux fidèles repentants dans les eaux du Jourdain. C’est alors que la voix de Dieu le Père s’est fait entendre : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai trouvé mon plaisir » (Matthieu 3. 17).

Par la suite, toutes « les choses que Jésus a faites » (voir Jean 21. 25), que ce soit ses enseignements, ses miracles, ses nuits en prières, ont toutes glorifié son Père. Mais aucune de ces œuvres-là ne pouvaient nous sauver de la mort éternelle, c’est pourquoi, Jésus dit à ses disciples : « J'ai à être baptisé d'un baptême ; et combien je suis à l'étroit jusqu'à ce qu'il soit accompli ! » (Luc 12. 50).

Approchant de Jérusalem, quand l’heure fut venue, Jésus se mit à table avec ses disciples pour manger une dernière Pâque. Un moment qu’il avait fort désiré avant de souffrir.

Que ce devait être pour Celui qui avait ordonné à Moïse de prendre un agneau pour l’égorger et en placer le sang sur les linteaux des portes comme protection du jugement qui allait tomber sur l’Égypte ! La mort de ces agneaux avait anticipé pendant tant de siècles, la sienne à Golgotha.

Jésus allait connaître ce baptême qu’Il avait évoqué : être plongé dans la mort. Après avoir mangé l’agneau rôti au feu, il a donné à ses disciples un précieux souvenir de Lui. Le pain rompu et la coupe, qu’ils prirent pour la première fois, se perpétuent jusqu’à son Retour.

Avec eux, Jésus chanta une hymne (Marc 14. 26) et continua son chemin jusqu’à Gethsémané où Il livra un combat qu’aucun racheté ne connaîtra.

Puisque Jésus avait porté nos langueurs, et qu'Il s’était chargé de nos douleurs tout au long de son ministère, Il accepta de prendre sur Lui nos péchés sans nombre, « d'être fait péché pour nous » (2 Corinthiens 5. 21) ; et être jugé pour nous. Jésus, le Saint et le Juste, en qui il n’y a pas de péché, devait subir la mort de la croix. Toute l’horreur de devenir « malédiction » (Galates 3. 13) et d’être abandonné de Dieu, l’ont amené à crier à Dieu son Père pour en être préservé mais son obéissance et son Amour ont triomphé.

Jésus s’avança en disant à la foule armée d’épées et de bâtons : « Si c’est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci » (Jean 18. 8).

Le bon berger s’est présenté pour mourir à la place de ses brebis. « Il a été meurtri pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui » (Ésaïe 53. 5). Pour nous réconcilier avec Dieu, il a « fait la paix par le sang de sa croix » (Colossiens 1. 20) ; « il est notre paix ! » (Éphésiens 2. 14).

Par sa mort, Jésus a rétabli le lien de communion avec Dieu qui avait été brisé par la faute d’Adam. Celui qui croit en Jésus-Christ, mort et ressuscité, reçoit la vie éternelle. Il est libéré de toute condamnation et placé dans la liberté pour s’approcher de Dieu. Il est devenu enfant de Dieu et Christ vit en lui (Galates 2. 20).

Celui qui ne croit pas en Jésus le Fils de Dieu reste sous la condamnation. Il est vu par Dieu comme mort dans ses fautes et dans ses péchés (Éphésiens 2. 1). S’il ne connaît pas la nouvelle naissance dans cette vie qui lui est prêtée, après sa mort, il ressuscitera pour être jugé selon ses œuvres et jeté dans l’étang de feu qui est la seconde mort (voir Apocalypse 20. 12-15).

Le Sauveur qu’il rejette aujourd’hui sera son Juge demain (voir Jean 3. 36 ; 5. 28-29). Nous nous conformons facilement aux appels et aux consignes de nos autorités pour éviter la maladie, voir la mort physique. À plus forte raison, écoutons l’appel de Jésus le Sauveur qui est mort pour quiconque croit. C’est une question de vie ou de mort éternelle.

En contraste, les croyants en Jésus chantent d’un seul cœur  : « À celui qui nous aime, et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang ; — et il a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour son Dieu et Père ; — à lui la gloire et la force aux siècles des siècles ! Amen » (Apocalypse 1. 5-6).

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La simplicité de l'Évangile

14 Juin 2020 Publié dans #EVANGILE

Jésus dit : « Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants » (Matthieu 11. 25)

Nous avons besoin de nous rappeler la limpidité des fondements de l’Évangile devant la variété et l’incohérence des croyances religieuses qui voudraient venir brouiller nos certitudes.

« Dans ce monde, il n’y a qu’un seul Dieu » (1 Corinthiens 8. 4).
« Dieu a envoyé son Fils unique, Jésus-Christ, afin que nous vivions par lui » (1 Jean 4. 9).
« Un seul et même esprit opère » (1 Corinthiens 12. 11).
« Il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes : Jésus-Christ » (1 Timothée 2. 5).

Pour bénéficier de cette promesse, l’Évangile nous place devant un choix, une décision à prendre, une position à maintenir. La vie éternelle est en Jésus-Christ, le Fils de Dieu : « Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie » (1 Jean 5. 11-12). « Jésus-Christ a paru une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice » (Hébreux 9. 26)

Le Ciel n’a qu’une seule porte : la porte de la repentance devant Jésus-Christ crucifié et ressuscité. « Si vous ne vous repentez, vous périrez tous également » (Luc 13. 5)

Pour nourrir notre âme rachetée, « une seule chose est nécessaire » comme Marie l’avait compris, quand elle buvait les paroles de Jésus, « assise aux pieds du Seigneur » (Luc 10. 39)

Tous les êtres humains ont le devoir de se repentir, de croire et de se confier en Jésus-Christ, le seul Sauveur du monde, La Parole de Dieu. Devant l’éternité, Dieu n’aura qu’une seule référence pour décider de notre destinée : « La Parole que je vous ai annoncée, dit Jésus, c’est elle qui vous jugera au dernier jour » (Jean 12. 48)

L’Évangile est si clair, que même les enfants peuvent le comprendre. Dieu veut nous faire grâce à tous sans exception, à chacun d'accepter la Grace de Dieu en Jésus-Christ !

 

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Venir à Jésus-Christ tels que nous sommes

13 Juin 2020 Publié dans #EVANGILE

Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Matthieu 11. 28). « Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé ni craintif » (Jean 14. 27).

Beaucoup d'êtres humains ne connaissent pas ce repos et cette paix que Jésus donne parce qu’ils ne se sentent pas dignes de venir à Jésus. Ils désirent d’abord s’améliorer eux-mêmes pour se rendre propres à venir à Dieu et désespèrent en constatant que plus ils font d’efforts pour se délivrer du mal, plus ils s’y enfoncent.

Jamais personne ne parviendra, par ses propres moyens à se rendre digne de paraître devant le Dieu Juste et Saint. « Un homme ne pourra en aucune manière racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon, car précieux est le rachat de leur âme, et il faut qu’il y renonce à jamais » (Psaume 49. 7-8).

Quand Simon Pierre, devenu plus tard l’apôtre Pierre, se jeta aux genoux de Jésus, disant : « Seigneur, retire-toi de moi, car je suis un homme pécheur » (Luc 5. 8), Jésus dit à Pierre : « Ne crains pas… » (Luc 5. 10) et Il le dit à chacun d’entre nous : « Ne crains pas, crois seulement » (Luc 8. 50), « Venez à moi … et je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11. 28), « … Que votre cœur ne soit pas troublé ni craintif. » (Jean 14. 27)

Qu'aucun être humain n’attende plus pour venir à Jésus-Christ, le seul Seigneur et Sauveur. C’est vrai que nous n’en sommes pas dignes et personne n’en est digne, mais c'est Jésus qui a tout accompli pour notre délivrance. À la croix, Jésus a expié tous nos péchés ; il a donné sa vie pour nous, il a versé son sang et la Parole de Dieu nous dit que « le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7)

Jésus n’améliore pas, mais il transforme les cœurs « de sorte que si quelqu'un est en Christ, c'est une nouvelle créature : les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5. 17).

Dieu nous dit : « Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau ; et j'ôterai de votre chair le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair » (Ézéchiel 36. 26).

Que chaque être humain vienne donc à Jésus tel qu'il est, et sa vie sera transformée : Il recevra la guérison de son âme que seul Jésus-Christ donne, la paix avec Dieu et par conséquent, la paix du cœur.

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Le sang de Jésus est une arme puissante

12 Juin 2020 Publié dans #Divers

Notre Père céleste est plus que jamais à l’oeuvre Lui aussi par le Saint-Esprit, équipant, fortifiant chacun de nous et nous rappelant les armes spirituelles qu’Il a mis à notre disposition. "Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes" (Éphésiens 6. 12).

Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. (2 Corinthiens 10. 3-4).
Dans
Apocalypse 12. 11, nous voyons trois choses importantes pour demeurer dans la victoire dans le combat spirituel : le sang de Jésus, la parole de notre témoignage et l’absence de la peur de la mort.

Le sang de Jésus est une arme puissante dans le combat spirituel !

Une des armes les plus puissantes que nous avons contre le diable, la mort et les maladies, c’est le sang de Jésus. "En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce" (Éphésiens 1. 7).
Par Son sang, Jésus-Christ a payé pour notre liberté et nous a rachetés. Et nous avons été délivrés de la malédiction de la loi
(Galates 3. 13) décrite dans Deutéronome 28 et qui inclut la colère de Dieu contre le péché, les maladies, la mort prématurée, etc.

Déclarons maintenant ceci avec moi : En Christ, nous avons été délivrés de la malédiction de la loi. Nous avons été délivrés de la mort prématurée et guéris de toute forme de maladie !

Une des armes les plus puissantes que nous possédions et avec laquelle nous pouvons combattre efficacement et résister à ce que l’ennemi est en train de faire dans cette saison, c’est le sang de Jésus. Bien-aimés, ne sous-estimons pas la puissance du sang de Jésus !

Croyons que le sang de Jésus est capable de nous protéger, de nous libérer, de nous guérir, de nous délivrer et de faire de nous une source de bénédictions pour les autres, un moyen par lequel les gens peuvent être soutenus, encouragés et libérés !

Maintenant, une autre chose que nous devons savoir, c’est que le sang de Jésus n’opère pas dans notre vie tant que nous n’en déclarons pas les bénéfices et que nous ne les approprions pas !

Dans Exode 12, Dieu a dit à Moïse que l’ange de la mort sera relâché, entrera dans chaque maison et tuera le premier né dans chaque maison. Il a ordonné à chaque chef de famille de sacrifier un agneau et d’appliquer le sang de l’agneau sur les portes de sa maison. Le peuple d’Israël a obéi et a été surnaturellement protégé la nuit où la mort marchait dans le camp des égyptiens.

Pour être protégé cette nuit-là, il ne suffisait pas d’immoler l’agneau, il fallait aussi appliquer le sang de Jésus sur les portes. Ceux qui l’ont fait ont été épargnés. Le sang dans la bassine était une provision pour la protection (Exode 12). Mais c’est l’application du sang de l’agneau sur les portes qui les a protégés.

Jésus-Christ, notre Pâque a été immolé (1 Corinthiens 5. 7), par Dieu le Père Lui-même, pour notre protection. Le sang de Jésus a été pourvu par Dieu. C’est la provision divine pour notre protection et notre délivrance. Mais nous devons l’appliquer dans nos vies pour qu’il soit efficace. C’est notre responsabilité.

Comment appliquer le sang de Jésus concrètement ?

On applique le sang de Jésus en confessant avec assurance la puissance de sang de Jésus (Hébreux 10. 19-23), en disant ou confessant ce que Dieu dit au sujet du sang de Jésus.
Bien-aimés, nous devons passer du temps méditer et à déclarer pour nous ce que Dieu nous dit dans sa Parole. Ce n’est pas le moment d’être silencieux concernant les choses spirituelles. C’est le moment de confesser puissamment la Parole de Dieu concernant le sang de Jésus. Amen !
Alors, prenons la décision d’appliquer le sang de Jésus sur notre maison, de plaider le sang de Jésus sur notre famille, notre santé, nos finances, etc., en déclarant ce que la Parole de Dieu révèle sur ce que le sang de Jésus a accompli pour nous ! Inspirons-nous par exemple de cette liste de versets bibliques sur le sang de Jésus pour effectuer nos déclarations.
Que la Grâce de Dieu soit notre partage.

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Une Espérance Vivante

11 Juin 2020 Publié dans #Retour de Jésus

« Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés pour une espérance vivante par la résurrection de Jésus Christ d'entre les morts » (1 Pierre 1 : 3). « Jésus-Christ notre espérance » (1 Timothée 1 : 1).

L'espérance chrétienne est une réalité lumineuse, certaine, tout entièrement attachée au Seigneur Jésus, à son œuvre et à sa résurrection. Elle est étroitement liée à la foi et à l'amour qui trouvent aussi en Jésus sa source et sa plénitude. L'espérance chrétienne est l'attente assurée et sereine de ce que Dieu Lui-même nous a promis en Jésus-Christ son Fils unique. Tout est lié au Retour du Seigneur Jésus. Jésus est « notre espérance », car en Lui s'accomplissent toutes les promesses de Dieu (2 Corinthiens 1 : 20 ; Romains 15 : 8). Pour que l'espérance vivante jaillisse dans notre cœur, il faut recevoir, par la foi, l'amour de Dieu et son don suprême : le Seigneur Jésus Christ.

Le Retour du Seigneur Jésus-Christ : Jésus-Christ reviendra Lui-même dans toute sa gloire. Jésus a dit : « Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; … je vais vous préparer une place. Et si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi » (Jean 14 : 2-3).
« Je reviendrai » : C'est par cette promesse que le Seigneur Jésus a encouragé ses disciples, promesse rappelée par l'apôtre Paul aux chrétiens de Thessalonique
(1 Thessaloniciens 4 : 13-17). Au cœur de l'espérance chrétienne, il y a l'attente de Jésus-Christ qui nous aime d'un parfait Amour et qui nous veut près de Lui dans sa gloire. Jésus-Christ reviendra Lui-même prendre avec Lui tous ceux qui ont placé leur confiance en Lui, tous ceux qui sont nés de nouveau par le Saint-Esprit qui vit en eux. Oui, Jésus-Christ reviendra pour prendre avec Lui son Église. Et tous les enfants de Dieu, tous les élus, seront enlevés à la rencontre du Seigneur Jésus-Christ et ils seront éternellement avec Lui dans sa gloire.
Jésus-Christ est venu une première fois dans le monde pour accomplir l’œuvre de la Rédemption. Pour cela, il a fallu qu'Il souffre et qu'Il meure. Maintenant Il est ressuscité, Vivant éternellement et exalté dans la gloire du Père. Et cela garantit aux vrais croyants en Jésus une place avec Lui dans la gloire.

Les deux phases du Retour de Jésus-Christ : La Parole de Dieu nous parle de deux phases distinctes de la seconde venue du Seigneur Jésus-Christ, deux étapes, pour ainsi dire, du même événement :
- À la première phase du Retour de Jésus, "Jésus descendra du ciel pour enlever les siens. En un clin d’œil, Jésus ressuscitera de la poussière le corps de tous les vrais croyants en Lui qui sont morts. Et Il transformera aussitôt le corps de ceux qui vivront sur la terre à ce moment-là, puis Il les enlèvera tous ensemble dans les airs. Oui, nous les enfants de Dieu, notre sûre espérance, c'est que nous irons à la rencontre de Jésus dans les airs pour être éternellement avec Lui dans sa Gloire." (1 Tessaloniciens 4. 16-17). Cet enlèvement ne sera pas vu du monde.

Puis dans le Ciel, les enfants de Dieu, qui auront été à la rencontre du Seigneur Jésus dans les airs, seront manifestés devant le Tribunal de Christ (2 Corinthiens 5 : 10). Ils ne comparaîtront pas comme des inculpés appelés à être jugés (Jean 5 : 24), mais pour que soit mis en lumière tout ce qu'ils auront fait pendant leur vie sur la terre, soit bien, soit mal (2 Corinthiens 5 : 10). Ils verront clairement dans la lumière divine leurs actes, leurs paroles, leurs mobiles tels que le Seigneur Dieu les a vus et jugés. Ils seront pleinement d'accord avec Lui, remplis de joie et de louange en considérant tout ce que le Seigneur Jésus-Christ a accompli dans leur vie.
Un autre événement glorieux après celà, sera les noces de l'Agneau dans le Ciel
(Apocalypse 19 : 7). L'Agneau c'est Jésus-Christ ; son Épouse c'est l'Église, c'est-à-dire l'ensemble des vrais chrétiens, des élus de Dieu ; tandis que les « invités » sont tous les autres croyants, tels Abraham, David et tant d'autres... n'appartenant pas à l'époque chrétienne. Ces noces sont celles de l'Agneau, qui rappelle à l'Église que son Seigneur Jésus a souffert, est mort sur une croix et est ressuscité pour elle pour la racheter.

- La deuxième phase du Retour de Jésus aura lieu quand les mille ans du Règne de Christ avec ses rachetés seront achevés, au moment où le ciel et la terre de maintenant passeront. À cette deuxième phase, Jésus reviendra et un Grand Trône Blanc sera dressé. Jésus-Christ qui est le Juge déjà désigné par Dieu, y siègera avec autorité, des livres seront ouverts pour justifier la sentence prononcée. Tous les morts de tous les temps, qui ne seront pas sauvés parce qu'ils n'ont pas accepté le Salut en Jésus, comparaîtront et seront à la fois confondus par la grandeur de leur culpabilité devant Dieu. Ils regretteront d'avoir rejeté le Seigneur Jésus-Christ et méprisé sa Grâce du Salut pendant leur vie sur la terre. Ils seront alors tous condamnés aux tourments éternels en Enfer (Apocalypse 20. 11-15).

Après le Retour de Jésus-Christ pour condamner tous ses ennemies en Enfer, Dieu va créer un Nouveau Ciel et une Nouvelle Terre où ils demeurera et règnera éternellement avec tous les élus, de siècles en siècles. Oui, nous les élus de Dieu, nous régnerons avec Dieu d'éternité en éternité, et nous serons éternellement dans le vrai bonheur éternel et rien ne pourra venir nous troubler.

Se préparer pour le Retour de Jésus-Christ

« Vous donc aussi, soyez prêts ; car le Fils de l'homme vient, à l'heure que vous ne pensez pas » (Luc 12 : 40). Comment devons-nous être prêts ? Pour être prêts, il faut naître de nouveau, c'est-à-dire, avoir reçu le Saint-Esprit et la Vie Éternelle par la foi au Seigneur Jésus-Christ. Pour être prêts, il faut se confier simplement en l’œuvre parfaite du Seigneur Jésus à la croix et vivre dans la sanctification. C'est maintenant pendant notre vie sur la terre, qu'il faut se préparer. Quand le Seigneur Jésus-Christ reviendra, la porte sera fermée et il sera trop tard pour ceux qui ne se sont pas repentis et qui n'ont pas reçu Jésus-Christ dans leur vie.

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