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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Dieu voit tout

30 Avril 2019 Publié dans #Divers

"Il n'existe aucune créature qui soit cachée devant Lui (Dieu), mais tout est nu et découvert aux yeux de Celui à qui nous avons affaire" (Hébreux 4. 13).

Dans nos rapports humains, nous ne voyons souvent que l'extérieur : le sourire de commande du commerçant, l'air respectable du professeur, la joie factice du clown... C'est ce que saisit le photographe. Quant au radiologue, grâce à ses appareils (radiographie, échographie, scanner...), il peut déceler ce qui se passe à l'intérieur du corps ; il voit sur son écran l'anomalie cachée dont souffre le patient.
Mais il existe Quelqu'un qui voit au-delà de l'apparence, derrière la façade, au plus profond de l'être. C'est Dieu, le seul Dieu de l'Univers. Dieu est Celui qui « discerne les pensées et les intentions du coeur » (Hébreux 4. 12). Dieu fait un examen complet des actes (y compris ceux qui ont l'approbation de tous) et de leurs motivations. C'est devant le Dieu des cieux et de la terre que chaque être humain devra rendre des comptes. Même si son casier judiciaire est vierge, sa morale impeccable et son comportement correct, il entendra, le jour de l'examen final devant Dieu, le diagnostic de Celui qui connaît absolument toutes ses pensées d'envie, son esprit de revendication, ses entorses à la vérité... Impossible de se soustraire à Dieu, Celui qui sait tout. Oui, Dieu sait absolument tout de vous et de moi, et malgré cela Il nous aime, au point d'avoir donné son Fils unique Jésus-Christ qui a payé pour tous les péchés de l'humanité, pour sauver parfaitement quiconque croit en Lui et le rendre heureux pour l'éternité. Jésus mérite sans réserve toute notre confiance et tout notre amour. Alors, venons à Lui et acceptons Le comme notre seul Seigneur et Sauveur personnel.

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Quelle erreur de croire que nous pouvons cacher les choses à Dieu car Il voit tout et entend tout. Il est omnipotent, omniscient et omniprésent. Ce qui est fait dans le secret, loin des oreilles et des regards des autres, est connu de Dieu chez qui tout est en pleine lumière.

Il viendra un Jugement divin, dernier et éternel, où l’être humain pécheur ne pourra plus demander pardon ou espérer changer de vie pour être dans une paix profonde. Que cela ne vous fasse pas peur, mais simplement vous fasse prendre conscience que nous vivons la saison de la grâce divine. Si vous avez fait du mal à quelqu’un ou à vous-même, que vous avez commis un péché si énorme au point que vous avez peur d’être dévoilé, jugé et puni, laissez-moi vous réconforter et vous dire ceci : « N’ayez pas peur. Repentez-vous et détournez-vous du mal que vous avez commis. Dieu vous aime. Il vous connait. Il vous a créé, et Il désire que l'appartenez et que vous soyez libres de toute servitude du péché ».
Que chaque être humain se repente maintenant et demande pardon à Dieu d’avoir géré sans Lui notre vie. Après la mort physique, il sera trop tard de trouver la paix. Se repentir est la porte ouverte pour entrer dans la maison de Dieu le Père, Sachons que la repentance est pour notre délivrance.

Repentance vient du grec ‘metanoia’ ; Ce qui signifie un changement de mentalité suite à une prise de conscience. La repentance se fait, dans un premier temps, vis-à-vis de Dieu. Puis dans un deuxième temps, elle se voit, car nos attitudes ne sont plus les mêmes.
Dans le
Psaume 14, nous lisons que nous sommes tous pécheurs, aucun ne cherche Dieu, ni ne s’intéresse à Lui. Eloignés de Dieu, nous faisons ce que nous voulons, sans Lui demander. C'est pourquoi, Il est important de se repentir et de confesser ses péchés à Dieu qui connaît toutes choses. Il est important de vivre une transformation authentique : une nouvelle vie en Dieu.
Comme le fils prodigue, qui a dilapidé tout son héritage, mais qui est revenu chez son père, l'être humain doit venir ou revenir vers Dieu son Créateur. Chaque être humain est libre de choisir. Mais que chacun réalise, comme des milliers d’êtres humains sur cette terre, que Dieu veut déjà nous pardonner. Croyons qu’Il veut nous donner une vie meilleure aujourd’hui et éternellement. C’est le temps de changer de cap ! N’ayons pas peur. Si ce n'est pas encore fait, venons recevoir la réconciliation en Jésus-Christ…. car Dieu veut nous voir heureux et l’adorer pour l'éternité.

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Le vrai christianisme et la véritable foi en Jésus-Christ

29 Avril 2019 Publié dans #Salut

Puisque le Christianisme se résume à Jésus-Christ, alors devenir chrétien (enfant de Dieu), c’est répondre à l’appel lancé par Jésus. Quelle sorte de réponse avons-nous besoin de donner à Jésus ? Une réponse de foi, nous dit la Bible. Nous devons avoir la foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ. La foi est le lien qui nous unit entre Jésus et nous. Dans le Nouveau Testament, une telle foi exprime trois choses :

1) “Nous le connaissons” :
Sans la véritable connaissance de Jésus-Christ, il n’y a pas de salut. Nous avons besoin de connaître la vérité qui est Jésus-Christ qui est Lui-même la Vérité. La 
Bible nous dit certaines choses concernant Jésus-Christ : par exemple, qu’Il est né d’une vierge (Matthieu 1. 21-25), qu’Il a vécu sans commettre de péché (1 Pierre 2. 22), qu’Il a été crucifié pour des pécheurs (Romains 5. 8), qu’Il est revenu de la mort à la vie (Luc 24. 5-6), qu’Il est monté au ciel (Actes 1. 11) et qu’Il reviendra un jour (1 Thessaloniciens 4. 16).

Pour les êtres humains, Il n’y a pas de salut possible sans la réelle connaissane de Jésus-Christ, “car nulle part dans le monde entier Dieu n’a donné aux hommes quelqu’un d’autre par qui nous pourrions être sauvés” (Actes 4. 12). Celui qui rejette Jésus-Christ rejette le salut que Dieu lui offre, parce que “celui qui croit au Fils à la vie éternelle, celui qui désobéit au Fils n’aura pas cette vie, mais il reste exposé à la colère de Dieu” (Jean 3. 36). “Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ” (Jean 17. 3).

Dans la foi chrétienne, la connaissance que nous avons besoin, n’est pas seulement une connaissance intellectuelle de la Parole et de Celui qui est la Parole, mais une connaissance personnelle, intime et vivante avec Jésus-Christ. C’est une connaissance qui nous amène en vivre en contact immédiat avec Dieu Lui-même et nous pousse toujours à vouloir Le connaître davantage.

2) Nous croyons à cause de la nature même du message de Jésus-Christ :
Quelles merveilleuses paroles que celles prononcées par Jésus dans les paraboles et le sermon sur la montagne. Ce sont des paroles qui sont incomparables 
parce qu’elles viennent du Fils de Dieu et qu’elles contiennent des conseils les plus judicieux pour nos vies. Dans les paroles de Christ, nous découvrons les affirmations les plus stupéfiantes, par exemple, qu’Il est le Juge de toute la terre, qu’Il a existé avant le commencement du monde, qu’Il est ressuscité des morts et qu’Il est le Dieu Tout-Puissant. Ces affirmations sont soutenues par des oeuvres remarquables, une vie sans reproche, et par un enseignement des plus profonds. Tout ceci confirme que Dieu s’est manifesté à nous de façon tangible à travers la Personne de son Fils Jésus-Christ. Tout ce que nous voudrions voir en Dieu, nous le retrouvons en Jésus-Christ. N’a-t-il pas dit, “celui qui m’a vu, a vu aussi le Père”. Thomas croyait au Christ ressuscité lorsqu’il a vu et cru que Jésus était vivant. C'est ainsi qu'il a pu dire par la foi que Jésus était “son Seigneur et son Dieu” (Jean 20. 28).

3) “Nous croyons en Jésus-Christ” :
Ces paroles sont au coeur même du message chrétien. Il ne faut donc pas s’arrêter au niveau d’une simple connaissance biblique ou croire que ces choses sont 
vraies mais nous confier entièrement en Jésus parce qu’Il nous invite en disant : “Venez à moi”.

Qu’est-ce que nous allons faire de Jésus-Christ ? De Celui que nous avons appris à connaître à travers la Bible ainsi que de ses enseignements ? Est-ce que nous croyons maintenant que tout ce qui est dit sur Jésus dans la Bible, c’est la vérité ? « Parce qu’il est la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra même s’il meurt ; et celui qui vit et croit en moi ne mourra jamais » (Jean 11. 25-26).

Portons nos regards vers Jésus, nous dit la Parole de Dieu, Il est venu et Il est né sous les exigences de la loi de Dieu accomplissant chacune de ses exigences. Jésus a aimé son prochain comme Lui-même et Il a aimé Dieu de tout son coeur, de toute son âme et de toute sa pensée. Jésus, le Fils de Dieu, a été le seul non seulement à naître sans péché, mais à vivre sans commettre de péchés. Si nous pouvons dire qu’Il a eu une vie exemplaire et impeccable, ce qui compte encore davantage, c’est ce qu’Il a fait avec sa vie ; Il l’a sacrifiée. Prenant sur Lui la pleine responsabilité de notre culpabilité et de notre péché, Jésus a supporté notre faute et la honte de notre péché dans son propre corps. Il est mort en s’offrant en sacrifice parfait pour sauver les pécheurs que nous sommes et qui croyons en Lui.

C'est sur la croix que tout le Jugement de Dieu contre nos péchés est tombé sur Jésus. Toute ce que la Justice de Dieu réclame comme châtiment contre le pécheur a été pleinement satisfait à travers la mort de Jésus-Christ en notre faveur et sa résurrection. Dieu nous a aimé bien avant la fondation du monde. C’est parce qu’Il nous a aimé qu’Il a pourvu à ce moyen de salut et tout cela provient de son Amour illimité. Le Seigneur Jésus est mort afin d’enlever cette barrière du péché qui se trouvait sur notre chemin et qui nous empêchait de recevoir les bénédictions qui proviennent de son grand amour pour nous.
La Bonne Nouvelle c’est que Jésus-Christ a tout accompli de telle sorte qu’il n’y a absolument plus rien à faire pour gagner notre salut. La seule chose qui va 
déterminer notre relation avec Dieu aujourd’hui, c’est ce qui est arrivé sur la croix de Golgotha. Il n’y a rien d’autre qui importe et il n’y a rien d’autre de plus pertinent. La seule chose pertinente, c’est ce que Christ a fait sur la croix. Jésus a accompli parfaitement l’oeuvre pour laquelle Il a été envoyé dans ce monde.

Le Seigneur Jésus a enlevé notre péché et Il a pris sur Lui notre culpabilité : “il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant Lui-même” (Hébreux 7. 27). “Il a paru une seul fois pour abolir le péché par son sacrifice” (Hébreux 9. 26). “Christ, qui s'est offert une seul fois pour porter les péchés de plusieurs” (Hébreux 9. 28). Il n’y a plus rien d’autre à faire parce que Dieu a approuvé le  sacrifice en le ramenant de la mort à la vie trois jours plus tard.
Alors nous devons recevoir Christ et son salut qu’Il nous offre gratuitement dans l’Évangile. Faisons Lui simplement confiance. Regardons à Lui. Réfugions-nous dans le sang de Christ et dans l’obéissance à sa Parole.

C’est Jésus Christ qui nous sauve par notre foi en Lui. La foi qui sauve, ce sont les yeux qui regardent seulement à Christ. La foi qui sauve ce sont les mains qui prennent celles de Christ pour être conduit. La foi qui sauve, ce sont les pieds qui viennent rencontrer Christ au pied de la croix. La foi qui sauve, ce sont les bouches qui crient à Christ pour être guéries et qui se nourrissent seulement de sa Parole et de rien d’autre.
L’apôtre Jean écrit : “Et voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui 
n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie” (1 Jean 5. 11-12). Tout dépend de la foi que vous avez en Christ.

Nous sommes pleinement sauvés par la Personne et l’oeuvre du Seigneur Jésus-Christ. Notre foi est le lien qui nous uni à Lui et à tout ce qu’Il a accompli pour nous. Voilà en quoi consiste le véritable christianisme : « Placer toute notre confiance dans le Seigneur Jésus-Christ et en son oeuvre parfaite accomplie une fois pour toutes sur la croix ». 

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Tout est par la Grâce de Dieu‏

28 Avril 2019 Publié dans #Divers

"Et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ" (Romains 3. 24)

La Grâce de Dieu se révèle absolument et totalement gratuite. Nous n'aurons jamais à la rembourser. Comment le pourrions-nous ? Pourtant, beaucoup de personnes ont de la peine à se défaire de l'idée qu'ils n'ont rien pour rien. Cette notion, confortée par leur égoïsme naturel, est humaine, alors que la grâce est divine. Venue par Jésus Christ à la rencontre de nos besoins, elle n'attend de notre part aucune contrepartie. S'il n'en était pas ainsi, le Salut ne serait pour personne. De plus, une telle prétention ne serait rien d'autre qu'un outrage à Dieu.
Imaginons que nous sommes en visite chez des amis qui nous ont invités pour un repas. Celui-ci terminé, nous prolongeons la conversation autour d'une tasse de café, puis nous nous levons, et au moment de prendre congé, nous mettons la main à la poche en demandant : « Alors, combien est-ce que je vous dois ? » Quelle offense, n'est-ce pas ?
Comment se fait-il alors que notre monde soit rempli de personnes convaincues de devoir payer Dieu en retour de tous ses dons ? Il n'en est pas ainsi avec la Grâce de Dieu. Christ est venu sur la terre pour satisfaire toutes les exigences de Dieu concernant le péché et ainsi nous sauver de tous nos péchés et de ses conséquences. Pour avoir le Salut parfait et éternel en Jésus-Christ le Fils de Dieu, il ne nous reste plus qu'à recevoir la Grâce de Dieu en acceptant le Cadeau gratuit de la Vie Éternelle, en remerciant Dieu qui nous l'offre avec tant de bonté, et en Lui montrant que nous l'aimons en retour.

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La Nouvelle Naissance

27 Avril 2019 Publié dans #Divers

"Il faut que vous naissiez de nouveau !" (Jean 3), adressera Jésus à Nicodème, pourtant docteur de la loi !

La loi ne sauve pas, de même que croire que l'on peut être justifier par elle ou par les œuvres qui découlent de la loi ! En ce sens, cette aspiration à la justification par les œuvres seules devient… malédiction ! (Lire Galates 3). Si l'on pouvait être sauvés par la loi, Christ n'aurait pas dû souffrir le martyr de la Croix ! Ainsi, aspirer à la justification seule par la loi, c'est finalement rejeter, renier, mépriser Jésus-Christ et son oeuvre parfaitement accompli sur la croix, au point de Le (re)crucifier ! Cet acte abominable, cet ultime péché blasphématoire appelé aussi "péché ou blasphème contre le Saint-Esprit" est provoqué volontairement, entre autres, par les Religieux… oui, c'est un comble ! (Lire à ce sujet Matthieu 12 et Galates 5. 4ss).

La loi est plutôt le révélateur du péché nous conduisant à l'urgent besoin de recevoir Jésus comme seul Seigneur et Sauveur de notre vie. En ce sens, la loi est ce guide, ce "pédagogue" nous rappelle l'apôtre Paul, qui nous fait connaître le péché et qui nous conduit à Christ qui nous sauve pleinement ! (Galates 3. 21ss). Christ a été justice de Dieu en ayant accompli la loi pour nous (Matthieu 5. 17ss). A nous de nous confier en Lui seul par la foi, grâce à cet accomplissement parfait ! (Lire Romains 1 à 8).

La Nouvelle Naissance l'est grâce à l'action de l'Amour de Dieu convainquant le cœur pour l'amener à la repentance, avec l'objectif suprême de se détourner radicalement du péché (Matthieu 3. 2). Le péché, le fait de désobéir à la volonté de Dieu pourtant bonne, agréable et parfaite pour le genre humain et toute Sa création, sépare de Dieu (Romains 12. 1-2). La repentance marque ce premier retour volontaire à Dieu.

Cette œuvre l'est grâce aussi à celle du Saint-Esprit "qui sonde tout, même les profondeurs de Dieu" (1 Corinthiens 2. 10ss). Envoyé par Jésus-Christ, l’une de Ses missions est celle "de convaincre le monde de péché, de justice et de jugement." (Jean 16. 7ss).

A la Croix, Jésus-Christ s'est écrié : Tout est accompli ! (Jean 19. 30). Seul ce nouveau commandement, cette nouvelle et véritable œuvre demeurent : Aimer Dieu de tout son être et son prochain comme soi-même (Matthieu 22. 37-39 ; Jean 13. 34ss ; 1 Corinthiens 13). Ce nouveau commandement est aussi l'ultime accomplissement de la loi et des prophètes qui ne cessera de nous habiter pour engendrer des œuvres dignes du Royaume. Elles le sont par la grâce de la puissance de l’Esprit nous habitant désormais Lui aussi… rien de plus, rien de moins ! (Matthieu 22. 34-40 ; 7. 12 ; Romains 13. 8).

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Dieu veut que tous soient sauvés

26 Avril 2019 Publié dans #Salut, #Retour de Jésus

"Dieu notre Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. Car il y a un seul Dieu et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme qui s'est donné Lui-même en rançon pour tous" (1 Timothée 2 : 4-6). "Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3 : 16).

Nous voyons par là que c'est la volonté de Dieu que tout être humain soit sauvé, pour cela Dieu l'a prouvé en payant le prix du rachat de tout être humain par son Fils unique Jésus-Christ ; Dieu nous appelle à croire en Jésus-Christ, à accepter son sacrifice, son précieux Sang qui nous pardonne tous nos péchés et nous purifie de toute souillure, nous lave plus blanc que la neige. Matthieu 22 : 14 dit "car il y a beaucoup d'appelés mais peu d'élus". Nous sommes tous appelés à être sauvés par Jésus-Christ mais tous ne veulent pas. Dieu a donné à chaque être humain la liberté d'accepter ou pas, Dieu nous donne le libre choix. Comme il est écrit dans Josué 24 : 15 : "Choisissez aujourd'hui qui vous voulez servir". Ce n'est pas une obligation, Dieu n'oblige personne, mais son grand Amour, sa grande miséricorde et sa bonté nous pousse quand même à L'accepter, à Le servir et vivre pour Lui. Jésus-Christ dans l'Évangile a toujours demandé aux malades ceci : "que veux tu que je te fasse, Jésus n'a jamais refusé d'aider, de délivrer et de guérir, à ceux qui en faisaient la demande, mais Il ne s'est jamais imposé. Dieu nous a aimé le premier comme c'est écrit en 1 Jean 4 : 19 : Pour nous, nous l'aimons parce qu'Il nous a aimé le premier.
Dieu veut faire de nous ses propres enfants, participer à l'héritage de son Fils unique Jésus-Christ. "Or si nous sommes enfants nous sommes aussi héritiers; héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ" (Romains 8 : 17), "Jésus-Christ ressuscité le premier d'entre les morts" (Actes 26 : 23).
Nous savons que Jésus-Christ est assis à la droite de Dieu son Père. Il a reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre et "c'est Lui le Seul qui est ressuscité d'entre les morts, qui n'a pas vu la corruption" (Actes 13 : 37). La volonté de Dieu, c'est que par Jésus-Christ, nous ayons la grâce de parvenir à la première résurrection. "Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection" (Apocalypse 20 : 6), c'est à Jésus-Christ que Dieu a donné le pouvoir de ressusciter les morts.
Jésus dit dans Apocalypse 3 : 21 : "Celui qui vaincra, je le ferait asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône".

Dieu veut que nous arrivions à être semblable à son Fils Jésus-Christ. 1 Jean 3 : 2-3 dit : "Bien aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que lorsqu'Il paraîtra nous serons semblables à Lui, parce que nous Le verrons tel qu'Il est, quiconque a cette espérance en lui, se purifie comme Lui-même est pur".
Dieu veut que nous arrivions à ce stade, à la sanctification, pour pouvoir avoir part à la première résurrection, 1 Thessaloniciens 4 : 3 dit : "ce que Dieu veut c'est votre sanctification", et 1 Thessaloniciens 5 : 23-24 dit : "Que le Dieu de paix vous sanctifie Lui-même tout entier , et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps soient conservés irréprochables lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ".

Toutes choses se sont accomplies, mais nous attendons encore ce grand moment, la première résurrection comme le décrit l'apôtre Paul dans 1 Thessaloniciens 4 : 13-18 : "Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui sont décédés, afin que vous ne vous affligés pas comme ceux qui n'ont point d'espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'Il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec Lui ceux qui sont décédés. Voici en effet ce que nous vous déclarons d'après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l'avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont décédés. Car le Seigneur Lui-même à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite nous les vivants qui seront restés nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez vous donc les uns, les autres par ces paroles".

L'apôtre Paul écrit encore dans 1 Corinthiens 15 : 51-53 : "Voici je vous dis un mystère, nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés en un instant, en un clin d'oeil, à la dernière trompette, la trompette sonnera et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous nous serons changés".

Le monde n'a pas connaissance de ce grand avènement, même pas tous ceux qui se disent chrétiens, seulement un petit nombre ont connaissance de ce mystère et croient que Jésus va revenir bientôt pour chercher ceux qui Lui appartiennent. Pourtant, Jésus nous a tout dit d'avance, dans l'Évangile Jésus a parlé de cela, aussi dans la prophétie du Livre de l'Apocalypse. Lisons la Bible qui est la Parole de Dieu, car Dieu nous a tout révélé d'avance, lisons et relisons et méditons la Parole de Dieu, faisons de la Bible notre Livre préféré, car elle a les promesses de la Vie Éternelle.

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L'Enfer est un lieu réel (2)

25 Avril 2019 Publié dans #Enfer

3) QUI IRA EN ENFER ?

A l’origine, l’Enfer est destiné à Satan et à ses anges déchus : "Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retķirez–vous de moi, maudits, allez dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges" (Matthieu 25. 41).
Ayant tous péché, tous les êtres humains méritent d’aller en Enfer : "Car il n’y a pas de distinction : tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu…" (Romains 3. 23). Mais par la foi en Jésus-Christ, tous peuvent être sauvés, échapper à l’Enfer et aller au Ciel, au Paradis : "… et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est dans le Christ–Jésus" (Romains 3. 24).
Dieu fait tout pour sauver le monde pécheur : "Dieu, notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité" (1 Timothée 2. 3-4).
Pour cela, Dieu s’est révélé à travers la création, la conscience, Ses prophètes, Sa Parole. Plus encore, Dieu a donné aux êtres humains ce qu’Il avait de plus précieux : Jésus Son Fils unique. Sur la croix, Jésus a été abandonné du Père pour que nous n’ayons jamais à connaître l'abandon de Dieu.
Jésus convainc les pécheurs de se détourner de leurs mauvaises voies par Son Saint-Esprit.
Si des êtres humains ne sont pas sauvés, ce n’est pas la faute de Dieu. Celui qui refuse obstinément la grâce de Dieu, Dieu l’abandonne à son triste sort.
Par conséquent, tous les incrédules, c’est à dire ceux qui ont refusé le salut de Dieu en Christ, finiront en enfer : "Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang brûlant de feu et de soufre : cela, c’est la seconde mort" (Apocalypse 21. 8).

4) LA SOUFFRANCE EN ENFER :

Sur la terre, tout être humain, même le plus rebelle, bénéficie encore de certaines grâces divines : "… car Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et Il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes" (Matthieu 5. 45).
Mais en Enfer, la bénédiction de Dieu sera totalement absente. L’impie prendra conscience (mais il sera hélas trop tard) qu’en dehors de Dieu, il n’y a aucune vie, aucune grâce, aucune bénédiction.
Toutes les expressions décrivant l'Enfer (le feu, le ver rongeur, les tourments, etc...), parle d’une souffrance terrible, horrible. Le feu parle d’une souffrance extérieure, physique, le ver parle d’une souffrance intérieure, morale.
L’homme riche dans l’évangile de Luc exprime les souffrances de l’Enfer : "Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, en proie aux tourments, il vit de loin Abraham et Lazare dans son sein. Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre dans cette flamme" (Luc 16. 23-24).
En Enfer, la conscience du condamné n’est pas abolie. Il se rend pleinement compte de tout ce qu’il endure. Cette souffrance indescriptible sera aiguisée par le fait que ceux qui seront en Enfer se rendront compte qu'ils auraient pu facilement éviter cela s’ils avaient accepté l’Evangile durant leur vie sur terre. Ils réaliseront à jamais leur folie et leur orgueil. Ils seront pris de remords et de regrets éternels.
Cette souffrance sera d’autant plus grande qu’il n’y aura plus aucun espoir. En Enfer : pas de repentance possible, pas de possibilité de se racheter, pas de deuxième chance.
En plus de tout cela, les êtres humains impies et incrédules y auront pour l'éternité la compagnie terrible du diable et de tous ses démons.

5) LA DURÉE DE L’ENFER :

Ce qu’il y a de plus terrible avec la réalité de l’Enfer, c’est sa durée.
Déjà dans ce monde, la souffrance est toujours pénible, mais si grande soit-elle, l’espoir d’en être délivré aide à la supporter. Il en est ainsi pour les souffrances ici-bas.
Mais concernant les souffrances que les perdus subissent en Enfer, la Bible est formelle en disant qu'elles ne cesseront jamais. L’Enfer n’a pas de fin ; il est éternel.
De même que les élus de Dieu, (les croyants en Jésus) vivront éternellement avec Dieu au Paradis, les incroyants et les rebelles à Dieu vivront éternellement en Enfer loin de la face de Dieu : "Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle" (Matthieu 25. 46).
"Le diable qui les séduisait fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles" (Apocalypse 20. 10).

Conclusion :

Si Dieu nous parle autant de l’Enfer dans Sa Parole, c’est qu’Il ne veut pas que nous allions dans cet endroit de tourments : "Dis–leur : Je suis vivant ! Ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive. Revenez, revenez de vos mauvaises voies. Pourquoi devriez–vous mourir, maison d’Israël ?" (Ezéchiel 33. 11).
Pour le croyant en Jésus, la doctrine de l’Enfer est un des motifs les plus puissants qui doit le pousser à témoigner du Sauveur Jésus. Sachant où se dirigent les incroyants, nous devons faire tout pour les en arracher : "Sachez que celui qui ramène un pécheur de la voie où il s’était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés" (Jacques 5. 20).
Jésus est venu sur la terre et a souffert pour que nous soyons sauvés de la condamnation de l’Enfer. Par la foi en lui, nous sommes sauvés de la perdition éternelle : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie" (Jean 5. 24).
Jésus fait preuve de patience et retarde son jugement envers toute l’humanité : "Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de sa promesse, comme quelques–uns le pensent. Il use de patience envers vous, il ne veut pas qu’aucun périsse, mais il veut que tous arrivent à la repentance" (2 Pierre 3. 9).
Dieu nous avertit aujourd’hui pour que demain nous ne soyons pas confus. C’est maintenant, c’est aujourd’hui que chacun doit décider où il désire passer l’éternité, avec Dieu (au Ciel), ou sans Dieu (en Enfer) : "C’est pourquoi, selon ce que dit le Saint–Esprit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs…" (Hébreux 3. 7-8). "Car Il dit : au temps favorable je t’ai exaucé, au jour du salut je t’ai secouru. Voici maintenant le temps vraiment favorable, voici maintenant le jour du salut" (2 Corinthiens 6. 2).

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L'Enfer est un lieu réel (1)

24 Avril 2019 Publié dans #Enfer

1) LA REALITE DE L’ENFER :

L’Enfer n’est pas un lieu imaginaire ; c’est un lieu réel. Au même titre que le Ciel. C’est Jésus Lui-même qui en a le plus parlé pour avertir tous les êtres humains. C’est le lieu de souffrance éternelle réservée aux impies dans l’au-delà.
L’Enfer est l’expression de la Justice parfaite de Dieu qui ne peut laisser le pécheur impuni s’il ne se repent pas, s’il n’accepte pas le salut qui est en Christ : "Si quelqu’un a violé la loi de Moïse, il est mis à mort sans pitié, sur la déposition de deux ou trois témoins. Combien pire, ne pensez–vous pas, sera le châtiment mérité par celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, tenu pour profane le sang de l’alliance par lequel il avait été sanctifié, et qui aura outragé l’Esprit de la grâce ! Car nous connaissons celui qui a dit : A moi la vengeance, c’est moi qui rétribuerai. Et encore : le Seigneur jugera son peuple. Il est terrible de tomber dans les mains du Dieu vivant !" (Hébreux 10. 28-31).
L’Enfer, c’est la séparation d’avec Dieu, Celui qui est la Vie, la Paix, la Joie. Les rebelles seront éternellement séparés de Dieu dans un lieu de tourments infinis caractérisé par l’absence totale et définitive de la présence divine.
L’Enfer est la conséquence du choix de celui qui sur la terre n’a jamais accepté de vivre avec Dieu. Dieu respecte le choix de tout être humain , Il ne force personne à vivre avec Lui. Mais être privé de la présence de Dieu, être sous Sa réprobation est ce qu’il y a de plus terrible pour l'être humain.

2) IMAGES ET EXPRESSIONS BIBLIQUES DE L’ENFER :

- La géhenne : "Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache–le et jette–le loin de toi. Car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne" (Matthieu 5. 29). Ce mot vient de l’Hébreu, Vallée de Hinnom, qui désignait le lieu qui était devenu un dépotoir où l’on brûlait les ordures.

- La honte éternelle : "Beaucoup de ceux qui dorment Dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle et les autres pour la honte, pour l’abjection éternelle" (Daniel 12. 2).

- La ruine éternelle : "Ils auront pour juste châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force" (2 Thessaloniciens 1. 9).

- Le châtiment éternel : "Et ceux–ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle" (Matthieu 25. 46).

- L’étang de feu : "Quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu" (Apocalypse 20. 15).

- Le feu éternel, le feu qui ne s’éteint point : "Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez–vous de moi, maudits, allez dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges" (Matthieu 25. 41). "Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache–le ; mieux vaut pour toi entrer borgne dans le royaume de Dieu, que d’avoir deux yeux et d’être jeté dans la géhenne, où leur ver ne meurt pas, et où le feu ne s’éteint pas" (Marc 9. 47-48).

- Les brasiers, les flammes éternels :
"Les pécheurs sont effrayés dans Sion, un tremblement saisit les profanateurs : qui de nous pourra séjourner auprès d’un feu dévorant ? Qui de nous pourra séjourner auprès des brasiers éternels ?" (Esaïe 33. 14).
"Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre dans cette flamme" (Luc 16. 24).

- La fournaise ardente de feu :
"Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité et ils les jetteront dans la fournaise de feu, où il y aura des pleurs et des grincements de dents" (Matthieu 13. 41-42).

- Le bûcher enflammé :
"Depuis longtemps un bûcher est préparé, il est installé pour le roi, il est profond, il est vaste ; son bûcher, c’est du feu et du bois en abondance ; le souffle de l’Éternel l’enflamme, comme un torrent de soufre" (Esaïe 30. 33).

- Les ténèbres du dehors, le lieu des pleurs et des grincements de dents :
"Alors le roi dit aux serviteurs : Liez–lui les pieds et les mains, et jetez–le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents" (Matthieu 22. 13).

- Les tourments :
"C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments" (Luc 16. 28).

- La perdition :
"Entrez par la porte étroite car large est la porte et spacieux le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là" (Matthieu 7. 13).
"Et que servira–t–il à un homme de gagner le monde entier, s’il perd son âme ? Ou que donnera un homme en échange de son âme ?" (Matthieu 16. 26).

- La colère de Dieu :
"Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne se confie pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui" (Jean 3. 36).
"Mais, par ton endurcissement et par ton cœur impénitent, tu t’amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la révélation du juste jugement de Dieu" (Romains 2. 5).

- La seconde mort :
"La mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu" (Apocalypse 20. 14).
La première mort est la mort physique qui attend tous les hommes (sauf les rachetés qui seront vivants quand Jésus reviendra). La deuxième mort est la mort spirituelle et définitive qui attend tous les incroyants après la mort physique et le Jugement Dernier.

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La Vie Éternelle

23 Avril 2019 Publié dans #La Vie

"Seigneur, à qui irions–nous ? Tu as des paroles de vie éternelle" (Jean 6. 68)

La vie éternelle est l'une des plus grandes bénédictions qui nous appartiennent, si nous sommes de ceux qui ont foi au Fils de Dieu. Il ne s'agit pas seulement du fait que nous passerons l'éternité dans la plénitude de la présence de Dieu. La vie éternelle est une bénédiction présente. C'est surtout l'apôtre Jean qui nous présente ce sujet, souvent en citant les paroles mêmes du Seigneur Jésus.

La vie éternelle dans l'éternité passée :

Jean dit dans sa première lettre : "Nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée" (1 Jean 1. 2). "Et c'est ici le témoignage : que Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils" (1 Jean 5. 11). Le Fils a toujours eu cette vie éternelle en Lui-même. Il était "auprès du Père" dans l'éternité passée, et par conséquent la vie éternelle était auprès du Père. Le Père possède cette même vie éternelle. "Le Père a la vie en lui-même" (Jean 5:26).

La vie éternelle promise :

Déjà dans l'éternité passée, "avant les temps éternels", Dieu s'était proposé de communiquer la vie éternelle. La lettre à Tite nous parle de "la vie éternelle que Dieu, qui ne peut mentir, a promise avant les temps éternels" (Tite 1. 2).

La vie éternelle manifestée en Jésus-Christ fait homme :

Comme Dieu, Jésus a toujours possédé la vie éternelle en Lui-même. En fait, Jésus est la vie éternelle : "Lui est le Dieu véritable, et la vie éternelle" (1 Jean 5. 20). Comme homme, il Lui a donc été donné d'avoir cette vie éternelle. Et Jésus "a habité au milieu de nous" (Jean 1. 14). Tous ceux qui l'ont vu ont pu être témoins de la manière dont la vie éternelle agit dans un homme sur la terre. C'est le message important que Jean transmet au commencement de sa première lettre. Les apôtres avaient été là : ils avaient "entendu", "vu", "contemplé" et même "touché" de leurs mains ce qui concerne la vie éternelle qui était manifestée (1 Jean 1. 1-3).
Quand le Seigneur Jésus vivait sur la terre, la vie éternelle a été rendue visible : "La vie éternelle, qui était auprès du Père ... nous a été manifestée" (v. 2). Voulez-vous savoir comment la vie éternelle agit ici-bas sur la terre ? Regardez à Jésus, cet homme humble ; voyez comment Il agissait avec les personnes et avec les foules de gens, comment Il a manifesté une obéissance parfaite et un Amour divin. C'est dans la vie de Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, que la vie éternelle a été "manifestée".

La vie éternelle communiquée à des êtres humains :

L'Écriture nous présente aussi la vie éternelle communiquée à ceux qui ont la foi. Dans la prière de Jésus adressée à Dieu son Père, Il dit que Dieu a donné à son Fils "autorité sur toute chair", et ajoute ceci : "afin que, quant à tout ceux que tu lui as donné, il leur donne la vie éternelle" (Jean 17. 2). Qui sont ceux que le Père Lui a donnés ? Ceux sont ceux qui ont reçu Jésus dans leur vie comme seul Seigneur et Sauveur.
Bien des versets nous indiquent les conditions nécessaires pour recevoir la vie éternelle. Ayons foi au Fils de l'homme
(Jean 3. 15), au Fils de Dieu (Jean 3. 16, 36), au Père qui l'a envoyé (Jean 5. 24).
Oui, ayons foi au Seigneur Jésus qui est venu du Ciel pour vivre comme un homme sur la terre. Lui-même dit : "Moi, je suis le pain vivant qui est descendu du Ciel : si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement" (Jean 6. 51). Mais il y a davantage. La suite de ce verset nous dit que Jésus s'est fait homme en vue de mourir : "Or le pain aussi que moi je donnerai, c'est ma chair, laquelle moi je donnerai pour la vie du monde". La foi dans sa mort expiatoire est indispensable pour être sauvé.
La mort du Seigneur Jésus et la réception de la vie éternelle se lient de deux manières. D'une part, cette mort était nécessaire pour que nous puissions recevoir la vie éternelle. Et d'autre part, la foi en sa mort - c'est-à-dire en la valeur de sa mort - est une condition nécessaire pour que nous recevions la vie éternelle
(Jean 6. 53-54).
Jésus dit : "C'est ici la volonté de mon Père: que quiconque discerne le Fils et a foi en lui, ait la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour" (Jean 6. 40). C'était la volonté du Père que l'être humain puisse recevoir la vie éternelle - la recevoir sur le principe de la foi en Christ
(Jean 3. 15, 16). Le Père a donné au Fils l'autorité de la communiquer à ceux qui ont foi en Lui, Le connaissant dans sa vie d'homme et dans sa mort (Jean 6. 51, 53). Le fait que la vie éternelle soit communiquée à l'être humain devrait nous conduire à l'adoration. C'était le motif de la mission du Seigneur Jésus qui dit, en parlant de ses brebis : "Je suis venu afin qu'elles aient la vie en surabondance" (Jean 10. 10). Personne ne peut jamais posséder cette vie éternelle en dehors du Seigneur Jésus ou sans Lui. C'est ce que Jean exprime sans équivoque dans sa première lettre : "Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie" (Jean 5. 12).

La possession actuelle de la vie éternelle :

Il est clair, d'après des passages tels que Jean 3. 16, que quiconque a la foi en Jésus possède la vie éternelle. Il la possède maintenant. Ce n'est pas simplement une promesse pour le futur, lorsque nous serons dans le Ciel, mais c'est une bénédiction dont nous jouissons dès à présent, sur la terre. Jean déclare : "Je vous ai écrit ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui avez foi au nom du Fils de Dieu" (1 Jean 5. 13). C'est écrit "Vous avez", non "vous aurez".

Vie éternelle et communion avec le Père et le Fils :

Dans la prière qu'Il adresse au Père, le Seigneur Jésus dit : "Et c'est ici la vie éternelle, qu'ils te connaissent toi seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ" (Jean 17. 3). Ce passage montre que la capacité de connaître Dieu et son Fils qu'Il a envoyé, est la caractéristique centrale de la vie éternelle. Nous jouissons de cette relation avec Dieu et avec son Fils durant l'éternité, mais déjà maintenant, la possession de la vie éternelle nous rend capables d'avoir communion avec eux.

Caractères de la vie éternelle chez Celui qui a la foi :

Jean mentionne deux caractères concrets résultant de la vie éternelle, qui montrent de façon claire que quelqu'un la possède : c'est l'obéissance et l'amour.
L'obéissance et l'amour, les apôtres les avaient vus dans la vie du Seigneur sur la terre. Il a été obéissant "jusqu'à la mort" (Philippiens 2. 8) et il a aimé les siens "jusqu'à la fin"
(Jean 13. 1). Et parce que nous avons reçu cette même vie, nous avons la capacité de manifester les mêmes caractères (Hébreux 5. 8-9).

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Dieu a réglé la question de nos péchés

22 Avril 2019 Publié dans #Pardon des péchés

"L'Éternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous" (Ésaïe 53. 6)

Comment Dieu a réglé la question de nos péchés ?

C'est Dieu Lui-même qui a fait tomber notre iniquité sur son Fils Jésus-Christ. C'est là le point capital et central de toute la question de nos péchés. Dieu les a mis sur Jésus. Il nous le dit dans sa sainte Parole, afin que nous le sachions selon Son autorité divine – une autorité qui ne peut mentir. Dieu l'a décidé, Dieu l'a réalisé ; tout est de Dieu, du début à la fin.

Nous avons simplement à nous appuyer, comme un petit enfant, sur ce que Dieu nous dit. Comment pouvons-nous savoir que Jésus a porté tous nos péchés en son propre corps sur la croix ?

Exactement par la même autorité affirmant que nos péchés devaient être portés et expié par Jésus. Dans son Amour sans égal, Dieu nous donne l'assurance – à nous tous qui avons péché et qui sommes coupables et méritant l'Enfer éternel. Et cette assurance est que Dieu a Lui-même pris en main toute la question de nos péchés sur la croix où son Fils Jésus fut cloué ; Il l'a réglée d'une manière telle qu'elle produit une riche moisson de gloire pour son propre Nom, et cela à travers le vaste univers, en présence de toutes les créatures.

Mais quel profond mystère que celui de la croix ! Nous y voyons Dieu Lui-même prenant tous nos péchés, selon la connaissance et l'appréciation qu'Il en avait. Nous le voyons les mettre tous sur son Fils Jésus qui était là, pour nous, et qui a eu affaire avec Dieu le Père, à leur sujet. Nous réalisons que toutes les vagues et les flots de la juste Colère de Dieu – qui nous auraient englouti, corps et âme, en Enfer pour l'éternité – sont tombés sur son Fils Jésus. Nous voyons toutes ces vagues de la Colère de Dieu passer sur Jésus qui était là sur la croix pour nous, qui nous représentait devant Dieu, et qui a porté tout ce qui nous était dû. Sur la croix, la Gloire de Dieu fut manifestée : sa sainteté, son éternelle majesté, les hautes exigences de son gouvernement, etc...

Que la louange éternelle soit au seul vrai Dieu de toute grâce ! Au lieu de nous envoyer en Enfer à cause de nos péchés, Dieu a envoyé son Fils pour être la propitiation pour tous nos péchés (1 Jean 4. 10). Et dans le déploiement de ce plan merveilleux de la rédemption, nous voyons le seul Dieu Saint s'occupant de la question de nos péchés, et les jugeant dans la Personne de son Fils bien-aimé, le Fils éternel et l'égal de Dieu, afin que les flots de son Amour fassent déborder nos cœurs.

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(2) La crucifixion de Jésus et sa puissance

19 Avril 2019 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #La croix

Le jour où Jésus le Roi des rois fut crucifié fut un jour d’une grande infamie parce qu’il montre jusqu’à quel point le coeur de l’étre humain est corrompu et qu’il n’a aucune limite à faire le mal. Ce fut un jour infâme parce “que Jésus est venu parmi les siens et que les siens ne l’ont pas reçu” (Jean 1. 11). Si ce fut un jour infâme, c'est parce que Jésus le Créateur fut mis à mort par sa créature. Mais, ce fut quand même un grand jour dans l’histoire de l’humanité parce que ce jour là, la puissance que le péché exerçait sur l’humanité a été vaincu, “ensuite celui qui avait la puissance de la mort, c’est-à-dire le diable, a été réduit à l’impuissance” (Hébreux 2. 14).

2) JÉSUS A SUPPORTÉ LE SUPPLICE DE LA FOULE (Matthieu 27. 35b-44)
Pendant que Jésus supportait le supplice de la croix, ceux qui se trouvaient au Calvaire, ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour augmenter ses souffrances. Les soldats qui l’avaient cloué sur la croix “se partageaient ses vêtements en tirant au sort pour savoir ce que chacun aurait” (Marc 15. 24). “Le peuple se tenait là, et regardait” (Luc 23. 35a). “Les passants l’injuriaient et secouaient la tête, en disant : “hé ! Toi qui détruis le temple, et qui le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, en descendant de la croix!” (Marc.15. 29). “Les magistrats se moquaient de Jésus, disant : il a sauvé les autres, qu’il se sauve lui-même, s’il est le Christ, l’élu de Dieu !” (Luc 23. 35). “Les principaux sacrificateurs aussi, avec les scribes, se moquaient entre eux, et disaient : il a sauvé les autres, et il ne peut pas se sauver lui-même !” (Marc 15. 29). “Les soldats aussi se moquaient de lui; s’approchant et lui présentant du vinaigre, ils disaient : si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même !” (Luc 23. 36). “Les brigands, crucifiés avec lui, l’insultaient de la même manière” (Matthieu 27. 44).
La seule marque de compassion que Jésus a reçu ce jour-là est venue d’un petit groupe de personnes rassemblées au pied de la croix qui attendaient sa mort : Sa mère, sa tante, le disciple bien-aimé, et une femme qu’Il avait libérée de sa vie de péché. Ils étaient tous là pour Lui montrer qu’ils l’aimaient et pour pleurer sa mort.
Pourtant Jésus cloué sur cette croix, n’avait qu’un mot à dire et ses bourreaux auraient disparus de la surface de la terre. Pourtant, il n’a pas répondu à leurs supplices ou à leurs attaques. Lorsque Jésus ouvrit la bouche, ce fut pour prier pour eux et pour demander à son Père de leur pardonner : “Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font” (Luc 23. 34). Quelle grâce Jésus a démontré ! Pourquoi a-t-Il agi ainsi ? Parce qu’Il nous aime d'un amour infini !

3) JÉSUS A SUPPORTÉ LE SUPPLICE DU CONDAMNÉ (Matthieu 27. 45-46)
Lorsque je dis que Jésus a supporté le supplice du condamné, je fais référence à cet événement étonnant qui est survenu pendant les trois heures de ténèbres qu’il y a eu sur toute la terre (Matthieu 27. 45). Je fais référence à cette période de temps où Jésus-Christ le Fils de Dieu est “devenu péché pour nous sur la croix; afin que nous devenions en lui justice de Dieu” (2 Corinthiens 5. 21). Si en désobéissant dans le jardin d'Éden, le premier Adam a ouvert la porte au péché et à la mort à toute l’humanité ; Jésus, le dernier Adam, est devenu péché pour nous et Il fut jugé par Dieu le Père pour nous, car tous nos péchés ont été transférés sur Jésus alors qu’Il était suspendu sur la croix.
Oui, le Seigneur Jésus a apporté le salut et la vie éternelle à tous les êtres humains qui croient en ce qu’Il a accompli sur la croix du Calvaire. En portant tous nos péchés, Dieu a jugé Jésus sur la croix comme s’Il représentait chaque pécheur. Par amour pour chacun de nous, Jésus a payé le prix pour chacun de nous afin que nous puissions être sauvés du châtiment de nos péchés en plaçant toute notre confiance en Lui.

4) LA PUISSANCE DE LA CRUCIFIXION DE JÉSUS (Matthieu 27. 50-54)
4.a) la puissance de la rédemption. (v. 50a)
Lorsque Jésus notre Sauveur poussa son dernier cri sur la croix et rendit l’esprit, Il confirmait ainsi que le rachat avait été obtenu pour tous ceux qui placeraient leur confiance en Lui. Il n’y a pas de plus grandes paroles qui ont été prononcées que celles que Jésus a prononcées juste avant de mourir, lorsqu’Il a dit : “tout est accompli” (Jean 19. 30). A travers sa mort, Jésus a satisfait aux justes exigences de Dieu pour le péché : “car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu c’est la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur” (Romains 6. 23). Jésus a pris la place du coupable devant le trône du Jugement de Dieu et Il a obtenu le rachat des péchés à travers son sang pour tous ceux qui mettraient leur confiance en Lui comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie : “vous savez que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache” (1 Pierre 1. 18-19).
La mort de Jésus sur la croix a satisfait pour toujours la Justice de Dieu : “il est non seulement la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier” (1 Jean 2. 2). “c’est Lui que Dieu a destiné à être par son sang pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire, afin de montrer sa justice” (Romains 3. 25a). Par sa mort sur la croix, Jésus a libéré ceux qui avaient été pris au piège et étaient devenus esclaves du péché. Oui; Jésus nous libère du péché lorsque nous Le recevons par la foi.

4.b) la puissance d’une restauration (v. 50b)
Par la mort de Jésus sur la croix, celui qui croit, voit sa relation rétablit avec Dieu. Par la mort de Jésus, tous ceux qui Le reçoivent par la foi sont justifiés : “ceux qui sont justifiés par le sang de Jésus, ce sont ceux qui sont sauvés par lui de la colère de Dieu” (Romains 5. 9). Le mot justifié signifie, “être déclaré juste, être rendu juste” ou “amener quelqu’un à être ce qu’il devrait être”. Le sang de Jésus accomplit pour nous ce que nous ne pourrons jamais faire par nous-mêmes. Il lave nos péchés et il nous justifie aux yeux de Dieu. C’est le sang de Jésus qui permet à ceux qui placent leur confiance en Lui d’être trouvés dignes d’entrer dans le ciel (Philippiens 3. 9).

4.c) La puissance de réconciliation (v. 51)
Lorsque Jésus est mort sur la croix, il est écrit que le voile du temple s’est déchiré en deux, de haut en bas. Le voile se tenait comme un mur entre le lieu saint et le lieu très saint dans le temple. Derrière ce voile se trouvait l’autel. Le grand prêtre entrait derrière ce voile une fois par année, le jour de l’expiation et il plaçait le sang du sacrifice sur l’autel pour expier les péchés du peuple et réconcilier le peuple avec Dieu. Ce voile rappelait à l’étre humain qu’Il était séparé de Dieu à cause de ses péchés et qu’il était n’était pas digne de s’approcher de Dieu (Esaïe 59. 2).
Cependant, lorsque Jésus est mort sur la croix, ce voile s’est déchiré en deux, signifiant que le chemin pour aller à Dieu avait été ouvert. L’être humain n’avait plus besoin d’être séparé plus longtemps de Dieu à cause de ses péchés. Il peut maintenant se présenter devant Dieu à travers le sang de Jésus qui a coulé sur la croix
(Ephésiens 2. 12-16). Car tous ceux qui reçoivent Jésus comme Sauveur et Seigneur, reçoivent le pardon de leurs péchés et sont réconciliés avec Dieu.

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