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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Un exposé de l'Évangile

30 Juin 2022 Publié dans #EVANGILE

Voici un exposé de l'Évangile, à la portée même des petits enfants qui peuvent le comprendre. Oui, voici en résumé le message de la Bonne Nouvelle de l’Évangile :
- Dieu a créé l’homme et la femme. Il les a créés à Son image.

- Dieu a ordonné à l’homme de dominer sur la terre et sur tout ce qu’elle contient.
- L’homme et la femme ont désobéi à Dieu. Le péché, c’est la désobéissance à la Parole de Dieu. Avec le péché, la maladie et la mort sont entrées dans l’humanité. L’ètre humain s’est alors retrouvé coupé de Dieu, dans un état de mort spirituelle.
- Dieu a décidé de racheter les êtres humains de la condamnation qui pesait sur lui, à cause de leur péché.
- Pour que le péché de l'homme soit racheté, il fallait que Quelqu’un accepte de payer le prix de ce rachat. Tous les êtres humains étant nés dans le péché, aucun être humain pécheur ne pouvait payer le prix du rachat de l’humanité.
- Le péché de l’humanité ne pouvait être racheté que par le sang versé par un Être qui devait être né pur, parfait et sans péché.
- Dieu est Saint. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, S’est incarné dans une chair semblable à la nôtre, mais sans péché. Il a été conçu par le Saint-Esprit d’une manière entièrement miraculeuse. Il est l’image de Dieu, Dieu fait Homme.
- Jésus a vécu une vie exemplaire sur la terre. Il a été le seul à obéir parfaitement à tous les commandements de la Loi de Dieu. Il est aussi le modèle qui nous permet de voir de quelle manière peut vivre un enfant de Dieu entièrement conduit par l’Esprit.
- Jésus fut crucifié, Il a été enseveli dans la tombe, et Il est ressuscité le troisième jour
.

- Sur la croix, Jésus S’est chargé de nos péchés et de nos iniquités, mais aussi de nos maladies et de nos infirmités. Son sang nous purifie de tout péché, et Ses meurtrissures nous guérissent de toute maladie.
- Tous ceux qui se sont repentis de leurs péchés, tous qui croient et qui mettent leur confiance en Jésus-Christ, reçoivent un plein pardon de leurs péchés et la vie éternelle. Dieu les fait passer par une nouvelle naissance spirituelle, qui fait d’eux des enfants de Dieu, de nouvelles créatures en Jésus-Christ. Toutes les choses anciennes sont passées, et toutes choses sont devenues nouvelles

- Dieu veut que tous les êtres humains soient sauvés, guéris et remplis de Son Saint-Esprit. .
- Le baptême d'eau est un symbole extérieur du baptême spirituel intérieur du Saint-Esprit dans notre vie. Ceux qui se convertissent à Jésus-Christ doivent passer par le baptême d’eau par immersion. Celui-ci représente notre mort et notre résurrection en Christ. Notre chair a été crucifiée avec Christ, nous sommes morts en Christ, nous sommes ensevelis avec Lui par le baptême, et nous sommes ressuscités en Lui et avec Lui.
- L’Église de Jésus-Christ n’est pas un bâtiment ni une dénomination. Elle est le Corps vivant de tous ceux qui sont nés de nouveau en Jésus-Christ, qui est la Tête de Son Église.
-
La Bible, qui est la Parole de Dieu, est le message de Dieu adressé à tous les êtres humains. La Bible est avant tout la révélation du seul vrai Dieu de l'Univers. Elle communique aussi la révélation du problème fondamental de l'être humain de tous les âges, de toutes les cultures et sous tous les cieux ; elle dépeint sa situation dans son éloignement de Dieu, à la suite de la chute originelle d'Adam qui a entraîné l'humanité entière dans le péché, la misère et la souffrance.

- Dieu veut que nous soyons des témoins remplis de Son Saint-Esprit. Il donne Son Esprit à ceux qui Le Lui demandent et qui Lui obéissent.
- Dieu veut que nous soyons forts en Lui, et que nous accomplissions les mêmes œuvres que Jésus.
- Dieu veut que nous marchions par l’Esprit Saint et non par la chair. Dès notre conversion, Dieu nous transforme à l’image de Jésus-Christ. Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a prédestinés à être semblables à l’image de Son Fils.
- Dieu veut que nous L’aimions par-dessus tout, et que nous aimions notre prochain comme nous-mêmes. L’amour est l’accomplissement de toute la Loi de Dieu. Seul Jésus-Christ peut nous remplir de l’Amour de Dieu.
- Jésus a promis de venir chercher ceux qui Lui appartiennent, qui L’aiment et qui sont prêts pour Son retour pour qu'ils soient éternellement avec Lui dans Sa gloire. Sans la sanctification, nul ne verra le Seigneur.

- L'Évangile fait connaître à quiconque aura refusé ou négligé de croire à la Bonne Nouvelle du Salut en Jésus-Christ, qu'il aura à comparaître devant le grand trône blanc pour y être jugé et condamné éternellement en Enfer.

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Suivre Jésus-Christ (2)

29 Juin 2022 Publié dans #Divers

Que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » (Matthieu 19.16).

Un homme s’approcha de Jésus et Lui demanda ce qu’il devait faire pour obtenir la vie éternelle. Jésus lui a répondu de respecter les commandements. Le jeune homme Lui demanda lesquels ? Jésus lui répondit : « Tu ne commettras pas de meurtre, tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de vol, tu ne porteras pas de faux témoignage, honore ton père et ta mère et tu aimeras ton prochain comme toi-même ».  Le jeune homme Lui répondit qu’il respectait ces commandements depuis sa jeunesse. Il demanda confiant à Jésus : « Que me manque-t-il encore ? ».  Alors Jésus lui dit « Si tu veux être parfait. Vends ce que tu as, donne-le aux pauvres… puis suis-moi ». En entendant la réponse de Jésus, le jeune homme s’en alla tout triste, car il était riche (Matthieu 19. 16-22).

On peut s’interroger sur le fait que Jésus ait répondu à la question « Que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » par le fait de respecter les commandements. Enfin bref, c’est humainement, le seul moyen de l’obtenir.  Il nous faut les respecter parfaitement sans la moindre erreur. Notons par contre que Jésus ne les a pas tous nommés. Il a volontairement mentionné ceux que le jeune homme appliquait. Nous pouvons douter de sa réponse, mais tout de même le jeune homme savait très bien qu’il lui manquait autre chose et il interrogea Jésus sur ce qui lui manquait encore. C’est alors que le Seigneur lui répond de vendre tout ce qu’il a pour le donner au pauvre et par la suite de Le suivre. Le jeune homme, tout triste s’en alla parce qu’il était riche. Il venait de renoncer à l’éternité en préférant conserver les richesses de cette vie.

L’élément principal de la réponse de Jésus était de Le suivre. Cela représente l’équivalant du premier des dix commandement qui dit : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20. 3). La mise en application de ce commandement fait en sorte que l’on applique l’ensemble de tout les commandements. Le jeune homme riche avait des idoles dans sa vie qu’il ne voulait pas abandonner, particulièrement sa richesse. Cette richesse lui promettait une vie confortable et plaisante. Les idoles sont toujours séduisantes, elles ont la prétention de faire beaucoup sans jamais le faire. Elles sont séduisantes et trompeuses. Suivre Jésus lui aurait permis d’avoir la vie éternelle, l’idolâtrie au contraire l’amène directement vers le Jugement.

"Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent" (Exode 20. 3-5).

À plusieurs reprises, Jésus a invité des gens à Le suivre. Nous sommes tous appelés à répondre à son appel à Le suivre. Les disciples de Jésus font partie de ceux qui ont répondu par l’affirmative à son appel.

Après le départ du jeune homme, Jésus a commenté la situation en affirmant qu’il est difficile à un riche d’entrer dans le royaume des cieux. En entendant cela, ses disciples étonnés dirent : « Qui peut donc être sauvé ? La réponse de Jésus fut : « aux hommes cela est impossible, mais à Dieu tout est possible » (Matthieu 19. 24-26). D’aucune manière, nous ne pouvons obtenir la vie éternelle par nos propres ressources. Peu importe le nombre de bonnes œuvres que nous sommes en mesure de faire, cela n’a aucun impact, car aucune ne peut effacer le premier de nos péchés. Dieu est Saint et dans sa présence même le plus petit péché n’a pas sa place. C’est pour notre part tout à fait impossible de mériter notre éternité ! Heureusement, Jésus dans sa réponse est allé plus loin en affirmant que pour Dieu cela est possible de nous l’accorder. Pour Dieu, tout est possible.

Pierre, prenant la parole au nom de tous les disciples souligne qu’ils avaient tout quitté pour suivre Jésus. Ce que le jeune homme riche a refusé de faire, comme nous l’avons vu. Jésus les rassura en leur promettant qu’à titre d’apôtre, ils seront assis avec Lui sur douze trônes. Et il ajouta que toute personne qui aura quitté à cause de Lui sa maison ou ses frères, ses sœurs, son père, sa mère, sa femme, ses enfants ou ses terres, recevra le centuple et héritera de la vie éternelle (Matthieu 19. 28-29).

"Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17. 3)

Pour nous aujourd’hui, pour obtenir la vie éternelle, il nous faut également suivre Jésus. Il nous faut placer notre foi et nous repentir de nos péchés.    En d’autres mots nous devons abandonner ce qui prend la place de Dieu dans nos vies. Certes, il nous arrivera encore de pécher, mais Dieu usera de sa grâce parce que nous sommes en Christ. Suivre Jésus, c’est également avoir une communion avec Lui, en méditant la Bible et par la prière, nous avons le privilège d’avoir une relation sincère avec le Seigneur, Le laissant nous guider et nous enseigner. Jésus définie la vie éternelle comme étant le fait que l’on connaisse le Père, le seul vrai Dieu, et Celui qu’Il a envoyé, Jésus-Christ (Jean 17. 3).

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Suivre Jésus-Christ (1)

28 Juin 2022 Publié dans #Choix

"Jésus… lui dit : Suis-moi. Et lui, se levant, le suivit" (Matthieu 9. 9).

Saviez-vous que treize fois dans les Évangiles nous retrouvons Jésus s’adressant à des gens afin de les invités à le suivre ? En fait, nous sommes tous invités à faire de même, car Jésus nous a lancé un puissant appel lorsqu’il a dit « Venez à moi vous tous…» (Matthieu 11. 28). Voilà donc une invitation à laquelle nous devons porter une attention des plus particulières.

Dans les Évangiles, nous retrouvons six récits ou cette invitation a été prononcée. Il y eut ce disciple qui voulait mettre son père en terre avant de suivre Jésus. Nous arrive-t-il d’avoir d’autres priorités dans nos vies à tel point de mettre l’appel de Dieu en second. C’est ce que ce disciple désirait faire. Les Évangiles de Luc et Matthieu nous partagent la réponse de Jésus « Laisse les morts ensevelir leurs morts, mais toi, va annoncer le royaume de Dieu. » (Luc 9. 60 ; Matthieu 8. 22).

Jésus l’invitait à prendre part à la plus importante des œuvres : annoncer le Royaume de Dieu. Les Évangélistes ne nous disent pas si ce disciple a choisi de suivre Jésus… par contre nous voyons que Jésus entra dans la barque, et que ses disciples le suivirent (Matthieu 8. 23). Nous pouvons nous demander si ce disciple n’a pas manqué là la possibilité d’œuvrer avec Christ. Voilà l’occasion de s’interroger sur les priorités dans nos vies ! Est-ce que nous avons les mêmes priorités que notre Seigneur Jésus ?

Tous n’ont pas eu la même attitude devant l’appel de Jésus. Il y eut Simon Pierre et son frère André tous deux des pêcheurs de métier qui alors qu’ils mettaient les filets dans la mer furent invités par Jésus à le suivre pour qu’il fasse d’eux des pêcheurs d’hommes. Quelle invitation n’est-ce pas?  Mais qu’ont-ils fait ? Ils laissèrent leurs filets et ils le suivirent (Marc 1. 16-17). Continuant sa marche Jésus croisa deux autres frères Jacques et Jean qui réparaient des filets. Comme avec les deux premiers, Jésus les appela et eux également laissèrent la barque avec leur père et suivirent Jésus (Marc 1. 19-20). Ils ont tous accepté de suivre Jésus. Ils n’ont pas trouvé de raison pour faire attendre le Seigneur.

Après sa résurrection, Jésus a demandé de nouveau à Pierre de le suivre. Pierre se sentait indigne après avoir renié le Seigneur trois fois alors que Jésus était en jugement. Jésus avait choisi Pierre pour qu’il le serve et son pardon demeure malgré ses chutes. C’est la même chose pour chacun de nous. Pierre a de nouveau répondu positivement à l’appel de son maître.     Il a bien tenté de mettre les regards du Seigneur sur Jean, mais il reçu de sa part une réponse qui est également bonne pour chacun de nous, Jésus lui a dit « Que t’importes (Jean), toi suis-moi » (Jean 21.22)

Il y eut également Matthieu aussi connu sous le nom de Lévi, il était assis au bureau des impôts, Jésus le vit et il lui dit « Suis-moi ». Imaginons la réaction de Matthieu, un homme mal aimé du peuple et pour cause puisqu’il pratiquait le métier de collecteur d’impôt. Pourtant, Jésus, le Fils de Dieu, l’invite à le suivre, Jésus n’a pas les mêmes appréhensions que le monde qui nous entoure. Matthieu devant cette invitation se leva et le suivit (Matthieu 9. 9). Par la suite, Jésus s’est retrouvé à la table dans la maison de Matthieu avec des péagers et des gens de mauvaise vie afin de les invités eux également à la repentance (Matthieu 9. 10-13). La réponse positive de Matthieu a eu un impact positif dans la vie de ses amis.

Avez-vous permis à vos amis d’avoir l’occasion de rencontrer Jésus comme Matthieu l’a fait ? Comme vous le savez, Jésus est vivant, Il est toujours actif et depuis la Pentecôte, Il continue à inviter des gens à Le suivre pour proclamer le Royaume de Dieu. En tout lieu, il appelle. Que tu sois au centre d’achat, à l’école ou au travail, Jésus t’appelle. Oui toi ! Quelle est ta réponse à son invitation ? Trouveras-tu des prétextes pour ne pas Lui répondre ou te lèveras-tu pour Le suivre là où Jesus t’appelle ?

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Dieu nous a révélé le mystère de la mort

27 Juin 2022 Publié dans #La mort, #Paradis, #Enfer

Bonjour, j'ai écris cet article en écoutant la prédication du Pasteur Yves Castanou sur "LA RÉALITÉ DE L'AUTRE MONDE", que vous pouvez vous-mêmes aussi prendre le temps d'écouter à partir de la 45ème minute pour plus de précision.

La mort d'un être humain est la séparation entre le corps et l'esprit ; l'esprit quitte le corps, donc il y a une séparation entre le corps physique (naturel) et le corps spirituel. Quand le corps physique meurt, le corps spirituel se réveille dans l'au-delà, dans l'éternité. Mais le lieu où l'esprit de chacun va se réveiller dépend du choix de chaque être humain : soit l'environnement sera BON (dans le lieu de bonheur infini au Ciel, le Paradis), soit l'environnement sera MAUVAIS (dans le lieu de souffrances infinies du séjour des morts, puis en Enfer). Oui, la mort physique n'est pas la fin pour un être humain car son esprit et son âme continuent de vivre consciemment et éternellement dans l'éternité.

Nous êtres humains, nous sommes-nous personnellement préparés pour être sûrs de savoir dans quelle éternité irons-nous après la mort ? : Dans la Gloire de Dieu au Ciel où l'on jouit d'un bonheur infini ; oubien dans les ténèbres du dehors où l'on souffre horriblement ? Si un être humain qui meurt, qui quitte ce monde, est déjà un enfant de Dieu (c'est-à-dire qu'il a déjà reçu Jésus dans son cœur, a mis toute sa confiance en Lui et a reçu le pardon de tous ses péchés), il va directement dans la Gloire de Dieu au Ciel. Par contre, si un être humain qui meurt n'a pas accepté et reçu Jésus dans sa vie ainsi que le pardon de ses péchés, il va directement dans les horribles tourments du séjour des morts, dans les ténèbres.
Nous êtres humains, nous devons bien comprendre que c'est pendant notre vie sur la terre que nous choisissons chacun personnellement notre éternité, et il n'y aura aucune possibilité de seconde chance après la mort. Ceux qui ont placé leur confiance en Jésus pendant leur vie sur la terre ont déjà la Vie Éternelle et leur destinée est dans le bonheur infini au Ciel, au Paradis. Par contre, ceux qui, pendant leur vie sur la terre, ont rejeté ou négligé le parfait Salut que Dieu offre en Jésus seul, après leur mort, c'est dans les horribles tourments de l'Enfer éternel que sera leur destinée sans fin.
Oui, c'est sûr et certain que si pendant notre vie sur la terre, nous avons reçu Jésus et que nous sommes nés de nouveau par l'oeuvre du Saint Esprit en nous, à la mort de notre corps humain, nous irons directement dans la gloire de Dieu au Ciel. Nous verrons Dieu face à face, tel qu'Il est, et nous serons éternellement dans la joie infinie et inexprimable, nous adorerons le seul vrai Dieu d'éternité en éternité dans Sa gloire.

Après la mort des êtres humains, il est impossible pour quiconque de changer de condition ou de lieu d'affectation : c'est soit dans le bonheur éternel au Paradis, soit dans la souffrance éternelle en Enfer.
À la mort physique, chaque âme humaine a droit à une escorte, à un comité d'accueil : "Dans le cas de Lazare (le juste), les anges de Dieu sont venus le prendre, l'escorter et l'amener dans le sein d'Abraham. Dans le cas de l'homme riche (l'injuste), les démons sont venus le prendre, l'escorter et l'amener dans le lieu de tourment" Voir dans (Luc 16 : 19-31).

Il a fallu, pour vaincre LÉGALEMENT la mort, que Dieu envoie son Fils Jésus-Christ qui, en venant volontairement dans ce monde, s'est fait homme. Et vers 33 ans, Jésus fut crucifié et porta tous nos péchés sur Lui, Il subi entièrement sur la croix le châtiment de tous nos péchés et mourut pour nous. Et le troisième jour, Jésus ressuscita.
Après la mort de Jésus sur la croix, pendant que son corps reposait dans le tombeau, Son Esprit qui avait été remis au Père (Luc 23 : 46), est allé publier et proclamer Sa Victoire aux esprits rebelles qui étaient dans le lieu de tourments du séjour des morts (1 Pierre 3 : 18-20). L'Esprit de Jésus y est allé pour récupérer les clefs de la mort et du séjour des morts en leur disant : "le Sacrifice a été accepté, le sang a été versé, la Justice céleste a été accomplie, désormais donnez-moi légalement les clefs de la mort et du séjour des morts". Oui, c'est Jésus-Christ qui maintenant « tient les clefs de la mort et du séjour des morts » (Apocalypse 1. 18b).
Puis, l'Esprit de Jésus est allé dans l'autre coté du séjour des morts (dans le Sein d'Abraham) pour y annoncer une bonne nouvelle (1 Pierre 4 : 6) à tous les croyants en Dieu qui ont vécu avant la Venue et le sacrifice de Jésus sur la croix. Jésus leur dit : "Vous tous les saints et les justes de Dieu qui êtes dans ce lieu temporaire, c'est de moi que vous avez prophétisé ; je suis venu dans le monde et aujourd'hui, mon sang est versé pour vous sur la croix. J'ai accompli le prix qu'il fallait pour satisfaire la Justice céleste. Aujourd'hui, vous êtes OFFICIELLEMENT pardonnés de tous vos péchés, vous êtes réconciliés avec Dieu le Père. À partir d'aujourd'hui, la mort qui vous tenait dans ce lieu temporaire (dans le sein d'Abraham) n'a plus de pouvoir sur vous. AUJOURD'HUI, Je suis venu vous amener dans votre patrie céleste" (voir Éphésiens 4 : 8). Oui ce jour-là, Jésus-Christ a pris tous ceux qui étaient dans le Sein d'Abraham pour les amener dans leur patrie céleste, dans sa Gloire au Ciel.
Désormais depuis ce jour, tous les enfants de Dieu, tous ceux qui meurent en Christ, ne partent plus dans le sein d'Abraham, mais ils vont directement dans la gloire de Dieu au Ciel, dans le Paradis. L'apôtre Paul dit : «... Christ est ma vie, la mort m'est un gain » (Philippiens 1 : 21-23), « nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur (2 Corinthiens 5 : 8). L'apôtre Paul savait avec certitude qu'il irait directement au Paradis auprès de Jésus son Seigneur et Sauveur. Car à son Ascension, Jésus-Christ est entré dans le Ciel, pour y préparer une place pour tous ses rachetés. Jésus nous dit : «
Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi... Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14 : 1, 2).

Après la mort et la résurrection de Jésus, tous ceux qui meurent sans avoir accepté et reçu dans leur vie le parfait Salut que Jésus-Christ leur offrait, continuent toujours d'aller dans le séjour des morts qui est un lieu de tourments. Le jour de leur résurrection aura lieu au Retour de Jésus, et ils seront jugés devant le grand trône blanc pour être éternellement condamnés et jetés dans l'Enfer. Et dans l'Enfer, la souffrance que subiront ceux qui y seront sera horrible et sans fin, aux siècles des siècles.

Nous enfants de Dieu, témoignons de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ à tous. Ayons le désir de partager l'Évangile en toutes occasions et circonstances. Oui, partageons l'Évangile à nos familles, à nos amis, à nos voisins et à chaque fois que nous en avons l'occasion. À travers nos vies, manifestons l'Amour parfait de Dieu autour de nous. Si les êtres humains sont privés de l'Évangile, ils iront dans les terribles tourments de l'Enfer. En sommes-nous vraiment convaincus ?

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Accepter Jésus dans son coeur ?

26 Juin 2022 Publié dans #Divers

"Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé" (Romains 10. 9).

En faisant des recherches dans la Parole de Dieu, nous ne trouvons aucun verset affirmant d’accepter Jésus dans son cœur. Alors pourquoi plusieurs affirment que pour être sauvé, il faut faire cela et cela ? La Bible parle de repentance, de conversion, de confession et de foi en Jésus-Christ, pour être sauvé.

Le message de la Bible n’a jamais été d’accepter Jésus dans son cœur, mais de se détourner du péché par le moyen de la foi en Jésus-Christ. Jésus doit être autant notre Seigneur que notre Sauveur de nos vies. Il ne nous demande pas l’hospitalité mais au contraire c’est Lui Jésus qui nous lance l’invitation de venir à Lui.

L’Évangile ne nous invite pas à accepter Jésus, mais belle et bien de mettre notre foi en Lui, qui par cela nous accepte tel que nous sommes. Mettre notre foi en Jésus signifie de reconnaître l’œuvre de la croix comme unique moyen d’obtenir la communion avec Dieu et cela par la conversion qui prend sa source dans l’acte de repentance.

Sur la croix Jésus a tout accompli, Il a signé un contrat ouvert avec l’humanité. Il a pris sur Lui la conséquence du péché de chacun de ceux qui signeront par la foi l’acte d’imputation de la Justice de Christ en échange de leur péché. Chaque personne a la possibilité d’obtenir la Justice de Dieu, Christ a fait le premier pas. Nous ne pouvons accepter Jésus puisque c’est Lui qui nous ouvre la porte de l’éternité et de la communion avec le Père.

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Le parfait Sauveur de l'humanité

25 Juin 2022 Publié dans #Salut

Jésus Christ est le Sauveur parfait. « Il sauve entièrement ceux qui s'approchent de Dieu par lui » (Hébreux 7. 25). Si quelqu'un nous dit que c'est par des actes ou des oeuvres que l'on gagne son salut, il réduit la portée de l'œuvre de la croix, et il la dépouille de ses vertus. Si le Salut dépendait de ce que nous sommes ou de ce que nous faisons, nous serions inévitablement perdus car sans Dieu, nous sommes incapables de faire le bien que Dieu veut. La paix que nous donne l'Évangile ne repose pas en partie sur l'œuvre de Christ et en partie sur l'œuvre de l'être humain, mais entièrement et uniquement sur l'œuvre de Christ.
Beaucoup de personnes sont comme ce docteur de la loi qui demanda un jour à Jésus : “Que faut-il que je fasse pour hériter de la vie éternelle ?” (Luc 10. 25). L'erreur de l'être humain, même s'il se reconnaît perdu, c'est qu'il veut faire quelque chose pour être sauvé. Il veut participer à son salut, et ne pas le devoir entièrement à un autre. Et c'est vraiment là son erreur.
L'être humain est sauvé exclusivement par le sacrifice de Christ, par sa foi en ce parfait sacrifice accompli par Jésus. La Bible dit que “nous étions morts dans nos fautes, dans nos péchés“  (Éphésiens 2. 5). Un mort peut-il faire quoi que ce soit pour revenir à la vie ? Non, il faut que Celui qui a le pouvoir de donner la vie intervienne. Et nous pouvons remercier Dieu parce qu'il nous a aimés comme nous étions et a envoyé son Fils Jésus pour “chercher et sauver ce qui sont perdu” (Luc 19. 10) dans leurs péchés et leur donner la vie éternelle.
Dieu n'exige rien de nous. Il demande que nous acceptions simplement son pardon de nos péchés par la foi en Jésus Christ.

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Ce que nous perdrions si Jésus n’était pas ressuscité

24 Juin 2022 Publié dans #Résurrection

Bien des choses dans notre vie s'écrouleraient si Jésus n'était pas ressuscité d'entre les morts. Si Jésus n’avait pas vaincu la mort, les chrétiens seraient les personnes les plus malheureuses de la terre, « les plus à plaindre des hommes » (1 Corinthiens 15. 19).
En effet, nous serions alors réduits à vivre :

1. Sans fondement :

Dans le magnifique chapitre du Nouveau Testament consacré à la résurrection (1 Corinthiens 15), l’apôtre Paul déclare : "Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication n’a plus de contenu, et votre foi est sans objet" (1 Corinthiens 15. 14). "Or, si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est une illusion" (1 Corinthiens 15. 17a).

La foi chrétienne est plus qu’une simple spiritualité ou qu’une croyance qui fait du bien. Le mot « foi », dans la Bible, s’apparente davantage à une confiance. Or l’élément déterminant, dans ce cadre, est sans contredit l’objet de la foi ou confiance.

Les chrétiens ont une confiance rationnelle. Même si nous n'avons pas vu de nos propres yeux la Résurrection de notre Sauveur Jésus, nous avons suffisamment de données, sur le plan historique, qui rendent véridique et raisonnable la réalité du tombeau vide.

2. Sans pardon des péchés :

Paul poursuit : "Or, si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est une illusion, et vous êtes encore sous le poids de vos péchés. De plus, ceux qui sont morts unis à Christ sont à jamais perdus. Si c’est seulement pour la vie présente que nous avons mis notre espérance en Christ, nous sommes les plus à plaindre des hommes" (1 Corinthiens 15. 17-19).

Pour Paul, la crucifixion de Christ et sa résurrection sont inséparables. Elles sont toutes deux au cœur de la Bonne Nouvelle (1 Corinthiens 15. 3-7). En ressuscitant Jésus, le Père indique qu’il approuve sa mort sacrificielle, qui rend notre pardon possible.

En outre, saviez-vous que Paul rattachait directement notre « justification » à la résurrection de Christ ? « Il a été livré pour nos fautes, et il est ressuscité pour que nous soyons déclarés justes. » (Romains 4. 25).

3. Sans puissance :

En Éphésiens 1.19a, Paul prie que les chrétiens comprennent « quelle est l’extraordinaire grandeur de la puissance qu’il met en œuvre en notre faveur, à nous qui plaçons notre confiance en lui ».

Or, de quelle puissance parle-t-il ? De celle par laquelle Dieu a ressuscité Christ ! "Cette puissance, en effet, il l’a déployée dans toute sa force en la faisant agir en Christ lorsqu’il l’a ressuscité et l’a fait siéger à sa droite, dans le monde céleste" (Éphésiens 1. 19b-20).

Autre texte énergisant, en particulier quand nous souffrons pour Christ : "C’est ainsi que je pourrai connaître Christ, c’est-à-dire expérimenter la puissance de sa résurrection et avoir part à ses souffrances, en devenant semblable à lui jusque dans sa mort, afin de parvenir, quoi qu’il arrive, à la résurrection" (Philippiens 3. 10-11).

4. Sans espérance :

La résurrection de Christ annonce… la nôtre ! Sans la sienne, l’attente de la nôtre s’évapore. "Car si nous avons été unis à lui par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable à la sienne"(Romains 6. 5).

Voilà seulement quatre des trésors qui nous échapperaient, parmi bien d’autres, si le Père n’avait pas ramené son Fils unique à la vie !

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Le monde selon la Bible (2)

23 Juin 2022 Publié dans #Divers

Le jugement du monde est prononcé, mais son exécution différée : Le monde a manifesté toute son hostilité contre Jésus-Christ le Fils de Dieu, envoyé du Ciel par Dieu son Père ; le monde a rejeté le témoignage de Dieu le Père au sujet de son Fils Jésus. Alors, comme en un dernier appel, la voix de Dieu le Père se fait entendre, proclamant la satisfaction qu’Il a trouvée en son Fils Jésus et la gloire de Sa Personne excellente : « Et je l’ai glorifié, et je le glorifierai de nouveau » (Jean 12 : 28). Jésus a été glorifié au tombeau de Lazare (Jean 11 : 4, 40), Il sera glorifié dans sa propre résurrection (Romains 6 : 4). « Cette voix n’est pas venue pour moi, mais pour vous », dit le Seigneur à la foule (Jean 12 : 30). La présentation du Fils de Dieu au monde a été complète, mais le monde refuse d’accepter le témoignage de Dieu le Père au sujet de son Fils Jésus-Christ, aussi il ne reste pour le monde que le jugement : « Maintenant est le jugement de ce monde » (Jean 12 : 31). En rejetant le Christ Jésus, le monde se condamnait lui-même. Le Jugement sera exécuté plus tard, mais il est déjà prononcé ! Quelle folie par conséquent que de chercher à améliorer ce monde ! En attendant que le Jugement soit exécuté, Dieu y fait annoncer son Évangile pour en retirer tous ceux qui L'acceptent en se tournant vers Jésus-Christ afin d’être sauvés. Car « Jésus s'est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous arracher de l'actuel monde mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père, à qui soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen !» (Galates 1 : 4). Le Seigneur Jésus déclare qu’Il n’est pas venu dans le monde pour le juger mais tout au contraire pour le sauver : « Je ne suis pas venu afin de juger le monde, mais afin de sauver le monde » (Jean 12 : 47, Jean 3 : 17). Le Fils de Dieu a été rejeté et crucifié par le monde qui demeure coupable de ce crime et c’est le motif de son jugement, effectivement prononcé à la croix et dont l’exécution est différée tant que dure le jour de la grâce, pendant lequel le salut est offert à « quiconque croit ».

Le Seigneur Jésus quitte le monde : Le Seigneur Jésus s’adressa à ses disciples seuls, aux « siens » qu’Il va laisser dans ce monde ennemi alors que, pour Lui, « son heure est venue pour passer de ce monde au Père » (Jean 13 : 1). Le monde ne le verra plus, mais ses rachetés, recevant de Lui sa Vie, Vie de résurrection, pourront Le voir dans sa Gloire et jouir éternellement de sa Personne, de Sa glorieuse présence : « Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez ; parce que moi je vis, vous aussi vous vivrez » (Jean 14 : 19).
On sait que le monde s’est tourné vers un autre chef, le Diable qui est le père du mensonge.
Mais après sa mort, sa résurrection et son ascension glorieuse, Jésus-Christ a envoyé ici-bas le Consolateur (le Saint-Esprit), « l’Esprit de vérité, qui procède du Père », et sa présence sur la terre est, pour le monde, une conviction de péché, et de justice, et de jugement : « de péché, parce qu’ils ne croient pas en Jésus ; de justice, parce que Jésus s’en va à son Père, et qu'il ne Le verrai plus ; de jugement, parce que le chef de ce monde (Satan) est jugé » (Jean 15 : 26 ; 16 : 7-11).

Les croyants en Jésus auront de la tribulation dans le monde : Dans ce monde où ils ont maintenant à cheminer, les enfants de Dieu rencontrent des tribulations, précisément parce que ce monde est un lieu où règnent le péché et la mort, une scène de ténèbres morales, le domaine de Satan. Jésus ne leur a-t-Il pas dit : « Vous aurez de la tribulation dans le monde ; mais ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde » (Jean 16 : 33) ?
Nous pouvons ainsi aller en paix, car nous sommes gardés et soutenus par Jésus-Christ le grand Vainqueur du monde, Celui qui a triomphé du monde et de Satan le prince de ce monde. Si ce monde est gouverné suivant des principes opposés à Dieu, quant à Jésus, du commencement à la fin de sa course ici-bas, Il a toujours agi dans l’obéissance à la volonté de Dieu son Père, dans sa dépendance entière. Cette obéissance à Dieu son Père fut constamment la règle de ses actions et Il l’a fait triompher de tous les principes du monde. En ce sens, Jésus a « vaincu le monde ».

Nous enfants de Dieu, Jésus nous appelle à Le suivre dans le même sentier, vivant de la même vie ; nous irons ainsi pleins de courage et d’énergie et, dans ce monde, nous serons alors des vainqueurs et nous pouvons aussi aller sans crainte. De ce monde coupable et déjà jugé, Jésus, dans sa grâce, a sauvé tous ceux qui Le reçoivent comme Seigneur et Sauveur de leur vie. Et Jésus dit : « je ne mettrai point dehors celui qui vient à moi... » (Jean 6 : 37-39). Ceux-là sont encore dans le monde mais ils ne sont pas du monde. C’est pour eux que le Seigneur prie son Père « ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde » (Jean 17 : 6, 9, 11, 14-16).

Le monde n’a pas connu, mais connaîtra un jour : « Le monde ne t’a pas connu », dit Jésus à son Père (Jean 17 : 25). Oui, le monde n’a pas connu Jésus le Fils ainsi que Dieu le Père et il ne pouvait connaître le Père puisqu’il ne connaissait pas le Fils, venu Le révéler. Plus tard même si ça sera trop tard, le monde connaîtra... Il connaîtra que Dieu le Père a envoyé Jésus son Fils et qu’Il nous a aimés, nous ses rachetés, du même amour dont Il aime son Fils (Jean 17 : 23). « Car il est écrit : Je suis vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, Et toute langue donnera gloire à Dieu » (Romains 14 : 11). S'agissant de Jésus-Christ, nous lisons « C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2 : 9-11)

Nous avons vu, à grands traits, ce que l’Évangile selon Jean, nous enseigne au sujet du monde. Que la méditation de ces différents passages nous conduise à mieux réaliser le véritable caractère du monde dans lequel nous avons à cheminer, à y vivre dans une sainte séparation, attachés à Jésus, Celui qui y est venu en grâce, qui y a marché mais pouvait dire en vérité : « Je ne suis pas du monde... ». Puissions-nous manifester, dans nos cœurs d’abord, dans notre marche pratique aussi, que nous ne sommes pas du monde, comme Lui Jésus n’en était pas !

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Le monde selon la Bible (1)

22 Juin 2022 Publié dans #Divers

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, venu dans le monde : L'Évangile nous présente le Fils de Dieu venu dans le monde, venu pour y faire connaître le seul vrai Dieu de l'Univers que jamais personne ne vit. En lisant dans Jean 1 : 1-18, nous voyons que : « Jésus est l'expression de ce que Dieu est, Il est "la Parole de Dieu". Jésus est la Parole qui était "au commencement", affirmation de son existence éternelle ; qui était "avec Dieu", par conséquent Personne distincte ; et qui "était Dieu", donc Lui-même. "Toutes choses furent faites par elle (la Parole, Jésus-Christ), et sans elle pas une seule chose ne fut faite de ce qui a été fait". "Le monde fut fait par lui (Jésus)", et Jésus vint dans le monde, mais "le monde ne l’a pas connu" ». Cette déclaration est faite dès le début de l’Évangile selon Jean. Cependant, c’est à ce monde éloigné de Dieu et en vue du salut du monde que Jean présente Jésus dans son Évangile. Jésus vient dans ce monde comme un don de Dieu au monde et parce que Dieu a aimé le monde : « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16).

Le monde où règne le péché : Ce qui caractérise ce monde, en premier lieu, c’est le péché qui y règne. Il y est entré par la désobéissance du premier homme, Adam. Ainsi, « le monde entier est sous la domination du malin » (1 Jean 5 : 19). En rapport avec ce fait, Jésus est nommé par Jean le baptiseur comme « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1 : 29). Tel est son caractère et cela sans qu’il soit question ici du moment où la chose sera pleinement et complètement réalisée. C'est sur la croix que Jésus, l’Agneau de Dieu, va être immolé et, en vertu de son sacrifice expiatoire, le péché du monde sera ôté.

Un monde perdu : Un autre trait du monde, conséquence du premier, c’est qu’il est perdu. Aussi, c’est d’un Sauveur parfait et sans tâche qu’ont besoin les êtres humains de ce monde. Et c'est Jésus qui est ce parfait Sauveur du monde. « Lui (Jésus Christ) est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour le monde entier » — « Le Père a envoyé le Fils pour être le Sauveur du monde » (1 Jean 2 : 2 ; 4 : 14). Ce salut est offert au monde entier, mais il est seulement la part de « quiconque croit » (Jean 3 : 16, 36 ; Actes 13 : 39).

La haine du monde : Venu sur une scène de péché et parmi des hommes pécheurs, perdus et spirituellement morts, quel accueil le Seigneur Jésus y a-t-Il reçu ? « Le monde ne l’a pas connu » (Jean 1 : 10). Jésus y a été un étranger ; davantage encore, Jésus a été l’objet de la haine de ce monde parce qu’Il rendait témoignage du véritable état du monde. C’est ainsi que Jésus pouvait déclarer : « Le monde ne peut pas vous haïr ; mais il me hait, parce que moi je rends témoignage de lui que ses œuvres sont mauvaises » et, plus tard, Il dira encore : « Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui serait sien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, mais que moi je vous ai choisis du monde, à cause de cela, le monde vous hait » (Jean 7 : 7 ; 15 : 18, 19).

La lumière du monde, c'est le Seigneur Jésus, puis les croyants en Jésus.
Aveuglé, ce monde ne « reconnaît » pas Jésus, Celui qui est venu pour ôter son péché, assurer son salut, lui apporter la vie. Le monde est plongé dans les ténèbres morales les plus profondes, ne discernant pas en Jésus Celui qui est « la lumière du monde ». Pourtant, Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ». Et Jésus dira encore : « Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde » (Jean 8 : 12 ; 9 : 5). Jésus était venu ici-bas comme étant la lumière, afin de manifester ce qu’il y a dans le cœur de l’être humain mais aussi pour apporter la vie, car « la vie était la lumière des hommes » (Jean 1 : 4). Rejeté par ce monde, crucifié, ressuscité et monté au Ciel, les croyants en Jésus (les enfants de Dieu) sont appelés à faire face à la responsabilité qui leur incombe comme étant « la lumière du monde » (Matthieu 5 : 14). Ils ne le peuvent que dans la mesure où ils réalisent pratiquement qu’ils sont « lumière dans le Seigneur » (Éphésiens 5 : 8).

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Le Message de l’Évangile apporté par Jésus-Christ

21 Juin 2022 Publié dans #EVANGILE

L’Évangile de Jésus Christ, voilà la raison d’être de toute la Parole de Dieu. Mais pourquoi donc ? Parce nous en avons sincèrement de besoin. L’Évangile signifie « bonne nouvelle ». Nous pouvons donc remplacer l’expression Évangile de Jésus Christ par Bonne Nouvelle. Si nous avons besoin d’une bonne nouvelle, c’est parce que nous sommes aux prises avec une mauvaise nouvelle qui se nomme notre nature pécheresse ainsi que des conséquences qui l’accompagnent.  Le péché est une maladie mortelle, c’est ce que Paul affirme. Nous sommes tous pécheurs et le salaire du péché c’est la mort (Romains 3. 23 ; 6. 23).

L’état pécheur n’a pas été toujours présent. Nous remarquerons que suite à la création, Dieu la considéra et il trouva que cela était très bon (Genèse 1. 31). En plaçant Adam et Ève dans le jardin d’Éden, Dieu leur a dit : « quant à l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras point ; car au jour où tu en mangeras, certainement tu mourras » (Genèse 2. 17). Ce fut donc par la désobéissance à cet unique commandement que le péché et sa conséquence firent leurs entrées dans l’histoire de l’humanité. A ce moment-là, Il y a eu alors deux types de mort qui ont suivi, la mort spirituelle, c’est-à-dire la mise à la porte du jardin d’Éden et de la communion avec Dieu ainsi que la mort physique qui arriva plus tard.

Depuis lors, chaque personne qui naît dans ce monde est assurée de connaitre la mort, car nous sommes tous pécheurs et privé de la gloire de Dieu (Romains 3. 23). Si cette mort n’était que la fin de la vie et suivit du néant, ce ne serait pas si pire, mais en fait Jésus parle de peines éternelles (Matthieu 25. 46)

Le message de Jésus est très clair, il y aura un jour de jugement ou d’un côté, nous retrouvons ceux à qui il dira « possédez en héritage le royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde » ; et aux autres il dira « retirez-vous de moi, maudits, et allez au feu éternel » (Matthieu 25. 34 et 41).

Face à une telle situation, une si mauvaise nouvelle, nous convenons que nous avons véritablement besoin de la Bonne Nouvelle de Jésus Christ. Car il est certain que nous connaitrons tous la mort et passerons tous en jugement. C’est pour cette raison que Christ a offert sa vie pour être offerte une fois pour ôter les péchés de plusieurs (Hébreux 9. 27-28).

Nous pouvons donc nous interroger quant à la manière d’être de ceux qui bénéficient de la clémence de Dieu. Ne nous trompons pas, ce ne sont pas tous ceux qui diront « Seigneur, Seigneur » qui entreront dans le royaume de Dieu (Matthieu 7. 22). Seuls ceux que le Seigneur aura connus connaitront la Vie Éternelle.

Pour bénéficier du salut disponible en Christ, il faut mettre sa foi en Lui. Cela veut dire Le reconnaître à titre de Seigneur et Sauveur (Romains 10. 9). D’accepter l’invitation de Jésus d’avoir la communion avec Lui (Apocalypse 3. 20), car c’est le type de relation que Dieu désire entre Lui et sa création. Ésaïe a affirmé que la main de l’Éternel n’est pas trop courte pour nous délivrer ni son oreille trop pesante pour nous entendre. Ce sont nos péchés qui ont mis une séparation entre Lui et nous (Ésaïe 59. 1-2). L’Évangile de Christ est tel que décrit par l’apôtre Paul, c’est la puissance (dynamite) de Dieu pour notre Salut (Romains 1. 16).

Alors, mettons notre foi en Jésus et choisissons de marcher dans ses voies en délaissant le péché. Et si nous tombons, nous savons que Jésus est en mesure de nous redresser et de nous affermir. Sentons et voyons comment Dieu est grand, combien Il est bon pour nous.

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