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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

La miséricorde de Dieu

31 Juillet 2021 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

"Je veux miséricorde et non pas sacrifice ; car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs" (Matthieu 9. 13).

“Je veux miséricorde et non pas sacrifice” : tel est le témoignage plein de grâce de Dieu pour l'être humain. Il désigne ainsi clairement le seul moyen par lequel Dieu peut rendre l'être humain heureux et le délivrer de la condamnation éternelle : c'est d'avoir compassion de lui dans sa misère et ses péchés en lui offrant un salut complet et éternel sans argent et sans prix. C'est la liberté pour celui qui le reçoit. L’Esprit de Dieu en rend témoignage. “Là où est l'Esprit du Seigneur, il y a la liberté” (2 Corinthiens 3. 17), et c’est ce qui seul donne confiance et procure un puissant réconfort. Tout cela vient de Dieu vers le pécheur. “Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous” (Romains 5. 8).

L'état de l'être humain devant Dieu est celui d'un pécheur : “Tous ont péché” (Romains 3. 23). L'être humain est esclave du péché, transgresseur des lois de Dieu, assujetti à la servitude par la crainte de la mort dont Satan a le pouvoir. Il ne connaît rien de la sainte présence de Dieu et il tremble quand il entend dire que le Seigneur Jésus va revenir du Ciel. Nous sommes tous tels par nature. Nous étions perdus ; et Dieu, plein de pitié, nous a vus ; son cœur compatissant s'est tourné vers nous. Dieu savait que le seul moyen de racheter l'être humain et de l'amener dans la liberté et la bénédiction était d'envoyer son propre Fils “en ressemblance de chair de péché” (Romains 8. 3), afin qu'Il fasse l'expiation par sa mort sur la croix. Et dans sa miséricorde infinie, Dieu a accepté de nous faire ce “don inexprimable” (2 Corinthiens 9. 15). Il a donné son unique Fils bien-aimé, “afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16). Ainsi Christ est descendu dans les douleurs et dans la mort de la croix pour élever l'être humain pécheur à la hauteur de la gloire éternelle.

Dieu, dans son Amour, nous a donné son Fils Jésus, Et par Jésus, la paix fut faite. La Justice de Dieu fut satisfaite, ses droits sur nous ne s'exigeront plus.

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Jésus Christ quitta le ciel pour la terre

30 Juillet 2021 Publié dans #La Venue de Jésus, #Salut, #Paradis

La terre, le ciel : deux endroits si différents ! L'une est l'habitation des êtres humains, marquée par leurs luttes, leurs contradictions, leurs élans de fraternité bientôt suivis d'oppositions violentes. Dans l'autre, Dieu le Père et son Fils bien-aimé Jésus-Christ, adorés et servis par une multitude d'anges, jouissent d'un bonheur continuel dans une sphère où règne l'Amour infini. Et c'est cette demeure qu'un jour, Jésus le Fils de Dieu a laissée, en plein accord avec la volonté de son Père. Envoyé par Dieu, Jésus est venu sur une terre où il devait tant souffrir. Dès sa naissance, le monde a déclaré qu'il n'avait pas de place pour lui (Luc 2. 7), et le roi Hérode a voulu le faire mourir. Toute sa vie, Jésus est allé de lieu en lieu, en faisant du bien à tous (Actes 10. 38). Pourtant, Jésus a été méprisé, haï et enfin crucifié par les êtres humains.
Pourquoi Jésus, le Fils de Dieu, a-t-Il choisi un tel chemin ? Manquait-Il quelque chose à son propre bonheur ? Non, mais Jésus voulait introduire les êtres humains dans la plénitude de l'amour céleste. Il voulait amener dans sa présence des hommes et des femmes, coupables mais graciés, pécheurs mais justifiés, capables de comprendre et de partager l'essence même de son être : l'Amour.
Il vaut la peine de contempler cet abaissement volontaire du Fils de Dieu, ses souffrances et sa mort, en vue d'amener “de nombreux fils à la gloire” (Hébreux 2. 10). Nous nous inclinons et nous adorons Jésus-Christ quand nous savons qu'Il quitta le Ciel pour que nous puissions vivre dans sa Gloire éternelle.

Le chemin que le Seigneur Jésus a parcouru du Ciel jusqu'à la terre pour le Salut de nos âmes est merveilleux. Il ne l'a pas fait par contrainte, mais par Amour.
Nous qui croyons vraiment en Jésus et qui sommes les enfants de Dieu, nous ferons bientôt le chemin en sens inverse, emmenés loin d'une terre de souffrances souillée par le péché, vers la glorieuse et sainte demeure de Dieu dans le Ciel. Quel cortège que celui-là !
Jésus Christ, Lui, est descendu du Ciel et il a parfaitement accompli son œuvre qui nous sauve et qui, à travers le Saint-Esprit, nous rend saints à partager sa gloire. Mais ceux qui seront ressuscités dans des corps glorifiés et qui iront à la rencontre du Seigneur Jésus dans les nuées, seront des multitudes innombrables de rachetés, de tous les temps, de tous les pays. Dès lors, nous serons pour toujours avec notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Oh, quel joie immense et infinie, quand nous arriverons au Ciel !

Une question se pose alors maintenant à chaque être humain : - est-ce que je ferai partie de ce cortège des bienheureux ? Cette question en soulève d'autres. - Est-ce que, personnellement, j'ai cru au parfait sacrifice de Jésus et à sa résurrection pour être lavé de tous mes péchés ? Le croire, c'est recevoir la robe de justice pour entrer dans la maison de Dieu le Père avec Jésus-Christ.
Jésus Lui-même nous demande d'être prêts, de l'attendre. Il va revenir. Un jour, l'accès au Ciel sera fermé (Matthieu 25. 10). Il sera alors trop tard, et celui qui n'aura pas cru et mis sa confiance en Jésus entendra sa condamnation de la bouche même de Jésus : “Je ne vous connais pas”… “Allez-vous-en loin de moi” (v. 12, 41).
Dieu ne veut cela pour personne. Aujourd'hui encore, la croix de Jésus-Christ nous rappelle qu'Il est mort pour nos péchés. Mais Jésus est aussi ressuscité et Il justifie celui qui croit en Lui par la foi.

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Le Nom de Jesus-Christ

29 Juillet 2021 Publié dans #Divers

« Ton nom est un parfum répandu » (Cantique des Cantiques 1. 3). Tel est pour le racheté le Nom de Jésus. Le simple fait de Le prononcer devrait faire tressaillir nos cœurs d’une sainte joie.

Oh Jésus ! que ton nom pour une âme fidèle, est grand et précieux ! Quel amour, quels bienfaits, quelle grâce il rappelle, Quel salut glorieux !

1 - La question d’Agur. Le Nom dans l’Ancien Testament

La question que posait Agur, il y a bien des siècles, en évoquant la puissance créatrice de Dieu, ne manque pas de retenir notre attention : « Qui est monté dans les cieux, et qui en est descendu ?… Quel est son nom, et quel est le nom de son Fils, si tu le sais ? » (Proverbes 30. 4).

Dans l’Ancien Testament, Dieu — Élohim, le Créateur — fait connaître son Nom à Moïse : l’Éternel, JE SUIS. « C’est là mon Nom éternellement » (Exode 3. 14, 15). Le mystère des personnes divines n’a pas été révélé avant que la Parole devienne chair, bien que des allusions y soient faites : « J’étais alors à côté de lui son nourrisson, j’étais ses délices tous les jours, toujours en joie devant lui » (Proverbes 8. 30).

L’Envoyé, l’Ange de l’Éternel, apparaît parfois un moment, mais il ne communique pas son nom (Juges 13. 18).

Quand le prophète Ésaïe annonce la venue de l’enfant qui naîtra d’une vierge, nous apprenons qu’en Lui, Dieu sera présent : son Nom sera Emmanuel, Dieu avec nous (Ésaie 7. 14 ; 8. 8) ; puis quelques-uns de ses titres divins sont donnés (Esaie 9. 6, 7).

Les noms de quelques anges ont été dévoilés, tels Gabriel et Michaël (Daniel 9. 21 ; 10. 13). Le Fils était infiniment au-dessus de tous. Il était le Créateur, et les autres étaient ses créatures. Il n’avait pas d’autre Nom que celui de l’Éternel, Dieu.

2 - Le Nom de Jésus ici-bas

Lorsque le Fils de Dieu a été « fait à la ressemblance des hommes, a été fait Homme » (Philipiens 2. 7, 8), selon sa parfaite humanité, Dieu Lui-même Lui a donné un Nom. Ni Joseph, ni Marie, ni personne ne pouvait le faire.

Il fallait que ce Nom témoigne de ce qu’il est, éternellement, et de l’œuvre qu’il allait accomplir. Aussi Dieu envoya-t-il un ange à Joseph et à Marie pour dire à l’un et à l’autre : « Tu appelleras son nom Jésus », c’est-à-dire : L’Éternel Sauveur, « car c’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés » (Matthieu 1. 21 ; Luc 1. 31).

C’est sous ce Nom de Jésus qu’il a vécu ici-bas et qu’il a été crucifié. « Ils placèrent au-dessus de sa tête son accusation écrite : Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs » (Matthieu 27. 37).

Plus tard, s’adressant à Anne, à Caïphe et aux anciens à Jérusalem, Pierre leur dira : « Jésus-Christ le Nazaréen, que vous, vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité d’entre les morts… Il n’y a de salut en aucun autre ; car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel nous devons être sauvés » (Actes 4. 10-12).

 3 - Le Nom de Jésus homme glorifié

Durant quarante jours après sa résurrection, Jésus a été vu par les apôtres et aussi par « plus de cinq cents frères à la fois » (1 Corinthiens 15. 5-7), puis « il fut élevé au Ciel » (Actes 1. 2, 3). « Il fut élevé de la terre, et comme ils regardaient, une nuée le cacha et l’emporta de devant leurs yeux » (Actes 1. 9).

Voilà la réponse à la question d’Agur : « Qui est monté dans les cieux, et qui en est descendu ? » (Proverbes 30. 4).

C’est ainsi que Paul écrit aux Éphésiens : « Celui qui est descendu est le même que celui qui est aussi monté au-dessus de tous les cieux » (Éphesiens 4. 10). « Jésus est entré comme précurseur pour nous » (Hébreux 6. 20).

Il y a donc maintenant Jésus, Dieu fait Homme, dans la Gloire. Il porte le precieux Nom qu’il a porté ici-bas. Jesus y est entré selon ses propres mérites ; et nous qui croyons en Lui, nous y entrerons aussi en vertu des siens. Il est là-haut, notre Précurseur. Aussi notre espérance est-elle comme « une ancre de l’âme, sûre et ferme » (Hébreux 6. 19).

Environ quatre ans après la montée de Jésus au Ciel, lorsque « Saul, respirant encore menace et meurtre contre les disciples du Seigneur », fut arrêté sur le chemin de Damas, « étant tombé par terre, il entendit une voix qui lui disait : Saul ! Saul ! pourquoi me persécutes-tu ? Et il dit : Qui es-tu, Seigneur ? Et il dit : Je suis Jésus que tu persécutes » (Actes 9. 1-5). Il est difficile d’imaginer ce que cette réponse venue du Ciel, accompagnée d’une lumière éclatante comme un éclair, a dû produire dans le cœur de cet homme.

Jésus, le crucifié de Golgotha, celui dont Saul persécutait les disciples, était donc dans le Ciel et Il lui parlait devant des témoins irrécusables qui restèrent interdits.

 4 - Le Nom de Jésus qui n’est pas oublié. Le souvenir de son Nom.

Le prophète Jérémie avait dénoncé la méchanceté des hommes qui feraient mourir Jésus. « Moi j’étais comme un agneau familier qui est mené à la tuerie ; et je ne savais pas qu’ils faisaient des complots contre moi, disant : … retranchons-le de la terre des vivants, afin qu’on ne se souvienne plus de son nom » (Jérémie 11. 19).

Voilà ce que voulait Satan : faire mourir Jésus et effacer la mémoire de son Nom. Mais le méchant fait une œuvre trompeuse (Proverbes 11. 18) : la mort et la résurrection de Jésus seront un triomphe ; ils seront le salut d’une multitude d’hommes et de femmes qui se souviendront du Nom de Jésus leur Sauveur, jusqu’à ce qu’il revienne pour les chercher et les prendre auprès de Lui. Et en attendant, ils disent : « Le désir de notre âme est après ton nom et après ton souvenir » (Ésaïe 26. 8).

Beaucoup, aujourd’hui encore, répondent au désir que Jésus exprima il y a bientôt deux mille ans, la nuit qu’il fut livré, en instituant la cène et en disant : « Faites ceci en mémoire de moi » (1 Corinthiens 11. 24, 25). Alors, lorsqu'ils seront introduits dans la gloire, ils auront la joie de pouvoir Lui dire : « Je me suis souvenu de ton nom pendant la nuit » de ton absence (Psaumes 119. 55).

 5 - Le Nom de Jésus devant lequel tous se prosterneront

Et ceux qui n’ont pas cru en Jésus le Sauveur, que diront-ils ? Il faut « qu’au nom de Jésus se ploie tout genou des êtres célestes, et terrestres, et infernaux, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2. 10, 11).

Tous les ennemis de Jésus le Sauveur L'ont méprisé, ils se prosterneront alors en tremblant devant Jésus le Juge.

6 - Le Nom de Jésus, Celui qui vient

Le dernier chapitre de l’Apocalypse nous rappelle à trois reprises la venue prochaine — disons imminente — de notre Seigneur, par cette promesse répétée : « Voici, je viens bientôt » (Apocalypse 22. 7, 12, 20) ; et un dernier appel est adressé à celui qui « a soif » de pardon, de paix, de bonheur.

Nous relevons encore dans les dernières lignes des Saintes Écritures cette expression si douce : « Moi, Jésus » (Apocalypse 22. 16)C’est la seconde et la dernière fois que le Seigneur s’appelle de son Nom de Sauveur. C’est ainsi qu’il avait répondu à Saul sur le chemin de Damas : Je suis Jésus.

Jésus, Fils bien-aimé du Père, Qui t’es abaissé jusqu’à nous, Que ton Saint Nom est grand et doux ! À toi, Jésus, nul n’est semblable, Car toi seul es la vérité ; Tout, dans ta Personne adorable, Est amour, grandeur et beauté. Dès ici bas, d’un cœur fidèle, Que nous vivions, Jésus, pour toi, T’offrant toujours, remplis de zèle, l’hommage saint de notre foi !

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Jésus-Christ est le seul Chemin du Salut

28 Juillet 2021 Publié dans #Salut

Lorsque Dieu créa le monde, tout y était parfait. Tout y était bon. Il créa ensuite Adam et Ève, et leur donna leur propre et entière liberté, afin qu’ils puissent choisir de suivre Dieu et de Lui obéir. Mais Adam et Ève furent tentés par Satan de désobéir à Dieu, et péchèrent. Ceci les sépara de Dieu et les empêcha (ainsi que tous ceux qui vinrent après eux, y compris chacun de nous) de pouvoir avoir une relation personnelle et vivante avec Dieu notre Créateur. Dieu est Saint et parfait et ne peut accepter de cohabiter avec le péché. En tant que pécheurs, nous ne pouvions accéder au Ciel par nos propres moyens. Alors Dieu nous offrit un moyen par lequel nous pourrions être réunis avec Lui dans le Ciel. "Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3 : 16). "Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur" (Romains 6 : 23). Jésus est venu sur la terre pour nous montrer le Chemin et mourir pour nos péchés, de sorte que nous n’ayons pas à le faire. Trois jours après Sa mort, Il est ressuscité du tombeau (Romains 4 : 25), prouvant qu’Il est Victorieux sur le péché et la mort. Jésus a établit un pont entre Dieu et les êtres humains pour que nous puissions avoir une relation vivante et personnelle avec Dieu, si seulement nous choisissons de croire en Lui.
"Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ" (Jean 17 : 3). La plupart des gens croient que Dieu existe, même Satan y croit. Mais pour recevoir le Salut, nous devons nous tourner vers Dieu, mettre toute notre confiance en Lui, nous repentir et nous éloigner du péché et Le suivre fidèlement. Nous devons faire confiance à Jésus dans notre vie, dans tout ce que nous possédons et faisons. "Nous sommes justifiés aux yeux de Dieu lorsque nous mettons notre confiance en Jésus-Christ pour le pardon de nos péchés. Et nous pouvons tous être sauvés de cette façon, qu’importe qui nous sommes ou ce que nous avons faits". La Bible nous enseigne qu’il n’y a pas d’autre chemin de Salut en dehors de Jésus-Christ. Jésus dit dans Jean 14 : 6 : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi"
Jésus-Christ est le seul Chemin du Salut parce qu’Il est le seul qui a payé le prix de nos péchés (Romains 6 : 23). Aucune autre religion n’enseigne le caractère grave et sérieux du péché et de ses conséquences. Aucune autre religion n’offre cette Rédemption totale que seul Jésus-Christ peut nous offrir. Aucun autre "fondateur de religion" n’a été Dieu fait homme (1 Jean 1 : 1, 14) – le seul moyen que Dieu a pourvu pour pouvoir payer une dette infinie. Le Fils de Dieu seul pouvait payer pour notre dette, et Il s'est fait homme pour pouvoir mourir pour nous et ressusciter le troisième jour. Le Salut n’est disponible qu’à travers notre foi en Jésus-Christ. "Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4 : 12).

L’histoire de l’humanité dans ses relations avec Dieu est marquée par trois étapes : l’avènement de la loi, l’avènement de la grâce et, dans l’avenir, l’avènement du Christ glorifié. Jésus est le personnage central de l’Histoire : « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 : 6). Il est le chemin qui mène à Dieu le Père, la vérité qui ne change jamais, la vie qui ne prend jamais fin. Il a été – et il est aujourd’hui – l’Espoir donné à toute l’humanité. Il est là pour tous ceux qui se tournent vers lui.

Jésus offre le don de la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui. Il a dit : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16).

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Recevoir le pardon de nos péchés

27 Juillet 2021 Publié dans #Pardon des péchés

“Sachez donc, hommes frères, que c’est par Lui (Jésus) que le pardon des péchés vous est annoncé.” (Actes 13 : 38)

Qu’est-ce que le pardon et pourquoi en avons-nous besoin ?
Le mot “pardonner” veut dire tout effacer, faire table rase, faire grâce, annuler une dette. Lorsque nous faisons du tort à quelqu’un, nous recherchons son pardon afin de rétablir la relation qui a été brisée. Le pardon n’est pas accordé parce qu’un coupable mérite d’être pardonné. Personne ne mérite d’être pardonné. Le pardon est un acte d’amour, de miséricorde et de grâce. Le pardon est une décision de ne garder aucune rancœur envers une personne, malgré ce qu’elle vous a fait.
La Bible nous dit que nous avons tous besoin du pardon de Dieu. Nous avons tous commis des péchés. Écclésiaste 7 : 20 proclame “Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais”. 1 Jean 1 : 8 déclare “Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous”. Tout péché est essentiellement un acte de rébellion contre Dieu (Psaume 51 : 4). En conséquence, nous avons désespérément besoin du pardon de Dieu. Car si nos péchés ne nous sont pas pardonnés, nous en subiront éternellement les conséquences en Enfer
(Matthieu 25 : 46 ; Jean 3 : 36).

Le Pardon – Comment pouvons-nous l’obtenir ?
Heureusement pour nous, Dieu est le Dieu d’amour et de miséricorde – prêt à pardonner nos péchés ! 2 Pierre 3 : 9 nous dit “… Dieu use de patience envers nous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance”. Dieu désire nous pardonner, alors Il nous a donné le seul moyen d’y parvenir.
La seule peine juste et équitable pour nos péchés, c’est la mort. Romains 6 : 23a nous déclare que “le salaire du péché, c’est la mort…”. La mort éternelle est la conséquence que nous méritons pour nos péchés. Mais Dieu, dans Son plan parfait, s’est fait homme en son Fils Jésus-Christ
(Jean 1 : 1, 14). Jésus a volontairement porté tous nos péchés sur Lui et est mort sur la croix, prenant sur Lui la condamnation et la punition que nous méritons (la mort éternelle). 2 Corinthiens 5 : 21 nous enseigne que “Celui qui n’a point connu le péché, Dieu L’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu.” ! Puisqu’Il était Lui-même Dieu Saint, la mort de Jésus, qui a un valeur éternelle, nous a accordé le pardon des péchés. 1 Jean 2 : 2 proclame “Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.” Jésus est ensuite ressuscité, proclamant ainsi sa victoire sur le péché et la mort. Gloire à Dieu, oui par la mort et la résurrection de Jésus-Christ, “… le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.” (Romains 6 : 23b)
Chers lecteurs et lectrices, si ce n'est pas encore le cas, désirez-vous chacun que vos péchés vous soient pardonnés ? Avez-vous un sentiment de culpabilité dont vous n’arrivez pas à vous débarrasser ? Le pardon de vos péchés est disponible si vous êtes prêts à mettre votre foi en Jésus-Christ comme votre Seigneur et Sauveur personnel. Éphésiens 1 : 7 nous dit : “En Lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de Sa grâce”. Jésus a déjà payé notre dette, afin que nous puissions être éternellement pardonnés. Il suffit de demander à Dieu de nous pardonner par Jésus, en croyant que Jésus est mort et ressuscité pour nous offrir ce pardon – et Dieu nous pardonnera ! Jean 3 : 16-17 nous donne ce merveilleux message : “Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé Son Fils dans le monde pour qu’Il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui.”

Le pardon – est-ce vraiment si facile que ça ?
Oui, c’est aussi simple que ça ! On ne peut pas gagner le pardon le Dieu. On ne peut pas acheter le pardon de Dieu. On ne peut que le recevoir, par la foi, à cause de la grâce et la miséricorde de Dieu.

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Le Tribunal de Christ

26 Juillet 2021 Publié dans #Divers

« Il nous faudra tous comparaître devant le tribunal de Christ afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans le corps. » (2 Corinthiens 5. 10)

Beaucoup de chrétiens sont inquiets à la pensée qu’ils devront immanquablement comparaître devant le Tribunal de Christ où tout ce que nous aurons fait, dit ou même pensé durant notre vie sur la terre, que ce soit en bien ou en mal, sera rappelé et mis en lumière devant nos yeux. Infiniment mieux que l’ordinateur le plus puissant du monde et ayant la plus grande capacité de mémoire, chaque parole et chaque action, bonnes et mauvaises, sont enregistrées au Ciel et tout sera révélé lors du Tribunal de Dieu, y compris nos pensées les plus secrètes et ce que nous avons nous-mêmes oublié.

Jésus dit à ses disciples : « Il n'y a rien de couvert qui ne sera révélé, ni rien de secret qui ne sera connu. C'est pourquoi tout ce que vous avez dit dans les ténèbres sera entendu dans la lumière, et ce dont vous avez parlé à l'oreille dans les chambres sera proclamé sur les toits. » (Luc 12. 2-3)

Le Tribunal de Christ doit-il nous effrayer ?

Cette pensée que tout sera mis en lumière doit-elle être un sujet de frayeur ?

Absolument pour celui qui ne possède pas Jésus comme son Sauveur. Il comparaîtra plus tard devant le Grand Trône Blanc où il sera jugé selon ses œuvres (Apocalypse 20. 11 à 15). Ce sera pour lui la honte et l’évidence du juste châtiment mérité.

Tandis que le vrai croyant en Jésus ne comparaîtra pas devant le Grand Trône Blanc, mais devant le Tribunal de Christ. Quand l’apôtre Paul écrit : « Il nous faudra TOUS comparaître devant le tribunal de Christ… », il s’adresse exclusivement aux croyants.

Remarquons qu’il s’agit d’une comparution (ou d’une présentation) et non d’un jugement.

Rappelons ce qu’est un tribunal : c’est un lieu où siègent un ou plusieurs magistrats. Le juge peut condamner ou acquitter. Au Tribunal de Christ, ce sera Jésus le Juge suprême qui a dit expressément, lorsqu’il était sur la terre : « En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24)

« Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ » (Romains 8. 1)

Le croyant en Jésus ne viendra donc jamais en jugement, que ce soit à cause de sa nature mauvaise ou à cause de ses péchés parce que Celui qui sera le Juge suprême à qui toute autorité a été donnée dans le ciel et sur la terre (Matthieu 28. 18) est venu, il y a 2000 ans, sur la terre pour prendre sur Lui le Jugement que nous méritions tous et subir à notre place la condamnation. Le châtiment que méritent nos fautes a déjà été porté par Jésus Christ, le Sauveur. Victime expiatoire, sur la croix, « Il a lui-même porté nos péchés en son corps sur le bois » (1 Pierre 2. 24). Celui qui n'a pas connu le péché, a été fait péché pour nous, afin que nous devenions, en Lui, justes aux yeux de Dieu. (2 Corinthiens 5. 21) de sorte qu’il acquitte sans jugement ceux pour lesquels il est mort. Nous avons la certitude qu'il n'y a aucune condamnation pour nous, croyants, ni maintenant, ni dans l'avenir.

Pourquoi donc comparaîtrons-nous devant le Tribunal de Christ ?

Pourquoi donc comparaîtrons-nous devant le tribunal de Christ si, pour nous, croyants, il n’y aura ni jugement, ni condamnation ?

Tout sera mis en lumière. Comme un film projeté sur un grand écran, notre vie tout entière s'y déroulera, sans aucune coupure, dans la pleine lumière de Dieu, révélant tout ce que nous aurons fait soit bien, soit mal et nous recevrons soit gain, soit perte (non pas une punition, mais une perte de récompense). Rien ne sera oublié : Même un verre d’eau froide donné en qualité de disciple sera récompensé (Matthieu 10. 42)

La pensée du tribunal ne doit pas effrayer le croyant en Jésus parce que le Juge qui y siégera est son Seigneur et Sauveur. Nous réaliserons la gravité du péché, mais en même temps l’immensité de l’Amour divin. Toutes nos actions, nos paroles, nos pensées, positives et négatives nous seront rappelées, mais en même temps et par-dessus tout, l’immense grâce de Dieu qui a tout pardonné et qui a fait de nous ses enfants bien-aimés pour l’éternité. A l’issue de notre comparution devant le Tribunal de Christ, pour nous, il ne restera place que pour le sentiment inexprimable de la grandeur de sa grâce, source d'une adoration éternelle.

On peut imaginer ce que le Seigneur Jésus  nous dira lors de son tribunal :

- pour le bien que nous aurons pratiqué : « C'est bien, bon et fidèle serviteur ! Tu as été fidèle en peu de chose, je t'établirai sur beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. » (Matthieu 25. 21 et 23)

- pour le mal : « Vois comme j’ai souffert pour expier ton péché et que tu puisses être pardonné ! »

Inquiet pour notre réputation auprès des autres ?

Il reste peut-être encore une inquiétude chez certains croyants : Quand tout sera dévoilé, les mauvaises pensées comme les mauvaises actions cachées dont personne n’a connaissance, quelle honte et quelle confusion vis-à-vis des autres !

Relisons bien le verset : « Il nous faudra tous comparaître devant le tribunal de Christ afin que CHACUN reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans le corps » et en Romains 14. 12, l’apôtre Paul écrit : « Ainsi, CHACUN de nous rendra compte POUR LUI MÊME à DIEU. »

Je rendrai compte pour moi-même (et non pour les autres) à Dieu (et non aux autres), à Dieu qui connaît déjà tout, son but étant de me faire réaliser l’immensité de sa grâce qui m’a pardonné en vertu du sacrifice expiatoire de Jésus à la croix.

Le tribunal de Christ est en fait le lieu et le moment de la distribution des récompenses.

La Bible se termine avec cette promesse du Seigneur Jésus :

« Voici, je viens bientôt et ma récompense est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. » (Apocalypse 22 v.12)

 

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Le Grand Tr0ne Blanc

25 Juillet 2021

Un jour, chacun sera mis en présence du tableau de ses propres actions peintes sur la toile de sa vie. Si les taches sombres ne sont pas effacées aujourd’hui, quelle frayeur sera la part du pécheur devant le Tribunal de Dieu ! Le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse, nous annonce que sur un Grand Trône Blanc siégera un Homme : Jésus, le Fils de Dieu. Les morts, les grands et les petits, se tiendront devant ce trône et seront jugés selon leurs œuvres. Et la mer rendra les morts qui sont en elle ; et la mort et le séjour des morts rendront les morts qui sont en eux et chacun sera jugé selon ses œuvres. (Apocalypse 20 v.12-13)

Je devine ce que le lecteur peut penser, arrivé à ce stade de la lecture : c’est terrible ! En effet, « c’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ! » (Hébreux 10 v.31). Mais n’abandonnez pas votre lecture et veuillez lire ce message jusqu’au bout, car nous avons une bonne nouvelle à vous annoncer : Celui qui sera assis comme Juge sur le grand trône blanc veut être maintenant votre Sauveur.

C’est pour cela que, il y a environ 2000 ans, Jésus le Fils de Dieu est venu sur la terre en se faisant Homme, qu’il est mort sur une croix, subissant le Jugement divin et la condamnation que nous méritions tous. Sa résurrection est la preuve que le seul Dieu Saint est pleinement satisfait de son œuvre accomplie à la croix. Tout pécheur repentant qui Le reçoit maintenant comme Seigneur et Sauveur a tous ses péchés pardonnés, effacés à tout jamais, par le sang précieux de Jésus-Christ versé sur la croix.

« Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ. » (Romains 8 v.1). Même si les êtres humains pouvaient essayer de blanchir les mauvaises actions par leurs bonnes oeuvres, leurs mauvais actes ne seraient pas effacés pour autant ; tandis que pour tous ceux qui placent totalement leur pleine confiance en Jésus Christ, Dieu Lui-même déclare : « Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés. 

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La croix de Jésus-Christ dans notre vie

24 Juillet 2021 Publié dans #La croix

Je suis crucifié avec Christ, et ce n’est plus moi qui vit, c’est Christ qui vit en moi, ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi (Galates 2 : 20)

Pour nos péchés, Jésus a été crucifié sur la croix au Calvaire, à Golgotha. Le sacrifice de Jésus-Christ à la croix de Golgotha est le plus beau cadeau que Dieu nous a offert. Vous en rendez-vous compte ! Dieu notre Père Céleste nous a offert son Fils unique en sacrifice afin que nous puissions avoir la vie éternelle (Jean 3 : 16), et tout cela par grâce car Dieu nous aime d'un parfait amour. Oui, Dieu nous a offert son Fils Jésus car Il veut que nous soyons tous sauvés et que nous vivions avec Lui pour l'éternité. Il fallait qu’une personne sainte, sans péché, paye pour tous les péchés des êtres humains, et Jésus-Christ est Celui que Dieu a choisi, et Il a obéit à son Père.
« En effet, comme par la désobéissance d’un seul homme, beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par  l’obéissance d’un seul, beaucoup seront rendus justes. Or la loi est intervenue pour que la faute soit amplifiée, mais là où le péché s’est amplifié, la grâce a surabondé. De la sorte, comme le péché a régné avec la mort, ainsi la grâce règne par la justice, pour la vie éternelle par Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 5 : 19-21).
Beaucoup de ceux qui se disent chrétiens savent que Jésus-Christ est mort pour nos péchés, parce qu'on leur a enseigné cela dans les églises, mais combien s’approprient pour eux-mêmes ce parfait sacrifice de Jésus, pour leur propre vie ? Combien ont reçu la révélation de la croix et en connaissent vraiment la signification ?
Dieu veut que nous venions à Lui chaque jour pour une révélation fraîche de l'importance de la croix de Jésus. Cela est merveilleux, plus nous allons vers Lui, plus Dieu nous bénit de sa révélation par le Saint-Esprit. Nous devons chaque jour demander dans notre culte personnel, avec Jésus, qu’il nous révèle un peu plus de la valeur de son sacrifice par le Saint-Esprit. Cela est important. La révélation nous apportera l’amour et le feu pour toucher les personnes qui ne connaissent pas Jésus, Amen.

Rendons-nous compte que le Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, est descendu de son Ciel de gloire, là où Il était avec Dieu son Père, pour venir dans ce monde et être maltraité, flagellé, humilié, et mourir pour nous sur une croix. Mais tout cela, Jésus l’a fait par obéissance à Dieu le Père, car c’est par grâce que Dieu nous a sauvés. Dieu nous aime et veut nous voir vivre libérés de la loi du péché de la mort.

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Jésus-Christ est notre Substitut

23 Juillet 2021 Publié dans #Salut, #Sacrifice de Jésus

En étudiant la nature du salut que Dieu nous accorde en Jésus-Christ, nous découvrons qu'il s'agit en fait d'un transfert dans lequel Jésus apparait comme celui qui prend la place du pécheur afin de subir le châtiment. "Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu" (2 Corinthiens 5. 21).
L'une des grandes réalités de la foi, c'est notre identification avec Christ. L'apôtre Paul le décrit ainsi : "J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi" (Galates 2. 20). Dans sa lettre aux disciples de Rome, Paul a défini la façon dont nous devons nous considérer par rapport à Christ : "Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché; car celui qui est mort est libre du péché. Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus; la mort n’a plus de pouvoir sur lui. Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit. Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ. (Romains 6. 3-11).
Il y a donc entre Jésus-Christ et nous une réalité fondamentale que nous pouvons appeler un transfert réciproque : Il se charge de notre mort au péché, subissant pour nous le jugement et en retour nous sommes revêtus de sa justice et nous recevons sa vie par le moyen de la foi en Lui. Nous devons bien intégrer dans notre pensée le sens et la portée des mots qui affirme cette réalité : "Ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris" (Esaie 53. 4-5).

Considérons cette vérité attentivement, acceptons la et appliquons la à nous mêmes, chacun en particulier ! Chacun de nous pouvons personnellement croire et affirmer avec assurance ces mots que : ce sont NOS souffrances qu'il a portées, c'est de NOS douleurs qu'il s'est chargé, il était blessé pour NOS péchés, brisé pour NOS iniquités.... le châtiment qui NOUS donne la paix est tombé sur lui... et par ses meurtrissures NOUS sommes guéris. Jésus-Christ doit devenir notre Sauveur personnel en qui chacun s'identifie par la foi, comme Lui s'est identifié à chaque pécheur lors de son sacrifice à la croix. Il est devenu péché pour chacun de nous qui croyons en Lui, afin que nous deviennions en Lui justice de Dieu, c'est à dire justifiés, pardonnés, lavés et purifiés de tous nos péchés. "Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu" (2 Corinthiens 5. 21). "Lui qui a porté lui-même NOS péchés en son corps sur le bois, afin que mort aux péchés, NOUS vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel NOUS avons été guéri" (1 Pierre 2. 24). "Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu" (2 Corinthiens 5. 21).
C'est ainsi que notre démarche de foi en Christ nous amènera à vivre en communion (ou union) avec Lui, comme l'écrit l'apôtre Paul : "... être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s’obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi, Ainsi je connaîtrai Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir, si je puis, à la résurrection d’entre les morts" (Philippiens 3. 9-11). Chacun peut donc dire à Christ avec une entière confiance : Mon Seigneur et Mon Sauveur !
L'œuvre expiatoire qui nous sauve de nos péchés a été accomplie par le Seigneur Jésus-Christ à la croix ; cela ne fait aucun doute, toute la Bible témoigne de cette réalité éternelle : "En lui, nous avons la rédemption par son sang, le pardon des fautes selon la richesse de sa grâce" (Ephésiens 1. 7). Ce qui peut troubler certains, c'est la difficulté qu'ils ont à entrer dans ce grand, éternel et merveilleux dessein de Dieu. Un disciple de Jésus, Thomas, a connu cette difficulté de croire en la résurrection de Christ, jusqu'au moment où le Seigneur s'est révélé à lui avec une grande bienveillance. "Jésus dit à Thomas : Avance ici ton doigt, regarde mes mains, avance ta main et mets–la dans mon côté ! Ne sois pas un incroyant, deviens un homme de foi ! Thomas lui répondit : Mon Seigneur, mon Dieu !" (Jean 20. 27).
La foi est le moyen donné par Dieu pour recevoir et garder le salut qui nous est accordé gratuitement en Notre Seigneur Jésus-Christ. Le plus grand message de l'Évangile c'est le message de la Croix de Christ, voir
1 Corinthiens 1. 23-25. La connaissance de Jésus produit la foi en LUI, comme étant notre Sauveur personnel en qui nous avons une pleine confiance pour son secours dans tous nos besoins, dans toutes les choses qui concernent notre vie présente et à venir. "Nous avons tout pleinement en lui" (Colossiens 2. 10). C'est donc à Jésus que nous devons venir, en Lui que nous devons croire, c'est son Nom que nous devons invoquer pour être sauvés, pardonnés de nos péchés, guéris de nos maladies, délivrés du pouvoir du diable et des démons, avoir la vie éternelle, être abreuvés du Saint-Esprit, porter un fruit de justice et de sainteté, être finalement ressuscités et enlevés…
"En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit: Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l’as voulu ainsi. Toutes choses m’ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père; personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger" (Matthieu 11. 25-30).

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Le principe de la Rédemption

22 Juillet 2021 Publié dans #Salut

« Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra » (Matthieu 6. 6).
« Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance » (Jean 10. 10).

Si la notion de vol est particulièrement concrète pour nous dans le domaine matériel (cambriolage, vol à l’arraché, vol de voiture, tout ceci nous parle), l’idée que cela s’applique à notre vie, notre âme, notre cœur, notre esprit, notre destinée est déjà bien plus compliqué à appréhender.

L’idée du Dieu Rédempteur

C’est aussi un rendez-vous avec le Dieu Rédempteur que Jésus nous propose. Une rencontre quotidienne avec celui qui nous rend ce que l’on nous a volé, mais aussi ce que nous avons perdu ou même ce que nous avons abandonné.
L’idée de la rédemption, le mot lui-même signifie : « Celui qui rachète ». On peut appliquer l’idée aussi à la société par exemple : Personne qui apporte une régénération, des valeurs nouvelles, le bien social.
L’idée du Dieu Rédempteur n’est pas nouvelle. Job, qui est l’un des plus anciens textes biblique, met déjà en évidence la foi de cet homme dans le Dieu Rédempteur : « Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu'il se lèvera le dernier sur la terre. » Job 19. 25 et sa foi, c’est que Dieu aura le dernier mot, quand bien même personne sur la terre ne s’y retrouvera, qu’on l’accuserait injustement, il y a un Dieu dans le Ciel, en qui Job met sa confiance, qui tôt ou tard fera éclater la justice, la vérité et l’innocence.

Quels sont les plus grands voleurs sur le plan de la vie ?

Le diable est un voleur, Jésus le décrit ainsi, mais bien au-delà de lui, il y en a d’autres.
Néanmoins, le diable nous vole notre relation avec Dieu, la gloire qui s’attache à la destinée éternelle, notre dignité d’être humain aussi et nous rabaissant au rang de l’animal.
Indéniablement l’un des plus grands voleurs, c’est le péché, lui qui nous ravie notre pureté, notre sainteté, notre innocence, notre capacité à faire le bien. Le péché nous vole notre paix, notre joie en nous en proposant d’autres, de rechange, mais de nettement moins bonne qualité.
Le diable réussit même à nous voler le sens même de la vie ; « le salaire du péché, c’est la mort » alors que nous sommes faits pour vivre éternellement. Le péché nous dérobe notre espérance de vie par des passions dévorantes et destructrices (alcool, tabac, drogue, sexe débridé, jeux etc).
La maladie est un terrible et implacable voleur, par définition, elle nous vole notre santé, notre bonheur, notre paix et notre avenir. La maladie ne nous laisse pas grand chose après qu’elle soit passée par chez nous.
La vie est aussi une voleuse ; elle nous ment d’abord pour mieux nous ruiner à la fin. Elle nous laisse croire à des chimères, puis la vieillesse s’empare de nous et nous laisse sans rien, avec nos regrets et notre amertume, trompés que nous sommes par cette voleuse hors pair.
La religion est une voleuse incroyable qui arrive à force de stratégie, de stratagèmes, de discours éloquents nous convaincre que nous avons besoin d’elle beaucoup plus que de Dieu dont pourtant elle se réclame. A la fin nous sommes pillés, nus, sans rien pour entrer dans l’éternité. Les vraies valeurs ont disparu, il nous reste le menu fretin.
Les autres sont des voleurs : ceux qui violent sont des voleurs d’innocence ; ceux qui quittent sans explication sont des voleurs ; des parents ou des adultes avec des mots terribles pour l’enfant lui volent sa confiance en soi, sa joie de vivre, son assurance. Ceux qui trahissent sont des voleurs de confiance.

Jésus nous fixe un rendez-vous avec le Dieu qui nous rend tout ce qu’on nous a volé.

Même si encore une fois dans ce « te le rendra » de l’Évangile il y a beaucoup plus que l’idée de rendre ce qu’on a volé. Pourtant cela en fait partie.
C’est important de savoir que Dieu n’est pas un voleur lui, il n’entre chez personne par effraction, ni de manière cachée, il frappa à la porte de notre vie. Et qui plus est, il se propose, pendant que nous lui parlons, d’agir dans ce temps précis pour nous rendre ce qui nous appartient.
Il nous a donné Jésus le Rédempteur pour cela. Lui va dans le cap de l’adversaire, il va là où le voleur a caché ce qu’il nous a dérobé pour nous le ramener. Croyons-nous en cette réalité évangélique, biblique, spirituelle ?
Rencontrer Dieu, le Dieu rédempteur, c’est rencontrer celui qui va nous rendre l’espoir, nous rendre la sérénité, nous rendre la bonne image de soi, la confiance en soi, la joie de vivre, la paix du cœur, la santé s’il le faut. Voilà pourquoi rencontrer Dieu quotidiennement n’a rien d’anodin loin ne s’en faut.
Il n’est pas question de dévotions religieuses, mais du sens même de la vie. Qu’est-ce qu’on vous a volé ? Qu’est-ce que vous avez perdu ? Qu’est-ce que vous avez abandonné et que vous aimeriez retrouver ? Adressez-vous au Dieu rédempteur, à Jésus de Nazareth.

Conclusion : retrouvez ce que l’on nous a pris, c’est souvent un beau rêve, une utopie, réservée aux poètes. Mais Jésus nous dit que ce n’est pas le cas, avec le Dieu de l’Évangile le principe de la rédemption est encore actif aujourd’hui. Mettrez-vous votre foi dans le Dieu Dieu Rédempteur ?

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