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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Qu’est-ce que la repentance pour la vie et le salut ?

28 Février 2022 Publié dans #Salut

La repentance qui mène à la vie est un don de Dieu par lequel le pécheur confesse son péché et s’en détourne afin de se tourner vers Christ pour le suivre dans l’obéissance. (Actes 26. 20).

Le fait que repentance et foi soient traitées séparément par la confession peut donner l’impression qu’elles apportent des grâces séparées. D’un côté il y aurait la foi qui sauve et de l’autre la repentance pour la vie et le salut, comme s’il s’agissait de bénédictions distinctes. En réalité, ces expressions réfèrent à la même chose : le salut et la vie éternelle en Jésus-Christ.

De plus, l’ordre dans lequel foi et repentance sont traitées ne signifie pas qu’il existe un ordre chronologique dans leur manifestation puisque, sans être identiques, elles sont simultanées (Matthieu 21. 32 ; Marc 1. 15). Maintenant que nous avons examiné la foi qui sauve, voyons comment la confession présente la repentance pour la vie et le salut.

Cette repentance salutaire est une grâce évangélique, par laquelle une personne, rendue sensible par le Saint-Esprit à la grande méchanceté de ses péchés, par la foi en Christ, s’en humilie, dans une tristesse qui vient de Dieu, une haine pour ces péchés et une extrême aversion de soi, priant pour le pardon, la force et la grâce, avec la résolution et la détermination de marcher devant Dieu, de façon qui lui soit agréable en toutes choses.

Tout comme la foi, la repentance qui conduit au Salut est un don de Dieu, une grâce évangélique. C’est par le Saint-Esprit qu’une personne est rendue sensible à sa propre méchanceté. Puis elle déclare que la tristesse du pécheur repentant vient de Dieu. Les Saintes Écritures confirment cette doctrine de la repentance comme un don de Dieu. Par exemple, le prophète Jérémie écrit, dans ses lamentations : « Fais-nous revenir vers toi, ô Éternel, et nous reviendrons ! » (Lamentations de Jérémie 5. 21). Le verbe revenir signifie ici repentir. Le prophète Zacharie annonce aussi que c’est Dieu qui suscitera la repentance de son peuple :« Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né » (Zacharie 12. 10).

Cet « esprit de grâce et de supplication » ne fut pas uniquement répandu sur les fils d’Israël, mais également sur les gentils à l’extérieur du peuple de Dieu. Les Actes des Apôtres nous rapportent ce don de la grâce divine aux non-juifs : « Dieu a donc accordé la repentance aussi aux païens, afin qu’ils aient la vie » (Actes 11. 18). C’est de ce verset que vient l’expression « la repentance pour la vie » utilisée dans la confession de foi qui a été jointe à l’expression « repentance à salut » que nous retrouvons en 2 Corinthiens 7. 10. Ailleurs, Paul déclare qu’une telle repentance est un pur don puisqu’un serviteur du Seigneur « doit redresser avec douceur les adversaires, dans l’espérance que Dieu leur donnera la repentance pour arriver à la connaissance de la vérité » (2 Timothée 2. 25).

Le fait que l’apôtre parle ici des « adversaires » nous indique pourquoi la repentance doit nécessairement être un don : puisque l’être humain naturel est un adversaire qui ne perçoit pas son état de péché, ni la gravité de ses transgressions (Ésaïe 44. 18-20 ; Romains 7. 9 ; 1 Corinthiens 2. 14 ; Éphésiens 2. 1, 4. 18). Puisqu’il est spirituellement aveugle et mort dans son péché, la repentance doit nécessairement lui venir comme un don et une grâce. Une fois régénéré, l’être humain perçoit alors sa pauvreté spirituelle, il invoque le Nom du Seigneur en se repentant et celui-ci le déclare heureux en le faisant héritier de son royaume (Matthieu 5. 3).

Maintenant, à quoi ressemble cette repentance que Dieu donne aux croyants ? La confession la décrit en deux temps. Premièrement, elle est une haine pour son propre péché et une aversion de soi (Ézéchiel 36. 31 ; 2 Corinthiens 7. 11). Nous pouvons décrire cet aspect de la repentance avec quatre mots clés qui commencent tous par la lettre R, tout comme le mot repentance. Il y a d’abord la reconnaissance de son propre péché (Psaume 51. 5-6). Ensuite, il y a le regret de son péché (Luc 18. 13). La repentance se poursuit dans le rejet du péché (Ésaïe 55. 7 ; Jean 8. 11). Et finalement, lorsque cela est possible, il y a la réparation du péché (Luc 19. 8).

Deuxièmement, puisque la repentance qui vient de Dieu est un changement de direction, elle vient avec un désir positif de plaire à Dieu en plus de l’abandon de ce qui lui déplaît. L’âme repentante cherchera non seulement le pardon de Dieu, mais aussi la force et la grâce de marcher résolument devant Dieu en Lui étant agréable (Psaume 119. 134 ; Éphésiens 5. 8-11 ; Colossiens 1. 10). Ces deux aspects, négatif et positif, constituent ce que nous appelons « une repentance crédible » et que l’Écriture désigne en parlant « du fruit digne de la repentance » (Matthieu 3. 8) et de « la pratique d’œuvres dignes de la repentance » (Actes 26. 20).

Une telle repentance ne mène pas au désespoir, mais à la vie et au salut. Ceci devient évident lorsqu’on compare l’exemple de Judas et celui de Pierre. Tous deux ont trahi Jésus, tous deux ont éprouvé une honte profonde et une aversion pour leur péché, mais Pierre seul s’est repenti tandis que Judas s’est suicidé. Nous voyons ici que la véritable repentance est distincte du simple regret, même si celui-ci va jusqu’au désespoir, puisque la repentance n’est pas seule : elle est accompagnée par la foi en la grâce et la miséricorde de Dieu. L’âme véritablement repentante ne cherche pas à imposer à Dieu les conditions de restauration ou à fixer le sacrifice nécessaire pour l’expiation. Non ! L’âme repentante envers Dieu se soumet aux termes qu’il a Lui-même fixés et dans le cas présent cela signifie accueillir l’Évangile. C’est pourquoi celui qui se repent vraiment ne peut pas rejeter la grâce de Dieu ; il s’en saisit et sa foi en l’Évangile est un signe de l’authenticité de sa repentance.

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L'Amour de Jésus m'a rempli de joie

27 Février 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

1. J’ai connu Jésus, O jour merveilleux, jour à ne pas oublier

Je marchais sur un chemin ténébreux, c’est Jésus qui m’a sauvé

Oh quel amour, quelle grâce infinie, il m’a vu dans ma tristesse.

Mon Maître, mon Seigneur et mon Ami, il m’a rempli de son allégresse

 

Refrain

L’Amour de Jésus m’a rempli de joie, lorsque je l’ai rencontré à la croix

Il m’a tout pardonné, m’a lavé de mon péché

L’amour de Jésus m’a rempli de joie

 

2. Né de nouveau, j'ai reçu son Esprit, je suis un enfant de Dieu

Déjà je connais l’Éternelle Vie, mon chemin est lumineux

Je me suis repenti de mes péchés, j’ai reçu Jésus en moi

Je n’ai pas honte de le confesser, Oh quel privillège et quelle joie

 

3. Jusqu’au jour où je serai dans le ciel, sa Parole est mon appui

Le Seigneur Jésus est toujours fidèle, et le Salut est en Lui

Vous qui cherchez la Route de la vie, Jésus est la Vérité

Écoutez sa voix, Oh venez à Lui pour toujours vous serez libéré

John W. Peterson (pour la version originale anglaise

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Dieu nous offre le Salut en Jésus seul

26 Février 2022 Publié dans #Salut

Le nom de Jésus signifie “Dieu Sauveur”.

Tous les êtres humains sans exception ont besoin d'être sauvés parce qu'ils ont péché et se sont opposés à la volonté de Dieu. En réalité, ils s'y opposent bien plus souvent, et ne pas se soucier de l'existence de Dieu, c'est déjà désobéir à Dieu.

Alors, Dieu a envoyé au monde un seul Sauveur : Jésus-Christ son Fils unique. Par le Seigneur Jésus-Christ, chaque être humain, qui croit et place sa confiance Lui seul pour être sauvé, reçoit le pardon de tous ses péchés, une vie nouvelle et être rendu heureux dès maintenant et pour l'éternité.

Des fondateurs de religion ont prêché le bien et formulé de sages préceptes, mais ils n'ont pas été capables de soulager les êtres humains du poids de leurs fautes, ni de les délivrer de la puissance du péché. Cela, aucun moraliste, philosophe ou mystique, ne peut le faire.

Le Seigneur Jésus-Christ n'est pas venu pour fonder une religion. Il n'enseigne pas aux êtres humains comment ils peuvent se délivrer par eux-mêmes. Mais Jésus délivre Lui-même du péché, du jugement et de la condamnation, tous ceux qui se repentent sincèrement de leurs péchés et mettent leur confiance en Lui. “Par le Nom de Jésus, quiconque croit en Jésus reçoit le pardon des péchés” (Actes 10. 43).

Venu par Amour pour secourir les êtres humains souffrant sous les conséquences du péché, Jésus-Christ “a passé de lieu en lieu, faisant du bien” (Actes 10. 38). Mais sa sympathie ne pouvait améliorer notre nature pécheresse, ni faire disparaître aucune de nos fautes. C'est pourquoi, sur la croix Jésus a donné sa vie sainte pour nous qui sommes coupables d'avoir péché contre le seul vrai Dieu. Jésus nous a aimés et s'est chargé de tous nos péchés comme si c'étaient les siens. C'est pourquoi, Il nous offre maintenant le pouvoir de vaincre le péché, et bientôt, nous en aurons une délivrance complète. Jésus l'a acquise au prix de son sacrifice sur la croix.

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Souper avec Jésus-Christ

25 Février 2022 Publié dans #Divers

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. (Apocalypse 3. 20).
Lorsque nous lisons ces paroles dans leur contexte, nous remarquons que le Seigneur Jésus s'adresse à quelqu'un qui a perdu la réalité d'une réelle communion avec Lui. Il ne reste plus que des illusions : "Ecris à l’ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu: Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises !" (Apocalypse 3. 14-22).
Il est possible qu'un être humain se trompe au sujet de sa situation spirituelle en disant ceci : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien". Parce qu'il ne sait pas qu'il est malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. Mais Dieu, Celui qui sait où nous en sommes réellement connait exactement l'état de notre vie spirituelle ; et dans son Amour, Il fait la démarche de venir Lui-même s'inviter à un repas de restauration. La normalité c'est de vivre en communion permanente avec Jésus. Mais il arrive que nous perdions cette communion pour diverses raisons. Alors Jésus frappe à la porte de notre cœur, Il nous adresse un appel à rétablir la relation intime avec Lui. C'est le sens de "Je souperai avec lui". Il s'agit d'un repas en tête à tête avec le Seigneur. Un repas au cours duquel nous nous partageons des paroles, écoutant et recevant les siennes, puis lui ouvrant notre âme, nous lui ferons connaitre aussi avec nos propres mots, nos besoins, nos regrets de l'avoir négligé, nos attentes, notre confiance retrouvée dans sa présence.
La réalité c'est demeurer uni avec le Seigneur Jésus-Christ comme un membre de son corps. "attaché au chef, dont tout le corps, assisté et solidement assemblé par des jointures et des liens, tire l’accroissement que Dieu donne" (Colossiens 2. 19). Il existe un lien affectif qui unit à Jésus, comme l'écrit l'apôtre Pierre : "... lui que vous aimez sans l’avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore..." (1 Pierre 1. 8). La première expérience avec Jésus, c'est la découverte de son Amour pour nous. "Connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu’à toute la plénitude de Dieu" (Éphésiens 3. 19). Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous (1 Jean 3. 16). Il nous faut venir ou revenir à la croix du Seigneur afin de considérer le poids des souffrances et de la mort qu'Il a endurées pour nous. C'est cette révélation qui fera naître ou renaître dans notre cœur un véritable amour pour Lui.
Lorsque Jésus apparaissait à ses disciples après sa résurrection, il leur montrait les marques de ses souffrances lors de l'offrande sa vie pour nous racheter. "Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu’ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d’eux, et leur dit : La paix soit avec vous ! Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur" (Jean 20. 19, 20). "C'est ainsi que l'apôtre Thomas touché par la révélation de son Maître se prosterne à ses pieds et l'adore. Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets–la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu !" (Jean 20. 27, 28)
Une nouvelle révélation de l'Amour de Jésus restaure dans notre cœur une sainte émotion qui nous inspire un élan d'amour et d'adoration vers Lui. C'est l'ouverture d'un souper béni avec notre Sauveur et Seigneur, c'est alors que nos yeux s'ouvrent pour le connaître vraiment et l'aimer. "Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent" (Luc 24. 30).
Voici la glorieuse réalité de l'Amour de Dieu manifesté en particulier à chacun et chacune de ceux et de celles qui croient en Christ, selon ce qu'Il a dit : "Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16). Nous comprenons dès lors l'importance de cette relation de communion que Jésus veut avoir avec nous en particulier, selon une parole qu'il adresse personnellement à chacun, à toi comme à moi : "Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi" (Apocalypse 3. 2).

Ouvrons la porte : Ce qui est merveilleux c'est la délicate insistance du Seigneur : "Je me tiens à la porte et je frappe !" Le Seigneur veut nous faire comprendre que dans les moments où nous sommes spirituellement malheureux, misérables, pauvres, aveugles et nus (Apocalypse 3:17), Il s'approche de nous et nous invite à le laisser entrer à nouveau afin de nous restaurer par sa présence et sa Parole, par un partage d'amour et de tendresse ! Le Seigneur Jésus se fait serviteur pour nous secourir et nous nourrir. Il met le comble à son amour pour nous. "Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde au Père, et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, mit le comble à son amour pour eux. Pendant le souper ... Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu’il était venu de Dieu, et qu’il s’en allait à Dieu, se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit. Ensuite il versa de l’eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint (Jean 13. 1-5).
Je ne sais pas ce que vous inspire ce passage, mais en ce qui me concerne, il m'inspire des sentiments de foi, d'amour et de reconnaissance envers mon Seigneur. Alors répondant à son appel, nous lui disons personnellement : "Amen ! Viens Seigneur Jésus ! Entre et prend place dans ma vie, non pas comme un invité de passage, mais comme l'ami dont j'ai besoin chaque jour, avec lequel je veux partager mes joies et mes peines, mes actions de grâces et mes prières, mes projets et mes réussites, mes craintes et mes attentes." Il arrive souvent que nous ayons un cantique qui vient à notre esprit sans savoir pourquoi. Alors laissons nous emporter dans ce chant qui est à la fois l'appel de Jésus frappant à notre porte et notre réponse à son invitation. C'est ainsi que nous passerons un moment de grâce rafraichissant et que nous serons renouvelés dans notre union avec notre Sauveur. Entretenez–vous par des psaumes, par des hymnes, et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre cœur les louanges du Seigneur. (Éphésiens 5. 19). Laissons nous attirer par ces désirs subtils, fragiles, qui sont comme des soupirs intérieurs que produit l'Esprit de Dieu. C'est la voix du Saint Visiteur qui demande à entrer chez nous pour un souper intime. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. (Apocalypse 3. 20).

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Le double effet de la Parole de Dieu

24 Février 2022 Publié dans #Divers

« C’est par la foi qu’ils traversèrent la mer Rouge comme un lieu sec, tandis que les Égyptiens qui en firent la tentative furent engloutis » (Hébreux 11. 29).

Dans ce verset, l’auteur de l’Épître aux Hébreux cherche à contraster la délivrance d’Israël et le sort des Égyptiens dans un même événement. Ce double effet de rédemption et de jugement n’est pas isolé dans l’Écriture. Quelques versets plus haut, l’auteur rapporte l’épisode de l’arche de Noé en disant : « C’est par la foi que Noé (…) construisit une arche pour sauver sa famille; c’est par elle qu’il condamna le monde… » (Hébreux 11. 7).

L’arche fut le moyen de rédemption des croyants du temps de Noé et elle condamna à la mort tous ceux qui refusèrent de croire et se moquèrent de la prédication du patriarche (2 Pierre 2. 5). Dans la théologie des alliances, nous observons ce double effet de la Parole divine : elle conduit au salut ceux que Dieu a élus avant la fondation du monde et elle condamne à la perdition les réprouvés, les perdus.

Jésus-Christ est la pierre de touche par excellence, la façon dont quelqu’un se situe face à Lui détermine sa destination. Le Nouveau Testament parle très clairement de ce double effet de l’Évangile. D’abord, à la naissance de Jésus, le vieil homme Siméon dit de l’enfant Jésus : « Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël » (Luc 2. 34). Jésus fut à la fois une pierre d’achoppement et un rocher de salut durant son ministère terrestre. Cette vérité théologique est affirmée telle quelle par l’apôtre Pierre : « Car il est dit dans l’Écriture : Voici, je mets en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse; Et celui qui croit en elle ne sera point confus. L’honneur est donc pour vous, qui croyez. Mais, pour les incrédules, La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l’angle, et une pierre d’achoppement et un rocher de scandale ; ils s’y heurtent pour n’avoir pas cru à la parole, et c’est à cela qu’ils sont destinés » (1 Pierre 2. 6-8).

Pierre constate que Jésus est la pierre de touche qui sert à mettre en évidence la destinée des êtres humains. La destinée de chaque être humain, rédemption ou condamnation, est déterminée par rapport à Christ. Non seulement Christ produit-Il ce double effet, mais nous tous qui désirons être semblables à Lui produisons ce même effet : « Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent: aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ? » (2 Corinthiens 2. 15-16).

N’avez-vous jamais remarqué que nous produisons ce double effet parmi les hommes : « aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie » ? La tentation à laquelle nous sommes exposés consiste à refuser d’être une odeur de mort donnant la mort. Il est parfois difficile d’accepter que notre éthique, notre piété et nos croyances soient absolument repoussantes pour certaines personnes. Nous sommes alors tentés de changer l’odeur que nous répandons afin qu’elle plaise au monde. Sachons cependant que si nous refusons d’être une odeur de mort pour ceux qui périssent, nous ne pouvons pas être une odeur de vie pour ceux qui sont sauvés, car c’est la même odeur qui produit deux effets opposés : elle donne la vie et la mort !

Paul, conscient de cette tentation, écrit : « Et qui est suffisant pour ces choses ? Car nous ne falsifions point la Parole de Dieu, comme font plusieurs; mais c’est avec sincérité, mais c’est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu » (2 Corinthiens 2. 16-17).

Ne falsifions point la Parole de Dieu pour plaire aux êtres humains, mais supportons patiemment d’être insupportables pour certains hommes, sachant que nous sommes agréables à Dieu et à ceux qu’Il veut sauver par notre témoignage. Conservons pure la Parole à deux tranchants de notre Dieu (Hébreux 4. 12).

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Une vie nouvelle en Jésus-Christ notre Sauveur

23 Février 2022 Publié dans #Salut

Dieu nous a créés dans un but merveilleux : Il veut que nous vivions à jamais avec Lui dans la joie, le bonheur et l'amour infini, dans sa parfaite Sainteté et sa Justice. Alors quel est le problème ? Beaucoup d'êtres humains ne veulent pas du parfait Amour et de la parfaite Justice du seul vrai Dieu, et ne savent pas comment vivre avec l'Amour et la Justice de Dieu. Pire, ils ne vivent dans ce monde que pour leur plaisir. Depuis le début au jardin d'Éden, les êtres humains ont désobéi à Dieu, ils ont refusé d'être guidés par Lui et ont rejeté Son amitié.
Même si nous êtres humains voulions vivre avec Dieu, à cause de nos péchés, nous étions incapables de par nous-mèmes de franchir le fossé qui nous séparait de Dieu notre Créateur. Nous n'étions ni parfaits ni saints. Nous ne méritions aucunement de vivre pour l'éternité avec le seul vrai Dieu trois fois Saint. Ce qui plus est, la parfaite Justice de Dieu exigeait qu'il y ait châtiment pour la désobéissance. Dans notre révolte contre Dieu notre Créateur qui est Lui-même la Vie, le châtiment naturel mérité est la mort, la mort éternelle. Oui, à cause de nos péchés, nous ne méritions pas de vivre avec Dieu à jamais.
Mais le plan du seul vrai Dieu ne peut être déjoué. À cause de son parfait Amour pour nous, Dieu veut nous sauver parfaitement du châtiment de la mort éternelle que nous méritons à cause de nos péchés. La parfaite Justice de Dieu exige que l'amende soit payée. Sa Justice exige la mort. Mais dans son Amour sans limite, Dieu nous offre la miséricorde et le salut. Comment donc satisfaire ces deux exigences ?

La Bonne Nouvelle : Jésus-Christ a payé l'amende pour nous. Ainsi, l'amour et la miséricorde de Dieu triomphe à jamais. Voilà le merveilleux don que Dieu nous a fait : nous sommes parfaitement sauvés si nous acceptons Jésus-Christ en tant que seul Seigneur et Sauveur de notre vie.

Que faut-il faire pour être sauvés ? Accepter le fait que nous avons besoin d'être sauvés. Nous reconnaissons que nous avons mal agi, que nous ne méritons aucunement de vivre éternellement avec Dieu. Nous reconnaissons que Jésus a payé l'amende pour nous. Nous ne voulons plus nous engager dans la voie de la désobéissance. Nous nous détournons de notre ancienne vie égoïste pour nous tourner vers Dieu et chercher à vivre une vie centrée sur son Fils Jésus-Christ. Nous Lui demandons de vivre en nous par le Saint-Esprit, de nous guider dans nos pensées et nos actions. Nous nous soumettons à son leadership et cherchons à Lui obéir puisque nous savons qu'Il est d'une telle sagesse et que Jésus a tant d'amour pour nous que tous ses commandements sont pour notre bien à long terme.

Selon la Bible, si quelqu'un vit en Christ, il/elle est une nouvelle création (2 Corinthiens 5 : 17), Il est enfant de Dieu, ses péchés étant tous effacés. Le Saint-Esprit nous donne une nouvelle vie. Nous n'avons pas à vivre seuls notre nouvelle vie par notre propre force, car c'est Dieu qui vit en nous, selon que nous le Lui permettons. C'est un changement complet : une nouvelle nature, une nature divine, naît en nous et croît. Nous ne vivons plus pour nous-mêmes, mais pour Christ.
Pour symboliser le début de leur nouvelle vie, les enfants de Dieu sont baptisés, c'est-à-dire ils sont immergés dans l'eau, illustrant ainsi la mort du vieil homme et la résurrection de l'homme nouveau. Nous suivons Jésus-Christ, notre Seigneur et Sauveur.
Nous enfants de Dieu voulons obéir à Dieu, mais parfois, nous désobéissons à cause de notre nature humaine. La Bonne Nouvelle ? Dieu continue de nous aimer, car par le parfait sacrifice de Jésus et sa mort sur la croix, l'amende de toutes nos désobéissances est payé totalement. Nous sommes pardonnés, et non condamnés, et nous avons la merveilleuse espérance de vivre avec Dieu à tout jamais avec une joie et un amour incroyables au Ciel, au Paradis.
Tout comme Jésus a vécu la douleur et la tristesse dans sa vie ici-bas, les enfants de Dieu subissent également des épreuves dans cette vie. Parfois, nous nous débattons avec la pauvreté, la déception, la douleur, les blessures émotionnelles et la persécution. Malgré toutes nos épreuves, nous nous réjouissons face au salut que nous avons reçu en Jésus-Christ. Nous nous réjouissons face à l'Amour parfait et infini que Dieu nous a déjà montré. Notre vie, c'est celle de donner aux autres et nous cherchons volontiers à servir autrui comme notre Sauveur nous a sauvés

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Trois choses qui demeurent

22 Février 2022 Publié dans #Divers

“Notre connaissance est partielle, et partielles sont nos prophéties. Mais le jour où la perfection apparaîtra, ce qui est partiel cessera. En somme, trois choses demeurent : la foi, l’espérance et l’amour, mais la plus grande d’entre elles, c’est l’amour.” (1 Corinthiens 13. 9-10, 13).

"L’Éternel, ton Dieu, est au milieu de toi un héros qui sauve. Il fera de toi sa plus grande joie. Il gardera le silence dans son amour, puis Il se réjouira à grands cris à ton sujet" (Sophonie 3. 17).

Comme nous avons pu souvent le constater dans notre vie, beaucoup de choses sont éphémères sur cette terre. Aujourd’hui indispensable, demain peut-être aux oubliettes. Dans le milieu du sport également, il y a sans arrêt des nouveautés, des nouveaux matériaux promettant d’améliorer les performances, de nouvelles techniques d’entraînement, puis d’autres choses arrivent sur le marché et on oublie vite les anciennes.

Mais alors qu’est-ce qui reste ?

Le passage d’aujourd’hui indique clairement que trois choses demeurent sur cette terre. Ces trois éléments ne changent pas et restent, même si tout s’écroule autour de nous. On pourrait dire qu’il s’agit du “podium éternel” : La foi, l’espérance et l’amour

L’amour c’est le plus grand, le voilà à la première place du podium. Comme il est difficile de déterminer si c’est la foi qui nourrit l’espérance ou l’espérance qui augmente la foi, je propose que ces deux là, soient 2ème exæquo.

La foi et l’espérance. Comment se fait-il que la foi et l’espérance restent dans ce monde, qui est si ténébreux et qui semble partir en miette tant au niveau écologique qu’économique ?

Et si le monde du sport s’écroulait, qu’en serait-il de notre foi et de notre espérance ?

Après chaque coucher de soleil, l’espoir d’un nouveau matin est là. Et aussi sombre que l’avenir puisse paraître à nos yeux, la promesse du Retour de Christ, d’une Nouvelle Terre, de Nouveaux Cieux, où il n’y aura plus tristesse ni maladie, permet à la foi et à l’espérance de continuer à brûler en chacun de nous. Mais bien plus que cela, la Bible est remplie de promesses pour le monde ou pour chacun de nous personnellement, qui permettent à la foi et l’espérance de subsister en nos cœurs.

Comme on dit en sport, tant que la sirène finale n’a pas retenti, tout est encore possible. Dans la vie, cela se traduit par le dicton : “tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir”.

Comment cela se traduit dans notre vie personnelle ?

Lorsqu’une compétition importante est annulée, lorsqu'on se blesse et que la saison est terminée, lorsque quelque chose survient dans notre vie et que cela vient assombrir nos perspectives d’avenir, comment la foi et l’espérance demeurent-elles en nous ?

Nous vous encourageons à rechercher dans la Parole de Dieu des promesses qui nourrissent la foi et l’espérance dans notre cœur, afin que ce podium éternel soit aussi celui de notre propre vie.

La foi et l’espérance, puis sur la 1ère marche du podium, le plus grand de tous : l’amour !

Il y a beaucoup de choses que nous ne connaissons pas ou ne comprenons pas. Mais une vérité que nous connaissons avec certitude, c’est que Dieu est Amour (1 Jean 4. 8) et que Jésus a vaincu le monde (Jean 16. 33). L’Amour est donc vainqueur !

Certains pourraient se dire, que c’est nul de connaître déjà le résultat du match, de savoir la fin de l’histoire. Et pourtant, ce sont les histoires les plus connues qui deviennent les films les plus regardés. Et ce, d’autant plus lorsque l’histoire se termine bien.

Quelle joie pour moi de jouer sur cette terre et de ne pas être désespérée par ce que je vois aujourd’hui, de tout ce qu’il se passe de mauvais, des injustices, des inégalités, des catastrophes, de la corruption. Je garde espoir, car je connais la fin de l’histoire et je sais que quoi que soit le “score” aujourd’hui sur le tableau du match de la Vie, l’Amour de Dieu sera vainqueur. Wow !

Plus encore, l’Amour EST vainqueur. Il peut déjà régner dans notre cœur aujourd’hui et y être victorieux sur tout le reste.

Chut… écoute...Dieu a un message personnel pour toi aujourd’hui : “Dès les temps reculés, l’Éternel lui est apparu et lui a dit : D’un amour éternel, je t’aime, c’est pourquoi je t’attire par l’affection que je te porte.” (Jérémie 31. 3).
Laissons-nous remplir de cet Amour et faisons-le régner à la première place dans notre cœur !

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Jésus-Christ est Roi

21 Février 2022 Publié dans #Divers

Considérons en quoi consiste la Royauté du Seigneur Jésus-Christ, afin de nous efforcer d'être conscients qu'Il règne vraiment, qu'Il est Celui qui gouverne au dessus de tout pouvoir, toute autorité, tout prince, toute créature, dans les cieux, sur la terre, en tous lieux (Philippiens 2. 9).
Dans le livre de l'Apocalypse, l'apôtre Jean décrit les choses qui lui ont été révélées par différentes visions. Dès qu'il fut ravi en esprit dans le ciel, il a constaté que tous les êtres et les événements dépendaient du pouvoir souverain de Dieu. Il a écrit : "Aussitôt je fus ravi en esprit. Et voici, il y avait un trône dans le ciel, et sur ce trône quelqu’un était assis" (Apocalypse 4. 2).
Il y a un Trône dans le ciel, c'est un Trône très élevé, au dessus de tout
(Ésaïe 6. 1) et ce Trône n'est pas inoccupé… L'Éternel est assis sur son trône et il domine sur toutes choses. "Dieu, l’Éternel règne, il est revêtu de majesté, L’Éternel est revêtu, il est ceint de force. Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas" (Psaumes 93. 1). "L’Éternel était sur son Trône lors du déluge; L’Éternel sur son trône règne éternellement" (Psaumes 29. 10). Dieu règne, cela veut dire que quelques soient les événements, rien n'échappe à son pouvoir, même s'Il n'intervient pas toujours immédiatement. L'apôtre Jean a vu aussi, sur ce même Trône, le Seigneur Jésus-Christ (Apocalypse 5. 6). Dieu Son Père l'a fait asseoir avec Lui sur son trône, Il est pleinement associé à son Règne. Même si nous ne voyons pas encore que toutes choses Lui sont soumises, Jésus règne. Dieu Lui a donné la domination sur toutes ses œuvres, Il a tout mis sous ses pieds. "Tu as mis toutes choses sous ses pieds" (Psaumes 8. 6). "En effet, en lui soumettant toutes choses, Dieu n’a rien laissé qui ne lui fût soumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient soumises" (Hébreux 2. 8).

Dans son humanité, Jésus s'est présenté à Jérusalem, comme le roi que Dieu envoyait à son peuple, dans un esprit de service, rempli de douceur et plein d'humilité (Matthieu 21. 5). Mais ils n'ont pas voulu que l'Oint de Dieu règne sur eux. "Les rois de la terre se sont soulevés, et les princes se sont ligués contre le Seigneur et contre son Oint" (Actes 4. 26). Ils l'ont crucifié en le pendant au bois, mais Dieu l'a ressuscité et Il l'a fait asseoir avec Lui sur son trône : "Celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d’honneur à cause de la mort qu’il a soufferte, afin que, par la grâce de Dieu, il souffrît la mort pour tous" (Hébreux 2. 9).
Si les incrédules ont rejeté Christ, ceux qui croient en Lui acceptent qu'Il règne sur eux, que tout dans leur vie Lui soit soumis. Aujourd'hui, par son Esprit, Jésus désire entrer dans notre vie afin de régner sur notre être entier : - l'esprit : nos pensées, nos projets, nos décisions, notre volonté ; - l'âme : nos sentiments, nos désirs, nos émotions, notre être affectif ; - le corps : nos comportements, notre aspect visible, la façon dont nous utilisons les membres de notre corps, dont nous le vêtons…

Enfin, Jésus paraîtra comme "Le Roi des rois qui vient régner sur le monde avec un sceptre de fer, c'est à dire avec une autorité incontestable, imposant sa justice à un monde qui a perdu tout repaire. Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant. Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit: Roi des rois et Seigneur des seigneurs (Apocalypse 19. 11-16).

A la lumière des Écritures, nous considérons donc les trois étapes du Règne de Christ : - pendant son humanité, par les évangiles, - aujourd'hui, dans l’Église sur la terre et dans notre vie personnelle, par son Esprit, - éternellement dans le monde à venir, sur cette terre pendant 1000 ans et dans la nouvelle création. Ces trois phases du règne de Jésus-Christ doivent inspirer à notre cœur : la foi, l'amour, le respect et l'espérance.
- La foi : Lorsque nous lisons sa Parole, nous constatons l'autorité du Fils de Dieu, venu en chair, pour révéler le Royaume de Dieu, l'autorité de sa Parole et le pouvoir miraculeux de ses actes. Sachant que Jésus est toujours le même, nous pouvons à la lecture des Évangiles retenir que son pouvoir et l'autorité de son règne sont toujours d'actualité.
- L'amour : La révélation de la personne du Seigneur Jésus-Christ, sa justice, sa bonté, sa compassion, sa miséricorde, sa douceur, etc… suscite en nous des sentiments d'admiration, d'amour et d'attachement.
- Le respect : Traduisons cette expression par le sens biblique qui lui est donné dans les Écritures : "la crainte de Dieu" qui implique une entière soumission au Roi divin et la recherche de ce qui Lui est agréable dans notre manière de vivre.
- L'honneur : Ils disaient d’une voix forte : L’agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire, et la louange
(Apocalypse 5. 12).
- L'espérance : Nous attendons le Royaume de Dieu, c'est à dire le jour ou Dieu va établir son règne sur la terre, par celui qu'il a désigné, le Seigneur Jésus-Christ, selon sa promesse Dès aujourd'hui nous avons conscience de l'élévation glorieuse de notre Sauveur et Seigneur et nous en sommes tellement heureux. Nous nous réjouissons de sa gloire et de son pouvoir ! Dieu l’a élevé par sa droite comme Prince et Sauveur
(Actes 5. 31), Il est Prince - Le prince des rois de la terre ! (Apocalypse 1. 5), le prince de la vie (Actes 3. 15), le prince de la paix (Ésaïe 9. 6), - Le Prince de notre salut (Hébreux 2. 10), Il est prince et roi dans notre cœur. Nous chantons : Seigneur Jésus, roi puissant, règne en moi, règne dans ton Église, sans partage ! Nous le voyons couronné de gloire et d'honneur. Nous l'adorons, nous attendons son Retour et son Règne. Ceux qui ne croient pas au Seigneur et Sauveur Jésus et ne l'aiment pas seront éternellement maudit en Enfer ! Maranatha - Notre Seigneur, viens ! (1 Corinthiens 16. 22) (Bible en Français Courant). Que ton règne vienne ! Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! (Apocalypse 22. 20)

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Le bonheur d'être pardonné

20 Février 2022 Publié dans #Salut, #Pardon des péchés

Bienheureux... ! Bienheureux... ! (Psaumes 32 : 1-2) Ainsi s'est exclamé le roi David après avoir reconnu son péché devant Dieu et reçu son pardon. Mille ans plus tard, l'apôtre Paul cite ces paroles pour faire partager ce bonheur à tous ceux que Dieu a pardonnés en Jésus-Christ (Romains 4 : 7-8). Près de deux mille ans ont passé encore et ce message est toujours d'actualité. Le vrai croyant en Jésus-Christ sait que ce bonheur n'est pas passagère, ni éphémère, c'est un sujet de joie quotidien que rien ne peut détruire, ni aujourd'hui, ni demain. C'est un trésor dont la mort même ne peut pas le priver. Au contraire, si la mort arrive, elle introduit le vrai croyant dans la présence du Seigneur Jésus-Christ qui a tout accompli pour nous donner gratuitement le pardon de nos péchés.
Pourrions-nous vivre dans la paix véritable sans connaître un tel bonheur ? Que celui qui ne connait pas encore ce bonheur d'être pardonné par le seul vrai Dieu viennent avec confiance au Seigneur Jésus-Christ pour recevoir le pardon de ses péchés.
Être pardonné par Dieu implique que nous soyons conscients de nos péchés, que nous demandions pardon à Dieu, que nous acceptions le parfait sacrifice de Jésus pour nous, que nous nous détournons de nos péchés, et enfin que nous vivions notre vie d'une manière qui plait à Dieu et plus aimante envers notre entourage.

Dans les trois premiers chapitres de l'épître aux Romains, l'apôtre Paul prouve d'abord qu'il n'y a pas un seul juste et que tout le monde est coupable devant Dieu, vous et moi y compris. Puis il démontre que l’œuvre parfaite de Jésus-Christ, le Rédempteur, accomplie à la croix, répond à la culpabilité de quiconque s'approche de Dieu en Lui faisant confiance. A cause de Jésus-Christ, à cause de son sang versé sur la croix, Dieu qui est toujours parfaitement Juste, justifie des injustes : Dieu tient pour justes ceux qui, par la foi, s’approprient le sacrifice de Jésus-Christ pour le pardon de leurs péchés.
Qu'aucun être humain ne tarde à venir vers le seul vrai Dieu qui nous aime tous et qui veut nous pardonner en son Fils Jésus : Dieu accueille tout être humain qui reconnait ses péchés et qui met sa confiance en Jésus-Christ. Oui Dieu lui présente Jésus-Christ comme son seul Seigneur et Sauveur, son Grand Libérateur.

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Tu es aimé(e) quoique tu penses

19 Février 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Je n'ai pas demandé à naître, alors pourquoi dois-je vivre ? dis-tu peut-être. Tu t'interroges parce que tu es malheureux. Ta vie te paraît insupportable. Les causes en sont sûrement nombreuses : manque d'amour, incompréhension, abandon, deuil, maladie, échecs successifs, peur de l'avenir, peur de la mort ? Tu ne peux t'accepter comme tu es. Tourmenté, asphyxié, tu te sens seul... En somme, tu ne t'aimes pas et tu crois que personne ne peut t'aimer. Parfois même, tu te dis que tu voudrais mourir plutôt que vivre.

Au cœur de ta détresse, il y a un message d'espérance : Tu es aimé(e) ! Veux-tu accepter de te laisser aimer – tel que tu es, maintenant – par quelqu'un qui a donné sa vie pour toi ? Son nom ? C'est Jésus-Christ.
« Jésus est mort ! » me diras-tu. Oui, Jésus a été mort sur la croix, mais Il est maintenant ressuscité et Il vit à jamais. Aujourd'hui, maintenant, tu peux Lui parler. Jésus t'écoutera. Ce n'est pas difficile : tourne-toi vers Lui dans le fond de ton cœur, dis-Lui ta détresse, ton dégoût, tout ce que tu expérimentes. Appelle-Le au secours... Ce sera ta prière. Crois-Le sincèrement ; ta prière atteindra son cœur, car Jésus-Christ te comprend parfaitement. Comme toi, Jésus a aussi connu une angoisse terrible, à la veille de sa mort. Jésus est tout proche de toi, Il veut et Il peut te consoler. Lis et médites Sa Parole (la Bible), lis et médites les évangiles ; tu apprendras à connaître Jésus-Christ personnellement, et Il te conduira à Dieu, le Père de tous ceux qui croient et qui mettent leur confiance en Jésus.

Dans les moments de grande angoisse, ne reste pas seul. Appelle au secours, parle à un ami, une connaissance en qui tu as confiance, où un frère t’écoutera et priera avec toi ou à un autre organisme qui respectera aussi ton anonymat.

Quand on découvre qu’on est aimé de Dieu, on peut se réconcilier avec soi-même, s’accepter avec ses faiblesses et son passé… En mettant ta vie entre les mais de Dieu, tu comprendras peu à peu que ta vie a un sens si tu la consacres aux autres, si toi aussi, tu essaies d’aider, de remettre debout ceux qui souffrent autour de toi. Alors tu verras que ta vie n’est pas une goutte d’eau dans l’océan ou un numéro sorti au hasard.

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