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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Le péché entra dans le monde

30 Avril 2024 Publié dans #Divers

Dieu planta pour Adam et Eve un super beau jardin rempli de fruit et légume pour sa nourriture. Et un arbre dont le fruit leur auraient permis de vivre éternellement. "Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. L’Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal" (Genèse 2. 8-9).

Dieu a établi l’homme comme responsable du jardin.

"L’Éternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder" (Genèse 2. 15).
Dieu donna un commandement à l’homme, contenant de sévères avertissements. "L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; 17, mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 2. 16-17).

Ensuite, pour combler la solitude de l’homme, Dieu lui créa une femme de sa côte. "L’Éternel Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui" (Genèse 2. 18 ). "Alors l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme" (Genèse 2. 21-23).

Dieu établit le commandement du mariage : "C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair" (Genèse 2. 24). L’homme et la femme étaient dans un état d’inconscience face au mal, innocents devant Dieu. "L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte" (Genèse 1. 25).

Dieu avait aussi placé le chérubin protecteur dans le jardin pour protéger les humains. "Tu étais en Éden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toute espèce de pierres précieuses, de sardoine, de topaze, de diamant, de chrysolithe, d’onyx, de jaspe, de saphir, d’escarboucle, d’émeraude, et d’or ; tes tambourins et tes flûtes étaient à ton service, préparé pour le jour où tu fus créé"  Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées ; je t’avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu ; tu marchais au milieu des pierres étincelantes. 15 Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu’à celui où l’iniquité a été trouvée chez toi" (Ézéchiel 28:13-15).

LA MÊME STRATÉGIE EST ENCORE UTILISÉE POUR FAIRE TOMBER LES GENS DANS LE PÉCHÉ

En parlant à la femme, Satan commença par semer le doute. Il a attaqué la plus faible des deux. "Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ?" (Genèse 3. 1).
La femme répondit par des paroles qui ne sont pas complètement ce que Dieu avait dit. "La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez" (Genèse 3. 2-3).

Par la réponse de la femme, nous voyons quand même quelle savait la grave conséquence d’en manger. Le serpent répondit avec des mensonges en leur disant qu’ils ne mourront point : "Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point" (Genèse 3. 4).

Dieu avait pourtant affirmé le contraire, en disant que s’il en mange, le jour même, ils vont mourir : "Mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 2. 17). Dieu ne leur parlait pas de la mort physique, mais de la mort spirituelle. Ils ne sont pas morts physiquement ce jour-là. Ils furent morts spirituellement, séparés de Dieu. "Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l’empêchent de vous écouter" (Ésaïe 59. 2).

Ils ont aussi été séduit aussi par le désir de devenir comme des dieux : "Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal" (Genèse 3. 5).

Ils ont réagi exactement le contraire de Jésus. "Lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes" (Philippiens 2. 6-7).

Pourtant ils avaient été créés à l’image de Dieu, mais ils en voulurent plus, il voulait la connaissance du bien et du mal qui en fin de compte appartenait à Dieu.

La femme une fois séduite par les mensonges du serpent convoita le fruit défendu. "La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea" (Genèse 3. 6).

Il s’est produit quelque chose de très grave. Leurs vies a commencé à devenir compliquer. En mangeant le fruit défendu, leur intelligence sur le bien et le mal s’ouvrit. Ils se sont aperçus qu’ils étaient nus. "Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures" (Genèse 3. 7).

Le pire est la séparation d’avec Dieu. Le fait d’être déconnecté de Dieu (mort spirituellement), l’amour et la confiance en Dieu a laissé la place à fuir la présence de Dieu. "Alors ils entendirent la voix de l’éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin" (Genèse 3. 8 ).

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Jésus-Christ nous a arrachés des ténèbres

29 Avril 2024 Publié dans #Salut

En ces temps de la fin où la confusion et les ténèbres règnent, il est bon de se rappeler d’où le Seigneur Jésus nous a tirés afin de trouver en Lui la force de continuer à marcher sur le chemin étroit et resserré qui mène à la vie éternelle. « ... Notre Seigneur Jésus Christ s’est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous arracher du présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père, à qui soit la gloire aux siècles des siècles! Amen! » (Galates 1. 4-5)

Le Seigneur Jésus nous a ARRACHÉS du présent siècle mauvais. Le terme "arracher" vient du grec « exaireo » qui signifie enlever, déraciner. Jésus, par son œuvre rédemptrice à la croix, nous a déracinés de la mauvaise terre du monde où nous recevions une nourriture souillée et polluée, qui nous entraînait à la mort éternelle. Cette nourriture du monde, c’est le péché dont nous étions esclaves et qui faisait germer des mauvais fruits en nous (les œuvres de la chair selon Galates 5. 19-21).
Sans le Seigneur Jésus, le péché coule dans nos veines, car il n’y a de salut possible en aucun autre Nom que celui de Jésus. Seul le nom de Jésus nous sauve du péché
(Actes 4. 12). Par son œuvre à la croix, Jésus nous a déracinés du monde des ténèbres. On peut dire qu'Il nous a totalement déracinés de la mauvaise terre où nous étions, sans laisser quoi que ce soit à l’ennemi, afin que nous soyons transportés et plantés dans le Royaume de Dieu (Colossiens 1. 13).
Ainsi, en nous arrachant de ce présent siècle mauvais, Jésus nous a greffés à l’olivier franc
(Romains 11. 16-24), ressuscités et fait asseoir ensemble dans les lieux célestes avec Christ (Éphésiens 1. 20 ;
Éphésiens 2. 6). Cet acte est une grâce imméritée !

« Pour nous, frères bien-aimés du Seigneur, nous devons à votre sujet rendre continuellement grâces à Dieu, parce que Dieu vous a choisis dès le commencement pour le salut, par la sanctification de l’Esprit et par la foi en la vérité. » (2 Thessaloniciens 2. 13)
« Approchez-vous de Lui (Jésus), pierre vivante rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu » (1 Pierre 2. 4).
Nous étions des êtres vils, faibles, méprisables, sans aucune utilité apparente pour Dieu. Cependant, aux yeux de Dieu, nous sommes précieux. De ce fait, Il nous a choisis du milieu du monde pour le salut, en nous sanctifiant par son Esprit Saint et en mettant en nous la foi en la vérité. N’oublions pas que la foi est un don de Dieu
(Romains 12. 3 ; Éphésiens 2. 8) et un fruit que nous devons cultiver.
Notre seul désir est donc de plaire à Dieu et de réjouir son cœur dans tout ce que nous faisons, pensons, voyons, entendons ou disons. Car nous avons été sauvés à un grand prix. Nous avons été arrachés de ce monde de ténèbres pour vivre dans un autre Royaume dans les cieux (dans le Paradis) où la paix, la joie et l’amour infinie règnent. Le Paradis est un monde de bonheur infini où le Maître, le Roi de ce Glorieux Royaume, veut notre bien à tous
(Jérémie 29. 11) et nous aime plus que quiconque sur cette terre ; alors que le maître de ce monde terrestre, Satan, veut pour les êtres humains la mort éternelle en Enfer.
Mais, par la Grâce immense de Dieu, nous les enfants de Dieu sommes désormais affranchis du péché
(Romains 6. 22) et devenus esclaves de la justice, c’est-à-dire esclaves de Dieu, et nous avons donc pour devoir le fruit de la sanctification. Ne jouons pas avec notre salut, il est trop précieux, la vie est courte. Nous parlons ici de notre éternité, n’oublions jamais que nous sommes sauvés en espérance (Romains 8. 23). Notre espoir est d’être trouvés fidèles, à notre place, lorsque le Seigneur viendra nous chercher. Nous avons eu la grâce d’être arrachés de ce monde des ténèbres pour connaître la vérité. Combien d’hommes et de femmes sur la terre meurent sans connaître la vérité ? Qui sommes-nous ? Qu’avons-nous de plus pour avoir part à cette grâce ? Rien, c’est la grâce de Dieu, elle ne s’explique pas et elle n’est surtout pas méritée. Bien aimés, demeurons dans les voies du Seigneur car Lui seul est le chemin, la vérité et la vie (Jean 14. 6). Le chemin sera dur, c’est vrai, mais mieux vaux souffrir un peu de temps sur cette terre en faisant la volonté de Dieu notre Père, afin d’avoir part à la vie éternelle auprès de notre bien-aimé Seigneur, que de souffrir pour l’éternité en Enfer.

Béni soit le Seigneur Jésus qui nous a arrachés des ténèbres au prix de sa vie. Nous avons vu que chacun d’entre nous avons une fonction bien précise dans le corps de Christ, afin que « que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans la charité » (Éphésiens 4. 16). « En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur.» (Éphésiens 2. 21). Nous avons tous besoin les uns des autres car il y a qu’un seul Esprit qui nous coordonne. De plus, nous sommes le temple du Saint-Esprit (1 Corinthiens 3. 16), tout ce que nous faisons doit honorer le Seigneur car l’Esprit de Dieu habite en nous.
Persévérons dans les voies droites du Seigneur Jésus. Qu’Il nous assiste en toutes choses afin que son Puissant Nom soit glorifié, Lui qui nous a délivrés de nos péchés par son sang.
« De la part de Jésus Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang » (Apocalypse 1. 5)
« Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes 4. 12)

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Vivre avec Dieu ou vivre sans Dieu

28 Avril 2024 Publié dans #Choix

Vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés de tout droit de cité en Israël et étrangers aux alliances de la promesse, n'ayant pas d'espérance, et étant sans Dieu dans le monde. Mais maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. (Éphésiens 2. 12)

L'apôtre Paul rappelle aux chrétiens à qui il s'adresse leur condition antérieure : avant leur conversion, ils vivaient sans Dieu, sans Christ. Y a t-il ceux qui vivent toujours ainsi dans ce monde ? Bien sûr que oui ! L'essentiel manque alors à leur vie, même s'ils la trouvent bien remplie : tous leurs projets se limitent à un horizon terrestre car ils sont sans espérance. La mort peut leur apparaître ainsi comme un immense et angoissant point d'interrogation. Ils refusent même de penser à la mort, pourtant l'échéance est inéluctable, inévitable.

Mais on peut vivre aussi avec Dieu. Vivre avec Dieu, c'est d'abord Le connaître tel qu'Il est réellement, et non pas tel qu'on se l'imagine. C'est d'avoir une relation vivante et personnelle avec Lui. Dieu s'est révélé aux êtres humains par la création, par sa Parole écrite (La Bible) et par son Fils Jésus Christ qui a montré à la fois Sa Sainteté qui hait le péché, qui ne le supporte pas ; et son Amour parfait qui sauve le pécheur repantant. Toute personne qui se repent donc de tous ses péchés et accepte de recevoir le pardon acquis par Jésus sur la croix de Golgotha connaît alors Dieu comme un Père aimant et attentionné. Elle sait qu'elle peut compter sur Lui pour toutes les circonstances de sa vie sur la terre, et elle possède la certitude inébranlable de passer l'éternité près de Jésus dans le paradis au Ciel.

Il n'y a que ces deux manières de vivre dans ce monde pour les êtres humains. Aujourd'hui encore, Dieu nous offre de vivre ce qui est vraiment la vie "en s'amassant pour l'avenir un trésor placé sur un fondement solide, afin de saisir la vie véritable" (1 Timothée 6. 19). Pour nous êtres humains, Dieu sait, Lui le Créateur de tout ce qui vit, que seule une vie avec Lui vaut la peine d'être vécue.

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La vérité sur la foi en Dieu

27 Avril 2024 Publié dans #EVANGILE

"Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle" (1 Jean 5. 20).

La Bible nous apporte des certitudes ! Dieu existe ! Alors, nous ne sommes pas nés par hasard. Pour chacun de nous êtres humains, le seul vrai Dieu de l'Univers a voulu notre existence.

Chaque être humain peut connaitre le seul Dieu Véritable qui est Jésus Lui-même, le Fils de Dieu. Oui Jésus est venu dans ce monde pour nous révéler le seul vrai Dieu de l'Univers. Cela veut dire que Dieu s’intéresse à tous les êtres humains.

L’Évangile est vrai ! C’est la Bonne Nouvelle que Dieu s’est approché de nous, non pour nous condamner d'avoir péché contre Lui, mais pour nous pardonner et nous sauver parfaitement.

Après la mort tout n’est pas fini ! Mais pour nous qui avons accepté Jésus-Christ comme seul Seigneur et Sauveur de notre vie et qui avons la véritable foi en Lui, notre destinée n’est pas la mort éternelle en Enfer, mais la Vie Éternelle au Paradis, dans la Gloire de Dieu pour l'éternité.

Oui, le message de l'Évangile est vraiment un message d’espérance. Avec le seul vrai Dieu dans notre vie, nous pouvons toujours espérer avec certitude. Dieu pardonne et son pardon est un pardon total. Jésus-Christ est entré dans la mort et l’a vaincue parfaitement. Jésus est ressuscité et Il nous ressuscitera un jour. Jésus est Vivant et cela vaut la peine de vivre pour Lui et avec Lui. Malgré les difficultés et les luttes de la vie, tout est bien parce que Sa présence change tout.

Persévérons donc dans la lecture des paroles de Jésus et de ses promesses qui se trouvent dans la Bible. Ainsi chaque jour, il y aura de la joie en nous et cette certitude dans notre cœur dont chacun peu dire : « C’est vrai, c’est bien vrai, je suis passé de la mort à vie et j’ai la vie éternelle ».

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Qui est Jésus-Christ ?

26 Avril 2024 Publié dans #Divers

« Lequel (Jésus-Christ), existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom au dessus de tout nom » (Philippiens 2. 6-9)

Dieu : Jésus-Christ est Dieu. Il n'a ni commencement ni fin, Il existe depuis toujours et même avant la création, qui a d’ailleurs été faite par Lui et pour Lui comme Paul l’explique dans son épitre aux Colossiens (Colossiens 1. 16). Omniprésent, omniscient, omnipotent, Jésus a tous les attributs de Dieu et vit en harmonie avec Lui dans un amour parfait.

Homme : Ce passage explique que Jésus s’est DÉPOUILLÉ et a paru comme un SIMPLE Homme. Ce qui signifie que durant son passage sur Terre, Jésus était pleinement Homme. Il a eu faim, soif, sommeil… Jésus-Christ n'a jamais commis de péché, Il est Saint. Jésus a été tenté comme nous tous et Il a montré son obéissance à Dieu dans la souffrance. Il a accompli des miracles et nous a donné le pouvoir de les accomplir aussi (Jean 14. 12).

Agneau sacrificiel : Jésus est venu sur Terre nous servir d’exemple, mais surtout pour porter nos péchés sur Lui et les expier. Jésus est l'Agneau de Dieu qui ôte nos péchés. Pour nous justifier face à la loi, Jésus a versé son sang en sacrifice parfait, parce que Jésus était sans tâche et sans péché. Il a donc souffert sur la croix afin de payer notre dette et Il est mort aussi sur la croix. En effet, Jésus a signé un chèque avec sa vie, avec son sang, pour payer notre dette à la Justice divine, et Dieu L’a ressuscité parce que le chèque a été encaissé, le sacrifice a été accepté par Dieu le Père.

Jésus-Christ glorifié : Jésus ne s’arrête pas à la mort sur la croix. Il ne s’arrête pas au sacrifice qu'Il a accompli. Mais Dieu le Père l’a bel et bien ressuscité d'entre les morts, et élevé au dessus de tout dans les cieux et sur la terre. Ce qui signifie que Dieu le Père Lui a rendu tout ce dont Il s'est dépouillé en devenant Homme. Et cela est une validation de son parfait sacrifice pour le Salut de tous ceux qui croient.

Nous comprenons donc que le Nom de Jésus est LE NOM QUI EST AU-DESSUS de tout nom (Philippiens 2. 9-11). La Bible le décrit comme étant le « Roi des rois et le Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19. 16). Ceci dit, nous comprenons que « nul ne peut dire : Jésus est le Seigneur ! si ce n'est par le Saint Esprit » (1 Corinthiens 12. 3). En d'autres mots, personne ne peut Le déclarer comme étant son Maître à moins de recevoir premièrement une révélation personnelle de qui Jésus est vraiment (Jean 8. 32, 1 Corinthiens 2. 1-8).

Certains pourraient se questionner sur l'importance d'une telle connaissance détaillée en se disant : « Je connais le Seigneur Jésus dans mon coeur ! N'est-ce pas assez ? ». C'est merveilleux de Le connaître dans son coeur, mais nous devons aussi connaître ce que la Bible dit de Lui. En fait, Dieu protège Son peuple par une saine connaissance biblique. L'ignorance n'offre aucune protection spirituelle (Osée 4. 6). Dieu nous appelle donc à connaître ce que la Bible dit sur Jésus-Christ afin de premièrement recevoir la vie éternelle (1 Jean 5. 11-13), de se purifier des faux raisonnements (Éphésiens 5. 25-27) et afin de marcher dans Sa Lumière (Jean 1. 1-5).

Certains points essentiels que nous devons connaître aussi sur Jésus-Christ :

Jésus-Christ, tout en demeurant Dieu, s'est humilié en quittant le Ciel afin de vivre sur la terre en tant qu'un simple Homme. Il a fait cela par Amour afin de payer notre dette de péché. (Philippiens 2. 5-8, Ésaïe 44. 24a, Colossiens 1. 9-23). Jésus est le « premier-né », un titre d'honneur qui indique Sa pré-éminence dans la famille humaine, l'Héritier. Ce titre s'applique bien à Christ dans Son humanité, Lui qui a la pré-éminence sur tous les êtres humains. De plus, Jésus, le « Fils de l'homme » a toujours modelé l'humilité par excellence, et ce, à tous les niveaux (Jean 8. 28, 14. 28).

La Bible se réfère à Jésus-Christ comme étant le Créateur (Ésaïe 44. 24, Colossiens 1. 9-23). En fait, Il est « celui qui a présidé à toute la création de Dieu » (Apocalypse 3. 14-BDS). Jésus est notre Sauveur (Ésaïe 43. 11, Tite 2. 11-13 – BDS) et le Tout-Puissant (Apocalypse 1. 8, 18). Cette toute-puissance s'est révélée par Sa victoire sur la mort physique ! (Actes 3. 15, Luc 24. 39, 1 Corinthiens 15. 17, Romains 10. 9) Notre Jésus, ressuscité corporellement et habitant maintenant dans Son corps glorifié, est décrit comme étant « un esprit vivifiant » (1 Corinthiens 15. 45). Ceci révèle qu'Il a le pouvoir, de vivifier (donner la vie) à tous ceux qui placent leur foi en Lui.

La question qui s'imposent alors est : Avez-vous placé votre foi en Jésus-Christ ?

SACHONS AVEC CERTITUDE QUE :
Jésus est le Créateur qui sait nous restaurer, nous guérir !
Jésus est le Sauveur qui sait nous secourir en toute occasion !
Jésus est le Tout-Puissant qui est Vainqueur sur la mort, et Il nous donne la Vie Eternelle.

Jésus-Christ frappe à la porte du cœur de chaque être humain. Jésus ne nous dit pas qu'Il va résider temporairement en nous, mais qu'Il va faire de nous sa résidence permanente afin de nous transformer à son image. 

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La repentance est-elle la même chose que la conversion ?

25 Avril 2024 Publié dans #Divers

Tous les élus ne passent pas nécessairement par une expérience de conversion, mais tous les élus se repentent. Dans l’Écriture sainte, la repentance et la conversion sont des concepts synonymes (Voir Actes 3. 19). Cependant, dans l’usage théologique populaire, nous envisageons la conversion comme quelque chose de spécifique. La conversion est vue comme une expérience intense par laquelle un pécheur vient à Christ. Bien que l’on puisse, d’une certaine façon, envisager la conversion comme une expérience continuelle, elle est généralement vue comme une expérience ponctuelle qui marque le début de la vie chrétienne et qui se produit chez ceux qui ont vécu loin de Christ pendant un certain temps avant de venir à Lui.

"Quant aux élus convertis à un âge plus mûr, après avoir vécu un certain temps dans un état de corruption dans lequel ils étaient assujettis à divers passions et plaisirs : par Son appel efficace, Dieu leur donne une repentance qui mène à la vie".

L’Écriture présente effectivement la conversion comme un passage du Royaume de Satan à celui du Royaume de Dieu (Actes 26. 18 ; Éphésiens 5. 8 ; Colossiens 1. 13). Chez certains élus, cette conversion se produit ponctuellement et même de manière dramatique dans des circonstances bien marquées. Par exemple, Saul de Tarse, l’un des premiers grands adversaires de l’Église du Seigneur Jésus, fut radicalement converti sur le chemin de Damas lorsque Christ lui apparut et l’appela efficacement à la repentance (Actes 9. 1-22). Saul, devenu Paul, envisageait que beaucoup d’autres personnes allaient vivre une conversion semblable à la sienne. Il écrit : "Car nous aussi, nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l’envie, dignes d’être haïs, et nous haïssant les uns les autres. Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le bain de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit" (Tite 3. 3-5).

Maintenant, est-ce que tous les élus doivent nécessairement passer par une telle conversion ? Qu’en est-il des enfants qui grandissent dans un foyer chrétien dès leur naissance et qui sont instruits dans le Seigneur pendant leur enfance ? Doivent-ils d’abord s’éloigner de Dieu afin de pouvoir vivre une conversion authentique ? Est-il possible de vivre toute sa vie près du Seigneur sans s’en éloigner et sans passer par une expérience conversion du type avant/après ? La réponse est, bien entendu, oui ! Cependant cela ne signifie pas que l’on puisse venir au monde naturellement régénéré (Jean 3. 6) ni que l’on puisse entrer dans le royaume des cieux sans repentance (Matthieu 4. 17).

"Il n’y a personne qui fasse le bien et ne pèche point, et le meilleur des hommes peut, sous le pouvoir et la tromperie de la corruption qui les habitent, par l’impulsion de la tentation, tomber dans des péchés graves et scandaleux.  Dans l’alliance de grâce, Dieu a miséricordieusement fait que des croyants qui pèchent ainsi et tombent soient renouvelés par la repentance en vue du salut".

L’idée est donc la suivante. Certains élus vivent une vie dans le péché avant leur conversion à Christ tandis que d’autres ne s’écarteront jamais des voies du Seigneur ; "comme Timothée qui connaissait et gardait la Parole de Dieu depuis son enfance" (2 Timothée 3. 14-15). Cependant, sans être passé par une expérience de conversion de type avant/après, Timothée arriva à la repentance puisqu’il fut régénéré par la Parole de Dieu. Ainsi, nous ne devons pas confondre repentance et conversion. Toute expérience authentique de conversion mène nécessairement à la repentance, mais tous ceux qui se repentent ne passent pas nécessairement par une expérience de conversion.

Ainsi, un enfant qui grandit dans un foyer chrétien et qui garde la Parole de Dieu ne devrait pas conclure qu’il est meilleur que les autres hommes, car s’il est vraiment chrétien il reconnaîtra sa condition pécheresse et s’en repentira. Le meilleur des êtres humains, même régénéré, transgresse les commandements divins (Ecclésiaste 7. 20). Mais ce qui caractérise les élus convertis est le renouvellement de la repentance (Luc 22. 31-33).

Nous savons donc que nous sommes réellement convertis non pas sur la base d’une expérience que nous avons vécue, si intense soit-elle, mais si nous avons été conduits et si nous sommes reconduits à la repentance. Ce n’est pas premièrement notre degré de sainteté qui démontre que nous sommes chrétiens, mais l’authenticité de notre repentance puisque dans l’alliance de grâce nous ne sommes pas maintenus par nos œuvres, mais par la Grâce de Dieu. Celle-ci est gratuitement donnée et sans cesse renouvelée envers les croyants qui se repentent en vue du salut.

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Jésus est éternellement notre source d'eau vive

24 Avril 2024 Publié dans #La Vie

Frères et soeurs en Jésus-Christ, nous avons notre source d'eau vive que Jésus nous a promis pendant qu'Il était sur la terre. A la femme samaritaine, Jésus lui a dit que « tout homme qui boit de cette eau aura de nouveau soif ; mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif. Car l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'où coulera la vie éternelle » (Jean 4. 13-14). En d'autres mots, "tout homme qui cherche à trouver le bonheur dans ce que le monde lui offre, ne sera jamais rassasié, mais toujours déçu. Alors que celui qui se tourne vers Jésus-Christ pour trouver le véritable bonheur, le recevra non seulement pour cette vie, mais pour l'éternité".

À cette foule qui se trouvait devant Lui, Jésus a dit : « Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son coeur. Jésus parlait de l'Esprit Saint que ceux qui croyaient en lui allaient recevoir (a ce moment-là l'Esprit n'avait pas encore été donné, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié) » (Jean 7. 37-39).

Jésus-Christ révélera plus tard à l'apôtre Jean qui sont ces gens qui ont bu à la source d'eau vive. Ce sont ceux qui ont cru en Jésus pour leur salut. Ce sont ceux qui ont reconnu qu'ils étaient justifiés devant Dieu, grâce au sang que Jésus a versé sur la croix, pour le pardon de leurs péchés.. A tous ceux-là, "l'Agneau qui est au milieu du trône sera leur berger et les conduira aux sources d'eau vive. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux" (Apocalypse 7. 13-17).

En ce qui concerne notre destinée éternelle dans la Nouvelle Jérusalem, l'ange révéla des choses à l'apôtre Jean : « L'ange me montra aussi le fleuve de l'eau de la vie, brillant comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l'Agneau, et coulait au milieu de la rue de la ville. De chaque côté du fleuve se trouve l'arbre de vie, qui donne du fruit douze mois par année, une fois chaque mois... » (Apocalypse 22. 1-2).

Dans l'éternité, le Nom du Seigneur Jésus-Christ sera pour toujours "l'Agneau", pour nous rappeler, que pendant un temps, le péché a régné dans le monde, mais que le Seigneur Jésus est venu sur la terre, pour être l'Agneau qui s'est sacrifié pour ôter et effacer le péché du monde. Puisque le Seigneur Jésus est venu offrir sa vie en tant qu'Agneau de Dieu, les élus auront le privilège de manger du fruit de l'arbre de vie, et de boire au fleuve d'eau de la vie.

Dans Apocalypse 2. 7, Jean écrit que « l'arbre de vie se trouve dans le Paradis de Dieu » et dans Apocalypse 22. 2, il est écrit qu'il se trouve de chaque côté du fleuve. Cela signifie que la Nouvelle Jérusalem, correspond au Paradis de Dieu. Le jardin d'Eden ou le paradis, décrit dans Genèse 2. 8, correspond au paradis de l'homme, mais ici dans Apocalypse 22, il correspond au Paradis de Dieu qui conduit les élus vers quelque chose d'infiniment mieux encore que tout ce que Adam a connu.

Frères et soeurs en Jésus-Christ, prenons au sérieux l'avertissement que l'auteur de l'épître aux Hébreux nous donne : « Prenons donc garde que personne parmi vous n'ait un coeur si mauvais et incrédule, qu'il se détourne du Dieu vivant. Au contraire, encouragez-vous les uns les autres chaque jour, aussi longtemps que l'aujourd'hui de l'Ecriture s'applique à nous, afin qu'aucun de vous ne se laisser tromper par le péché et refuse de comprendre. En effet, nous sommes les compagnons du Christ, si nous gardons fermement jusqu'à la fin la confiance que nous avons eue au commencement » (Hébreux 3. 12-14).

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La doctrine de la persévérance des saints

23 Avril 2024 Publié dans #Divers

Les chrétiens de plusieurs traditions différentes s’entendent généralement pour affirmer la nécessité de la persévérance dans la foi et l’obéissance pour pouvoir être considérés comme un chrétien authentique. Autrement dit, « un croyant non-pratiquant » est une figure de style à sens contradictoires puisque la vraie foi est vivante et agissante (Galates 5. 6 ; Jacques 2. 14-26). Cependant, tous n’arrivent pas à cette conclusion de la même manière. Pour certains la persévérance est une condition qui obtient le salut, tandis que pour d’autres elle est un effet nécessaire du salut lui-même.

Puisque la persévérance est interprétée différemment parmi les chrétiens, l’absence de persévérance (ou la foi temporaire) l’est tout autant. Comment faut-il comprendre l’état de ceux qui « croient pour un temps » (voir Marc 4. 17), mais qui abandonnent la foi par la suite ? Ont-ils perdu le salut ? Ont-ils même reçu le salut ? Peuvent-ils être sauvés ou sont-ils perdus à jamais ? Voilà le genre de questions que la doctrine de la persévérance des saints soulève.

Nous pouvons voir cette doctrine en trois paragraphes qui affirment la persévérance des saints comme une manifestation nécessaire de salut. Nous présenterons le contenu de ce chapitre en posant les trois questions suivantes :

1. La persévérance est-elle nécessaire au salut ?

- Ceux que Dieu a acceptés en son Bien aimé Jésus, qu’il a efficacement appelés, et sanctifiés par son Esprit, ceux à qui Il a donné la foi précieuse des élus, ne peuvent ni totalement ni définitivement déchoir de l’état de grâce, mais ils y persévéreront certainement jusqu’à la fin et seront éternellement sauvés.  Puisque les dons et l’appel de Dieu sont sans repentance, il fera naître et croître en eux la foi, la repentance, l’amour, la joie, l’espérance et toutes les grâces de l’Esprit en vue de l’immortalité (Jean 10. 28-29 ; Philippiens 1. 6 ; 2 Timothée 2. 19 ; 1 Jean 2. 19).  Bien que de nombreux orages et tempêtes se lèveront et les frapperont, ils ne seront jamais capables de les arracher au fondement et rocher auquel ils sont attachés par la foi.  Bien que, en raison de l’incroyance et des tentations de Satan, leur perception de la Lumière et de l’Amour de Dieu puisse être, pour un temps, voilée et obscurcie (Psaumes 89. 32-33 ; 1 Corinthiens 11. 32), Dieu demeure toujours le même, et ils auront l’assurance d’être gardés par la puissance de Dieu pour le salut, où ils se réjouiront des richesses qui leur auront été acquises, d’autant qu’ils ont été gravés sur la paume de ses mains, et que leurs noms ont été inscrits de toute éternité dans le livre de vie (Psaumes 89. 32-33 ; 1 Corinthiens 11. 32).

2. Qu’est-ce qui nous garantit que nous allons persévérer jusqu’à la fin ?

– Cette persévérance des saints ne dépend pas de leur libre arbitre, mais de l’immutabilité du décret de l’élection (Romains 8. 30, 9. 11, 16), lequel découle du libre et immuable Amour de Dieu le Père, de l’efficacité du mérite et de l’intercession de Jésus-Christ et de l’union avec Lui (Romains 5. 9-10 ; Jean 14. 19), du serment de Dieu (Hébreux 6. 17-18), de la présence permanente de son Esprit, de la semence de Dieu en eux (1 Jean 3. 9), et de la nature de l’alliance de grâce (Jérémie 32. 40). De tout cela résulte son caractère certain et infaillible pour notre salut.

3. La grâce de Dieu nous assure-t-elle que nous serons préservés des péchés graves ?

– En raison des tentations de Satan et du monde, de la prédominance de la corruption rémanente en eux, et de la négligence des moyens de sauvegarde, les saints peuvent tomber dans de graves péchés, et pour un certain temps y demeurer (Matthieu 26. 70, 72, 74); de la sorte, ils provoquent le déplaisir de Dieu, attristent le Saint-Esprit (Esaïe 64. 5, 9 ; Ephesiens 4. 30), et en arrivent à avoir leurs grâces et leurs soutiens diminués (Psaumes 51. 12, 14) ; ils ont leur propre cœur endurci et la conscience meurtrie (Psaumes 32. 3-4), ils blessent et scandalisent les autres, et provoquent des jugements temporaires sur eux mêmes (2 Samuel 12. 14 ; cependant, ils renouvelleront leur repentance et seront gardés par la foi en Christ Jésus jusqu’à la fin (Luc 22. 32, 61-62).

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Le sacrifice de Jésus Christ purifie de tout péché

22 Avril 2024 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #Pardon des péchés

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16). « L’Amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés » (1 Jean 4. 9-10).

Sachons avec certitude que la Sainteté et la Justice de Dieu exigent la condamnation du coupable ou celle d’un « innocent » jugé à sa place. AUCUN être humain n’a jamais pu ni ne pourra jamais apaiser la Colère du Dieu Saint contre ses péchés. C’est pourquoi, dans son parfait Amour infini pour CHACUN de nous, Dieu le Père nous a offert en sacrifice son Fils Jésus-Christ en nous l'envoyant dans ce monde ; afin que par sa mort sur la croix et par sa résurrection, Il sauve notre âme du Jugement éternel qu'est l'Enfer.
Oui, de toute éternité, Jésus-Christ désirait absolument à être ce sacrifice parfait, nous prouvant ainsi Son Amour infini pour nous. Avant de S’offrir comme l’Agneau pascal sans défaut, comme le sacrifice parfait pour le péché, Jésus dit à Ses disciples : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jean 15. 13)

Jésus-Christ a accepté de venir volontairement sur la terre dans la condition d’homme semblable à nous mais il est né sans péché. Il honorait Dieu son Père à chaque instant de sa vie en montrant à tous l’amour et la grâce de Dieu. Sa perfection dérangeait ses contemporains, alors ils L’ont méprisé et haï. Malgré tous les pièges de Satan et des êtres humains, Jésus est resté Parfait, Saint. Il n’a commis AUCUN péché. C’est pourquoi Lui seul pouvait subir pour nous le Jugement qui effacerait tous nos péchés car Il était « innocent ». « Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous, comme offrande et sacrifice à Dieu. » (Éphésiens 5. 2)

Dans son Amour pour Dieu le Père et pour nous, Jésus-Christ s’est offert en parfait sacrifice sur la croix pour purifier de tout péché quiconque croit en Lui. Il a enduré de la part de Dieu son Père l'horrible châtiment que nous méritions. Oui, Jésus a confessé nos péchés comme si Lui-même les avait commis et en a subi sur la croix le terrible Jugement. Puis c'est là que Jésus est mort et ensuite son sang a coulé lorsqu’un soldat lui a percé le côté avec une lance. « Il (Jésus Christ) a fait la paix par le sang de sa croix. » (Colossiens 1. 20)

Par la mort de Jésus pour nous sur la croix, Dieu a démontré l’ampleur de son Amour pour nous et l’horrible nature du péché. Le prix du pardon de nos péchés fût infiniment couteux pour Dieu qui nous a envoyé Son Fils Jésus que nous les êtres humains ont battu et crucifié. Et sur la croix, Jésus qui versa son précieux sang et qui porta tous nos péchés sur Lui en subissant la Colère de Dieu, nous démontrent avec puissance que le péché ne peut être traité à la légère.

Les souffrances de Jésus-Christ nous rappellent en outre les terribles souffrances engendrées par le péché et que nous devions subir en Enfer. Notre Dieu Juste ne minimise pas l’horreur du péché. L’Épître de Paul aux Romains met l’accent sur la Justice divine. Le péché exige une amende. Mais Dieu, dans Sa Miséricorde, permet au sacrifice de Christ de payer l’amende de nos péchés, mais cela ne veut pas dire qu’Il Se contente d’ignorer ces derniers. Dieu ne S’est pas contenté d’effacer nos péchés ; il a fallu que Quelqu’un (son Fils Jésus-Christ) paie l’amende méritée de nos fautes. Dieu, qui est Juste, ne peut pas ignorer le péché. C’est Lui qui a déclaré que « le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6. 23, voir Genèse 2. 17b). S’il n’y a pas de mort, le salaire du péché n’est pas payé. Mais gloire à Dieu qui a manifesté sa parfaite Justice en ressuscitant d’entre les morts son Fils Jésus-Christ. Ainsi, pour quiconque croit en Jésus, la parfaite Justice de Dieu est satisfaite par le sacrifice de son Fils Jésus sur la croix.

Qui sera alors purifié de ses péchés ?

Le salut de l’âme est accessible à tous sans exception, même au plus grand criminel du monde ; car le parfait sacrifice de Jésus-Christ a une valeur infinie.

La seule condition en croyant en Jésus-Christ est que si nous nous repentons et « si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1. 9). Par contre, celui qui refuse de se reconnaître coupable devant Dieu agit comme si Dieu était menteur et méprise la mort de son Fils Jésus-Christ. En conséquence, il endurera les tourments éternels en Enfer loin du Dieu d’Amour.

Que chaque être humain accepte donc à l’instant même le si grand Salut que Dieu nous offre gratuitement pour le salut et le bonheur éternel de notre âme. « Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit (ne croit pas) au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.» (Jean 3. 36)

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L'Evangile et l'étendue de la Grâce

21 Avril 2024 Publié dans #EVANGILE, #Salut

L’alliance des œuvres ayant été détruite par le péché et rendue inutile pour la vie, il a plu à Dieu d’annoncer la promesse de Christ (Genèse 3. 15), la postérité de la femme, comme le moyen par lequel Dieu appellera les élus et fera naître en eux la foi et la repentance. Dans cette promesse, a été révélée la substance de l’Évangile, qui est efficace pour la conversion et le salut des pécheurs (Apocalypse 13. 8).   .

Cette promesse de Christ et du salut par Lui n’est révélée que dans la Parole de Dieu (Romains 1. 17). Ni les œuvres de la création, ni la providence divine, ni la lumière de la nature ne peuvent faire découvrir Christ ou la grâce obtenue par Lui, même d’une manière générale ou obscure (Romains 10. 14-15, 17). Ceux qui sont privés de la révélation de sa promesse et de l’Évangile sont donc incapables d’atteindre la foi qui sauve ou la repentance (Proverbes 29. 18 ; Ésaïe 25. 7, 60. 2, 34).

En ce qui concerne la révélation de l’Évangile aux pécheurs, faite à plusieurs reprises et en plusieurs endroits, avec l’adjonction de promesses et de commandements pour l’obéissance qui y est requise, cela ne dépend que de la volonté souveraine et du bon plaisir de Dieu (Psaumes 147. 20 ; Actes 16. 7) quant aux nations et aux individus à qui elle est accordée. Elle n’a pas été communiquée en vertu d’une promesse quelconque due au développement des capacités naturelles de l’être humain ou de la lumière commune reçue sans elle ; en réalité, personne n’a jamais fait ni ne pourra jamais faire telle promesse (Romains 1. 18-32). Par conséquent, en tout temps la prédication de l’Évangile a été accordée à des personnes et des nations de façon très variée, selon le conseil du dessein de Dieu.

Bien que l’Évangile demeure le seul moyen extérieur de révéler Christ et sa grâce salutaire, et malgré le fait qu’il soit en lui-même amplement suffisant pour ceci, l’œuvre efficace et irrésistible de l’Esprit Saint dans toute l’âme est nécessaire pour que des êtres humains qui sont morts dans leurs transgressions puissent naître de nouveau, être rendus à la vie ou régénérés, et que cela produise en eux une vie nouvelle spirituelle (Psaumes 110. 3 ; 1 Corinthiens 2. 14 ; Éphésiens 1. 19-20). Aucun autre moyen n’accomplira leur conversion à Dieu (Jean 6. 44 ; 2 Corinthiens 4. 4, 6).

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