Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

pardon des peches

Le sacrifice de Jésus Christ purifie de tout péché

22 Avril 2024 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #Pardon des péchés

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16). « L’Amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés » (1 Jean 4. 9-10).

Sachons avec certitude que la Sainteté et la Justice de Dieu exigent la condamnation du coupable ou celle d’un « innocent » jugé à sa place. AUCUN être humain n’a jamais pu ni ne pourra jamais apaiser la Colère du Dieu Saint contre ses péchés. C’est pourquoi, dans son parfait Amour infini pour CHACUN de nous, Dieu le Père nous a offert en sacrifice son Fils Jésus-Christ en nous l'envoyant dans ce monde ; afin que par sa mort sur la croix et par sa résurrection, Il sauve notre âme du Jugement éternel qu'est l'Enfer.
Oui, de toute éternité, Jésus-Christ désirait absolument à être ce sacrifice parfait, nous prouvant ainsi Son Amour infini pour nous. Avant de S’offrir comme l’Agneau pascal sans défaut, comme le sacrifice parfait pour le péché, Jésus dit à Ses disciples : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jean 15. 13)

Jésus-Christ a accepté de venir volontairement sur la terre dans la condition d’homme semblable à nous mais il est né sans péché. Il honorait Dieu son Père à chaque instant de sa vie en montrant à tous l’amour et la grâce de Dieu. Sa perfection dérangeait ses contemporains, alors ils L’ont méprisé et haï. Malgré tous les pièges de Satan et des êtres humains, Jésus est resté Parfait, Saint. Il n’a commis AUCUN péché. C’est pourquoi Lui seul pouvait subir pour nous le Jugement qui effacerait tous nos péchés car Il était « innocent ». « Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous, comme offrande et sacrifice à Dieu. » (Éphésiens 5. 2)

Dans son Amour pour Dieu le Père et pour nous, Jésus-Christ s’est offert en parfait sacrifice sur la croix pour purifier de tout péché quiconque croit en Lui. Il a enduré de la part de Dieu son Père l'horrible châtiment que nous méritions. Oui, Jésus a confessé nos péchés comme si Lui-même les avait commis et en a subi sur la croix le terrible Jugement. Puis c'est là que Jésus est mort et ensuite son sang a coulé lorsqu’un soldat lui a percé le côté avec une lance. « Il (Jésus Christ) a fait la paix par le sang de sa croix. » (Colossiens 1. 20)

Par la mort de Jésus pour nous sur la croix, Dieu a démontré l’ampleur de son Amour pour nous et l’horrible nature du péché. Le prix du pardon de nos péchés fût infiniment couteux pour Dieu qui nous a envoyé Son Fils Jésus que nous les êtres humains ont battu et crucifié. Et sur la croix, Jésus qui versa son précieux sang et qui porta tous nos péchés sur Lui en subissant la Colère de Dieu, nous démontrent avec puissance que le péché ne peut être traité à la légère.

Les souffrances de Jésus-Christ nous rappellent en outre les terribles souffrances engendrées par le péché et que nous devions subir en Enfer. Notre Dieu Juste ne minimise pas l’horreur du péché. L’Épître de Paul aux Romains met l’accent sur la Justice divine. Le péché exige une amende. Mais Dieu, dans Sa Miséricorde, permet au sacrifice de Christ de payer l’amende de nos péchés, mais cela ne veut pas dire qu’Il Se contente d’ignorer ces derniers. Dieu ne S’est pas contenté d’effacer nos péchés ; il a fallu que Quelqu’un (son Fils Jésus-Christ) paie l’amende méritée de nos fautes. Dieu, qui est Juste, ne peut pas ignorer le péché. C’est Lui qui a déclaré que « le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6. 23, voir Genèse 2. 17b). S’il n’y a pas de mort, le salaire du péché n’est pas payé. Mais gloire à Dieu qui a manifesté sa parfaite Justice en ressuscitant d’entre les morts son Fils Jésus-Christ. Ainsi, pour quiconque croit en Jésus, la parfaite Justice de Dieu est satisfaite par le sacrifice de son Fils Jésus sur la croix.

Qui sera alors purifié de ses péchés ?

Le salut de l’âme est accessible à tous sans exception, même au plus grand criminel du monde ; car le parfait sacrifice de Jésus-Christ a une valeur infinie.

La seule condition en croyant en Jésus-Christ est que si nous nous repentons et « si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1. 9). Par contre, celui qui refuse de se reconnaître coupable devant Dieu agit comme si Dieu était menteur et méprise la mort de son Fils Jésus-Christ. En conséquence, il endurera les tourments éternels en Enfer loin du Dieu d’Amour.

Que chaque être humain accepte donc à l’instant même le si grand Salut que Dieu nous offre gratuitement pour le salut et le bonheur éternel de notre âme. « Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit (ne croit pas) au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.» (Jean 3. 36)

Lire la suite

Dieu peut supprimer notre passé

15 Avril 2024 Publié dans #Pardon des péchés

L'apôtre Paul dit à propos de Jésus : « IL A EFFACÉ L'ACTE RÉDIGÉ CONTRE NOUS, Il l’a supprimé, en le clouant à la croix » (Colossiens 14-15). Effacé, supprimé, voilà des termes explicites et définitifs.

Vous est-il déjà arrivé d’être presque arrivé au bout d’un projet et de souhaiter pouvoir le recommencer ? Si vous repeignez votre salon et prenez du recul pour comparer sa couleur avec celle du nuancier, elle n’aura pas le même aspect que celui-ci. Vous aimeriez pouvoir recommencer.
Beaucoup de gens ressentent la même chose dans la vie, comme le décrit un auteur : « J’ai fait tellement d’erreurs. J’aimerais pouvoir les effacer et repartir à zéro. » Les échecs, les problèmes, les mauvaises décisions, tout le monde en a souffert. Mais certaines personnes ne parviennent pas à oublier le passé, et le laissent donc limiter leurs possibilités actuelles. Elles vivent dans un état de regret constant, à toujours se lamenter : « Si seulement j’avais pu agir autrement ! » Elles se remettent sans cesse en question. Elles sont tourmentées par des souvenirs douloureux : « J’ai tout gâché et je vais le payer pour le reste de ma vie ».
Nous pouvons choisir de nous sentir coupable, mais nous n’y sommes pas tenus ! Au moment où nous mettons notre confiance en Christ, il efface le récit de notre passé. En fait, nous n'avons plus de passé, rien qu’un avenir ! Nous pouvons déposer une fois pour toutes le fardeau de nos vieilles blessures. Jésus s’en est chargé « en le clouant à la croix ». Dieu l’a promis : « Je ne me souviendrai plus de tes péchés » (Esaïe 43. 25). Il faut le croire !

« JE PARDONNERAI LEUR FAUTE ET JE NE ME SOUVIENDRAI PLUS DE LEUR PÉCHÉ » (JÉRÉMIE 31. 34).

Observez un enfant qui s’amuse avec une ardoise magique. Dès qu’il commet une erreur dans le dessin, il peut juste la retourner pour tout effacer et recommencer à l’infini. C’est ainsi que Dieu gère nos fautes. Il nettoie l’ardoise. Il ne se souviendra plus de nos péchés. C’est sans doute l’une des plus merveilleuses affirmations de la Bible : Dieu oublie !
Lorsque nous avouons nos péchés et demandons à Dieu de nous pardonner, il annule notre passé. Il choisit d’oublier nos torts et nos échecs. Même si chacun de nous, enfants de Dieu, mourons ce soir, et nous nous tenions face à Dieu dans le Ciel, si nous Lui parlions d’un péché que nous aurions commis hier, Dieu dirait : « Quel péché ? ». Lorsque nous nions nos péchés, nous refusons à Dieu la joie de nous pardonner. Si nous tentons de le justifier, Dieu permet que les conséquences de nos péchés en deviennent si douloureuses que nous aurons hâte de nous en détourner.
Mais si nous le Lui confessons, la Bible dit : « Nous pouvons avoir confiance en Dieu, car Il est juste : Il pardonnera nos péchés et nous purifiera de tout mal » (1 Jean 1. 9, BFC).
Le fils prodigue a brisé le cœur de son père, dilapidé son héritage pour finir dans la boue parmi les cochons. Mais c’est alors que commence l’histoire de sa rédemption et de son retour : « Rentré en lui-même, il se dit : combien d’employés chez mon père ont du pain en abondance, et moi ici, je péris à cause de la famine. Je me lèverai, j’irai vers mon père et lui dirai : père, j’ai péché contre le ciel et envers toi » (Luc 15. 17–18). Le père s’est réjoui et lui a pardonné. Aujourd’hui, Dieu fera de même pour celui ou celle qui reviendra vers lui.

« TOUT EST ACCOMPLI » (JEAN 19. 30).

« Tout est accompli » est une des dernières paroles de Christ sur la croix. En grec, cette phrase se résume en un seul mot : « tetelestai », qui signifie « payé en totalité ». C’est le terme que les marchands notaient sur une facture soldée.
On l’apposait aussi sur un document annonçant qu’une peine de prison avait été effectuée. Jésus a payé le prix en totalité pour chaque péché que nous avons pu commettre ! La Bible affirme : « Il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ » (Romains 8. 1, BFC).

L’Éternel Dieu dit : "C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés". (Ésaïe 43. 25). Le sacrifice de Jésus sur la croix pour le péché était un sacrifice une fois pour toutes, Jésus a payé une fois pour le péché. Son paiement était complet. Hébreux 10:14-18 dit : « Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés. C'est ce que le Saint-Esprit nous atteste aussi; car, après avoir dit: ‘Voici l'alliance que je ferai avec eux, Après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leur cœur, Et je les écrirai dans leur esprit,’ il ajoute: ‘Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités.’ Or, là où il y a pardon des péchés, il n 'y a plus d'offrande pour le péché ».
Et si, pour chacun de nous enfants de Dieu, Dieu ne se souvient plus de nos péchés à la seconde où nous les confessons, ne devrions-nous pas l’oublier moi aussi et aller de l'avant ?
Une fois que nous avons réglé une facture, nous la rangeons dans nos archives et nous n’y pensons plus. De la même façon, depuis que, sur la croix, Jésus a payé la facture de tous nos péchés en totalité, nous pouvons les oublier.
Paul, qui se décrit volontiers comme le premier des pécheurs (voir 1 Timothée 1. 15), a dit : « Oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ-Jésus » (Philippiens 3. 13–14).
On peut passer à côté de la puissance de Dieu si on ne croit pas en son pardon. Et pourtant la bonne nouvelle, c'est que, pour nous enfants de Dieu, quand Dieu pardonne un péché, il efface le dossier, annule le passé, et l’oublie à jamais.
Alors, aujourd’hui, nous acceptons son pardon. Et si nous en avons besoin pour avancer, nous nous pardonnons et nous avançons.

Lire la suite

Aucune condamnation pour ceux qui ont cru

14 Mars 2024 Publié dans #EVANGILE, #Pardon des péchés

"Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ" (Romains 8. 1).

Par la désobéissance d'un seul être humain, le péché, la condamnation et la mort sont passés sur tous les êtres humains, parce que tous ont péché dans le péché d'Adam. "C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché,..." (Romains 5. 12)
La transgression d’Adam a emmené sa postérité à hériter de sa nature pécheresse, c’est-à-dire d'une perversité de pensée, de disposition, de volonté, de conscience et d'affectivité.
Nous les êtres humains avons une hérédité qui nous porte au péché. Puis notre être tout entier est contaminé par le mal. De par notre nature humaine, nous sommes nés pécheurs, nous sommes automatiquement tous condamnés, car nos vies sans le Seigneur Jésus ne peuvent honorer Dieu.

La Bible dit : "Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul" (Romains 3. 12)
Au temps de la Loi, il fallait pratiquer la Loi pour annuler cette condamnation héréditaire afin d’être sauvé. La Loi étant assez compliquée à pratiquer et le fait qu’il fallait à chaque moment faire des sacrifices d’animaux pour effacer ses transgressions ; Dieu permit dans sa grâce à ce qu’un Grand et Parfait sacrifice soit accompli par son Fils Jésus pour que tous ceux qui croient et placent leur confiance dans ce sacrifice ne soient point condamnés, mais puissent être sauvés pour l'éternité. Oui, ce parfait sacrifice est celui de Jésus-Christ, l'Agneau de Dieu sans tâche ni ride.
Maintenant, tous ceux qui sont en Jésus Christ ne sont plus condamnés, ils ont maintenant la Vie Éternelle et la malédiction d’Adam est annulée
pour toujours sur leur vie.
"Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les êtres humains, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s'étend à tous les êtres humains"  (Romains 5. 18)

Cet acte est la mort de Jésus Christ sur la croix de Golgotha, c'est un acte d’Amour infini que Dieu a posé par Amour pour le monde. "Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).

Le terme "aucune condamnation" veut dire que, en Jésus-Christ, nous ne subirons aucun châtiment de tous nos pé­chés, que par la justification nous sommes affranchis de la culpa­bi­lité que nos péchés font pe­ser sur nous, que par la sanc­ti­fi­ca­tion que nous avons reçue en Jésus, nous sommes pour toujours af­fran­chis de la do­mi­na­tion du pé­ché en nous qui en­traîne la mort spi­ri­tuelle.
Certains pensent qu’ils peuvent annuler la condamnation d’Adam en empruntant d’autres chemins autres que Jésus. Rien ni personne d’autre que Jésus ne peut annuler cette condamnation, Il est le Chemin, la Vie et la Vérité. "Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." (Jean 14. 6)

Nous qui sommes en Jésus, nous devons nous réjouir car tous nos péchés nous sont pardonnés en Jésus et nous ne sommes plus condamnés. C'est pourquoi, nous devons nous tenir ferme en Jésus-Christ ; et au travers de nos actes, ne point être infidèles à Lui ainsi qu'à Dieu notre Père Céleste.
A celui qui hésite encore de venir à Jésus, qu'il sache que, tant qu'il ne L’a pas encore accepté comme seul Seigneur et Sauveur de sa vie, il est condamné quelque soit la religion qu'il pratique. Tant qu'un étre humain vit sur terre, il n’est pas encore tard pour lui de donner réellement et totalement sa vie à Jésus ; pour que Jésus annule sa condamnation méritée en sauvant son âme de tous ses péchés.
Oui, par un homme (Adam), nous avons été condamnés ; et par la foi en Jésus-Christ (le Fils de Dieu fait homme), nous ne sommes plus condamnés. AMEN ! "Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts." (
1 Corinthiens 15. 21)

Lire la suite

Savoir pardonner aux autres

5 Février 2024 Publié dans #Pardon des péchés

LE DON DU PARDON

"Quand nous remettons nos blessures à Dieu, il nous permet d’user de miséricorde envers autrui" (Voir Colossiens  3. 12-17).

On donne un cadeau de bon cœur, sans s’attendre à quoi que ce soit en retour. Nous avons tout reçu de Dieu, surtout notre salut. Nos péchés ne nous avaient rien rapporté, sauf la condamnation; et pourtant, Dieu nous les a pardonnés si nous avons cru en son Fils Jésus. Comme Dieu nous accorde un pardon que nous ne méritons pas et ne pouvons gagner, nous devons également en faire cadeau à notre prochain en leur annonçant la Bonne Nouvelle.
Le pardon de nos péchés nous fait renoncer à toute revendication et à tout droit d’imposer à l’autre une peine pour son offense. On ne peut y rattacher de conditions, car alors, ce ne serait plus le pardon. La rancune se compare à un bagage émotionnel rempli du souvenir des fautes commises contre nous et du désir de vengeance. Il affecte tant la santé spirituelle que physique.
Cependant, celui qui choisit de manifester l’amour, la compassion et le pardon reçoit la paix de Christ. Quand la Parole de Dieu habite richement en nous, la colère et le désir de vengeance font place à la louange envers Dieu.
Bien des gens croient qu’il est trop difficile de pardonner. Nous n’avons toutefois pas à fabriquer le pardon. Jésus le Sauveur nous le donne librement, et nous n’avons qu’à le transmettre à d’autres.

LE VRAI PARDON

« CONFESSEZ DONC VOS PÉCHÉS LES UNS AUX AUTRES, ET PRIEZ LES UNS POUR LES AUTRES, AFIN QUE VOUS SOYEZ GUÉRIS » (JACQUES 5. 16).

Des excuses sincères peuvent aider à guérir et à restaurer une relation mise à mal, mais ce n’est pas forcément suffisant.
Voici quatre façons d’aller au bout d’un processus de pardon.
1- Ne pas se contenter d’être désolé. Dire : « Dommage que tu l’aies mal pris » n’est pas une excuse. C’est une pique insidieuse envoyée à la personne blessée. Il faut admettre précisément ce qu’on regrette.
Éprouver des remords parce qu’on a heurté quelqu’un sans le vouloir est la juste attitude à adopter, car elle reconnaît les torts et rend justice à l’autre.
2- Assumer l’entière responsabilité de son comportement, sans quoi ni guérison ni réconciliation ne seront possibles. Déclarer de façon honnête et responsable : « J’ai eu tort de te parler comme ça ».
Cette attitude aide la personne offensée à considérer la demande de pardon comme authentique, ce qui apaise la colère et rétablit la confiance.
3 - Proposer de faire amende honorable quand on le peut. S’impliquer et chercher à améliorer les choses rend les excuses crédibles. Jacques dit : « Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris » (Jacques 5. 16).
4 - Demander le pardon, et ne pas le prendre pour acquis ! Il faut l’exprimer haut clair et fort pour bien se faire entendre afin que le rétablissement puisse s’opérer.
Et dès lors que le pardon est accordé, c’est comme deux signatures sur un contrat : on s’engage à dépasser la blessure et à travailler ensemble à une relation plus saine.

UN PARDON COUTEUX

LIRE COLOSSIENS 3. 12-15

Nous tentons souvent de justifier notre ressentiment en nous disant que le Seigneur Jésus connaît le tort que nous avons subi et qu’Il comprend notre colère. C’est vrai, Jésus, entièrement Dieu et entièrement Homme, connaît très bien nos sentiments.
En fait, Juda L’a trahi et les siens l’ont abandonné; par conséquent, Jésus comprend notre douleur. Et pourtant, il ne peut donner son consentement à notre rancœur.
Jésus le Sauveur a concrétisé le pardon de Dieu, même des pires offenses. De plus, songeons au fait que nous Le trahissons sans cesse en refusant son Règne sur notre vie, en doutant de sa Parole et en ignorant ses directives.
Il nous arrive de ne pas l’inclure dans nos activités et nos décisions pour être en mesure de faire ce qui nous plaît. En outre, nous péchons non seulement contre Lui, mais aussi contre notre prochain.
Comment agit Jésus en retour ? Il nous invite ainsi : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11. 28).
Croyons-nous sincèrement que Dieu va justifier notre rancune ? Non, il veut que nous tournions le regard vers la croix pour y découvrir le prix qu’Il a payé afin de nous pardonner nos fautes. Nous devons pardonner, comme Dieu nous a pardonné
(Colossiens 3. 13).

INDICES SUR LE PARDON

Lire MATTHIEU 18. 21-35

Il arrive souvent que nous arrêtions d’accepter des excuses après un certain nombre d’offenses ou que nous nous réservions le choix de pardonner. Jésus n’a pas établi de telles distinctions sur la croix. Son Amour inconditionnel signifie que notre pardon devrait aussi être sans limites, même quand nous devons exiger que certains comportements cessent.
Nous sommes parfois tentés de nous accrocher à la rancune pour un temps au lieu de pardonner immédiatement, mais même quand nous le faisons temporairement, nous accordons l’avantage à Satan.
Le pardon est pénible et coûteux. Jésus a senti tous les clous qui L’ont transpercé. Dieu peut toutefois tirer du bien d’une triste situation. Le « bien » pourrait être que Dieu nous façonne à l’image de son Fils Jésus ou qu’en nous révélant notre faiblesse, Il nous attire à Lui.
Étant donné que Dieu est Souverain, nous devrions nous montrer prêts à pardonner. Remettons-Lui toute soif de vengeance et prions Le de nous fournir la sagesse et la force nécessaires pour Lui plaire. Quand nous pardonnons à quelqu’un, ayons toujours l’intention de nous réconcilier avec lui. Ainsi, nous serons portés à faire tout ce que nous indique Dieu pour rétablir cette relation, comme Jésus l’a fait pour nous.

Lire la suite

Jésus-Christ nous pardonne et nous secourt

6 Décembre 2023 Publié dans #Pardon des péchés

LIRE Jean 8. 3-11

– Le piège tendu à Jésus

Ici, une femme est accusée d’adultère.
Les pharisiens devaient penser de Jésus : "Nous connaissons bien ton attachement à la Parole de Dieu" (En parlant du
verset 6, la version anglaise parle de piège.) D’un côté, ils savent que Jésus est attaché à la loi, de l’autre qu’Il est Amour. Si Jésus dit qu’il faut pardonner, Il contrevient à la loi de Moïse. Pour eux, Jésus n’est pas plus que Moïse. Le piège est ainsi tendu !

Ils s’adressent donc à Jésus : Toi, que dis-Tu ? Jésus dessine dans le sable. La loi à laquelle les pharisiens sont attachés doit s’appliquer. Tout le monde est d’accord ! Le problème est que celui qui applique la loi doit être sans reproche.

En communication, il y a le langage verbal et le langage non verbal. Il y a ce que l’on dit et ce que l’on ne dit pas, mais que l’on entend. On peut dire certaines choses, mais derrière cela, on pense à autre chose. Les gens avertis comprennent ce que tu dis. Là Jésus dit : « Que celui qui n’a jamais péché commence... En quelque sorte, c’est comme si Jésus disait : Vous êtes tous coupables. Si vous punissez cette femme, Dieu vous punira aussi. Et là, « accusés par leur conscience », ils se retirèrent. Jésus demanda à la femme : « Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? ». Personne ne t'a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Puis lui répond : « Je ne te condamne pas non plus ; va, et ne pèche plus ».

– Le pardon de Jésus

Ainsi est Jésus. Il est venu porter les péchés des êtres humains. « Car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur » (1 Jean 3. 20) et Il connaît toutes choses. Combien notre cœur nous condamne, chaque jour ! Et nous accuse, nous reproche beaucoup de choses : "tu fais cela devant les gens et toi-même hier tu as menti. Tu fais le gentil devant les gens mais tu es hypocrite !"

On peut tromper les humains, mais qui va tromper son cœur ? Quand nous parlons du cœur, nous évoquons la conscience. Qui va tromper notre conscience. Mais ce texte nous dit que même si notre cœur nous condamne, Dieu s’autorise à nous pardonner.

Parfois nous faisons des choses et on se dit : Seigneur Jésus, je suis vraiment mauvais. On se culpabilise. Le Seigneur nous dit : Si tu penses être mauvais, Moi, Je te pardonne.

Un jour, on amène à Jésus un homme alité. Et Jésus lui dit : Tes péchés sont pardonnés. Les témoins se disaient : Pour qui se prend-Il pour pardonner les péchés ? Mais le Seigneur Jésus a lu dans leurs pensées. Pour que les gens voient qu’Il a non seulement le pouvoir de pardonner les péchés, mais aussi de guérir, Il dit au paralytique : Lève-toi, prends ton lit et rentre chez toi ! (Voir Luc 5. 17-26).

– Demandons le secours du Seigneur

Lecteurs/trices, qui est Jésus pour vous ? C’est Celui qui pardonne. Vous êtes peut-être chrétien, mais vous vivez avec le cœur serré, avec une pointe d’amertume. Le Seigneur te pose la question : Est-ce que ta vie correspond à ce que Je suis ? Et l’état dans lequel tu es ? Si c’est oui, gloire à Dieu. Si c’est non, dis au Seigneur : J’ai essayé, je n’y arrive pas, viens m’aider ! Relisons ceci : « Jésus demeure la solution. »

Ne nous arrêtons pas en disant : J’ai essayé, je n’y arrive pas, c’est la même chose à chaque fois ! Un jour, les disciples ont essayé toute la nuit et n’ont rien pris. Quand le Seigneur est intervenu, les choses ont changé. Tu penses connaître Jésus, tu penses tout maîtriser. Nous devons contempler Jésus chaque jour pour apprendre de Lui. Il est venu sauver les humains, régler la question du péché.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).

– La solitude :

Jésus nous donne la vie, et donne un sens à notre vie. Non seulement cela, mais Il est là pour nous soutenir : Tu n’y arrives pas, Il va t’aider. Dans Jean 5, à la piscine de Béthesda, Le Seigneur Jésus voit un paralytique et lui dit : Veux-tu être guéri ? L’homme répond : Je suis là depuis 38 ans. Jésus réitère sa question : Veux-tu être guéri ? Oui mais il faut attendre que l’ange vienne, qu’il fasse bouger l’eau, puis il faut entrer dans l’eau, cela fait beaucoup de conditions pour cet homme. Jésus le regarde et lui dit : « Lève-toi, prends ton lit et marche ». Cette histoire nous montre la solitude de ce paralytique. Lorsque l’eau était secouée, personne ne se présentait pour l’aider car il était là depuis 38 ans.

Nous avons beaucoup de technologie autour de nous, mais, en réalité l’être humain est seul. Qui va t’aider face à tes problèmes ? Chacun a les siens.

– Pour une seule personne

Bien-aimés, Jésus est Celui qui entend, voit nos souffrances, et vient à nous. N’est-ce pas merveilleux ? La conséquence est que nous devons décider de vivre pour Lui désormais. C’est l’enseignement de ce matin. Une fois toutes les caractéristiques de Jésus connues, pourquoi traîner des pieds pour servir le Seigneur ?

Certains arrivent à dix heures moins une pour le culte de dix heures. Tu me diras : Il n’a pas péché. La question n’est pas là. Moralement ce n’est pas une faute. Il s’agit d’autre chose, c’est une question d’amour pour le Seigneur Jésus. Quand quelqu’un aime Jésus, il ne doit pas être en retard en allant à sa rencontre, il ne perd pas une minute.

Qui suis-je pour vous personnellement ? nous demande le Seigneur. Certains viennent parce que c’est dimanche, d’autres parce qu’ils se disent qu’on va leur envoyer un texto pour leur demander ce qui se passe. Si tu fais les choses pour cela, reste chez toi. Et nous allons prier que Jésus se révèle à toi.

Bien-aimés, Jésus, pour une seule personne fait le déplacement. Nous ne sommes pas dans une logique comptable en calculant ce qu’on y gagne ! Pour une seule âme, Jésus se déplace. Une âme sauvée donne de la joie au Père. Réalisons qui est le Seigneur !

– Jésus est notre assurance

Combien de temps passons-nous sur nos smartphones ? Et combien de temps passons-nous avec notre Seigneur ?

Répondez à la question : Qui est le Seigneur Jésus pour vous ? Est-ce que tout ce que tu vois autour de toi te ramène au Seigneur. Exprimez-vous ceci au Seigneur ? : Seigneur, puisque tu demeures la solution, je te prie pour les situations que je rencontre ! Seigneur, regarde mon pays telle qu’il est, regarde le monde tel qu’il est !

Lire la suite

Fondement, étendue et caractère du pardon de Dieu

10 Novembre 2023 Publié dans #Pardon des péchés

Il est de la plus grande importance pour l’âme humaine de connaître les bases sur lesquelles reposent le salut et le pardon que Dieu accorde aux pécheurs qui se repentent de leurs péchés et qui ont la foi véritable en Jésus-Christ en croyant en Lui. Quel est le "fondement" de ce pardon ? quelle est son "étendue" ? quel est son "caractère" ? En tant qu'enfants de Dieu et durant notre vie sur la terre, il est impossible que notre conscience divinement exercée jouisse d’un vrai et complet repos si elle n’est pas au clair sur ces trois questions citées plus haut.

1 - Le fondement du pardon :
Une âme peut avoir des pensées vagues sur la bonté de Dieu, sur sa disposition à recevoir des pécheurs et à leur pardonner, sur sa répugnance à exercer le jugement, sur sa disposition à user de miséricorde. Tout cela peut être connu ; mais il faut être convaincu que Dieu est juste en justifiant le pécheur et qu’Il est en même temps "Juge "et "Sauveur". Il faut que l’âme humaine comprenne comment Dieu a été glorifié en ce qui concerne la question du péché ; il doit aussi comprendre que tous les attributs de Dieu : sa justice, sa grâce, son amour, sa miséricorde ont été mis en parfaite harmonie sur la croix de Jésus. Tant qu’une âme humaine ne l’a pas saisi, elle demeure étrangère à la paix de Dieu, cette paix qui « dépasse toute intelligence » (Philippiens 4. 7).
Une conscience humaine, dans laquelle la lumière divine a fait pénétrer la vérité, sent et réalise que le péché ne peut jamais être supporté dans la présence de Dieu et que, là où il se trouve, il doit y avoir inexorablement le jugement du "Dieu" qui hait le mal.
Le bénéfice du pardon de Dieu est que la Justice de Dieu doit être satisfaite, la conscience du croyant en Jésus purifiée et Satan, notre accusateur, réduit au silence.
Comment tout cela peut-il se réaliser ? Par la croix de Jésus ! La précieuse expiation de Christ aplanit toutes ces difficultés et établit un terrain sur lequel le Dieu juste et le pécheur justifié peuvent avoir une douce et complète communion. Par cette expiation, le péché est condamné, la justice est satisfaite et la loi magnifiée, le pécheur qui croit en Jésus est sauvé, l’adversaire est confondu.
Quelle glorieuse réponse à la question : Comment Dieu peut-il être juste tout en justifiant le pécheur ? Il a réglé la question du péché à la croix sur laquelle « Jésus, qui n’a pas connu le péché, a été fait péché pour nous » (2 Corinthiens 5. 21). Il a été notre Substitut.

2 - L’étendue du pardon :
Beaucoup d’âmes humaines sont anxieuses au sujet de l’étendue du pardon de Dieu ; elles ne réalisent pas sa plénitude ; elles ne saisissent pas la complète délivrance de leurs péchés passés, présents et futurs. Elles sont troublées à la pensée que leurs péchés journaliers commis après leur conversion subsistent. Comment pourrait-il en être ainsi ? Dans la mort de Christ, dans son sacrifice, dans l’expiation, il y a provision pour le plein pardon de tous leurs péchés. Il est vrai toutefois que le croyant en Jésus qui commet un péché doit le confesser à Dieu son Père ; mais que dit l’apôtre à celui qui le confesse ? Dieu est « "fidèle "et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1. 9). La question du péché n’existe plus pour le croyant en Jésus ; elle a été réglée entre Dieu et Jésus Christ, notre Substitut, qui est maintenant notre Avocat à la droite de Dieu.
Tous les péchés du croyant sauvé par Jésus ont été expiés à la croix ; puisque si un seul subsistait, il ne serait pas sauvé. Car il est impossible qu’une âme non sanctifié par le sang de Jésus franchisse l’entrée du sanctuaire Céleste.
En ne croyant pas que tous nos péchés ont été expiés par le sacrifice de Christ sur la croix, ni confession, ni prières, ni jeûne, ni tout autre moyen ne pourront les expier. Mais comment concevoir que nos péchés futurs aient pu être expiés et portés par Christ sur la croix ? La difficulté pour nous, au sujet des péchés futurs, vient de ce que nous considérons la croix à notre point de vue et non à celui de Dieu — de la terre et non pas du ciel. La Parole ne parle jamais de péchés futurs. Le "passé, le présent", le "futur "sont une conception humaine et terrestre ; pour Dieu tout est présent. La foi du croyant, en regardant à Christ, peut dire à tout moment et dans toutes les occasions avec évidence et décision, sans réserve ni la moindre hésitation : « Tu as jeté tous mes péchés derrière ton dos » (Ésaïe 38. 17c). Cette déclaration correspond à celle de Dieu : « Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités » (Ésaïe 43. 25b). « L’Éternel a fait tomber sur lui l’iniquité de nous tous » (Ésaïe . 53. 6b).

3 - Le caractère du pardon :
Le caractère du pardon de Dieu est revêtu de son propre caractère. Il est Amour. Son Fils Jésus est venu pour manifester cet Amour et le déployer envers nous par ses actes et par ses paroles. La Grâce de Dieu et son Amour pour l’être humain qui se repent sont infinis et plus réels, plus étendus et plus profonds que ce que le cœur humain peut concevoir et désirer.
Puisque la Bible parle sans cesse du pardon, il est intéressant de voir comment elle en parle et même avec quels mots elle le fait. En hébreu, pardonner se dit aussi avec le verbe effacer. En pardonnant, Dieu efface la liste des fautes que nous avons commises.
Le psalmiste insiste : le pardon de Dieu est une force vivifiante, revivifiante ; une force qui évoque la résurrection, une force qui remet sur pied, qui remet en route. Le pardon de Dieu permet de reprendre de la hauteur lorsque l’on se sent écrasé. C’est ainsi que tout en nous est renouvelé, rafraîchi.
“Autant l’orient est éloigné de l’occident, autant Il éloigne de nous nos transgressions.” (Psaumes 103. 12). Dieu pardonne et éloigne de nous le fardeau de nos fautes, autant que le levant du soleil est éloigné du lieu où il se couche. Sans Son pardon, nous sommes morts spirituellement. Avec Son pardon, nous sortons de la mort, et nous pouvons aller de l’avant. Bien que nous pouvons nous rappeler de notre passé, le pardon de Dieu veut que nous fixons notre regard vers l'avenir merveilleux que Dieu nous réserve. Le pardon nous permet d’aller de l’avant malgré le fardeau de nos fautes.
“Si nous prétendons n'être coupables d’aucun péché, nous vivons dans l’illusion, et la vérité n’habite pas en nous. Si nous reconnaissons nos péchés, Il est fidèle et juste et, par conséquent, Il nous pardonnera nos péchés et nous purifiera de tout le mal que nous avons commis” (1 Jean 1. 8-9).
Le pardon de Dieu nous permet de vivre, malgré nos limites et nos manquements. Le croyant pardonné en Jésus promet de renoncer à tout comportement qui l’entraînerait dans de nouvelles erreurs. Il peut alors méditer cette promesse du livre des Proverbes : “Qui confesse ses fautes et y renonce obtiendra miséricorde” (Proverbes 28. 13).
Dieu nous a déjà pardonné et parce qu’Il nous aime. Prendre conscience du pardon de Dieu dont nous sommes bénéficiaires doit nous conduire à la plus profonde reconnaissance et à la plus grande gratitude. Et cela doit aussi nous pousser à offrir, à notre tour, le pardon autour de nous !
Cher lecteur ! Allons toujours à Dieu. Il est là, près de nous ; Il attend les bras ouverts, ne nous demandant rien que de croire et de placer notre confiance en Lui en toutes circonstances.

Lire la suite

L'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde

4 Septembre 2023 Publié dans #Pardon des péchés

« Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1 : 29)

Le péché a été ôté par le sacrifice de Jésus-Christ, en ce sens que les vrais croyants en Jésus (les enfants de Dieu) se trouvent parfaitement justifiés et acceptés devant le seul Dieu trois fois Saint. Oui, Dieu n’imputant pas leurs péchés, les enfants de Dieu se trouvent parfaitement saints, justifiés devant Dieu grâce au sacrifice parfait de Jésus-Christ sur la croix du Calvaire. C’est notre bienheureux privilège en Jésus-Christ notre Seigneur et notre Sauveur. Que toute âme vivifiée et dont Jésus a sanctifié en jouisse ! Il en est ainsi pour tous ceux qui appartiennent à Jésus car tous leurs péchés ont bien été expiés par le sacrifice parfait de Jésus-Christ. Jésus a été manifesté une fois pour toutes pour l’abolition du péché par son sacrifice. Jésus-Christ est l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde (Jean 1 : 28).

Hébreux 9 : 26 nous présente essentiellement la même vérité. Le péché, cette chose haïe par le seul Dieu trois fois Saint, doit être ôté de ce monde que Dieu a créé pour sa propre gloire. Il ne faut pas confondre la purification de notre conscience et notre rachat, avec l’abolition du péché, quand il sera ôté de ce monde comme chose offensante pour Dieu. Hébreux 9 : 28 nous dit que Jésus-Christ a porté les péchés de plusieurs : ainsi ils sont parfaitement ôtés pour tous ceux qui placent leur confiance en Jésus. Mais le péché demeure dans la chair et dans le monde, et il faut que Dieu l’ôte définitivement, et que toutes choses dans les cieux et sur la terre soient réconciliées à Dieu ; et Dieu le fera à la fin des temps.

Dans la Bible, l’abolition du péché a une portée plus étendue : toutes les choses dans les cieux et sur la terre doivent être réconciliées à Dieu ; la Justice doit habiter dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre. Alors le péché sera ôté effectivement par la puissance de Dieu. Mais l’œuvre par laquelle le péché est ôté réellement et moralement en justice et pour la gloire de Dieu, est déjà accomplie par Jésus sur la croix.

Jésus-Christ n’a pas seulement porté nos péchés, mais nous sommes morts avec Christ, et étant morts avec Christ, nous sommes justifiés du péché par le moyen de la foi en Jésus; notre vieil homme a été crucifié avec Christ, le péché dans la chair a été condamné à la croix, et il n’y a aucune condamnation pour nous enfants de Dieu qui croyons et qui plaçons notre confiance en Jésus. Nos péchés sont tous pardonnés, nous en sommes parfaitement lavés ; et de plus, comme étant morts avec Christ, notre vieil homme a pris fin ; sa condamnation a été effectuée sur la croix de Jésus-Christ ; nous ne sommes pas dans la chair, quoique actuellement la chair soit en nous.

La foi sait cela ; elle sait que l’œuvre du Salut est parfaitement accomplie en Jésus, et elle se réjouit de ce qu’il n’y a aucune condamnation devant Dieu pour les enfants de Dieu, la conscience étant purifiée du péché, et le péché dans la chair ayant été condamné à la croix, en sorte qu’il n’y a ni imputation ni condamnation. Jésus-Christ a expié tous nos péchés, et le sang qui fait la propitiation est sur le propitiatoire, de sorte que nous pouvons nous tourner vers le monde et supplier les pécheurs de venir à Jésus-Christ, comme si Dieu leur suppliait par notre moyen. L’œuvre qui nous donne le droit de faire ainsi est parfaitement accomplie et agréée de Dieu. Devant Dieu, celui qui croit et place sa confiance en Jésus est parfaitement justifié, sanctifié, blanc comme la neige.

Lire la suite

Dieu pardonne, repentez-vous !

2 Septembre 2023 Publié dans #Pardon des péchés

Rappelons-nous cette parole adressée par Dieu à Adam : « Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais, tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2. 16). Nous savons tous qu’Adam et Eve ont mangé du fruit de cet arbre. Cependant, le jour où ils en ont mangé, ils ne sont pas morts : ils ont survécu et ont même procréé.
Dieu n’a donc pas mis sa menace à exécution ? Est-ce à dire que Dieu promet et ne tient pas ? Je dirais oui et non.
On peut dire, non, Dieu n’a pas tenu sa promesse. Et savez-vous pourquoi ? Parce que dans sa miséricorde pour le pécheur désobéissant que fut Adam, et après lui, pour tous les pécheurs que nous sommes tous, Dieu a donné une dimension nouvelle à sa relation avec l’être humain et cette dimension, c’est l’amour, car l’amour pardonne.

C’est ce que reflète tout le Nouveau Testament avec la Venue de Jésus. Pour Adam, Dieu a suspendu, par amour, la sanction qu’Il lui avait annoncée. Il en est de même pour nous. L’épître aux Romains affirme : « Tous les hommes ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 23). Voilà la sanction. Et le texte ajoute : « Ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la Rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3. 23).

La sanction est levée. Je peux aussi dire, oui, Dieu a tenu sa promesse de sanctionner Adam, car il est tout de même mort. Quand Dieu a dit : « Le jour où tu en mangeras, tu mourras ». Était-il vraiment question d’un jour de 24 heures ? Ce n’est pas du tout évident, car il nous faut savoir que pour Dieu, un jour est comme 1000 ans : c’est ce que déclare la 2e épître de Pierre. Adam a survécu 930 ans, selon le chapitre 5 de la Genèse.

Aucun homme, même tous ces patriarches, dont Mathusalem fut le plus âgé puisqu’il vécut 969 ans, n’a pu atteindre la durée d’un jour divin.

Tous, comme Adam, sont morts le jour de leur désobéissance, car ils furent tous des êtres pécheurs.

Nous mourrons bien plus tôt encore, dans le tout début d’un jour de Dieu. Mais, n’était-ce pas suffisant à Adam pour se repentir de sa faute et mourir avec le pardon de Dieu ?

Le temps qui nous est donné ici-bas, n’est-il pas en général suffisant pour que nous aussi, nous nous repentions et quittions cette terre revêtus du pardon de Dieu ?

C’est là que se manifeste l’Amour de Dieu qui ne veut pas que nous partions perdus, mais sauvés. Sa patience est incommensurable ! Dieu sait attendre longtemps pour que l’homme revienne à Lui.

Lire la suite

La question de nos péchés a été réglée

24 Juillet 2023 Publié dans #Pardon des péchés

L’Ancien Testament, déjà, annonçait cette glorieuse vérité concernant nos péchés. Non seulement sous forme de figures (par exemple : Lévitique 16. 21, 22), mais aussi sous forme de prophéties claires. On lit en Ésaïe 53. 11-12 : « Par sa connaissance mon serviteur juste enseignera la justice à plusieurs, et lui, "il portera leurs iniquités". C’est pourquoi je lui assignerai une part avec les grands… parce qu’il aura livré son âme à la mort… et "qu’il a porté le péché de plusieurs" ».

Dans l'Ancien Testament :
- Dieu EFFACE les péchés : « J’efface tes transgressions comme un nuage, et tes péchés comme une nuée ; reviens à moi, car je t’ai racheté » (Ésaïe 44. 22).
- Dieu ÉLOIGNE les péchés : « Autant l’orient est éloigné de l’occident, autant il éloigne de nous nos transgressions » (Psaume 103. 12). Il sont éloignés.
- Dieu JETTE les péchés au fond de la mer : « Il aura encore compassion de nous, il mettra sous ses pieds nos iniquités ; tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés » (Michée 7. 19).
- Dieu COUVRE les péchés : « Tu as pardonné l’iniquité de ton peuple, tu as couvert tous ses péchés » (Psaume 85. 2-3, Romains 4. 7-8). Ce qui est couvert…peut-être découvert !

Dans le Nouveau Testament :
Le Nouveau Testament nous montre une alliance meilleure que l’ancienne alliance ! « Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29). « Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés » (1 Jean 3. 5).
Jésus (l’Agneau de Dieu) est mort sur la croix : -  à cause de nos péchés (victime expiatoire), -  pour nos péchés (Il est mort pour nous au Calvaire : Jésus est  notre Substitut). Non seulement Il efface nos péchés, non seulement Il les éloigne, non seulement Il les jette au fond de la mer, non seulement Il les couvre …. mais Jésus les ôte ! Oui, Jésus a pris sur Lui nos péchés, il les a expiés. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui. Jésus l’innocent est mort pour le coupable.
Dans l’Ancien Testament, le souvenir des péchés était constamment rappelé, dans le Nouveau Testament, Dieu ne s’en souvient plus. « C’est moi, moi qui efface tes transgressions pour l’amour de moi, et je ne me souviendrai plus de tes péchés » (Ésaïe 43. 25). « Si tu gardais le souvenir des iniquités, Éternel, Seigneur, qui pourrait subsister ? Mais le pardon se trouve auprès de toi, Afin qu’on te craigne » (Psaume 130. 3-4)
Jésus est à la fois notre Agneau et notre Pâque : Son sang versé nous purifie, son corps meurtri nous nourrit.
L’AGNEAU : L’une des plus belles images pour désigner le Seigneur Jésus ! (bonté, innocence, pureté…sacrifice !).
Jésus n’est pas seulement notre Sacrificateur, Il est aussi notre sacrifice. L’être humain est pécheur ; Dieu est Saint : il y a entre les deux un fossé infranchissable. Infranchissable par des œuvres méritoires, par des souffrances, par des sacrifices, par des dons. « Ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, Mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache,  prédestiné avant la fondation du monde, et manifesté à la fin des temps, à cause de vous, qui par lui croyez en Dieu, lequel l’a ressuscité des morts et lui a donné la gloire, en sorte que votre foi et votre espérance reposent sur Dieu » (1 Pierre 1. 18-21).
La réconciliation a donc eu lieu au Calvaire par la mort de Jésus. Des milliers d’agneaux étaient offerts. Mais Jésus est le seul Agneau, le seul sacrifice (qui n’a pas besoin d’être renouvelé). Il l’a fait une seule fois et une fois pour toutes ! « Il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29).
L’Agneau fut donc sacrifié : « Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha. C’est là qu’il fut crucifié » (Jean 19. 17-18). Il doit être l’objet de notre adoration : « Je regardai, et j’entendis la voix de beaucoup d’anges autour du trône et des êtres vivants et des vieillards, et leur nombre était des myriades de myriades et des milliers de milliers. Ils disaient d’une voix forte : L’Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire, et la louange » (Apocalypse 5. 11-12).
Oui, sachons qu'en croyant véritablement en Jésus, la question de nos péchés a été réglée à la croix une fois pour toutes ! Un jour, nous serons débarrassés à tout jamais de la question du péché !

RETENONS QUE :

Le but essentiel de la Venue de Jésus Christ ici-bas a été de régler devant Dieu la question de nos péchés. Nous étions perdus, coupables, et nous aurions dû subir le châtiment éternel que la Justice de Dieu exigeait. Mais Christ « a porté nos péchés en son corps sur le bois » (1 Pierre 2. 24). Il a « été offert une fois pour porter les péchés de plusieurs » (Hébreux 9. 28). Ces « plusieurs », ce sont « ceux qui croient » (Jean 1. 12 ; Romains 3: 22). Pour nous tous qui croyons en Lui, le sacrifice parfait de Jésus est le fondement du Salut éternel. Jésus est notre Substitut, ou notre Remplaçant, sous le Jugement de Dieu qu’Il a subi durant les heures de ténèbres de la croix. Nos péchés ont été alors sur Lui, ils ne sont plus sur nous.

Que nos cœurs méditent davantage cette œuvre merveilleuse accomplie par notre Sauveur, et des souffrances indicibles qu’Il a dû supporter en l’accomplissant ! C’est l’œuvre que Dieu le Père Lui avait donnée à faire, et qu’Il a réalisée dans une obéissance parfaite, par Amour pour son Père, et par Amour pour ses rachetés (Jean 17. 4 ; Philippiens 2. 8 ; Jean 14. 31 ; 15. 13). Ses résultats pour nous sont inestimables. Nous avons la paix avec Dieu et l’immense bonheur d’être introduits dans sa faveur comme étant ses enfants bien-aimés (Romains 5. 1, 2 ; 8. 16).

Jésus a porté nos péchés et les a expiés. Lui seul pouvait accomplir une telle œuvre. À cet égard, nous n’avons rien à porter.

Lire la suite

Le pardon gratuit de Dieu

15 Juillet 2023 Publié dans #Pardon des péchés

Le pardon que Dieu nous offre en son Fils Jésus-Christ est totalement gratuit. L'être humain pécheur n'a aucune condition à remplir afin d'en bénéficier. En fait, ce fut Christ, notre Garant, qui accomplit tout ce qu'il fallait pour que nous recevions le pardon. Notre pardon dépend du fait qu'il devait remplir les conditions et les termes établis par Dieu son Père. Ces conditions étaient à la fois dures et terribles parce que le Fils de Dieu dut se faire homme, obéir parfaitement à la loi de Dieu, puis souffrir la mort humiliante de la croix.

L'effusion de son propre sang était la condition inéluctable et terrible qui reposait sur Christ en tant que Substitut. C'est là ce qu'exigeait la Justice de Dieu : « Sans effusion de sang il n'y a pas de pardon » (Hébreux 9. 22).
Cela est vrai même pour Jésus le Prince de la vie et le Seigneur de gloire. L'expiation accomplie par Jésus notre Souverain Sacrificateur satisfait donc les exigences de la Justice de Dieu, fait obtenir le pardon des péchés et accorde la paix à la conscience de ceux qui sont dans la détresse à cause de leur sentiment de culpabilité.

Avec la miséricorde divine

Ce pardon est absolument gratuit pour le pécheur qui en bénéficie. Dieu l'accorde selon les richesses de sa miséricorde et le pécheur le reçoit selon la grâce. Comme il est écrit : « En lui nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés, selon la richesse de sa grâce » (Éphésiens 1.7).
La mort de Jésus-Christ sur la croix est la cause et la Gloire de Dieu est la raison ultime pour lesquelles il accorde cette bénédiction : « Dieu vous a pardonné en Christ » (Éphésiens 4. 32) :Dieu dit :  « C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi » (Ésaïe 43. 25).

Dans les versets qui précèdent ce verset ci-dessus, Dieu lance des accusations graves contre son peuple pécheur. On pourrait s'attendre à ce qu'Il ordonne leur destruction complète. Au lieu de cela, Dieu les assure qu'Il effacera leurs transgressions, non à cause de quoi que ce soit en eux, mais afin de manifester les richesses de sa grâce et de déployer sa gloire, selon ce que Paul déclare : « Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (Romains 5. 20).

Israël était une nation qui jouissait de la faveur divine dans une grande mesure, mais le peuple négligeait son devoir à l'égard de Dieu. Les Israélites avaient cessé de venir auprès du Seigneur dans la prière et trouvaient son culte fatiguant. Ils l'avaient offensé par leurs péchés et fatigué par leurs iniquités. Pourtant, Dieu leur pardonne ! Quelle grâce étonnante ! Le péché abonde comme un fleuve, mais la grâce surabonde comme un océan. Le Salut est absolument gratuit. AMEN !!!

Lire la suite
1 2 3 4 5 6 7 > >>