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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Jésus-Christ est le seul espoir pour l'humanité

31 Mars 2021 Publié dans #Salut

Nous croyons fermement que le Seigneur Jésus-Christ est le seul espoir de l'humanité ! Dieu nous aime tellement qu’Il n’a pas épargné son propre Fils. Le Seigneur Jésus a donné sa vie pour chacun de nous en disant : “Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis”.

Oui, nous croyons que Jésus-Christ est notre seul espoir, et qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement (Hébreux 13. 6). Jésus sauve, délivre, guérit et baptise de l'Esprit-Saint. Par sa Parole et son Esprit, Il peut transformer n'importe quel être humain, le déclarant juste et saint aux yeux de Dieu le Père. Grâce à son sang innocent versé au Calvaire, Dieu le Père accepte tout être humain qui Le confesse et Le suit comme Seigneur et Sauveur personnel.

En tant qu'enfants de Dieu, nous voulons aider les gens du monde entier à retrouver le chemin vers Dieu. Ce Chemin est Jésus-Christ Lui-même. Il est la porte, et Il est le chemin qui nous mène vers Dieu le Père et vers le Ciel, le Paradis. Jésus a dit : "Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14. 6). Il a dit aussi : "Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé" (Jean 10. 9). Mais attention, Jean 3. 36b dit que “celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.”

Tout être humain est pécheur selon la Bible et a besoin de se reconnaître tel et de s’humilier devant le seul Dieu trois fois Saint pour sauver son âme. Oui, tout être humain doit devenir humble comme les petits enfants, reconnaissant son vrai état spirituel, car tout être humain est pécheur et a besoin d'être né de nouveau pour être sauvé de l’Enfer. Selon la Bible, l'humanité toute entière est déjà condamnée, et se dirige vers le châtiment éternel en Enfer. C'est parce que tous les êtres humains ont désobéi à Dieu, méprisant Dieu et les avertissements de Sa Parole. Oui, la Bible déclare que tout être humain a péché et est privé de la gloire de Dieu (Romains 3. 23) ; que le salaire du péché, c'est la mort (Romains 6. 23), non pas uniquement la mort physique, mais ce que la Bible appelle la seconde mort : le châtiment éternel.  La Bible déclare qu'il n'y a aucun juste, pas un seul (Romains 3. 10) ; que "Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé. Nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous  emportent comme le vent" (Ésaïe 64. 5). Selon Jacques 2. 10 : "Quiconque observe toute la loi, mais pêche contre un seul commandement, devient coupable de tous". Pour cette raison, tout être humain sans Christ sera condamné et envoyé en Enfer.

Sans une réconciliation et une relation réelle avec Dieu le Père, les êtres humains sont souvent en guerre avec eux-mêmes et avec les autres. L'être humain a été crée pour être en communion avec le seul Dieu unique son Créateur. Sans cette relation d'amour, l'être humain a un vide dans sa vie et dans son coeur. Pour vivre en paix avec lui-même et avec les autres, l'être humain doit avoir cette relation d'amour et de paix avec Dieu.

Jésus-Christ est appelé par le prophète Ésaïe : "Admirable, Conseiller. Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix" (Esaïe 9. 6). Sans Lui, il n'y aura pas de paix dans nos coeurs, dans nos foyers, ou dans notre monde. Mais, nous pouvons être pardonner de nos péchés grâce à son sang versé au Calvaire. Nous pouvons être délivré du pouvoir du péché et des habitudes mauvaises, en méditant sa Parole puissante, et en recevant son Saint-Esprit dans nos coeurs. Le Seigneur Jésus a dit : "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité , et la vérité vous affranchira...Quiconque se livre au péché devient esclave du péché. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libre" (Jean 8. 30-36). Jésus-Christ, par sa Parole et son Esprit en nous, est Lui-même la clé de notre victoire. Les premiers chrétiens étaient souvent auparavant de très grands pécheurs transformés en saints grâce à leur expérience avec le Saint Esprit. Ils étaient tous remplis de l'Esprit-Saint du Christ. Selon Actes 2, ils étaient remplis du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte et par la suite et se mirent à parler miraculeusement dans des langues qu'ils n'avaient jamais étudiées auparavant ; et à proclamer vaillamment l'Évangile.

Grâce au message de l'Évangile annoncé par les enfants de Dieu, des gens partout dans le monde, souvent de très mauvaise vie, ont été délivrés et transformés, devenant de vrais chrétiens (enfants de Dieu) grâce à l'action du Saint-Esprit. L’apôtre Paul a écrit : "Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé" (Romains 10. 13). Dans Actes 1. 8, Jésus-Christ avait dit : "Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous et vous serez mes témoins...". La puissance du Saint Esprit dans nos coeurs et dans nos vies est ce qui fait de nous des chrétiens efficaces et victorieux. Dieu désire qu'on l'adore en Esprit et en vérité (Jean 4). Le Saint Esprit enseigne, console et nous donne une force qui nous aide dans tous les domaines. Dans 1 Corinthiens 6. 9-11, nous voyons que les premiers chrétiens étaient des gens réellement délivrés et transformés. Ils abandonnaient leurs vies de débauche, se laissant libérer par l'Esprit du Seigneur qui est justice, paix et joie (Romains 14. 17).

Le Saint-Esprit en nous est la clé de notre victoire, car selon 2 Corinthiens 3. 17 : "Le Seigneur, c'est l'Esprit ; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté." Le Seigneur nous libère par sa Parole et par son Esprit en nous, mais ce n'est pas automatique. Nous devons lire et étudier sa Parole pour la mettre en pratique. En la mettant en pratique, nous recevrons la plénitude de son Esprit, si nous la demandons (Luc 11. 13). Le Seigneur a dit : Si vous m'aimez, gardez mes commandements, et je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur : l'Esprit de vérité...il vous conduira dans toute la vérité" (Jean 14 ; 16). Pour recevoir le Saint-Esprit, nous devons nous repentir pleinement de nos péchés, être prêt à marcher selon sa Parole et son Esprit chaque jour et reconnaitre l'autorité de Dieu sur nous. Voici ce que la Bible déclare : "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité" (1 Jean 1. 9). "Celui qui cache ses transgressions ne prospère pas, mais celui qui les avoue et les délaisse trouvera miséricorde" (Proverbes 28. 13). Le Psalmiste David a écrit : "Lave-moi complètement de mon iniquité, et purifie-moi de mon péché, car je reconnais mes transgressions. O Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté...efface mes transgressions...crée en moi un coeur pur. Lave-moi et je serai plus blanc que la neige" (Psaume 51). L'apôtre Pierre a dit : "Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé (immergé selon le grec) au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit" (Actes 2. 36).  Pour les apôtres, la plénitude leur a été donné parce qu’ils ont obéit, persévérant dans la prière et la louanges. Nous devons nous aussi demander et persévérer dans la prière, la louange et l’adoration pour recevoir la plénitude du Saint-Esprit.

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Ne craignons pas, croyons seulement !

30 Mars 2021 Publié dans #Divers

"Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement" (Marc 5. 36).
"Ne l'en empêchez pas, lui répondit Jésus; car qui n'est pas contre vous est pour vous" (Luc 9. 50).

Lire Marc 5. 21-43
Jaïrus, chef de la synagogue, voyant Jésus, se jeta à ses pieds le suppliant de venir chez lui pour guérir sa fille unique de 12 ans qui se mourrait. Jésus alla avec lui mais une grande foule le suivait. On peut imaginer la lenteur de sa marche à cause de la foule qui le pressait de tous côtés. De plus, Jésus s’arrêta pour s’occuper d’une femme malade depuis 12 ans et qui avait touché son vêtement pour être guérie. Combien Jaïrus devait s’impatienter ! Il s’agissait d’une urgence : sa chère et unique fille était en train de mourir ! Au comble de son impatience, s’ajoute la venue de gens de sa maison lui annonçant sans aucun ménagement : « Ta fille est morte. Pourquoi importuner encore le maître ? ». Non seulement il n’y a aucune compassion dans leur message, mais ils y ajoutent une sorte de reproche. Quel désespoir pour ce pauvre Jaïrus ! Mais Jésus est toujours disponible pour ceux qui se confient en Lui. Il dit aussitôt au père angoissé cette parole réconfortante : « Ne crains pas, crois seulement ». Étant entré dans sa maison, Jésus ressuscita la jeune fille.

Ces deux mots « crois seulement » sont parmi les paroles les plus réconfortantes du Seigneur Jésus. Ils sont d’une grande importance et résument toute la vérité sur le salut. Quand le geôlier de la prison de Philippes prêt à se suicider demanda : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Paul et Silas répondirent : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16. 31). Croire seulement, sans autre conditions. L’être humain dans son amour-propre voudrait faire quelque chose pour son salut, par exemple accomplir des œuvres. A la question du geôlier : « Que faut-il que je fasse… ? », Paul et Silas ne répondent pas : « Fais ceci ou fais cela », mais : « Crois au Seigneur Jésus... ».

La foi au Seigneur Jésus est la base du salut. « C’est par la grâce que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2. 8).

Mais si nous sommes sauvés par la foi au Seigneur Jésus, n’arrive-t-il pas que nous soyons parfois troublés par des circonstances difficiles, que nous ayons des doutes sur les réponses à nos prières… ?

La pensée de nos péchés, passés et actuels, nous trouble t-elle au point que nous soyons découragés et anxieux ? Ne craignons pas, croyons seulement ! Croyons seulement que Jésus est mort pour nos péchés et que, étant ressuscité, Il intercède maintenant pour nous.

Traversons-nous de dures épreuves ? Un contretemps met-il soudainement fin à nos projets les plus chers ? Notre santé est-elle menacée par une maladie ? Ne craignons pas, croyons seulement. Croyons que cette épreuve est pour notre bien. Dieu veut sans doute nous enseigner une leçon qui nous sera bénéfique. Croyons aussi que c’est son Amour qui permet ces épreuves pour le bien de notre âme, car "Dieu fait travailler ensemble toutes choses pour le bien de ceux qu’il aime" (Romains 8. 28).

La perspective de la mort nous inquiète t-elle ? Ne craignons pas, croyons seulement ! Croyons que le Seigneur Jésus est avec nous tous les jours (Matthieu 28. 20) et qu’Il nous accompagnera pour nous soutenir dans les moments les plus difficiles jusqu’à ce que nous entrons dans le repos céleste. David, le psalmiste qui a traversé bien des épreuves a écrit : « Quand même je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car Tu es avec moi » (Psaume 23. 4).

Celui ou celle qui ne croit pas au Seigneur Jésus a raison d’avoir peur de la mort, appelée dans la Bible la reine des terreurs (Job 18. 14) mais celui qui croit en Jésus n’a rien à craindre car pour lui, la mort est l’entrée dans le repos céleste en attendant la résurrection et l’introduction des enfants de Dieu dans la félicité éternelle.

Quelles que soient les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons, écoutons la voix de Jésus qui nous dit : « Ne craignons pas, croyons seulement ! ».

« Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille » (Actes 16. 31).

La voie qui mène au Ciel, ami(e)s lecteurs/lectrices, est par la foi en Christ. Nous ne pouvons pas être sauvés par nos bonnes actions, mais nos mauvaises œuvres nous condamnent si nous ne plaçons pas notre foi en Christ et rien d'autre de ce que nous pouvons faire nous-même ne nous sauvera. Mais une fois sauvé, le cœur considère comme un privilège merveilleux que de marcher dans les voies de Dieu et d’obéir à sa volonté. Pourtant, avant que nous n'ayons la foi donnée par Dieu, tous nos efforts à garder ses commandements ne feront que nous plonger plus profond dans la boue et ne contribueront en rien à notre salut.

La seule voie vers le Ciel est par la foi en Christ. Simplement expliquée, la foi signifie croire en Christ. Jésus-Christ nous ordonne de croire et de se confier en Lui. Obéissons à cet ordre de Dieu notre Créateur. Accrochons-nous en Christ et que toute notre vie lui soit dévoué pour toujours.

Voici ce qu’est la foi. Nous fermons les yeux à toutes les preuves d’un espoir présent en nous et nous nous élançons dans les bras Tout-Puissants de Jésus notre Rédempteur. La Bible nous parle de nous reposer sur Jésus-Christ et de nous en remettre à Lui. Nous cessons de chercher à nous tenir debout par nos propres forces et nous nous confions entièrement à la stabilité du Rocher éternel qu'est Jésus. Abandonner notre âme entre les mains de Jésus est l’essence même de la foi. C’est recevoir Christ dans le vide de notre être. Par la foi, nous amenons notre vase dont nous avons compris le vide et nous le plaçons là où l’eau coule. Nous recevons alors la plénitude de Christ, grâce sur grâce. La beauté ou la propreté de notre vase ne nous désaltèrent pas, mais simplement le fait que nous le plaçons là où coule l’eau de la vie.

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Le Retour de Jésus-Christ et la résurrection des croyants

29 Mars 2021 Publié dans #Retour de Jésus, #Résurrection

Notre espérance certaine du Retour de Jésus-Christ :

"Je cours droit au but pour le prix de l'appel céleste de Dieu dans le Christ Jésus… Car notre cité à nous se trouve dans les cieux, d'où aussi nous attendons le Seigneur Jésus-Christ comme Sauveur" (Philippiens 3. 14, 20).
On ne trouvera jamais de vie céleste si ce n'est chez un chrétien vivant dans une communion continuelle avec Christ au sujet du lieu vers lequel Il nous conduit. Et un cœur ne peut jamais être en communion durable avec le cœur de Christ s'il s'identifie avec le monde qui ne le connaît pas. Le Saint Esprit nous invite à tenir nos yeux fixés sur Christ,  tandis qu'il nous conduit vers la gloire
(Hébreux 12. 2).
L'apôtre Paul désirait atteindre la pleine manifestation de Christ dans la gloire ; ses yeux étaient dirigés en haut, il considérait le Seigneur Jésus dans le ciel et il attendait sa venue. Paul avait écarté toutes les choses qui pouvaient s'interposer entre lui et Christ ressuscité assis sur le trône. Paul suivait un chemin qui monte, regardant droit vers le but céleste, vivant dans l'espérance de la Venue de Christ.
Est-ce que nous vivons dans la lumière du Retour imminent du Seigneur Jésus Christ ? Est-ce là l'espérance qui projette sa lumière sur tout ? Elle est d'un immense réconfort pratique, aussi bien qu'une source de force. Si la pensée du Retour de Jésus occupait davantage notre cœur, comment serait-il possible d'être surmontés par les épreuves et les difficultés que nous devons traverser ? Jésus peut venir cette nuit, ou peut-être au contraire devrons-nous connaître auparavant des années d'épreuve ou de persécution dans ce monde ; mais, jusqu'à ce qu'il vienne, la pensée de son Retour pour nous prendre ne peut-elle pas nous faire oublier ce corps d'abaissement et ces épreuves ? Puisque nous pouvons compter sur son Amour tout le long du chemin, nous serons capable d'affronter toutes les difficultés. Même si Christ ne revient pas maintenant pour nous prendre, Il ne nous oublie pas maintenant dans nos difficultés.
Quelle manifestation merveilleuse de son amour : Jésus viendra Lui-même nous prendre pour nous amener à la maison de son Père ! Nous attendons le Retour de Jésus-Christ ; il va venir bientôt nous prendre là-haut avec Lui.

Le Retour de Christ pour prendre les siens :

"Ce Jésus, qui a été élevé d'avec vous au ciel, viendra de la même manière que vous l'avez vu s'en aller au ciel" (Actes 1. 11).

Dans le Nouveau Testament, rien n'est mis en avant d'une manière plus marquante que la seconde venue du Seigneur Jésus Christ. C'est la première parole d'encouragement des anges aux disciples attristés ! Elle est présentée comme une venue pour nous, comme la bienheureuse espérance des saints. Mais pour les incrédules, quand Jésus viendra, ce sera “le jour du Seigneur”, Il apparaîtra “comme un voleur dans la nuit”; ils pourront bien se sentir en paix et en sécurité, mais alors “une subite destruction viendra sur eux… et ils n'échapperont pas” (1 Thessaloniciens 5. 2, 3).
Ainsi nous voyons l'immense différence entre la seconde Venue de Christ pour enlever ceux qui se confient en Lui et sa Venue plus tard pour juger tous ceux qui ne croient pas, tous ses ennemis. Cette venue en jugement est décrite ainsi : “Voici, il vient avec les nuées, et tout œil le verra, et ceux mêmes qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui” (Apocalypse 1. 7). Malachie a prophétisé au sujet de ce jour du jugement, en disant : “Qui supportera le jour de sa venue, et qui subsistera lorsqu'il se manifestera?” (Malachie 3. 2).
Qui pourra se tenir devant Lui en ce jour-là ? Avez-vous la certitude que vous ferez partie de ceux qui entendront le cri de rassemblement ? Serez-vous avec ceux qui iront “à la rencontre du Seigneur, en l'air”, et qui seront “toujours avec le Seigneur” (1 Thessaloniciens 4. 16, 17) ? Ce sera le moment où “il engloutira la mort en victoire”, où il “essuiera les larmes de dessus tout visage”, et où il sera dit: “Voici, c'est ici notre Dieu; nous l'avons attendu” (Ésaïe 25. 8, 9). Avez-vous l'assurance que vous êtes prêt pour être pour toujours avec le Seigneur Jésus ?

La résurrection des croyants en Jésus (des enfants de Dieu) :

"Il en est de même aussi de la résurrection des morts: le corps est semé en corruption, il ressuscite en incorruptibilité; il est semé en déshonneur, il ressuscite en gloire; il est semé en faiblesse, il ressuscite en puissance; il est semé corps naturel, il ressuscite corps spirituel" (1 Corinthiens 15. 42-44).

Quand un croyant en Jésus meurt, son corps est mis dans la tombe ; le processus de décomposition commence et il retourne à la poussière ; mais  son esprit et son âme vont au Ciel, au Paradis. C'est cela la corruption. Quand ce corps est ressuscité, il n'est plus sujet à la corruption : il est incorruptible.
Nous sommes tous égaux devant la mort. Elle ne tient aucun compte de la position sociale, de l'éducation, de la richesse, ou du pouvoir. Prenons un homme qui, dans cette vie, était puissant dans ses paroles et dans ses actes et avait une grande autorité sur les autres. Quand il meurt, où sont toutes ses capacités, sa connaissance, son pouvoir ? Il a tout laissé derrière lui ; son corps gît dans la mort, totalement impuissant. Mais le croyant qui est mort, et qui avait peut-être été méprisé et rejeté dans ce monde, sera ressuscité en gloire et en puissance.
Le corps que nous plaçons dans la tombe est un corps physique. Nous savons ce qu'est un corps physique parce que c'est notre condition actuelle. Nous sommes conscients de ses nombreuses limitations, de ses faiblesses et de l'incertitude quant à la durée de sa vie dans ce monde. Quand le corps d'un croyant en Jésus est ressuscité, ce n'est pas un esprit, mais un corps spirituel. Comment pouvons-nous savoir à quoi ressemble un corps spirituel ? Considérons le Seigneur Jésus après sa résurrection d'entre les morts. Il a mangé en présence de ses disciples et Il pouvait encore montrer les marques de sa crucifixion
(Luc 24. 39-43) ; cependant, Jésus n'était pas limité par les restrictions physiques habituelles. Il était avec ses disciples quand ils étaient rassemblés dans un local fermé ; ensuite, il est parti, mais il n'est pas sorti par la porte.
Le corps ressuscité des enfants de Dieu sera un corps spirituel, semblable au corps du Seigneur ressuscité d'entre les morts et glorifié. “Comme nous avons porté l'image de celui qui est poussière, nous porterons aussi l'image du céleste” (1 Corinthiens 15. 49). Quel merveilleux changement attend ceux qui entendront son “cri de commandement” (voir
1 Thessaloniciens 4. 16, 17) !

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Dieu nous sauve par son Fils Jésus-Christ

28 Mars 2021 Publié dans #Salut

Je suis l'Éternel, ton Sauveur, et ton Rédempteur. (Ésaïe 49. 26)

Notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ… s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité. (Tite 2. 14)

 

« Dieu est Sauveur » : Comme un fil d'or, cette expression traverse toute la Bible. Elle témoigne de toute la Grâce immense de Dieu et de tout l'Amour parfait de Dieu pour les êtres humains.

Dire que Dieu sauve, c'est dire qu'il libère du péché et du jugement. L'esclavage du péché peut être décrit comme cette force d'égoïsme qui nous empêche de nous soumettre à Dieu et nous enferme en nous-mêmes. Le péché nous sépare de Dieu et pèse sur notre conscience. Or, depuis Adam, il caractérise chacun de nous. Combien de paroles, à peine exprimées, nous regrettons ! De combien d'actes nous avons honte, combien de situations nous aimerions changer…

Mais, voici une Bonne Nouvelle pour tous les êtres humains : Dieu veut nous sauver parfaitement de tout ce qui nous enchaîne et qui trouble notre conscience. Oui, le seul vrai Dieu nous sauve de l'esclavage du péché et de son châtiment.

 

Comment Dieu fait-il pour nous sauver ? Il le fait par son Fils, Jésus Christ. “Le Père a envoyé le Fils pour être le Sauveur du monde” (1 Jean 4. 14). Non pas le Sauveur des “gens bien”, où de ceux qui ont une bonne réputation morale, mais la Parole de Dieu nous affirme que Jésus-Christ est le Sauveur pour le monde entier, pour les êtres humains de tout peuple et de toute condition. Chaque être humain a le devoir de mettre sa confiance en Dieu, en son Fils Jésus-Christ, pour être sauvé de tous ses péchés et avoir la vie éternelle.

En hébreu, le nom de “Jésus” signifie “Dieu sauve”. Non seulement Jésus a été envoyé pour annoncer la délivrance, mais Il est Lui-même ce Salut, Il est Lui-même le Sauveur.

Dieu veut sauver chaque être humain. Mais il ne veut pas le faire sans notre accord. Il nous appartient donc à chacun de répondre à son offre, en nous repentant de tous nos péchés et en recevant le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ dans notre vie, dans notre coeur.

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Grâce à Jésus-Christ !

27 Mars 2021 Publié dans #Justice de Dieu

Lire Romains 5. 1-11
« Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ
» (5. 1).
C’est en effet grâce à Jésus-Christ que nous pouvons bénéficier de la Grâce de Dieu et du Cadeau merveilleux que Dieu nous offre en Lui.

L'apôtre Paul se réjouit d’avoir part à la gloire de Dieu et il a bien raison. Car étant justifiés par la foi en Jésus-Christ, nous avons l’assurance de la vie éternelle auprès de Dieu. Mais que penser lorsque Paul dit se réjouir dans les détresses ?
(5. 3) L'apôtre Paul semble avoir bien pesé ses mots en écrivant aux Romains. L’apôtre peut se réjouir dans ses détresses, car il a pleinement conscience de la valeur de l’œuvre parfaite de Jésus. En effet, Jésus-Christ nous permet d’avoir accès à la grâce de Dieu (5. 2) ; Il est mort pour nous, pour les pécheurs (5. 6, 8), Il est ressuscité pour notre justification et nous fait échapper à la terrible colère de Dieu (5. 9). Enfin, Jésus-Christ a permis que nous soyons réconciliés avec Dieu par sa mort et sa résurrection (5. 10). L’œuvre de Jésus-Christ ne peut alors que nous encourager à persévérer dans la foi. La patience, la résistance à l’épreuve et l’espérance sont possibles lorsque nous considérons à quel point Dieu nous aime (5. 8). Réconciliés, nous sommes donc assurés du salut final : quel cadeau merveilleux nous avons en Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur !
Sachons nous réjouir lorsque nous avons à persévérer dans la foi parce que les circonstances de la vie sur cette terre sont difficiles, afin que la détresse produise la patience, que la patience produise la résistance à l’épreuve et la résistance l’espérance
(5. 3-4).

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La Rédemption

26 Mars 2021 Publié dans #Salut

La Rédemption est l'oeuvre grâce à laquelle Dieu rachète l'être humain pécheur en le délivrant d'un joug d'esclavage. La délivrance du peuple d'Israël hors du pays d'Égypte, libéré de la domination du Pharaon, en est, dans l'Ancien Testament, la plus éloquente image.
Par la suite, Dieu s'est souvent présenté à l'égard de son peuple comme étant le Rédempteur. Job déjà pouvait dire : « Moi, je sais que mon rédempteur est vivant, et que, le dernier, il sera debout sur la terre » (Job 19 : 25). Plus tard le psalmiste déclare : « Il y a rédemption en abondance auprès de lui » (Psaume 130 : 7). Le prophète Ésaïe, plus que tout autre, ne cesse de répéter que l'Éternel est le Rédempteur d'Israël : « Ainsi dit l’Éternel, ton rédempteur... je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t'enseigne pour ton profit, qui te dirige dans le chemin par lequel tu dois marcher » (
Ésaïe 48 : 17).
Et c'est le même prophète qui, parlant de l'avenir d'Israël, annonce la venue d'un Rédempteur : « Et le rédempteur viendra à Sion et vers ceux qui, en Jacob, reviennent de leur rébellion ». On les appellera alors « le peuple saint, les rachetés de l'Éternel » (Esaie 59 : 20 ; 62 : 12). Un seul Rédempteur, un seul Libérateur pourra accomplir une telle oeuvre envers le peuple de Dieu : le Seigneur Jésus, le Christ, le Messie.

L'oeuvre de la Rédemption est le fondement de notre Salut. Seul le sang de Jésus-Christ, qui a été répandu à la croix du Calvaire, peut racheter l'être humain pécheur : « par la rédemption par son sang » (Romains 3 : 24-25). Il est dit ailleurs : « le Bien-aimé, en qui nous avons la rédemption par son sang » (Éphésiens 1 : 7) ; le Fils de l'amour du père, « en qui nous avons la rédemption » (Colossiens 1 : 14) ; « vous avez été rachetés... par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1 : 18, 19).
Une telle œuvre répond à l'état de l'être humain naturel que la Parole de Dieu présente comme un esclave asservi. Jésus-Christ seul peut le délivrer de toutes les servitudes : de Satan, du péché, de la loi, du monde, de la mort : « Jésus Christ, qui s'est donné lui-même pour nous », est-il écrit, « afin qu'il nous rachetât de toute iniquité » (Tite 2 : 14).

La Parole de Dieu nous parle de deux rédemptions : celle de l'âme et celle du corps. Pour le temps présent, le vrai chrétien (enfant de Dieu) est un être racheté quant à son âme. La rédemption de son corps est encore à venir : « nous soupirons en nous-mêmes, attendant... la rédemption de notre corps » (Romains 8 : 23). Le Christ Jésus, est-il dit, « nous a été fait sagesse de la part de Dieu, et justice, et sainteté, et rédemption » (1 Corinthiens 1 : 30). La Rédemption est citée en dernier lieu, parce qu'il s'agit du couronnement de ce que Jésus-Christ est pour nous, c'est-à-dire de la rédemption de nos corps mortels. Ajoutons que c'est pour ce jour-là que nous avons été scellés du Saint Esprit, « pour le jour de la rédemption » (Éphésiens 4 : 30).

Une rédemption éternelle ! C'est ce que Christ a obtenu par la valeur infinie et à jamais efficace de son sang. L’œuvre de la rédemption est définitivement accomplie : « Christ étant venu... avec son propre sang, est entré une fois pour toutes dans les lieux saints, ayant obtenu une rédemption éternelle » (Hébreux 9 : 11, 12). C'est là la part à toujours de tous ceux qui lui appartiennent. « Cette rédemption n'est ni temporelle ni passagère ; c'est une rédemption pour l'éternité ».

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Les deux aspects de l'oeuvre de la croix (2)

25 Mars 2021 Publié dans #La croix

Les deux aspects de la Croix vont plus loin que la mort physique de Jésus sur la croix. Et Jésus commence donc immédiatement à leur parler, non de SA Croix, mais de LEUR Croix :

 « Alors Jésus dit à Ses disciples : Si quelqu'un veut venir après Moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il Me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera » (Matthieu 16. 24, 25).

Un jour, Pierre s'est élevé contre la mort du Seigneur Jésus et a essayé d'empêcher Sa crucifixion. Le Seigneur Jésus a répondu que non seulement le Maître doit être crucifié, mais tous ceux qui désirent le suivre doivent aussi nécessairement porter leur Croix.

Pierre a finalement appris cette leçon, et il est temps que nous l'apprenions aussi. Jésus est en même temps notre Substitut et notre Exemple. Jésus est en même temps notre Sauveur et notre Seigneur. Jésus est en même temps la Porte Étroite et le Chemin Étroit.

Si nous avons un doute concernant les raisons d'un manque de puissance, d'un manque de joie, d'un manque de fidélité, d'un manque « d'Esprit-et-de-Vérité » aujourd'hui, nous n'avons qu'à examiner l'attitude réelle d'une personne vis-à-vis de la Croix. La Croix est-elle pour elle une chose DONT Jésus l'a sauvé ou une chose POUR laquelle Jésus l'a sauvée ?

La présence ou l'absence de fruits peuvent nous en dire long. Car il n'y aura jamais, et il ne pourra jamais y avoir de fruits en abondance sans une acceptation des deux aspects de la Croix.

Quelqu'un posera bien sûr la question : Jésus peut-Il être Sauveur sans être Seigneur ? Pouvons-nous accepter le salut sans accepter la vie de disciple ? Pouvons-nous entrer par la Porte mais ne pas continuer sur le Chemin ?  Et ce qui est sous-jacent c'est vraiment cela : pouvons-nous faire la prière du pécheur, vivre comme il nous plaît, et aller quand même au Ciel quand nous mourrons ?

La question en elle-même est assez révélatrice de celui qui la pose. Si l'on considère qu'il faut deux poutres pour faire une croix, on peut dire qu'une poutre ne suffit pas. Si nous n'acceptons qu'une partie des aspects de la Croix, alors nous n'avons pas réellement accepté la Croix.

Si nous continuons de prêcher un évangile facile et d'emmener les pêcheurs à un Jésus facile en leur faisant prier une prière facile, alors nous sommes coupables de propager un autre évangile, un faux évangile, une Porte sans Chemin.

Le jeune homme riche est venu vers Jésus avec la même préoccupation : que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Sa préoccupation première était d'aller au Ciel après sa mort.  Pour beaucoup de chrétiens c'est l'objectif ultime et la motivation qui sous tend tout ce qu'ils font.

En réalité, Jésus parle comparativement peu à propos « d'aller au ciel quand nous mourrons. ». Mais Il a beaucoup à dire au sujet de l'obéissance à la volonté de Dieu et au fait de porter du fruit pendant notre vie sur terre.

Au jeune homme riche qui voulait être sauvé, Jésus a proposé une vie de disciple et non le salut : « Jésus, l'ayant regardé, l'aima, et lui dit : Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-Moi. Mais, affligé de cette parole, cet homme s'en alla tout triste; car il avait de grands biens. Jésus, regardant autour de Lui, dit à Ses disciples: Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le Royaume de Dieu! » (Marc 10. 21-23)Jésus n'a pas dit « combien c'est FACILE d'entrer dans le Royaume de Dieu », mais « combien c'est DIFFICILE».

Les deux aspects de la Croix sont quelque chose de difficile pour les riches comme pour les pauvres. Beaucoup repartent tristes et affligés à la pensée de prendre la croix en tant que disciple. C'est pour cette raison que seule une partie des deux aspects de la Croix est prêchée le plus souvent.

Le jeune homme riche aurait facilement accepté Jésus en tant que son Substitut - parce que cela implique de façon subtile qu'il n'aurait pas à mourir puisque Jésus est mort sur la Croix. Mais comme toutes les suggestions de l'adversaire, cela n'est qu'une demi-vérité. La vérité complète est que l’œuvre de la Croix a deux aspects, et nous avons à accepter les deux ou aucun, mais nous ne pouvons pas garder l'un et écarter l'autre.

Nous devons nous dire que si nous considérons le salut comme incluant la vie de disciple, alors peu de gens seraient sauvés.  C'est exactement le cas. Et c'est précisément ce que Jésus voulait dire quand Il dit : « Peu le trouvent » (Matthieu 7. 14b).

Alors, que devons-nous faire ? Devrions-nous continuer à prodiguer un faux réconfort à ceux qui n'acceptent pas de porter leur croix, à renoncer à eux-mêmes et à suivre Jésus ? En aucune façon. Au lieu de cela, efforçons-nous de montrer, par notre exemple, que le seul chemin pour accéder à la Vie est de passer à travers la Mort ; la seule façon de régner avec Christ est de souffrir avec Lui ; que ce ne sont pas ceux qui entendent, mais ceux qui entendent et mettent en pratique qui sont Ses vrais disciples.

Que le Seigneur Jésus Lui-même nous montre que ces choses sont vraies. Amen.

"Toi qui as fait de grandes choses, ô Dieu, qui est comme toi ?" (Psaume 71. 19). A toi, Jésus, nul n’est semblable, car toi seul est la vérité ; Tout, dans ta Personne adorable est amour, grandeur et beauté.

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Les deux aspects de l'oeuvre de la croix (1)

24 Mars 2021 Publié dans #La croix

« Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez Ses traces » (1 Pierre 2. 21).

Si on demandait à des chrétiens, « Avez-vous accepté l’œuvre de la Croix ? », un grand nombre répondrait sûrement par l'affirmative. Si vous leur demandiez, « qu'est-ce que l’œuvre de la Croix ? », ils répondraient que c'est la crucifixion du Seigneur Jésus pour les péchés du monde.

Bien que ce soit effectivement vrai, cela peut nous induire en erreur. Une question plus appropriée serait, « Avez-vous accepté les deux facettes de l’œuvre de la Croix ? ».
Essayez de poser cette question à quelques chrétiens et vous les verrez rester perplexes et répondre quelque chose comme « quelles sont les deux facettes de l'œuvre de la Croix ? ». La raison en est que la plupart des gens ne connaissent qu'un côté de la Croix et non les deux.

Pendant de nombreuses années, des chrétiens peuvent savoir qu'un aspect de la Croix - celui de la croix sur laquelle Jésus est mort pour nous. C'est tout ce qu'ils enseignent aussi à d'autres. Jésus a été crucifié à la croix pour nous. Il a donné Sa vie pour nous. Son sang précieux a coulé pour le pardon de nos péchés. Et non seulement cela, mais la Bible dit que Dieu a mis sur Jésus l'iniquité de nous tous. Jean Baptiste l'appelle, « l'Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde entier ».

En nous identifiant à Son sacrifice, Jésus devient notre Substitut. Nous sommes au bénéfice de Son œuvre qui est achevée. Nous sommes rendus un avec Lui sur la Croix. Merci Seigneur; nous n'avons plus à payer notre dette car elle a été payée pour nous par Jésus. Et pour nous tous qui croyons en Jésus et en son oeuvre sur la croix, nous sommes crucifiés et ressuscités avec Jésus. C'est la vérité, et nous louons Dieu pour toutes les fois où la vérité est proclamée.

Mais il y a un autre aspect de la Croix, une autre dimension de la même vérité, qui n'est pas si bien connue et à propos de laquelle on prêche peu. C'est pourquoi, des milliers de croyants en Jésus se contentent d'accepter « la Croix du Pécheur »; c'est-à-dire qu'ils ont confessé Jésus comme leur Seigneur et Sauveur et qu'ils l'ont accepté comme leur Substitut. Il est tout à fait sûr que Jésus est notre Substitut et qu'Il est mort à la Croix pour nous. Mais comme nous l'avons déjà dit, il y a deux facettes à l’œuvre de la Croix.

Pierre fait allusion à cette double œuvre de la Croix quand il écrit, « Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez Ses traces » (1 Pierre 2. 21). Christ aussi a souffert POUR nous; c'est le premier aspect. Mais voici le second, IL nous a laissé un EXEMPLE, afin que nous suivions Ses traces.

Ainsi l’œuvre de la Croix a deux aspects. Premièrement, Jésus est notre Substitut. Deuxièmement, Il est notre Exemple.
Dans le premier cas, Il a porté la Croix. Dans le second cas, nous avons pris la Croix. La première œuvre de la Croix est pour le Pécheur ; la seconde œuvre de la Croix est pour le Disciple.
Jésus a dit que le Chemin qui mène à la Vie passe par une Porte étroite et un sentier étroit. La Porte n'est que le commencement du voyage ; ce n'est pas la destination. Nous devons donc avoir en même temps la Porte et le Chemin. L'un n'est pas complet sans l'autre. Une fois que nous sommes passés par la Porte, il y a un Chemin que nous pouvons suivre. Passer la Porte nous permet de marcher sur le Chemin, mais la Porte est incomplète sans le Chemin. La Vie est au bout du Chemin, pas au début.

Cela correspond aux deux aspects de la Croix. La « Croix du Pécheur » est la Porte. C'est parce que Jésus est le Substitut que nous pouvons maintenant marcher le long du Chemin. La « Croix du Disciple » est le Chemin. Maintenant nous pouvons suivre Son exemple. Pouvez-vous voir la différence ?
Jésus a dit que le chemin qui mène à la Vie passe à travers une Porte Étroite et un Chemin Étroit.
Le Porte Étroite c'est Christ. C'est étroit parce qu'Il est le Seul Chemin. Mais pourquoi le Chemin est-il si difficile ? En partie parce qu'il est plus facile d'accepter Jésus en tant que Substitut que de L'accepter en tant qu'Exemple.

Exprimé différemment, il est bien plus simple d'accepter Jésus en tant que Sauveur que de L'accepter en tant que Seigneur.
Nous pouvons Le reconnaître comme notre Sauveur et Substitut par une simple prière. Mais en faire notre Exemple et notre Seigneur, marcher aussi effectivement sur Ses traces, n'est pas si attrayant.
Pourquoi ? Dans le premier cas, nous acceptons simplement « la Croix du Pécheur » et tout est accompli pour nous. Mais dans le second cas, nous devons prendre « la Croix du Disciple » et réellement suivre les pas du Maître.
Cela ne prend que quelques instants pour passer la Porte, mais marcher le long du Chemin prend toute la vie. Même si Pierre écrit au sujet de ce double aspect de la Croix, Matthieu 16 nous montre que sa compréhension du sujet n'a pas toujours été très bonne.

En Matthieu 16, nous voyons Jésus en tant que notre Substitut et notre exemple dans un même chapitre. D'abord on y voit Jésus en tant que notre Substitut. Il commence à montrer à Ses disciples qu'Il doit aller à Jérusalem, y souffrir beaucoup, y être tué, et ressusciter le troisième jour. Pour Ses pêchés ? Non, pour nos péchés. Il est donc notre Substitut.

Pierre, qui s'en est offensé, a pris Jésus à part et a commencé à le reprendre. Imaginez ! Pierre est en train de reprendre le Seigneur Jésus au sujet de la Croix. Il est clair que c'est quelque chose de difficile à comprendre. Mais Jésus se tourne vers Pierre et le repousse. "Eh bien, il en sera ainsi. J'irai à Jérusalem et je mourrai pour les péchés du monde. Je dois accomplir Mon œuvre de substitution".

Mais les deux aspects de la Croix vont plus loin que la mort physique de Jésus.

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La présence et l'habitation du Saint-Esprit dans les enfants de Dieu

23 Mars 2021 Publié dans #Divers

Présence du Saint Esprit dans les enfants de Dieu :

"En la dernière journée, la grande journée de la fête, Jésus se tint là, et il cria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive. Celui qui croit en moi, comme l'a dit l'Écriture, des fleuves d'eau vive couleront de son ventre. Or il disait cela de l'Esprit qu'allaient recevoir ceux qui croyaient en lui; car l'Esprit n'était pas encore venu, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié" (Jean 7. 37-39).

Beaucoup de personnes s'apprêtaient certainement à rentrer chez elles déçues: elles n'avaient pas reçu la bénédiction qu'elles recherchaient. Quelle merveilleuse réponse le Seigneur donne là à ces personnes découragées! “Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive”. Encore aujourd'hui, il y a des milliers de gens qui ont soif de quelque chose qu'ils ne savent pas définir.

Mais nous trouvons dans ce verset l'explication des paroles du Seigneur : il parlait de l'Esprit de Dieu qui, à ce moment-là, n'était pas encore venu dans le monde – ce qui a eu lieu après la mort et la résurrection du Seigneur Jésus, lorsqu'il a été reçu de nouveau dans la gloire. Le chapitre 2 du livre des Actes rapporte cette impressionnante venue du Saint Esprit pour habiter dans tous ceux qui croient au Seigneur Jésus. Dès ce moment-là, leur soif a été satisfaite et l'Esprit de Dieu a pu se répandre aussi vers d'autres en bénédictions merveilleuses.

Cela a eu lieu il y a 2000 ans, mais un tel don de Dieu a une réalité permanente. En fait, tout être humain qui reçoit le Seigneur Jésus comme Sauveur est également béni et scellé par la présence de l'Esprit de Dieu en lui (Éphésiens 1. 13) ; désormais, il n'aura plus jamais soif. Ensuite, dans la mesure où le croyant en Jésus se soumet à l'opération du Saint Esprit en lui, il sera un instrument dont l'Esprit Saint se servira pour en atteindre d'autres.

L'habitation du Saint Esprit dans les enfants de Dieu :

"En qui aussi ayant cru, vous avez été scellés du Saint Esprit de la promesse" (Éphésiens 1. 13).

Dieu le Saint Esprit habite en nous, enfants de Dieu, croyants en Jésus. Sa présence est devenue une réalité merveilleuse pour nos âmes. Les conséquences qui découlent d'une telle vérité sont immenses ! Examinons quelques-unes d'entre elles.

"L'Esprit d'adoption a été envoyé dans nos cœurs ; par lui nous crions: Abba, Père !" (Romains 8. 15). Il est venu de la gloire qui ne nous a pas encore été révélée, à nous qui sommes cohéritiers de cette même gloire avec Christ. Il apporte dans nos cœurs la puissance de la gloire comme une réalité actuelle; le monde nous paraît toujours plus aride à mesure que nous avançons vers la gloire.

"Le Saint Esprit s'associe lui-même à nos souffrances. Si nous soupirons en nous-mêmes avec la création qui souffre, c'est la voix de l'Esprit qui intercède par des soupirs inexprimables pour nous selon Dieu" (Romains 8. 22-27). L'Esprit nous fait connaître Christ là où Il est et nous fait réaliser que nous sommes unis à Lui. Il produit dans nos cœurs le désir d'être dans la gloire avec Christ dans la mesure où sa croix a fait de nous des étrangers sur une terre devenue pour nous un désert aride et désolé. Nous savons que “Ce que l'œil n'a pas vu, que l'oreille n'a pas entendu, et qui n'est pas monté au cœur de l'homme… Dieu nous l'a révélé par son Esprit” (1 Corinthiens 2. 9, 10).

Le Saint-Esprit est le sceau de Dieu sur nous. Il est, dans nos cœurs, les arrhes de tout ce qui deviendra bientôt réellement notre possession (Éphésiens 1. 13, 14). Notre corps est le “temple du Saint Esprit” (1 Corinthiens 6. 19). Il est la puissance de la vie que nous avons de Dieu, produisant ainsi en nous une “fontaine d'eau jaillissant en vie éternelle” (Jean 4. 14). En buvant de cette eau, nous n'avons plus jamais soif. Il est aussi la puissance de la joie débordante qui s'élève jusqu'au Père, dans une adoration que le Père recherche. Et de sa plénitude “des fleuves d'eau vive” coulent vers le monde aride et incrédule qui nous entoure.

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Le péché et la solution au péché

22 Mars 2021 Publié dans #Pardon des péchés

L’espérance de vie s’allonge mais… pour chacun de nous, la mort reste et restera toujours inévitable. La Bible révèle la cause de la mort : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort… ainsi la mort a passé à tous les hommes, du fait que tous ont péché » (Romains 5. 12).

Le péché : un mot qui dérange : Ce mot évoque la « religion » ou « Dieu » et ce sont des sujets devenus tabous. De nombreuses personnes ignorent ce mot et ce qu’il signifie réellement. Cela n’est pas étonnant car nos sociétés modernes rejettent la notion du « péché ». On évite d’en parler et si cela était possible on aimerait ne plus en parler du tout. Ce n’est pas en supprimant ce mot de notre vocabulaire que nous éliminerons le péché et que ses conséquences seront annulées.

Qu’appelle-t-on « péché » ? : « Toute iniquité est péché » (1 Jean 5. 17). Exprimé d’une autre façon : « Tout ce qui est contraire aux pensées et à la volonté du seul Dieu Saint est un péché ». Le péché est donc une immense offense à Dieu. Le désir profond de Dieu est de faire connaître aux hommes ses pensées et sa volonté afin d’établir avec eux une relation d’intimité. Il a donné sa Loi (les 10 commandements) aux Israélites. Puis durant toute sa vie sur la terre, Jésus le Fils de Dieu a montré par son attitude ce que Dieu attendait des êtres humains et Il nous l’a enseigné.
Aujourd’hui, nous avons la Bible qui est la Parole de Dieu. Elle nous indique tout ce qui est conforme à ses pensées. Elle est « LA » référence qui nous apprend à reconnaître ce qui est un péché et ce qui ne l’est pas.

Qu’est-ce qui est un péché ? : « Il a été dit aux anciens (par la Loi) : « Tu ne tueras pas » ; et celui qui tuera, sera passible du jugement. Mais moi (Jésus), je vous dis que quiconque se met en colère légèrement contre son frère sera passible du jugement » (Matthieu 5. 21-22).
Nos pensées et nos actes, même les plus secrets, sont concernés. Pécher, ce n’est pas seulement voler, tuer, commettre des attentats. C’est aussi : mentir, être grossier, blasphémer, tromper son conjoint, ne pas respecter les lois. Mais il y a encore ce que personne ne peut voir : la jalousie, l’orgueil, le racisme, le rejet de l’existence de Dieu (c’est être agnostique), l’athéisme. « La fornication, l’impureté, l’impudicité, l’idolâtrie, la magie, les haines, les querelles, les jalousies, les colères, les rivalités, les divisions, les sectes, les désirs immodérés, les ivrogneries, les orgies, et tout ce qui y ressemble… ceux qui se livrent à de telles pratiques n’hériteront pas du royaume de Dieu » (Galates 5. 19 à 21).
La liste ci-dessus est un aperçu suffisant de ce que l'unique et l seul Dieu trois fois Saint appelle « péché » pour que chacun de nous se sente concerné et se reconnaisse COUPABLE devant le seul Dieu Saint.

Les conséquences du péché :
- La mort physique de notre corps : « Dieu commanda à l’homme (Adam), disant : … au jour que tu en mangeras, tu mourras certainement (inévitablement) » (Genèse 2. 16). « Le salaire (les résultats) du péché, c’est la mort » (Romains 6. 23).
- Absence de relation entre l’être humain et Dieu : « Vos iniquités ont fait séparation entre vous et votre Dieu, et vos péchés ont fait qu’il a caché de vous sa face » (Ésaïe 59. 2).
- Le châtiment éternel en Enfer : « Ils seront tourmentés, jour et nuit, aux siècles des siècles… C'est ici la seconde mort, l'étang de feu » (Apocalypse 20. 10-14).

La solution de Dieu pour nos péchés :
Aucun péché ne peut être effacé par nos bonnes actions : RIEN, même une « nouvelle » vie exemplaire n’effacera JAMAIS un seul de nos péchés. Mais seul « le sang de Jésus Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7 à 9).
Dieu offre le pardon des péchés et la vie éternelle. Mais pour qu’il en soit ainsi, sur la croix, Jésus Christ a enduré pour nous le terrible châtiment de Dieu : « Christ est mort pour nos péchés » (1 Corinthiens 15. 3).
En vertu du sacrifice de Christ, Dieu offre :
- Le pardon des péchés : « Quiconque croit en lui reçoit le pardon des péchés » (Actes 10. 43).
- La vie éternelle : « Le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le christ Jésus, notre Seigneur » (Romains 6. 23).
- L’espérance de la résurrection : Jésus dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra » (Jean 11. 25).
- Une relation de paix et d’amour : « À tous ceux qui l’ont reçu (qui croient que Jésus est Fils de Dieu), il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu » (Jean 1. 12).

Croyons ce que Dieu nous dit. Tout traitement médical est efficace UNIQUEMENT si le malade le prend. De même, SEULS ceux qui croient en Dieu et en son Fils Jésus hériteront de la vie éternelle. Croire ce que Dieu dit, c’est accepter ce qu’Il nous offre.
L’offre de Dieu nécessite impérativement une décision personnelle de votre part car il est écrit : « Si vous ne croyez pas… vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8. 24). « Quiconque croit celui qui m’a envoyé (Dieu), a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24). « Si tu crois dans ton cœur que Dieu a ressuscité Jésus d'entre les morts, tu seras sauvé. » (Romains 10. 9). « Bienheureux ceux dont les iniquités ont été pardonnées » (Romains 4. 7).

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