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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Le sacrifice d'Abraham

31 Juillet 2020 Publié dans #Salut, #Sacrifice de Jésus

Dieu avait demandé à Abraham de sacrifier son fils Isaac sur le mont Morija. Le fils d'Abraham était condamné à mort par Dieu et à vrai dire, il le méritait, car il était pécheur. Abraham a lié son fils et l'a placé sur l'autel. Il était incapable de se libérer.
Voici le message que Dieu voulait faire passer : de même qu'Isaac était incapable de se sauver lui-même, de même nous sommes tous liés par le péché et incapables de nous libérer nous-mêmes de ses conséquences.
Abraham avait pris le couteau et était sur le point de transpercer son fils. Abraham avait confiance que Dieu, dans sa bonté, fournirait une solution au problème de la mort. Au dernier instant, Dieu appela Abraham du ciel pour l'empêcher de passer à l'action. Parce qu'Abraham a cru, le Seigneur Dieu a pourvu à son besoin d'un substitut qui mourait à la place de son fils.
Il y a eu une mort, mais c'était celle du bélier que Dieu lui a fourni plutôt que celle du fils d'Abraham. Le fils d'Abraham a été délivré parce que le bélier est mort à sa place. Dieu avait fourni un substitut. Cet événement a tellement marqué Abraham qu'il a donné à cette montagne un nom qui lui rappellerait la nature de Dieu.
Abraham a nommé la montagne : "l'Éternel pourvoira". On peut se demander pourquoi il ne l'a pas appelée "l'Éternel a pourvu". C'est comme si Abraham anticipait un temps où un autre sacrifice serait offert. Un sacrifice qui procurerait le salut au monde entier. Deux mille ans plus tard, dans ces mêmes montagnes, Jésus-Christ le Messie, le Fils de Dieu et l'Agneau de Dieu, a accompli la prophétie d'Abraham en donnant sa vie en sacrifice parfait sur la croix.
De même que le bélier est mort à la place du fils d'Abraham, de même Jésus-Christ, qui est l'Agneau de Dieu est mort pour nous sur la croix. Nous aurions dû mourir éternellement en Enfer pour nos péchés, mais Jésus-Christ est mort sur la croix pour nous, prenant notre châtiment que méritent nos péchés afin que quiconque croit en Lui ait la Vie éternelle pour aller vivre éternellement au Paradis. Jésus est notre Substitut, notre Remplaçant. Nous n'avons besoin d'aucun autre sacrifice. Jésus seul s'est parfaitement sacrifié pour nous sur la croix.
Si le bélier n'était pas mort, le fils d'Abraham aurait péri. Si Jésus-Christ n'était pas mort sur la croix pour nous, nous devrions nous-même payer pour toujours en Enfer la dette liée à notre péché.

Alléluia, Jésus-Christ, l'Agneau de Dieu, est ressuscité, Il est vivant éternellement et Il sauve parfaitement tous ceux qui l'acceptent et le reçoivent comme seul Seigneur et Sauveur de leur vie. Amen !

Voir aussi ces articles :  L'unique Agneau de Dieu ; Le sacrifice d'Abraham et celui de Jésus-Christ

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Jésus-Christ, l'homme de douleurs

30 Juillet 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Méprisé et délaissé des hommes, homme de douleurs… Il plut à l'Éternel de le meurtrir; il l'a soumis à la souffrance. (Ésaïe 53. 3, 10)

Jésus…, à cause de la joie qui était devant lui, a enduré la croix, ayant méprisé la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu. (Hébreux 12. 2)

"L'homme de douleurs" : Qui donc a pu porter un tel titre ? C'est le Messie annoncé par les prophètes, Jésus-Christ le Seigneur et le seul Sauveur du monde. Les êtres humains ne l'aimaient pas parce que Sa vie parfaite et Son enseignement mettaient en évidence leurs mauvaises actions (Jean 3. 19). Pourtant Jésus-Christ a démontré son Amour pour les êtres humains, mais ils lui ont rendu la haine (Psaume 109. 4).

Jésus a été confronté à l'incrédulité et au rejet de la part des êtres humains. Il a pleuré, Il a été ému en voyant le pouvoir de la mort sur les êtres humains (Jean 11. 33, 35). Jésus-Christ est Saint. Les péchés des êtres humains étaient pour Jésus-Christ un sujet de douleur constante. Les tristesses de l'humanité pesaient sur son âme : Jésus-Christ “Lui-même a pris nos infirmités et a porté nos maladies” (Matthieu 8. 17). Jésus était sensible aux insultes, au mépris, aux moqueries, aux efforts de ceux qui voulaient le contredire. Et dans tout cela, Jésus a tout supporté avec une patience infinie, pourtant Il ressentait tout avec une intensité extrême.

« Le Christ, durant les jours de sa chair, ayant offert, avec de grands cris et avec larmes, des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort… bien qu'il fût Fils, a appris l'obéissance par tout ce qu'il a souffert » (Hébreux 5. 7-8).

Ici, notre attention est attirée vers le chemin de Jésus sur la terre. Sa part devait être caractérisée par la souffrance. Notre péché et notre misère n'ont fait que fournir l'occasion pour la manifestation de l'Amour divin ; cela n'est montré et appris qu'en Christ, en Celui qui a souffert infiniment sur la terre. Christ seul, dans le mystère de sa Personne, était capable d'endurer une telle souffrance. Ainsi, Il a glorifié Dieu, et Il a touché nos cœurs, ouverts par grâce, pour que nous ressentions, dans notre mesure, les merveilles de son Amour.
Lorsque nous contemplons Jésus dans son humanité, nous n'avons qu'une vue extérieure de ses souffrances et n'entendons que ses paroles douloureuses : Dieu seul pouvait mesurer l'intensité de ce qu'Il souffrait. Pour beaucoup de raisons liées au plan de Dieu et à la bénédiction de l'être humain, « la Parole devint chair et habita au milieu de nous » (Jean 1 : 14). Jésus a obéi jusqu'à la mort, la mort même de la croix (Philippiens 2 : 8). Et si des prières et des supplications, de grands cris et des larmes ont pu monter de bien des cœurs vers Dieu, combien plus les siens ! Car sa nature divine ne le protégeait pas de la douleur, du chagrin, de l'humiliation ou de la souffrance, mais plutôt Lui permettait de les ressentir pleinement et de les supporter parfaitement, en même temps qu'Il acceptait tout dans une parfaite dépendance de son Père et une soumission absolue à sa volonté.
Ce n'était pas peu de chose pour son amour que de rencontrer la haine, et d'être méprisé et rejeté par les hommes ; non seulement ne pas être honoré par le peuple de Dieu (qui était son peuple), mais être estimé « battu, frappé de Dieu, et affligé » (Ésaïe 53 : 4). Plus encore, Jésus a été abandonné de tous ses disciples, renié par l'un, trahi par un autre ; et, ce qui était de loin le plus terrible de tout et totalement différent de tout, Il a été abandonné par Dieu au moment où Il avait le plus besoin de ses consolations et de son soutien. Mais il devait en être ainsi, pour que le péché soit jugé comme il le fallait dans son sacrifice, que nos péchés soient complètement expiés, et que Dieu soit glorifié à l'égard du mal d'une façon juste et pour toujours.

En portant tous nos péchés sur la croix, Jésus-Christ a été “soumis à la souffrance” par Dieu Lui-même. Ce que Jésus a subi de la part des êtres humains n'a rien de comparable avec la terrible colère de Dieu que Jésus a subi pour nous sur la croix. Oui, sur la croix, Jésus a souffert pour nous à cause de tous nos péchés, Lui “le Juste pour les injustes” (1 Pierre 3. 18). Sur la croix Jésus nous a tout donné : il “s'est donné Lui-même pour nous” (Tite 2. 14). Ressuscité et glorifié, désormais assis à la droite de Dieu, le Seigneur Jésus-Christ porte pour l'éternité, sur son corps glorieux, les traces des souffrances subies pour nous (Apocalypse 5. 6). Quiconque se repent de ses péchés, accepte le Seigneur Jésus dans sa vie et met sa confiance en Lui, a la vie éternelle.

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(2) Nous avons part à la Souveraineté de Dieu

29 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Après Sa mort et Sa résurrection, le Seigneur Jésus-Christ a reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre : "Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit,et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit" (Matthieu 28. 18-20).
"Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris" (Marc 16. 15-18).
"En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père" (Jean 14. 12).

Remarquez que le Seigneur Jésus, après avoir reçu tout pouvoir, délègue aussitôt à Ses disciples ce pouvoir, pour qu'ils accomplissent en Son Nom les mêmes œuvres que Lui-même avait accomplies au cours de Son ministère.
Il en découle un principe biblique très important : Si Dieu nous demande de faire quelque chose, Il ne le fera pas à notre place, si nous ne le faisons pas ! Ne L'accusons donc pas des conséquences de notre désobéissance !

Voici de quelle manière l'apôtre Paul définit la manière dont les disciples de Christ doivent exercer l'autorité qu'ils ont reçue du Seigneur Jésus : "Si par l’offense d’un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ lui seul" (Romains 5. 17).
Paul ne dit pas que c'est Jésus qui régnera dans la vie, par nous ! Mais il dit que c'est nous qui régnerons dans la vie, par Jésus-Christ Lui seul. Le fait de "régner" implique, de la part de celui qui règne, l'exercice d'une autorité et d'une souveraineté.
Bien entendu, le Seigneur notre Dieu est le seul Souverain Suprême, et Il le restera toujours. Mais, dans Sa grâce et dans Sa bonté, Il a décidé de nous associer à Son règne, nous qui sommes membres de Son Église.
Cela signifie que nous avons une grande responsabilité, celle d'accepter de régner dans la vie, comme le Seigneur Jésus a régné dans la vie, au cours de Son ministère terrestre. Nous ne pouvons pas, et nous ne devons pas, nous soustraire à cette responsabilité, par ignorance ou par incrédulité.

Quand Paul parle de "régner dans la vie," il ne fait pas allusion au règne de l’Épouse avec Christ pendant le Millénium, ou dans l'éternité. Mais il parle de régner dans cette vie présente.
Si nous ne le faisons pas, nous priverons Dieu d'une partie de Sa souveraineté, celle qu'Il nous a déléguée, et qu'Il nous a demandé d'exercer en Son Nom. Rappelons-nous que Dieu ne fera pas à notre place ce qu'Il nous a demandé de faire. Si nous ne le faisons pas, c'est que nous ne laissons pas Sa gloire se manifester !

Comme le Royaume de Christ n'est pas de ce monde, du moins pas encore, sur quoi et de quelle manière devons-nous régner dans cette vie actuelle ? Essentiellement, nous sommes appelés à régner sur Satan et toutes ses œuvres, que ce soient le péché, la chair, les maladies et les infirmités, et toute forme de malédiction héritée du péché.
Nous ne sommes plus esclaves de toutes ces choses ! Mais nous sommes appelés à les dominer, à les détruire, et à les empêcher de se manifester dans notre vie, afin de ne plus laisser à Satan le moindre contrôle sur nous !
"Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté" (Éphésiens 6. 10-13).
"Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous" (Jacques 4. 7).
"Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde" (1 Pierre 5. 8-9).

Résistez ! Résistez ! Nous ne pouvons résister victorieusement aux attaques de Satan que si nous connaissons notre position en Christ, et si nous avons réalisé que Dieu, en Christ, nous a donné l'autorité de régner dans cette vie sur toutes les œuvres du malin. Sinon, le diable va continuer à exercer une autorité qu'il n'a plus le droit d'exercer.
C'est à nous de combattre et de vaincre un ennemi déjà vaincu par Dieu notre Créateur, après nous être revêtus de toutes les armes spirituelles que Dieu a mises à notre disposition : le précieux sang de Jésus, l'onction de Son Esprit, les dons et le fruit de Son Esprit, et Sa divine Parole prononcée par nous avec foi, etc...

Notre "pays de Canaan" spirituel est devant nous ! C'est tout l'héritage que nous possédons en Christ. Mais il y a encore dans ce pays des villes ennemies fortifiées et des géants ! Dieu nous demande de les conquérir à la pointe de Son épée ! C'est la Parole de Dieu dans notre cœur, sur nos lèvres et dans nos actes qui nous donnera la victoire !
Nous avons la victoire, quand nous prononçons de notre bouche un Amen de foi à toutes les promesses de Dieu, et que nous pouvons dire à Satan avec assurance et autorité, comme Jésus dans le désert : "Satan, il est écrit !"
En outre, ne nous laissons jamais reprendre ou voler ce qui nous appartient, et que nous avons conquis par la foi ! Car, jusqu'au bout, l'ennemi cherchera à nous reprendre le terrain qu'il a perdu ! C'est pourquoi le Seigneur nous dit : "Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne" (Apocalypse 3. 11).

Amen! Viens Seigneur Jésus!

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(1) La Souveraineté de Dieu

28 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Certains affirment que tout ce qui arrive dans le monde est nécessairement voulu, ou du moins permis par Dieu, parce que Dieu est absolument Souverain, et qu'Il a tout sous Son contrôle. Mais est-ce bien ainsi que la Bible définit la Souveraineté de Dieu ?

Par définition, Dieu, en tant qu'Être Suprême, est le seul à être Souverain. Comment alors définir cette Souveraineté de Dieu ?

La souveraineté peut être définie comme un pouvoir absolu et perpétuel, qui l'emporte sur tous les autres, et qui n'admet aucune restriction dans son exercice.

Il est clair que seul Dieu possède un tel pouvoir, et qu'Il est le seul à pouvoir l'exercer avec une parfaite sagesse, un parfait amour, et une parfaite justice.

Nous pouvons constater, dès le début du Livre de la Genèse, de quelle manière le Seigneur Dieu a créé l'univers et tout ce qu'il contient. Il Lui a suffi de prononcer quelques paroles, pour que la puissance de Son Esprit manifeste aussitôt ce qui n'existait pas ! "Dieu dit : Que la lumière soit! Et la lumière fut !" (Genèse 1. 3).

Le sixième jour, après avoir tout créé par Sa Parole, Dieu créa l'homme à Son image, selon Sa ressemblance, voir Genèse 1. 26-28.
Nous constatons, dès la création de l'être humain, que le Seigneur Dieu Tout-Puissant a décidé de déléguer une partie de Son autorité à l'homme qu'Il a créé. Cet homme doit dominer, remplir la terre et l'assujettir. Ce n'est pas Dieu qui le fera à sa place. Adam et Eve, tout en restant soumis à l'autorité suprême de Dieu, puisqu'ils devaient continuer à obéir à Ses commandements, avaient reçu du Seigneur Dieu la responsabilité de dominer sur toute la création.
En créant l'homme à Son image, Dieu lui a aussi donné le libre-arbitre. L'homme avait donc le choix d'obéir à Dieu ou de Lui désobéir, de Le suivre ou de Le quitter. Ce libre-arbitre, nous l'avons conservé après la chute. Dans le Livre du Deutéronome, donc bien après la chute, Dieu dit à Son peuple : "J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité" (Deutéronome 30. 19).
Si Dieu ordonne à Son peuple de choisir la vie, c'est qu'il peut le faire ! Dieu serait injuste, s'Il nous demandait de faire quelque chose que nous ne pourrions pas faire. En effet, quand Dieu a donné à l'homme la liberté de choix, Il a souverainement décidé de déléguer à l'homme une partie de Sa souveraineté. L'homme devait l'exercer comme Dieu l'aurait exercée Lui-même.
Est-ce à dire que Dieu, en nous donnant le libre-arbitre, avait abandonné cette partie de Sa souveraineté ? Non, Il l'avait simplement déléguée. L'homme et la femme pouvaient, et devaient même, exercer cette domination qui leur avait été déléguée, mais toujours au nom du Seigneur. Ils pouvaient continuer à l'exercer, aussi longtemps qu'eux-mêmes continueraient à rester soumis au Seigneur, et à obéir à l'ordre qu'Il avait donné à Adam : "L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin;mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 2. 16-17).
Lorsque Adam et Eve eurent choisi de désobéir à cet ordre formel, ils tombèrent dans la mort spirituelle, furent coupés de Dieu, et ce fut alors le diable qui devint leur maître. "C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché" (Romains 5. 12).
L'homme est alors devenu l'esclave de la loi du péché et de la mort. Et c'est Satan qui est devenu le prince et le dieu de ce monde (Jean 12. 31 ; 16. 11).

Lorsque Satan vint tenter Jésus dans le désert, le diable lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et Lui dit : "Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux" (Luc 4. 6). Jésus ne contesta pas cette affirmation, car, depuis la chute, c'était la réalité. "Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin" (1 Jean 5. 19).
"Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion" (Éphésiens 2. 1-2).
Satan est donc bien appelé le "dieu de ce siècle," "le prince de la puissance de l'air," qui tient le monde entier sous sa puissance. Le diable ne cherche qu'à dérober, égorger et détruire (Jean 10: 10). Cela signifie que toutes les catastrophes qui surviennent sur la terre, depuis la chute, ne sont pas l’œuvre de Dieu, mais doivent être attribuées à Satan, puisqu'il est le maître de ce monde.

Dieu avait établi une loi : "Car le salaire du péché, c’est la mort" (Romains 6: 23). La conséquence du péché, c'est toujours la mort. Dans cette mort, sont inclues toutes ces calamités et malédictions que nous venons d'énumérer. Dieu n'en est donc pas le responsable direct. Mais, dans Sa justice, Il a établi une loi, selon laquelle le péché devait entraîner la malédiction et la mort. Si un être humain choisit de pécher, il doit en subir les conséquences. Mais il ne doit pas accuser Dieu d'être le responsable de ces conséquences.

Certains posent la question : "Mais pourquoi Dieu, puisqu'Il en a le pouvoir, n'intervient-Il pas pour empêcher le diable de faire tout ce mal sur la terre ?" Dieu ne va pas violer les lois qu'Il a Lui-même établies. Le seul moyen que Dieu donne aux êtres humains pour échapper à Satan et à tout ce mal, c'est de se repentir de tous leurs péchés et de recevoir comme Sauveur et Maître le Seigneur Jésus, qui a vaincu Satan à la croix.
Gloire à Dieu ! Le Seigneur Jésus est venu pour détruire le péché et toutes les oeuvres du diable, et pour lui ôter toute sa puissance et nous donner la rédemption, la rémission des péchés" Voir Colossiens 2: 13-15 ; Colossiens 1: 12-14.
En Christ, non seulement nous avons été libérés de la domination de Satan et de ses oeuvres, mais nous avons aussi été restaurés dans l'autorité que nous devons exercer sur le diable et sur le monde. En Christ, nous sommes de nouvelles créations appelées à régner !

LIRE AUSSI : (2) Nous avons part à la Souveraineté de Dieu

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Jésus-Christ nous sauve

27 Juillet 2020 Publié dans #Salut

Jésus-Christ s'est donné en rançon pour tous

Jésus s'est donné en rançon pour tous signifie qu'il s'est donné en sacrifice pour tous les êtres humains, pour racheter quiconque se repent de ses péchés, croit et met sa confiance en Lui. Les êtres humains sont prisonniers du péché et du diable, mais Le Seigneur Jésus-Christ a payé le prix de leur rançon. Ainsi, chaque être humain doit avoir la foi en Jésus pour être sauvé et être déclaré juste devant Dieu.

L'être humain est pécheur

Dieu est Saint et l'être humain est pécheur. Le salaire (la conséquence) du péché c'est la mort (Romains 6 : 23). Les êtres humains qui n'obéissent pas à l'Évangile de Jésus Christ seront punis, la colère de Dieu va se manifester contre eux (2 Thessaloniciens 1 : 18).

Dieu avait créé l'être humain sans péché pour être en communion avec lui. Mais quand l'être humain a désobéi au commandement de Dieu, "le péché est entré dans le monde et il est passé sur tous les êtres humains, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort a passé sur tous les êtres humains, parce que tous ont péché" (Romains 5 : 12)

Le péché conduit à la mort et à la perdition éternelle

Personne ne peut échapper à la mort de son corps humain. L'être humain vient au monde avec une nature mauvaise et pécheresse. Il est privé de la présence de Dieu à cause du péché. Chaque être humain rendra compte à Dieu pour lui-même.

"Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu" (Romains 3 : 19). La loi ici est celle que Dieu a transmise à Moise, la loi expose le péché. La punition du péché, c'est la mort éternelle. La mort éternelle c'est la séparation d'avec Dieu et l'éternité dans les souffrances éternelles du feu de l'Enfer. Dieu a ressuscité son Fils Jésus-Christ et c'est Jésus "qui nous délivre de la colère de Dieu à venir". (1 Thessaloniciens 1 : 10b). "Car le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle dans l'union avec Jésus-Christ notre Seigneur" (Romains 6 : 23)

Jésus-Christ s'est donné en sacrifice pour ôter les péchés

Jésus-Christ s'est donné en sacrifice pour nous racheter du péché et de la mort éternelle. Dieu a envoyé Jésus dans le monde comme sacrifice, Il est mort à la croix comme un criminel, alors qu'Il était innocent. Le sang de Jésus le Fils de Dieu a coulé pour nous. Le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché. Donc le sang précieux de Jésus a coulé pour tous les êtres humains, pour racheter et purifier quiconque reçoit et accepte Jésus dans sa vie comme seul Seigneur et Sauveur et lui fait confiance pour son Salut. Jésus-Christ, à la croix, a fait l'expiation de nos péchés et il est ressuscité. Il vit éternellement.

Jésus-Christ est le Sauveur du monde et le Fils de Dieu. Il est notre Rédempteur. Chacun de ces titres souligne une vérité qui est que Jésus-Christ est le seul chemin par lequel nous pouvons retourner vivre avec notre Père céleste. 

Jésus a souffert et a été crucifié pour les péchés du monde offrant ainsi à chaque enfant de Dieu le don du repentir et du pardon. On ne peut être sauvé que par sa miséricorde et par sa grâce. Sa résurrection, qui a eu lieu par la suite, a préparé la voie pour que chaque personne surmonte également la mort physique. Ces événements constituent l’Expiation. En résumé, Jésus-Christ nous sauve du péché et de la mort. En cela, il est notre Sauveur et notre Rédempteur au sens le plus littéral.

Jésus-Christ reviendra un jour régner sur la terre pacifiée pendant mille ans. Jésus-Christ est le Fils de Dieu et il sera notre Seigneur à jamais.

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La mort, sentence divine

26 Juillet 2020 Publié dans #La mort

“L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu mangeras librement de tout arbre du jardin; mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas; car au jour où tu en mangeras, tu mourras certainement”. (Genèse 2. 16-17)

La sentence divine, rappelée dans le verset ci-dessus, demeure. Après la création de l’humanité, l’être humain a enfreint le commandement de Dieu et a connu la mort en conséquence de sa désobéissance, car le salaire du péché, c’est la mort(Romains 6. 23). Et la mort a passé à tous les hommes, du fait que tous ont péché (Romains 5. 12). Cette sentence est double. Non seulement l’être humain connaîtra la mort du corps mais, tant qu’il reste mort dans ses péchés, son libre accès à Dieu est désormais interrompu et c’est cela la mort spirituelle.

Cette situation terrible est-elle irrémédiable ? Non ! Car Dieu est Amour (1 Jean 4. 8b). Dieu ne veut pas la mort du pécheur, mais sa conversion et sa vie. Dieu envoie sur la terre Jésus Christ le Juste, qui subit pour nous, sur la croix, le châtiment que nous avions mérité. Jésus entre volontairement dans la mort et, parce qu’il est Saint, sans péché, Jésus répond parfaitement aux exigences de la Justice de Dieu. Aussi, Dieu le ressuscite le troisième jour et le fait asseoir à sa droite démontrant sa totale acceptation de l’œuvre accomplie. Désormais la mort est vaincue et tous ceux qui mettent leur foi en Jésus-Christ, qui a subi la mort pour eux, possèdent, dès à présent, la même vie que celle de Jésus ressuscité, (la Vie Éternelle). Et s’ils doivent passer par la mort du corps, leur âme s'en ira immédiatement auprès du Seigneur Jésus, car ils ont la vie éternelle, du fait que Jésus Christ… a annulé la mort et a fait luire la vie et l’incorruptibilité par l’évangile (2 Timothée 1. 10).

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Dieu seul pardonne les péchés

25 Juillet 2020 Publié dans #Pardon des péchés

"Qui peut pardonner les péchés sinon Dieu seul ? (Luc 5. 21). "C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu" (Éphésiens 2. 8)

De tout temps, les religions ont essayé de répondre à cette question. La diversité des solutions proposées est étonnante. La plupart des religions demandent à l'être humain de faire ou de donner quelque chose pour obtenir le pardon divin. La chrétienté même n'échappe pas à ce travers : on pourrait, moyennant certaines pratiques, obtenir la certitude du pardon de Dieu.

Et pourtant, que dit la Bible, la Parole même de Dieu, sur un tel sujet ? – « Qui peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? » En effet, le péché est une offense faite au seul vrai Dieu trois fois Saint. Dieu seul peut donc pardonner parfaitement les péchés et indiquer à l'être humain les conditions pour recevoir son pardon :

  • Nous reconnaître pécheurs incapables de nous sauver nous-mêmes, nous repentir de nos péchés et nous en détouner ;
  • Croire que Dieu a envoyé son Fils Jésus-Christ pour nous sauver de tous nos péchés ;
  • Accepter er recevoir Jésus-Christ dans notre cœur comme Seigneur et Sauveur de notre vie et confesser de notre bouche notre foi en Jésus.

Le Seigneur Jésus-Christ, qui est Dieu, a le pouvoir de pardonner les péchés (Luc 5. 24).

L'apôtre Pierre, placé devant quelqu'un qui voulait acheter un don de Dieu, lui a répondu : « Que ton argent périsse avec toi, parce que tu as pensé acquérir avec de l'argent le don de Dieu… Repens-toi donc de ta méchanceté et supplie le Seigneur, afin que, s'il est possible, la pensée de ton cœur te soit pardonnée » (Actes 8. 20, 22).

Il est, en effet, particulièrement grave de prétendre payer ou faire payer ce que Dieu nous offre Lui-même gratuitement. Car « tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, … par la foi en son sang » (Romains 3. 24, 25). Et seuls ceux qui se confient en Dieu et qui croient à la pleine valeur de son offre gratuite de la vie éternelle en son Fils Jésus-Christ peuvent dire avec certitude : « Dieu nous a pardonné tous nos péchés » (Colossiens 2. 14).

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Le message de la croix de Jésus

24 Juillet 2020 Publié dans #La croix

La croix est mentionnée un grand nombre de fois dans la Bible, mais le plus souvent dans les épîtres de Paul. Bien avant que Jésus ne soit crucifié sur le Calvaire, il nous exhortait à nous charger de notre croix chaque jour et à le suivre, ce qui est une condition pour devenir un disciple (Luc 9. 23). Jésus lui-même s'est chargé chaque jour de sa croix ; c´était le principal instrument dont il s'est servi pour détruire la racine du péché et vaincre la puissance de la mort et du diable.

Paul était saisi par le message de la croix. Dans ses lettres, nous pouvons voir quelle valeur il attribuait à la croix ; cela donnait du sens à toute sa vie et à sa prédication.
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. » (1 Corinthiens 1, 18).
« Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. » (1 Corinthiens 2, 2).
« J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. » (Galates 2, 20).

Ces références montrent clairement que la croix est la clé centrale, le moyen principal par lequel nous pouvons suivre Jésus sur la route nouvelle et vivante de la sanctification. Par la puissance de la croix, nous pouvons être transformés à l'image de Jésus, afin que la vie de Jésus soit manifestée dans notre corps (2 Corinthiens 4. 10-11). C'est pourquoi le message de la croix est un des piliers centraux et un des plus importants de l'Évangile.

La mort de Jésus sur la croix du Calvaire a permis aux êtres humains de recevoir le pardon de leurs péchés. Cette mort était cependant en réalité l'aboutissement de l'œuvre de Jésus qui s'est chargé chaque jour de sa croix – une croix intérieure métaphorique sur laquelle toute propre volonté fut sacrifiée et ainsi tout le péché dans la chair fut mis à mort.

Tandis que la croix du Calvaire constituait la fin de la vie physique de Jésus ici sur terre, cette croix (où se trouve le pardon des péchés) n'est que le commencement pour un disciple qui a pour véritable objectif de parvenir à une vie de victoire complète sur tout le péché qui est dans la chair – tout le péché dont nous avons hérité lors de la chute originelle –.

Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. (1 Corinthiens 1. 18)

Le message de la croix de Jésus-Christ s'oppose toujours à la sagesse humaine. Dans la mort de Jésus sur la croix, Dieu se fait connaître, et se révèle là où personne ne l'attendait, sous une forme que personne n'imaginait. On L'attendait sévère contre les êtres humains méchants qui se sont rebellés contre Lui ; mais pour sauver les êtres humains tous perdus dans leurs péchés, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vint par Amour pour porter sur la croix tous nos péchés sur Lui et mourir sur la croix entre deux malfaiteurs crucifiés.

Dieu n'est pas à notre mesure. Il est infini, ses pensées dépassent totalement les nôtres. En Jésus-Christ son Fils unique, Dieu vient au milieu de nous, souffre et meurt pour nous sauver, en prenant la condamnation de nos péchés que nous méritions. C'est ainsi que le seul vrai Dieu nous révèle la profondeur de son parfait Amour pour chaque être humain.

La mort de Jésus-Christ révèle la méchanceté des êtres humains qui condamnent le Juste et refusent l'Envoyé de Dieu. Mais la croix révèle surtout l'Amour incompréhensible de Dieu : Il charge de nos péchés, Jésus-Christ son Fils, Le Juste et le Saint, pour qu'Il en porte le terrible jugement.

Pour nous, vrais croyants en Jésus, le message de la croix de Jésus est la puissance de Dieu. - Puissance qui libère des chaînes les plus solides comme la drogue, l'alcool, la débauche ; et d'autres, moins visibles mais tout aussi redoutables : l'amertume, la haine, le mensonge, la fausseté. - Puissance de réconciliation qui accomplit ce qu'aucune philosophie ne peut opérer. - Puissance d'amour qui révèle le pardon et la grâce de Dieu dans toute leur étendue.

Ce merveilleux message de la croix, chaque être humain peut le refuser et rester dans le noir. Mais si un être humain l'écoute, s'il le croit, s'il le laisse pénétrer ses pensées les plus secrètes, c'est la lumière, la vie, le bonheur véritable et infini.

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Notre Liberté en Jésus-Christ

23 Juillet 2020 Publié dans #Salut

Il y a une très bonne nouvelle, qu’on ne devrait absolument pas oublier, c'est que nous sommes libres en Jésus-Christ ! Notre liberté, en tant que chrétiens, est complète et définitive. On parle ici de la liberté que Jésus-Christ nous a obtenue par sa mort et par sa résurrection.

Voilà la merveilleuse nouvelle : nous étions esclaves, ne jouissant d’aucune liberté, mais Dieu nous a fait sortir de nos maisons-prisons. Même pas besoin d’attestation : cette attestation, nous l’avons reçue une fois pour toutes par Jésus-Christ, qui, par son sang nous a offert une liberté totale. Les paroles de ce beau cantique nous le rappellent : « Quel repos céleste, mon fardeau n’est plus ! Libre par le sang du calvaire. Tous mes ennemis Jésus les a vaincus : gloire et louange à Dieu notre Père ! Quel repos, quel repos, quel repos, quel céleste repos ! ». Nos ennemis ont été vaincus, nos esclavages ont été brisés. La mort, le diable et le péché ne sont plus nos maîtres.

Libres de l’esclavage de la mort :
Rappelons-nous tout particulièrement que Jésus, le Fils de Dieu, est devenu un être de chair et de sang « afin d’écraser par sa mort celui qui détient le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable, et de délivrer tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans l’esclavage » (Hébreux 2. 14-15). La résurrection du Seigneur Jésus nous garantit que la mort, physique et spirituelle, qui était entrée dans le monde suite au péché d’Adam et Eve, a perdu son pouvoir. Si nous avons mis notre foi en Jésus-Christ, nous qui étions morts par nos fautes et par nos péchés, Dieu nous a « rendus à la vie avec le Christ » et « il nous a ressuscités ensemble et fait asseoir ensemble dans les lieux célestes en Christ-Jésus » (Éphésiens 2. 1-6). Il en découle une nécessité éthique : « Si donc vous êtes ressuscités avec le Christ, cherchez les choses d’en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu » (Colossiens 3. 1). Oui, nous sommes revenus à la vie pour vivre dans la glorieuse liberté de ceux qui ont un sens à leur existence.
Et lorsque Jésus le Ressuscité reviendra, à la dernière trompette, pour nous amener avec Lui dans le Ciel, nous recevrons des corps glorifiés et immortels ; la mort, ce dernier ennemi, aura perdu sa victoire et son aiguillon
(1 Corinthiens 15. 54-55). Oui, Jésus-Christ nous amènera directement en sa présence, par un aller-simple, pour une destination où la mort ne sera plus, où il n’y aura plus ni larme, ni cri, ni douleur (Apocalypse 21. 4).

Libres de l’esclavage du diable :
A la croix, Jésus-Christ a « dépouillé les principautés et les pouvoirs, et les a publiquement livrés en spectacle, en triomphant d’eux par la croix » (Colossiens 2. 15). Autrefois, le diable était notre père
(Jean 8. 44), mais il n'a maintenant plus aucun pouvoir sur nous, puisque nous avons été transférés du royaume des ténèbres au royaume du Fils bien-aimé (Colossiens 1. 13). Il nous faut là encore nous approprier cette vérité, la méditer pour en être totalement convaincus. L’apôtre Jean insistait : « Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts, que la parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le Malin » (1 Jean 2. 14). Nous avons un nouveau maître, que nous pouvons servir en toute liberté même quand nos libertés humaines et terrestres sont entamées. Cela implique, par exemple, que nous ne sommes pas condamnés à sombrer dans la déprime ou dans le doute, alors que nous regardons peut-être notre passé avec nostalgie, notre présent avec amertume et notre avenir avec incertitude : non, nous sommes libres de résister à ces attaques du diable qui, bien que rôdant comme un lion rugissant, est déjà un ennemi vaincu contre lequel le Dieu de toute grâce pour nous rendre forts (1 Pierre 5. 8-11).

Libres de l’esclavage du péché :
La thème de la libération de l’esclavage du péché est centrale dans le Nouveau Testament. L’esclavage du péché est la condition de tous les êtres humains, par nature. « Quiconque commet le péché est esclave du péché » (Jean 8. 34). Nous sommes plus libres en tant que « chrétiens confinés » que le moins confiné des incroyants qui profiterait de sa « liberté » pour voyager aux quatre coins du globe, s’amasser des trésors sur la terre et s’émanciper de toute contrainte. Le plus libre des hommes reste esclave de son péché, et donc condamné par Dieu. Une seule solution : connaître la Vérité, qu'est Jésus, qui nous rendra libres (Jean 8. 32). « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres » (Jean 8. 36). Ce dont ont besoin nos contemporains, ce n’est pas premièrement d’être « dé-confinés », mais d’être « dé-esclavagisés » de leur péché. Et sachons que Dieu, dans sa pure grâce, nous a déjà donné cette liberté-là par la mort de son Fils Jésus à la croix et sa par résurrection le troisième jour, puis en l’appliquant nos cœurs par son Esprit Saint, alors nous sommes les plus libres des hommes. « Libérés du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice » (Romains 6. 18).

Mais là encore, il s’agit de vivre dans cette liberté qui nous a été acquise, de nous l’approprier. Par l’Esprit de Christ qui vit en nous, nous sommes équipés pour résister à la tentation de vivre selon la chair et pour produire au contraire le fruit de l’Esprit. C’est pour la liberté que Christ nous a libérés. Veillons à ne pas nous « reconfiner » : si nous continuons de marcher dans le péché alors que Christ nous a délivrés du pouvoir du péché, nous ressemblons à un homme qui, lorsque les autorités lui auront redonné sa liberté de mouvement, préférerait rester enfermé chez lui.

“Il est ressuscité !”  L’immense foule se dressa comme un seul homme et répondit : “Oui, Il est vraiment ressuscite´ !” Nous savons que Jésus est mort sur la croix et qu’Il a été inhumé dans une tombe taillée dans le rocher. Mais nous croyons surtout qu’Il est ressuscité et qu’Il reviendra un jour, comme le Roi des rois. Parce qu’Il est ressuscité, nous avons la certitude que nous ressusciterons aussi un jour pour régner à Ses côtés ! AMEN !

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Le Salut éternel de notre âme

22 Juillet 2020 Publié dans #Salut

Savons-nous comment vivre heureux ici-bas et avoir une espérance vivante et sûre pour l’au-delà ? C'est une question sur LA VÉRITÉ LA PLUS IMPORTANTE DE LA BIBLE à propos de notre vie à venir dans l’au-delà. Jésus Lui-même a dit : « Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ? Que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Marc 8 : 36-37).

Voici une présentation DU SALUT DE NOTRE ÂME aussi simplement que possible tout en conservant à la VÉRITÉ son intégralité BIBLIQUE. Le message est à la portée de tous. Une fois compris et accepté, il produit en chaque personne une heureuse transformation de sa vie.

Jésus Lui-même a déclaré : « JE SUIS VENU CHERCHER ET SAUVER CEUX QUI ÉTAIENT PERDUS ». (Luc 19. 10). La PERDITION de l’âme est d’une gravité incalculable. À ce propos, Jésus a dit : « Que servirait à un homme de gagner tout le monde s’il perdait son âme » (Matthieu 16. 26). Cette perdition sera éternelle pour tous ceux qui négligent ou n’acceptent pas durant leur vie sur la terre le Salut que Dieu leur offre en son Fils Jésus-Christ. Il est écrit dans la Bible que « Ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile du Seigneur Jésus auront pour châtiment une PERDITION ÉTERNELLE, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force » (2 Thessaloniciens 1. 9). Cette perdition est la conséquence de chaque péché de l’être humain. C’est ce qu’affirme la Bible : « Vos iniquités ont mis une séparation entre vous et votre Dieu : vos péchés lui ont fait cacher sa face » (Ésaïe 59. 2).

LE SALUT DE L’ÂME est LA VÉRITÉ PRINCIPALE DE LA BIBLE. Dieu a fait connaître à l’être humain ce qu’Il a accompli, par amour pour le sauver parfaitement. Et Dieu a aussi révélé ce que l’être humain doit faire pour s’approprier ce salut qui lui est offert GRATUITEMENT en Jésus-Christ.
Par nos fautes et par nos péchés, nous sommes en état de perdition. Nous essayons de nous accrocher à quelque chose et nous ne trouvons rien qui puisse nous permettre de sortir de notre position de pécheur coupable. Aucun être humain ne peut se sauver lui-même. Il n’y a personne d’autre que JÉSUS-CHRIST seul qui puisse nous sauver, car « il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions êtres sauvés » (Actes 4. 12).

Le salut de l’âme est cependant plus qu’un sauvetage. C’est à la fois : - la délivrance d’une situation de perdition sans issue, - une libération intérieure par l'obtention d’un pardon total de nos péchés, - la communication d’une joie sereine et de force divine pour vivre une vie nouvelle appuyée sur la sûre espérance d’une vie glorieuse au-delà du visible.
Comme un voyageur égaré, l'être humain pécheur est perdu dans ce monde de ténèbres. Il cherche à sortir de la nuit qui l’enveloppe mais il ne trouve pas l’issue. C’est alors que, conscient de son état de perdition, il entend l’Évangile de la Grâce Divine. Il découvre par cette Bonne Nouvelle que Jésus est Son parfait Sauveur, telle une lumière qui jaillit dans l’obscurité de son cœur. C’est la joie du Salut
(Psaume 51. 14). À partir de ce moment, il devient disciple du Christ. Il le suit dans le chemin qui conduit à la VIE ÉTERNELLE (Jean 8. 12). Le pardon qu’il reçoit du Christ éloigne de son cœur toute crainte de condamnation (Romains 8. 1). Les ténèbres de sa vie passée cèdent la place à une vie nouvelle en Christ, pleine d’espérance (2 Corinthiens 5. 17). Les yeux fixés sur le Christ son Sauveur, il avance par la foi vers le glorieux épanouissement final de ce merveilleux salut. Et l’entrée dans le Ciel même sera la réalisation parfaite de ce salut (2 Corinthiens 5. 1). Le salut, tel que l’Évangile le présente et le définit s’obtient dès ici-bas par la grâce de Dieu, par le moyen de la foi en Jésus-Christ (Éphésiens 2. 8). Le salut débute par l’entrée dans la VIE SPIRITUELLE. Puis viendra le jour où notre âme verra Jésus tel qu'Il est et face à face (1 Jean 3. 2) et notre âme sera avec Jésus dans le Ciel même (2 Corinthiens 5. 8). L’entrée dans la vie céleste sera le Salut à sa destination finale. Oh quelle Gloire ce sera !

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