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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Les bénédictions d'être en Jésus-Christ

31 Décembre 2020 Publié dans #EVANGILE

Que veut dire « être en Jésus-Christ » ? : Être en Jésus-Christ, c’est avoir part à tout ce que Jésus-Christ est et à tout ce qu’Il a fait. La Bible dit que Dieu « nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles... en Jésus-Christ » (Éphésiens 1. 3). Nous allons voir quelques-unes des bénédictions qui sont nôtres parce que nous sommes en Christ.

- En Jésus-Christ, nous sommes pardonnés : Parce que nous sommes en Jésus-Christ, Dieu a pardonné tous nos péchés. La Bible dit : « En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés » (Éphésiens 1. 7).

- En Jésus-Christ, nous sommes justifiés : Que veut dire « être justifiés » ? Cela veut dire être déclarés justes devant le seul Dieu trois fois Saint. Comment sommes-nous justifiés devant Dieu ? Nous sommes justifiés par la grâce de Dieu, par le moyen de la foi en Jésus-Christ. Le Seigneur Jésus est parfaitement Juste et Il nous a couvert de sa Justice. Maintenant, nous qui sommes en Jésus, Dieu nous voit justes en Jésus. Jésus a pris tous nos péchés pour que nous puissions avoir sa justice. La Bible dit : « Celui (Christ) qui n’a point connu le péché, il (Dieu) l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5. 21).

- En Jésus-Christ, nous sommes rapprochés de Dieu : Comme pécheurs, nous étions séparés de Dieu et nous avions peur de venir en sa présence. Mais maintenant, en Jésus-Christ, nous pouvons entrer sans crainte dans la présence de Dieu parce que le sang de Jésus-Christ nous a lavés de tout péché et nous a sanctifiés. La Bible dit : « Mais maintenant, en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. » (Éphésiens 2. 13).

- En Jésus-Christ, nous sommes acceptés par Dieu : Avant d’être sauvés, nous étions ennemis de Dieu. Mais Dieu nous accepte maintenant comme ses propres enfants. Pourquoi Dieu nous accepte-t-Il ? Parce que nous sommes en son Fils Jésus-Christ.

- En Jésus-Christ, nous sommes saints : Dieu donne un nouveau nom aux vrais croyants en Jésus-Christ. Il les appelle « saints en Jésus-Christ. ». Le mot « saint », en parlant d’une personne, veut dire quelqu’un de sanctifié ou consacré à Dieu. Aux yeux de Dieu, chaque vrai croyant en Jésus est un saint en Jésus-Christ. En nous-mêmes, nous ne sommes pas saints, mais Dieu nous voit en son Fils Jésus-Christ. Quand nous nous tenons devant Dieu étant en Jésus, nous sommes dans la Sainteté de Christ. Nous sommes donc « saints en Jésus-Christ ».

- En Jésus-Christ, nous sommes scellés : Nous sommes les enfants de Dieu et le Ciel est notre destination. Dieu nous a placés en son Fils Jésus-Christ et nous a scellés du Saint-Esprit. La Bible dit : « En Lui, vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis » (Éphésiens 1. 13).

- En Jésus-Christ, nous avons tout : Tout ce dont nous avons besoin pour vivre la vie chrétienne est nôtre en Jésus-Christ. Nous avons tout en Christ. La Bible dit : « Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Vous avez tout pleinement en lui » (Colossiens 2. 9, 10).

Nous n’avons vu que quelques-uns des versets qui nous disent ce que signifie être en Jésus-Christ. Oui, en tant qu’enfants de Dieu, nous sommes maintenant en Christ. Amen !

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Connaître Dieu réellement (2)

30 Décembre 2020 Publié dans #Divers

Réalisons-nous que notre esprit régénéré, l'homme nouveau que nous sommes en esprit, éprouve déjà en Christ les délices éternels à la droite de Dieu ? Comment se fait-il donc que nous ne ressentions pas ces délices et ces abondantes joies, au niveau de notre âme ?

La raison est simple : notre intelligence n'a pas encore été suffisamment renouvelée, elle est encore encombrée de pensées, de volontés et de désirs charnels qui nous empêchent de ressentir pleinement ce que notre esprit éprouve déjà dans les lieux célestes !

Au niveau de notre âme, c'est-à-dire de notre personnalité consciente, si nous sommes encore trop contrôlés par la chair, celle-ci va nous empêcher de voir clairement ce que nous sommes en Christ. Et donc de profiter pleinement de l'héritage qu'Il a déjà obtenu pour nous. Nous allons continuer à trop dépendre de ce que nous voyons, de ce que nos sens nous transmettent comme messages négatifs et contraires à la Parole de Dieu.

Oh, combien il est important pour nous d'apprendre à éradiquer la chair, afin de manifester l'esprit !

La chair, rappelons-le encore, n'est pas notre vieille nature qui est morte et ensevelie en Christ et qui a été remplacée, à notre nouvelle naissance, par une nouvelle nature à l'image de Christ, c'est-à-dire par notre esprit régénéré. La chair est une loi, ou une puissance de péché et de mort qui reste présente dans nos membres physiques. La chair a des désirs (Galates 5. 16), des pensées, des convoitises et des volontés (Éphésiens 2. 5) qui sont contraires à ceux de l'esprit.

La chair est directement reliée à Satan, tandis que notre esprit régénéré est directement relié à Christ, qui y demeure en permanence. Et nous, au niveau de notre personnalité consciente, de notre âme, nous sommes situés exactement entre la chair et l'esprit, dont nous recevons les influences contradictoires.

C'est à nous de discerner tout ce qui vient de la chair, et qui peut encore influencer ou contrôler notre âme, afin d'y renoncer et de l'éliminer ; et de discerner tout ce qui vient de l'Esprit Saint et qui veut influencer ou contrôler notre âme, afin de Le recevoir et d'en remplir nos pensées, nos sentiments et notre volonté.

"Mais maintenant, renoncez à toutes ces choses, à la colère, à l’animosité, à la méchanceté, à la calomnie, aux paroles déshonnêtes qui pourraient sortir de votre bouche. Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres, et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé" (Colossiens 3. 9-10).

Le vieil homme est mort, mais il a laissé dans notre âme des traces, dont nous devons nous débarrasser. "Et c’est en lui que vous avez été circoncis d’une circoncision que la main n’a pas faite, mais de la circoncision de Christ, qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair" (Colossiens 2. 11).

"Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c’est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l’intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur. Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d’impureté jointe à la cupidité. Mais vous, ce n’est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l’avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c’est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l’esprit de votre intelligence, et à revêtir l’homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité" (Éphésiens 4. 17-24).

"Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie, et toute espèce de méchanceté, disparaissent du milieu de vous" (Éphésiens 4. 31).

Nous ne pouvons pas réaliser ce programme de perfectionnement et de sanctification de notre âme du jour au lendemain. Mais nous devons être convaincus que le Seigneur Jésus veut nous faire bénéficier de Son aide puissante pour y parvenir, pourvu que nous soyons bien disposés à Le laisser faire.

Nous ne pourrons Lui permettre d'accomplir Sa volonté parfaite dans notre vie que si nous Lui faisons entièrement confiance, et si nous pouvons nous approcher librement du trône de Sa grâce, afin d'être secourus, éclairés et instruits par Lui.

Et nous ne pourrons faire entièrement confiance à notre Seigneur Jésus que si nous recevons dans notre cœur la révélation de Son Amour infini pour nous.

Comment recevoir une telle révélation ? Simplement, en nous approchant de Lui tels que nous sommes, et en Lui demandant de Se révéler à nous, à notre cœur, tel qu'Il est.

Le Seigneur Jésus Se laisse toujours trouver par ceux qui Le cherchent sincèrement. Et pourquoi ne Le chercherions-nous pas, si nous savons à quel point Il nous aime ? Même si nous n'avons pas encore ressenti pleinement Son Amour pour nous, la Bible est remplie de paroles qui nous disent que Dieu nous aime d'un Amour éternel, et qu'Il a tellement aimé le monde qu'Il nous a donné Son Fils unique pour nous sauver et nous établir en Lui.

Connaissant de telles bonnes nouvelles, nous en savons assez pour pouvoir nous approcher de Dieu sans crainte. "Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien" (Psaume 73. 28). "Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous" (Jacques 4: 8).

"A moi, qui suis le moindre de tous les saints, cette grâce a été accordée d’annoncer aux païens les richesses incompréhensibles de Christ, et de mettre en lumière quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu qui a créé toutes choses, afin que les dominations et les autorités dans les lieux célestes connaissent aujourd’hui par l’Église la sagesse infiniment variée de Dieu, selon le dessein éternel qu’il a mis à exécution par Jésus-Christ notre Seigneur, en qui nous avons, par la foi en lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance" (Éphésiens 3. 8-12).

"Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu" (1 Pierre 2. 4).

"Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins" (Hébreux 4. 16).

"Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire, de sa chair, et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, et le corps lavé d’une eau pure" (Hébreux 10. 19-22).

Bien-aimés, est-ce que nous savons nous approcher de Dieu de cette manière, comme le Seigneur Lui-même nous y invite ? Habituons-nous à prendre, de temps en temps, un moment où nous nous plaçons tranquillement devant notre Dieu, avec la volonté de nous approcher de Lui, pour recevoir de Lui une révélation plus profonde de ce qu'Il est.

Soyons certains que le Seigneur Se réjouit d'une telle attitude, et qu'Il répond toujours à notre volonté de Le connaître toujours mieux. Ne nous appelle-t-Il pas à Sa communion ? Comment pourrait-Il nous la refuser ?

Faisons constamment nôtre cette prière de l'apôtre Paul : "Que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu’il illumine les yeux de votre cœur (le grec dit: de votre entendement, de votre faculté de compréhension), pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu’il réserve aux saints (le grec dit: de son héritage DANS les saints),et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force" (Éphésiens 1. 17-19).

Cette prière, qui exprime la volonté parfaite de Dieu, est exaucée dès que nous la faisons, soyons-en certains! Et attendons avec une pleine confiance sa parfaite manifestation. Amen !

Que le Seigneur vous aide et vous motive à vous approcher toujours plus près de Lui! Il n'est pas loin de nous, puisqu'Il vit en nous.

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Connaître Dieu réellement (1)

29 Décembre 2020 Publié dans #Divers

"La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ"! (Jean 17. 3). Quel est le réel degré de notre connaissance de Dieu ?

Le verbe grec traduit par "connaître" est un verbe très fort, qui implique une connaissance personnelle fondée sur une expérience réelle et intime. Certes, notre connaissance de Dieu s'approfondit sans cesse, depuis le premier jour de notre conversion. Mais avons-nous bien compris que la vie chrétienne, ce n'est pas une adhésion à une doctrine ou à une religion, mais c'est avant tout une relation personnelle vivante, une communion, avec notre Grand Dieu Créateur, et avec Son Fils Jésus-Christ ?

Lorsque nous nous sommes tournés vers le Seigneur Jésus, pour nous repentir de nos péchés et pour L'accepter comme notre Sauveur et Maître, nous ne connaissions pas grand-chose de Lui. On nous a certainement expliqué qu'Il était le Fils de Dieu, venu S'incarner sur la terre afin de mourir sur une croix, pour y expier tous nos péchés par Amour pour nous.

Mais il nous faut parfois beaucoup de temps pour nous débarrasser de toute fausse conception de Dieu, et pour commencer à Le connaître tel qu'Il est. Car les mots sont bien faibles pour décrire le Seigneur Jésus tel qu'Il est. Aucun mot ne pourra d'ailleurs remplacer notre connaissance personnelle du Seigneur.

C'est la Personne de Jésus-Christ qui nous révèle pleinement qui est Dieu le Père. Or Jésus est décrit dans les Évangiles et dans tout le Nouveau Testament comme étant un Être dont la caractéristique essentielle est un Amour infini que l'on ne rencontre pas sur cette terre, c'est un Amour parfait, pur, saint, et parfaitement inconditionnel.

Tous ceux qui se sont approchés de Jésus, au cours de Son ministère terrestre, devaient certainement ressentir une paix et une joie profondes, en réalisant à quel point Jésus les aimait, et à quel point son Amour se traduisait en permanence par Sa volonté de les bénir, de les guérir, de les délivrer, et de leur pardonner toutes leurs fautes.

Après Sa résurrection et Son Ascension, le Seigneur Jésus est resté exactement le même. Toutefois, à présent qu'Il a été élevé dans la gloire céleste, Il peut pleinement manifester tout ce qu'Il est, tout ce qui était encore voilé lorsqu'Il vivait sur notre terre comme un simple homme.

Toutefois, le peu que nous connaissons de l'Amour de Jésus-Christ devrait être suffisant pour nous motiver à nous approcher toujours plus près de Lui, afin de chercher à Le connaître tel qu'Il est. "Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent" (Hébreux 11. 6).

Le "rémunérateur" est celui qui rétribue, qui récompense. Or, quelle récompense pensez-vous que Dieu veille accorder à ceux qui s'approchent de Lui ? N'est-ce pas de Se faire connaître ? Qu'est-ce qui, pour nous Ses enfants, pourrait avoir plus de valeur qu'une connaissance vivante et réelle de notre Dieu ?

Cette connaissance de Dieu implique que le Seigneur Jésus veut nous conduire dans une communion toujours plus parfaite avec Lui, une communion où nous sommes en permanence immergés consciemment dans Sa Présence merveilleuse.

Pouvez-vous imaginer ce que pourrait être pour vous une visitation personnelle du Seigneur Jésus, où vous pourriez vous retrouver face à face devant Lui ? Nous savons que nous allons bientôt monter à Sa rencontre, et Le voir face à face. Mais le Seigneur Jésus peut, s'Il le veut, Se manifester à nous de manière visible, soit qu'Il fasse monter notre esprit en Sa présence dans les cieux, comme pour l'apôtre Jean, soit qu'Il vienne nous visiter ici-bas, et Se manifester à nous de manière visible, ce qui est arrivé à un certain nombre de chrétiens.

Si la grâce d'une telle visitation vous était accordée, que ressentiriez-vous en la présence directe du Seigneur Jésus ?

Voici une petite description de ce que vous ressentiriez certainement : Vous seriez tout d'abord submergés par un Amour immense, infini, inconditionnel qui vous envelopperait tout entier. Cet Amour vous donnerait l'assurance que le Seigneur vous aime comme si vous étiez seul au monde à être aimé ainsi. Vous sauriez, sans l'ombre d'un doute, que si vous aviez été le seul à avoir eu besoin d'être sauvé, le Seigneur Jésus Se serait incarné et serait mort à la croix pour vous seul. Vous seriez étonné de constater que le Seigneur Jésus vous regarderait comme si vous n'aviez jamais péché, d'un regard rempli de bienveillance et de sollicitude. Tout sentiment de culpabilité, d'indignité, ou de condamnation, disparaîtrait alors de votre cœur ! Vous réaliseriez alors la puissance du sang que le Seigneur Jésus a versé à la croix, et qui a suffi à effacer tous vos péchés, et à vous donner Sa parfaite justice.

Dans une telle Présence, toute inquiétude et tout souci disparaîtraient aussi de votre cœur. Vous vous sentiriez dans une parfaite sécurité, remplis de l'absolue certitude qu'aucun mal ne pourrait vous arriver, parce que vous êtes entourés de l'Amour et de la protection du Dieu Suprême.

Vous comprendriez pleinement que cet Amour ne dépend pas de vos performances. Dieu ne vous aime pas davantage quand vous Lui obéissez, et Il ne vous aime pas moins quand vous avez péché. Dieu vous aime d'un Amour éternel, parce qu'Il est Amour, et qu'Il ne change pas.

En expérimentant de telles révélations, votre cœur serait rempli d'une joie et d'une paix indicibles. Et sous sauriez alors ce que signifie "être en communion" avec un tel Dieu. N'oublions pas cette parole de l'apôtre Paul : "Il (Jésus-Christ) vous affermira aussi jusqu’à la fin, pour que vous soyez irréprochables au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur" (1 Corinthiens 1. 8-9).

Le but, c'est bien d'être en communion parfaite avec Jésus-Christ notre Seigneur. Et le moyen pour Lui de nous y faire parvenir, c'est de nous affermir jusqu'à la fin, pour que nous soyons irréprochables, parfaits, au jour de notre Seigneur Jésus-Christ. Toutefois, sans attendre la réalisation complète de cet objectif suprême, sachons que, dès à présent, notre esprit régénéré connaît cette communion parfaite avec Dieu!

Notre esprit régénéré est déjà un seul esprit avec Christ ! "Celui qui s’attache au Seigneur est avec lui un seul esprit" (1 Corinthiens 6. 17).

Notre esprit régénéré est assis en Christ à la droite de Dieu le Père. "Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l’infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ" (Éphésiens 2. 4-7).

"Tu me feras connaître le sentier de la vie; il y a d’abondantes joies devant ta face, des délices éternels à ta droite" (Psaume 16. 11).

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L'importance du sacrifice de Jésus pour notre Salut

28 Décembre 2020 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #Salut

La Bible affirme de manière claire, "L'âme qui pèche, c'est celle qui mourra," et "le salaire du péché, c'est la mort" (Ézéchiel 18. 20 ; Romains 6. 23). Dans le gouvernement moral de Dieu, Il a ordonné que la mort physique et éternel soit la peine appropriée pour le péché. Des gens peuvent réagir contre ce décret de Dieu, estimant qu'il soit injuste ou extrême, mais leurs protestations ne servent qu'à démontrer à quel point le péché les a aveuglés à la vraie nature du péché. Le fait que Dieu exige une peine si radicale devrait leur apprendre, non la brutalité de Dieu, mais l'horreur du péché.

Pourtant Dieu, dans son Amour insondable pour l'être humain pécheur, a aussi ordonné que la peine pour le péché puisse être payée par un substitut, et que ce principe soit basé sur le système de sacrifice que nous trouvons dans L'Ancien Testament. "Car la vie de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel afin qu'il vous serve d'expiation pour votre vie, car c'est par la vie que le sang fait l'expiation." (Lévitique 17. 11).
Même si un être humain voulait le faire, il ne pouvait s'offrir lui-même en paiement pour ses péchés, car son péché l'avait disqualifié d'être un sacrifice acceptable. Par conséquent, l'Ancien Testament permettait d'offrir certains animaux choisis dont le sang était versé pour se substituer aux péchés de ceux qui se repentaient et mettaient leur confiance en la révélation de Dieu.
Tous les animaux innocents et sans tache qui sont devenus des sacrifices dans l'Ancien Testament anticipaient le grand Sacrifice, celui accompli par Jésus-Christ sur la croix du calvaire. Jean-Baptiste le présenta en disant, "Voici l'Agneau de Dieu , celui qui enlève le péché du monde" (Jean 1. 29). La peine imposée par Dieu sur le péché est à la fois juste et aimante, car Dieu Lui-même, en la personne du Fils, paya ce prix pour tous ceux qui l'accepteront comme leur substitut.
Dieu le Fils (Jésus-Christ), revêtu de forme humaine, versa son sang pour le péché des humains, s’acquittant ainsi de toutes les exigences de la justice divine. Et par ce sang précieux, Dieu s'est révélé à la fois "juste, tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus" (Romains 3. 26).

La Bible dépeint l'être humain non-croyant comme étant esclave du péché et elle parle de sa libération de la même manière que le rachat des esclaves du monde antique. En Christ, "nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés, selon la richesse de sa grâce" (Éphésiens 1. 7). "Ce n'est pas par des choses périssables - argent ou or - que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre … mais par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache" (1 Pierre 1. 18-19).
En dehors de Jésus-Christ, tout le monde est séparé de Dieu. La rébellion du péché a créé un gouffre entre Dieu et les êtres humains qui est humainement infranchissable. Pourtant, le sang de Christ a créé le pont entre Dieu et les êtres humains. "Mais maintenant, en Christ-Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang de Christ." (Éphésiens 2. 13). "Mais en ceci Dieu prouve son amour envers nous; lorsque nous étions encore pécheurs , Christ est mort pour nous. A bien plus forte raison, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère." (Romains 5. 8-9).
Le péché de l'être humain produit une pollution du cœur que seule la grâce de Dieu puisse la purifier. Et cette grâce se manifeste dans l'efficacité du sacrifice de Christ. Ainsi l'apôtre Jean déclare, "le sang de Jésus son Fils, nous purifie de tout péché" (1 Jean 1. 7). S'il est vrai que Dieu ne peut regarder le péché, nous pouvons quand-même connaître son regard plein d'amour à cause du sang de Christ. L'aperçu de l'avenir glorieux que nous fournit l'Apocalypse nous dit ceci: "Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation. Ils ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le sang de l'Agneau. C'est pourquoi ils sont devant le trône de Dieu et lui rendent un culte jour et nuit dans son temple" (Apocalypse 7. 14-15).
La Bible souligne le sang de Christ parce que c'est uniquement par son sacrifice que nous pouvons trouver le pardon, la purification, la réconciliation, le salut, et la gloire! "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).

Si la Bible affirme que “Dieu est amour” (1 Jean 4. 8, 16), elle ne présente pas l'amour comme unique attribut de Dieu. Partout les Écritures décrivent Dieu comme Saint par excellence (Psaume 99. 9 ; Ésaïe 5. 16) - saint dans son caractère (Psaume 22. 4 ; Jean 17. 11), saint dans son nom (Ésaïe 57. 15 ; Luc 1. 49), saint dans ses oeuvres (Psaume 145. 17), saint dans son Royaume (Psaume 47. 9). La raison pour laquelle les chrétiens peuvent faire entièrement confiance aux promesses de Dieu, c'est parce que Dieu les a authentifiées par sa sainteté (Psaumes 89. 35).
La Sainteté de Dieu implique une séparation stricte de tout péché et une justice parfaite dans le traitement des péchés de ses créatures. Si Dieu violait cet attribut de base, alors son pardon ne vaudrait pas grand-chose. Quelle valeur peut-on accorder au pardon de quelqu'un qui ne cherche pas l'excellence ? Le concept même du salut devient réel dans la mesure où l'on commence avec la Sainteté de Dieu. Le péché, par conséquent, n'est pas une simple bagatelle, à être minimiser ou ignorer à notre convenance. L'existence du péché exigeait une réponse.
L'apôtre Paul a abordé ce problème dans
Romains 3. 21-26, et il démontre comment Dieu pouvait être à la fois "juste tout en justifiant ceux qui ont la foi en Jésus" (3. 26). Puisque la Sainteté de Dieu demeure une partie immuable de son caractère, Il ne fermera pas les yeux à la rébellion contre Lui. Cela dit, la justice et la miséricorde fusionnent dans le plan de Dieu pour les êtres humains, afin de leur donner "la justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient" (3. 22).
Afin de nous sauver, Jésus-Christ le Fils de Dieu a fournit "une expiation pour ceux qui auraient la foi en son sang" (3. 25). (le terme grec employé est “propitiation” - l'explication suit !). “La propitiation” fait allusion à la satisfaction de la justice divine et provient de la pratique de l'onction avec le sang du sacrifice du propitiatoire sur L'Arche de l'Alliance de l'Ancien Testament. Cette aspersion du sang symbolisait la mort d'un substitut qui payait ainsi la peine d'avoir transgressé la loi de Dieu. Jésus-Christ est devenu notre substitut, "Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Christ-Jésus notre Seigneur" (Romains 6. 23).
Jésus a souffert sur la croix, et l'apôtre Paul explique cette souffrance, en disant, "C'est lui que Dieu a destiné comme moyen d'expiation pour ceux qui auraient la foi en son sang, afin de montrer sa justice. Parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant au temps de sa patience" (Romains 3. 5). Dieu avait pardonné aux péchés des croyants de l'Ancien Testament sur la base du sacrifice futur de Christ, tout comme Il pardonne aujourd'hui sur la base de son sacrifice passé, accompli une fois pour toutes (Hébreux 10. 12). Et en tout cela, Dieu demeure Saint. Le cœur du message d'évangélisation de Paul à Thessalonique était que "Christ devait souffrir et ressusciter d'entre les morts" (Actes 17. 3). La mort de Christ n'était pas facultative, car elle était au centre du plan de Dieu pour le Salut.
La Sainteté et la Justice de Dieu sont des traits immuables de son caractère. Dieu exerce donc son Jugement sur le péché comme étant Celui qui est Souverain dans son Saint Royaume. Pourtant, Dieu Lui-même a accompli la peine juste exigée en la personne de son Fils afin que, sans violer sa nature sainte, Il garantisse le pardon et la justification à tous ceux qui croient en son Fils Jésus-Christ.

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Jésus Christ, le Roi des rois, s'humilie pour nous sauver

27 Décembre 2020 Publié dans #La Venue de Jésus

Ô peuple fidèle, Jésus vous appelle,
Venez, triomphants, joyeux, Venez en ces lieux !
Ô peuple fidèle, Venez voir le Roi des cieux.
Que votre amour l’implore, Que votre foi l’adore
Et qu’elle chante encore Ce don précieux !

Dans l’humble étable, Froide et misérable,
Le grand amour des bergers Lui forme une cour !
Dans cette humble étable Accourez à votre tour.
Que votre amour l’implore, Que votre foi l’adore
Et qu’elle chante encore Sa gloire en ce jour !

C’est le Roi des anges, Captif dans les langes.
Splendeur pure et sans déclin du Père divin.
C’est le Roi des anges, Voilé sous un corps humain.
Que votre amour l’implore, Que votre foi l’adore
Et qu’elle chante encore Son règne sans fin !

Jésus vient sur la terre, fléchir la colère de Dieu, notre Créateur,
Pour sauver le pécheur.
Jésus vient, tel un frère, votre puissant Rédempteur.
Que votre amour l’implore, Que votre foi l’adore
Et qu’elle chante encore Jésus, le Sauveur.

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La justification, la sanctification et la glorification

26 Décembre 2020 Publié dans #Salut

1. La justification

Premièrement, la justification est l’œuvre unilatérale de Dieu par laquelle il nous déclare justes à ses yeux parce que Christ a subi le châtiment total des péchés et que la vie parfaite de Jésus a été créditée sur notre compte moral.
Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ (Romains 3. 23-24)
Tout vrai croyant en Jésus est uni à Christ dans sa mort, son ensevelissement et sa résurrection. Par la grâce de Dieu, le croyant en Jésus participe réellement à la mort de Jésus qui annule la sanction et détruit le pouvoir du péché. Le croyant participe à l’ensevelissement de Jésus, par lequel l’ancienne nature pécheresse reste dans le tombeau. Le croyant devient vivant dans la résurrection de Jésus-Christ qui fait de lui un être nouveau partageant la vie nouvelle de Christ. Parce qu’on est « en Christ », nous sommes justifiés avec Christ. Notre justification s’est opérée au moment où nous avons pleinement placé sa confiance de Jésus. Cette déclaration divine est permanente, irréversible, invincible. En Jésus, nous sommes justifiés – complètement acceptés par Dieu.

2. La sanctification

Deuxièmement, la sanctification est « l’œuvre continue de Dieu dans la vie du croyant en Jésus et le rend saint. » Contrairement à l’acte instantané divin de la justification, la sanctification est progressive. Notre sanctification a commencé au moment où Dieu nous a sauvés, et se poursuivra jusqu’à notre mort ou au Retour de Christ. C’est donc un processus à vie qui transforme, peu à peu, à l’image de Jésus.
La sanctification est à la fois l’œuvre de Dieu et la nôtre : Dieu nous convainc de péché et nous exerce à la justice. Nous sommes tenus de « mettre en œuvre [notre] salut avec crainte et tremblement » (Philippiens 2. 12). Paul exhorte à Timothée à s’exercer « à la piété ; car… la piété est utile à tout : elle a la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir » (1 Timothée 4. 7, 8). Cet exercice personnel implique le renouvellement de notre intelligence et, par la grâce de Dieu, de faire sans cesse ce qui est bien jusqu’à ce que cela devienne une bonne habitude. Voici une précieuse promesse de Romains 8. 29 : Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils.
Le processus de sanctification est aussi une promesse.

3. La glorification

Troisièmement, la glorification est l’étape finale (à la fois du point de vue chronologique et du point de vue conceptuel) de notre justice devant Dieu. La glorification est une autre œuvre unilatérale de Dieu par laquelle il transforme à la fois l’âme et le corps en un être immortel, juste et sans péché. Nous serons finalement indemne de tout péché lorsque nous irons au Ciel pour être avec le Seigneur Jésus pour l'éternité.
Les paroles glorieuses de Paul par lesquelles il décrit ce que nos corps seront lorsque nous ressusciterons à la fin des temps avaient de quoi nourrir notre espoir : notre corps ressuscitera « incorruptible », « glorieux », « plein de force », « spirituel ». Alors « nous porterons l’image du céleste [Jésus] » (voir 1 Corinthiens 15. 42-49). Ce jour-là, « Jésus-Christ… transformera le corps de notre humiliation en le rendant semblable au corps de sa gloire » (Philippiens 3. 21). Un jour, notre corps sera parfait, vraiment idéale, sans défaut.

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Un grand sujet de joie

25 Décembre 2020 Publié dans #La Venue de Jésus

N'ayez pas peur, car voici,  je vous annonce un grand sujet de joie (une bonne nouvelle), pour tout le peuple ;  car aujourd'hui, dans la cité de David, vous est né un Sauveur. (Luc 2. 10-11)

« N'ayez pas peur » : Le monde est pourtant rempli de problèmes qui ne font que générer la peur, peur de l'accident, de l'autre, du lendemain, de la mort... mais Dieu nous dit : « N'ayons pas peur ! ».

« Une bonne nouvelle » : Comme les bergers autrefois, nous aussi nous avons besoin et nous avons envie d'entendre une bonne nouvelle. Cela nous changera !

« Une grande joie » : Pas simplement une consolation, ni même un air de fête pour une nuit, mais une vraie joie qui dure sans faiblir !

« Pour tout le peuple » : Alors ce n'est pas que pour moi, mais aussi pour nous tous et pour chaque être humain dans ce monde.

« Aujourd'hui » : Ce n'est pas un rêve, ce n'est pas non plus un espoir pour demain, c'est une réalité pour aujourd'hui, pour ici et pour maintenant !

« Un Sauveur est né pour vous » : Quelle nouvelle extraordinaire ! Il existe quelqu'un qui nous aime, qui nous comprend, qui nous affirme que tout n'est pas perdu, qui s'approche de nous là où nous sommes, dans l'état où nous sommes, et nous propose de nous aider, de nous délivrer, de nous sauver !

"En effet, un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et la souveraineté reposera sur son épaule; on l'appellera merveilleux conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix" (Ésaïe 9. 5)

Le Fils de Dieu quitta la gloire du Ciel pour devenir homme, mais Saint. C’est cela que nous fêtons le jour de Noël. Les paroles de ce chant suivant décrit le but de sa venue et sa mission sur terre et pour toute l’éternité :

De son trône de clarté, de son Ciel de pureté Jésus-Christ est descendu jusqu’à nous pécheurs perdus. Depuis toujours Il était Dieu, Roi de la terre et des cieux; mais se dépouillant de tout, Jésus vint mourir pour nous.

Jésus-Christ est Seigneur ! Il est sorti du tombeau, Il est Seigneur. Tout genou fléchira, toute langue confessera, que Jésus est Seigneur !

Il était l’Éternel Roi, mais renonçant à ses droits, en simple homme, en serviteur, Jésus vint vers nous, pécheurs. Bien que Fils de Dieu, Jésus apprit par les choses qu’il souffrit jusqu’à la mort de la croix l’obéissance et la foi.

Jésus s’est humilié ; aussi Dieu l’a couronné, dans le Ciel l’a fait asseoir sur son trône en tout pouvoir, afin qu’au Nom de Jésus tout genou fléchisse et que dans tout l’univers résonne un puissant concert :

Jésus-Christ est Seigneur ! Il est sorti du tombeau, Il est Seigneur. Tout genou fléchira, toute langue confessera que Jésus est Seigneur !

Voilà ce qu'il nous faut : Jésus-Christ n'est pas simplement le petit enfant couché dans la crèche. Mais Jésus est Dieu, Il s'est fait homme. Oui, Jésus est le Dieu vivant, le Sauveur de quiconque Lui fait entièrement confiance. Il dit à chacun de ceux qui le cherchent : Même si tu as l'impression que je suis bien loin, je te connais et je sais où tu en es. J'ai tout fait pour te sauver. Parle-moi à ton tour ; avec tes mots à toi. Tu verras alors combien je t'aime et je désire te rendre heureux !

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L'abaissement va devant la gloire

24 Décembre 2020 Publié dans #La Venue de Jésus, #EVANGILE

"L'abaissement va devant la gloire" (Proverbes 15. 33)
"Jésus... s'est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu'à la mort, et à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a élevé très haut et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus se plie tout genou" (Philippiens 2. 8-10)

“Celui qui s'abaisse sera élevé” (Luc 14. 11). C'est Jésus Christ qui a énoncé cette vérité et qui l'a parfaitement vécue. De toute éternité, Jésus-Christ est Dieu (Jean 1. 1). Jésus-Christ est le Fils unique de Dieu le Père. Jésus n'a pas regardé comme une chose à désirer d'être égal à Dieu (Philippiens 2. 6). Il n'a pas voulu prendre la place du Père, ni garder pour Lui-même la position glorieuse qui était la sienne, mais Jésus est allé au-devant de la pauvreté, de la souffrance et de la mort. En se faisant volontairement semblable à sa créature pour le sauver parfaitement, Jésus s'est anéanti Lui-même, Jésus a voilé sa gloire divine, en prenant la forme d'un homme méprisé, qu'on a traité comme un esclave. Mais dans cette nouvelle condition, Jésus a été obéissant jusqu'à la mort : il a accepté de mourir pour accomplir la volonté de son Père, volonté qui était de nous sauver parfaitement de nos péchés. Jésus a connu la mort de la croix qui était une mort ignominieuse et cruelle, réservée aux malfaiteurs à cette époque là. Jésus aurait-il pu s'abaisser davantage ?

Toutes choses sont à Lui, et Il aurait pu rester dans la gloire éternellement. Mais, il ne le pouvait ! Son Amour divin le poussait à venir ici-bas, à s’abaisser pour accomplir les plans de grâce et de rédemption à l’égard de l’homme.
Jésus est venu sur cette terre tel un petit enfant ! Ce mystère est grand (1 Timothée 3 :16) ; le Dieu infini, sans limite, prend un corps fini – Le Fils accepte de naître comme un nourrisson, et qui plus est dans une étable parce qu’on ne voulait pas de Lui dans l’hôtellerie. Arrêtons-nous un instant sur cet abaissement …
Sa naissance n’est que le premier pas dans son abaissement et sa parfaite humilité. Toute sa vie est un chemin de perfection en perfection, mais également d’abaissement en abaissement jusqu’à cette croix où Il va « descendre » dans les abîmes du jugement de Dieu contre le péché.
Un tel sacrifice est pour nous incompréhensible, mais il nous remplit d’adoration et de reconnaissance.
Sa vie tout comme sa mort témoignent du don qu’il a fait de Lui-même. Alors qu’Il aurait pu vivre dans l’abondance des biens de cette terre, Il s’est « appauvri » et a vécu dans la simplicité et surtout dans la dépendance et la communion avec son Père céleste.

C'est pourquoi aussi, Dieu a ressuscité son Fils Jésus et l'a élevé très haut. À l'humiliation extrême de Jésus répond l'exaltation la plus haute. Dieu a ressuscité Jésus et a fait assoir à sa droite Jésus, Celui que les êtres humains ont rejeté en le clouant sur la croix. Dieu a donné à Jésus un Nom au-dessus de tout nom, le plus grand et le plus élevé qui puisse être. Le Seigneur Jésus occupe, comme homme glorifié, la place d'autorité suprême absolue (Éphésiens 1. 21). La joie du vrai croyant en Jésus est de Lui offrir amour et honneur, pendant le temps où Jésus est encore rejeté sur la terre par les non-croyants, en attendant le moment où chaque être humain de tous les temps devra reconnaître que Jésus est Seigneur à la gloire de Dieu le Père.

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La Parole de Dieu s'est faite chair

23 Décembre 2020 Publié dans #Divers

« Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu... Et la Parole a été faite chair et elle a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père, plein de grâce et de vérité » (Jean 1. 1, 14).

Mais ce qui devrait vraiment attirer notre attention lorsque nous contemplons la naissance de Jésus est le fait que « la Parole a été faite chair ». C'est l'événement le plus remarquable dans l'histoire des relations de Dieu avec l'humanité. Les implications sont immenses.
Le plus intéressant réside dans le fait que Jean affirme cette vérité importante - que Dieu s'est fait homme - sans même faire référence à Sa naissance à Bethléem.
Ces détails sont fournis par d'autres auteurs d’évangiles, mais pour Jean, l'importance spirituelle de cet événement mémorable transcendait le contexte physique, géographique, historique et politique dans lequel il avait eu lieu.

Que Jean appelle Jésus « la Parole », est d'autant plus intrigant. Seul Jean utilise cette description. Elle couvre la naissance de Jésus mais aussi Sa seconde venue, quand Jean Le voit revenant avec les armées du ciel et qu’il déclare que Son nom est « la Parole de Dieu. » (Apocalypse 19. 13). Il est Celui qui connaît et accomplit si parfaitement la volonté de Son Père qu'Il en est le synonyme.

La Parole de Dieu est, bien sûr, la Volonté de Dieu, dans toutes Ses expressions - l'expression la plus haute et la plus parfaite de toutes étant Christ la Parole Vivante. Cette Parole s'est faite chair et elle a habité parmi nous !

Voici trois vérités significatives concernant cet événement extraordinaire. Quand « la Parole devient chair »...

1. Les commandements écrits deviennent des vérités vivantes.

Nous avions besoin de la Parole devenue chair pour que nous puissions vraiment voir et comprendre ce que signifie marcher avec Dieu. Dieu a envoyé la Parole Vivante pour accomplir, clarifier, expliquer et démontrer la Parole Écrite afin que nous n'ayons vraiment aucune excuse.

Nous ne pouvons pas plaider l'ignorance, nous ne pouvons blâmer le prédicateur ou l'enseignant de ne pas nous montrer toute la Vérité, parce que la Parole a été faite chair et elle a habité parmi nous.
La Parole Écrite peut être mal interprétée, elle peut être entendue et oubliée, mais Jésus, la Parole qui a été faite chair, révèle la gloire de Dieu dans toute la grâce et la vérité. Jésus n'a pas simplement enseigné la signification correcte : Il l'a démontrée. Cela nous amène à la deuxième vérité...

2. Les platitudes spirituelles deviennent des exemples pratiques.

Jésus a accusé les dirigeants religieux de son temps d'« annuler la Parole de Dieu par leurs traditions, qu'ils avaient établies » (Marc 7. 13). Ils ont interprété les Écritures comme les juristes interprètent une règle légale, y recherchant des mises en gardes, des lacunes, ou les moyens d'éviter de faire ce que la loi leur avait dit expressément de faire. Jésus a exposé l'hypocrisie de ces traditions et continue de le faire aujourd'hui. Je crains que trop de croyants (s'ils connaissent la Bible), utilisent simplement la Parole de Dieu pour débattre de théologie, défendre leurs croyances ou justifier leur position sur un millier de points mineurs - ne présentant pas de fruits, pas de bons exemples pratiques, aucun acte à l'appui de leurs nombreuses paroles. La Bible, pour eux, est une épée pour combattre d'autres personnes au lieu d'être une « arme d'instruction massive » pour libérer les captifs.

Mais lorsque la Parole s'est faite chair, Elle n'a pas simplement enseigné la vérité spirituelle, Elle nous a donné un exemple concret à suivre : « De fait, c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour nous, vous laissant un exemple afin que vous suiviez ses traces » (1 Pierre 2. 21).
Les auditeurs et les prédicateurs de la Parole de Dieu sont nombreux; mais ceux qui mettent en pratique la Parole de Dieu sont peu nombreux.

3. Les cœurs de pierre deviennent des cœurs de chair.

Autrefois, la Parole de Dieu a été gravée sur des tablettes de pierre, et la lettre a été écrite sur des rouleaux avec de l'encre. Elle pouvait être lue et étudiée, mais peu pouvaient la suivre. Mais tout cela a changé.
Nous avons encore la Parole écrite, mais maintenant nous avons aussi la Parole Vivante. Cette Parole qui est devenue chair et qui a habité parmi nous peut maintenant vivre EN NOUS ! « Il est clair que vous êtes une lettre de Christ écrite par notre ministère, non avec de l'encre mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre mais sur des tables de chair, sur les cœurs » (2 Corinthiens 3. 3).
Il est possible de témoigner et de participer à la naissance de Christ chaque jour en puisant simplement dans Sa Parole (parlée, écrite et vivante) et en permettant à l'Esprit Saint d'écrire Sa vérité dans nos cœurs. Mais même cela ne suffit pas. Pour que la Parole s'incarne et devienne vivante, nous devons mettre en pratique ce que Jésus nous a dit de faire.

Jacques, le plus jeune frère de Jésus, l'a dit de la meilleure des façons quand il a écrit: « Il en va de même pour la foi : si elle ne produit pas d'œuvres, elle est morte en elle-même » (Jacques 2. 17).
La Parole devient chair, pas quand nous célébrons la naissance de Jésus, et même pas lorsque nous écoutons ou acquiesçons à Ses enseignements, mais quand nous faisons ce qu'Il dit de faire.
Voici la promesse : « Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père, je l'aimerai, et je me ferai connaître à lui » (Jean 14. 21).

Quel concept radical ! La Parole devient chair, Elle s'incarne, Elle nous est manifestée et révélée de façon expérimentale, lorsque nous faisons ce que Jésus a dit de faire. Il est la Parole de Dieu.
Prions chaque jour pour que le Royaume de Dieu s'établisse et que la volonté de Dieu soit faite « sur la terre comme elle l'est au ciel, » parce que, « A toujours, ô Éternel ! Ta parole subsiste dans les cieux » (Psaume 119. 89).

Ici, sur la terre, les choses sont encore en suspens. Mais notre confiance est que Dieu amènera à la perfection ce qu'Il a commencé en moi, en vous, dans chaque disciple, dans l'Ekklesia (l’Église), et dans toute la création. « Il en va de même pour ma parole, celle qui sort de ma bouche: elle ne revient pas à moi sans effet, sans avoir fait ce que je désire et rempli la mission que je lui ai confiée. » (Ésaïe 55. 11)
Amen. Qu'il en soit ainsi, viens Seigneur Jésus - que la Parole devenu chair et habite parmi nous, afin que le monde entier puisse voir la Gloire de Dieu sur la face de Jésus-Christ

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Le Christ quitta le Ciel jusqu'à souffrir dans ce monde

22 Décembre 2020 Publié dans #La Venue de Jésus, #Sacrifice de Jésus

Avant le commencement du monde et depuis l'éternité, Jésus-Christ (le Messie) vivait avec Dieu son Père dans les cieux (un endroit bien plus glorieux que vous et moi puissions imaginer), adorés et servis par une multitude d'anges, jouissant d'un bonheur continuel dans une sphère où règne l'Amour infini. Et c'est cette demeure qu'un jour, Jésus le Fils de Dieu a laissée, en plein accord avec la volonté de son Père. Envoyé par Dieu son Père, Jésus-Christ le Messie est venu volontairement sur cette terre où Il devait tant souffrir. Oui, parce que vous et moi avons péché et avons besoin d’un Sauveur parfait et Saint, Jésus quitta les cieux et Il vint sur terre, se faisant homme, sous la forme d'un bébé emmailloté et couché dans une mangeoire.
N'oublions jamais que Jésus-Christ vint sur la terre pour prendre sur Lui toutes nos souffrances à cause de nos péchés et pour nous sauver parfaitement de la condamnation que nous méritions.
La façon dont Jésus est venu dans ce monde et dont Il y a vécu en tant qu’homme parfait et Saint nous révèle tellement de choses à propos du caractère véritable de Dieu et de Son amour grandiose pour nous tous.
En cette nuit, à Bethléhem, notre Dieu-Sauveur était humblement couché dans une mangeoire par Marie sa mère. En tant que petit garçon, Il a joué et étudié dans le foyer modeste de Joseph, un charpentier. Une fois devenu adulte, Jésus a vécu en nous donnant un exemple parfait. Endurant toutes sortes de tentations terrestres sans toutefois commettre de péché, Jésus s’est ensuite humilié au point de se laisser clouer sur une croix afin que vous et moi puissions avoir la Vie Éternelle par sa mort sur la croix et par sa résurrection.
Dans Philippiens 2 : 8-9, il est écrit : « Il (Jésus) s’est humilié : Il a obéi jusqu’à la mort, et il est mort sur une croix ! C’est pourquoi Dieu l’a souverainement élevé et Il Lui a donné le nom qui est au-dessus de tous noms ».
Vous et moi qui croyons en Jésus connaissons maintenant Jésus comme le Roi des Rois, le Seigneur des Seigneurs, le grand « Je Suis », etc... Sa grandeur surpasse tout entendement.
Jésus est : L’ALPHA ET L’OMÉGA (Apocalypse 1 : 8), LE CHEMIN, LA VÉRITÉ ET LA VIE (Jean 14 : 6) et LE BON BERGER (Jean 10 : 11).
C'est en ayant une relation vivante et personnelle avec Jésus-Christ que nous Le connaissons intimement comme étant tout cela. Le fait d’avoir une relation personnelle et intime avec Jésus est véritablement le plus grand de tous les cadeaux de Dieu notre Créateur Tout-Puissant.

Différentes souffrances de Jésus-Christ durant sa Venue sur la terre :

"Il est méprisé et délaissé des hommes, homme de douleurs, et sachant ce que c’est que la langueur… Il plut à l’Éternel de le meurtrir; il l’a soumis à la souffrance" (Ésaïe 53. 3, 10).

Il est nécessaire de distinguer entre les souffrances que Christ a endurées de la part des hommes et ses souffrances endurées sous la main de Dieu. Jésus a souffert de la part de Dieu pour le péché du monde. Jésus a souffert de la part des êtres humains qui Le haïssaient parce qu’Il était juste dans ses oeuvres. Les chefs du peuple Le haïssaient parce que Jésus était Juste et Saint dans ses paroles et actes ; et Jésus mettait en évidence que leurs œuvres étaient mauvaises (Jean 3. 19). L’amour de Jésus pour les êtres humains Le poussait à répondre à leurs besoins et à témoigner contre le mal qu’ils faisaient ; mais pour Son amour parfait envers eux, les êtres humains ont rendu la haine à Jésus (Psaume 109. 5) jusqu'à Le clouer sur une croix. Tout ce que l'Amour de Jésus Lui a rapporté durant son ministère sur la terre, ce sont des douleurs.
Le cœur de Jésus, rempli d’amour infini, a dû beaucoup souffrir de l’incrédulité des êtres humains et du rejet de son peuple. Jésus “pleura” et “frémit dans son esprit” en voyant le pouvoir de la mort sur les êtres humains et leur incapacité à se délivrer eux-mêmes
(Jean 11. 33, 35). Leurs péchés ont dû être une source constante de souffrance pour l’esprit du Seigneur Jésus. Les souffrances de l’humanité pesaient également sur son âme car Jésus “Lui-même a pris nos infirmités et a porté nos maladies” (Matthieu 8. 17). Pourtant, Jésus n’était pas insensible aux insultes du peuple, à leur mépris, aux efforts des chefs du peuple pour Le piéger dans ses paroles, à leur brutalité et à leurs cruelles moqueries envers Lui. Jésus a manifesté une patience infinie à l'égard des êtres humains ; Sa perfection divine ne Lui a en rien épargné des souffrances causées par tous nos péchés.

Sur la croix, Jésus a aussi souffert sous la main de Dieu son Père, lorsque Dieu “l'a soumis à la souffrance”. Là, il n’y a pas eu un seul sentiment humain en Christ qui n’ait été atteint et foulé aux pieds, et les sentiments les plus délicats d’une âme parfaite étaient manifestés, mais ce n’était rien en comparaison de la Colère divine qui s'est abattue sur Jésus. Là, Jésus a souffert pour nous, “le juste pour les injustes” (1 Pierre 3. 18), et Il a souffert pour nos péchés.
Sur la croix, Jésus nous a tout donné, mais après Sa résurrection, Il a de nouveau reçu la gloire de la main de son Père, la gloire qu’Il avait toujours eue mais dans laquelle Il allait entrer maintenant comme Homme glorifié éternellement !

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