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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Personne ne peut se cacher de Dieu

31 Janvier 2022 Publié dans #Divers

Tout a commencé dans le Jardin d’Éden alors qu’Adam et Ève se sont cachés de Dieu. Pourquoi se sont-ils cachés ? Lorsqu’Adam a désobéi à Dieu, son cœur s’est réveillé à la pensée qu’il venait de pécher pour la première fois. Ses yeux se sont ouverts et Adam et Ève se sont aperçus qu’ils étaient nus.

Le Jardin d’Éden fut le début de la cachette entre l’être humain et Dieu, Adam connu pour la première fois qu’il était nu et il s’est habillé en se faisant un vêtement en feuilles de figuier. Ils ont entendu la voix de Dieu qui les appelait dans le jardin, ils ont eu peurs et ils se sont cachés. Dieu a appelé Adam et lui dit : OÙ ES-TU ?

Cette grande question résonne encore aujourd’hui alors que Dieu nous cherche, il essaie de percer notre cœur de pierre afin qu’Il puisse y entrer. Mais les êtres humains se cachent de Lui, et ils ne réalisent pas qu’ils sont nus devant Dieu, Dieu nous voit partout où nous sommes, Il voit directement dans le cœur et la pensée de chaque humain. C’est impossible de se cacher de Dieu, car la Bible dit : "Nulle créature n'est cachée devant Lui, mais TOUT EST À NU et à découvert aux yeux de Celui à qui nous devons RENDRE COMPTE" (Hébreux 4. 13).

On peut essayer de se cacher de Dieu, on peut l’ignorer, ne pas s’en préoccuper, mais s’est futile, car Dieu sait tout sur nous. Adam n’a pas fait un bon choix, ne vous cachez pas de Dieu en ne voulant pas voir, en ne voulant pas écouter et en ne voulant pas comprendre. Dieu vous cherche et Il vous dit : OÙ ES-TU ? Dieu peut ouvrir les yeux des aveugles, et ouvrir les oreilles des sourds. Si ce n'est pas encore fait, ouvrez votre cœur à Dieu et Il vous sauvera.

Adam a réalisé qu’il avait péché et il a eu peur de Dieu, car il savait qu’il y aurait une conséquence à sa désobéissance. Adam est devenu un pécheur, une crainte s’est emparée de lui et il s’est caché de Dieu.

C’est exactement l’histoire de l’être humain, nous avons péché contre Dieu et nous sommes nus devant Lui. Adam s’est caché derrière des vêtements et dans la forêt. Mais Dieu nous voit même si on se cache derrière des vêtements ou une maison ou encore mieux si on se cache derrière une religion, une philosophie de pensée. Dieu nous cherche, et il dit : OÙ ES-TU ? OÙ TE CACHES-TU ?

Les yeux d’Adam se sont ouverts lorsqu’il a désobéi à Dieu, car le péché est entré en lui. En s’ouvrant, ces yeux ont laissés pénétrer la peur, la culpabilité, la désobéissance, l’hypocrisie (il a blâmé Ève), le mensonge, etc.

Dieu lui avait dit la conséquence s’il désobéissait. Ce serait une séparation entre Dieu et l’être humain. L’être humain ne vivrait pas éternellement dans le jardin, mais il mourrait. La mort s’ensuivie depuis ce temps, et même l’épître aux Romains dit : "Car le salaire du péché, c'est LA MORT; mais le DON GRATUIT de Dieu, c'est la VIE ÉTERNELLE en Jésus Christ notre Seigneur" (Romains 6. 23).

Mais saviez-vous que Dieu a sauvé Adam et Ève en les couvrant d’une peau d’animal. Oui, Dieu a fait lui-même le PREMIER SACRIFICE d’un animal afin de couvrir la nudité d’Adam et Ève. Cela a couvert pour un certain temps jusqu’à ce que l’Agneau de Dieu vienne vraiment enlever le péché du monde à la croix du Calvaire. Tous les êtres humains comme Caïn et Abel devaient offrir un animal pur en sacrifice pour leurs péchés. À la croix, Jésus nous couvre de sa Justice et Il nous couvre d’une robe blanche qui a été lavée par son sang qui purifie de tout péché.

A cause de nos péchés, nous allons mourir physiquement, et nous mourons aussi spirituellement loin de la face de l’Éternel. Mais Dieu dans sa miséricorde et sa grâce a pourvu à un moyen de salut. Les péchés des êtres humains étaient couverts par un animal pur qu’ils offraient en sacrifice, jusqu’à ce que, Jésus, le vrai Agneau de Dieu pur et sans tache aille à la croix afin de recevoir notre châtiment et ainsi nous enlever pour toujours nos péchés. Oui, nous allons quand même mourir physiquement, mais notre âme purifiée par le sang de Jésus, nous propulse dans la demeure de Dieu. Car il faut être pur et sans péché pour aller dans sa sainte personne.

Ne vous cachez plus de Dieu, comme le font la majorité des êtres humain de ce monde. Dieu vous veut dans le ciel avec lui, mais sachez qu’il y aura une conséquence grave en négligeant le grand salut de Dieu. Adam est mort physiquement, car il n’a pas pu continuer à manger de l’arbre de vie qui était au milieu du Jardin. Jésus est notre arbre de vie qui était au milieu des deux brigands, il était au milieu entre les hommes et Dieu le Père. Acceptez de prendre de l’eau vive (eau de vie) qui sort des entrailles du Sauveur.

Lisons ce qui c’est passé dans la Genèse.

"L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme: Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 2. 16-17).

"Les YEUX de l'un et de l'autre s'OUVRIRENT, ils connurent qu'ils ÉTAIENT NUS, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. Alors ils ENTENDIRENT LA VOIX de l'Éternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l'homme et sa femme se CACHÈRENT LOIN DE LA FACE de l'Éternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l'Éternel DIEU APPELA l'homme, et lui dit: OÙ ES-TU? Il répondit: J'ai entendu ta voix dans le jardin, et j'ai EU PEUR, parce que je SUIS NU, et je me SUIS CACHÉ. Et l'Éternel Dieu dit: Qui t'a appris que tu es nu? Est-ce que tu as mangé de l'arbre dont je t'avais défendu de manger? L'homme répondit: La FEMME que tu as mise auprès de moi M'A DONNÉ de l'arbre, et j'en ai mangé. Et l'Éternel Dieu dit à la femme: Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit: Le SERPENT M'A SÉDUITE, et j'en ai mangé" (Genèse 3. 7-13)

"C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de L'ARBRE DE VIE" (Genèse 3. 24).

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La justification est un don de Dieu

30 Janvier 2022 Publié dans #Salut

La justification est l'acte par lequel le Dieu trois fois Saint déclare qu'un être humain est juste et acceptable devant Lui. Un être humain qui se repent de ses péchés, qui accepte le Seigneur Jésus dans sa vie et qui se confie en Lui, est justifié, parce que Christ a porté tous ses péchés sur la croix, ayant été « fait justice » en sa faveur (1 Corinthiens 1. 30).

Par la justification, nous recevons le pardon total de tous nos péchés et nous ne sommes plus passibles de châtiment. La justification est gratuite, c’est-à-dire totalement imméritée (Romains 3. 24) ; elle est cependant juste, car Dieu ne passe pas simplement l’éponge sur nos péchés, au mépris de sa sainte loi. Cette loi a été satisfaite en Jésus-Christ, qui l’a parfaitement accomplie et a subi pour nous toute sa condamnation à la croix. Ayant maintenant concilié sa Justice et son Amour à la croix, Dieu peut librement justifier même l’impie (Romains 3. 25-26 ; 4. 5). Jésus nous justifie par son sang (Romains 5. 9) et par sa pure grâce (Tite 3. 7). La justification est donc reçue par la foi, et nullement sur la base des oeuvres (Romains 3. 26-30 ; 4. 5 ; 5. 1 ; 11. 6 ; Galates 2. 16 ; Éphésiens 2. 8-10). Elle est un acte souverain de Celui qui, en Christ, nous a appelés, justifiés et glorifiés : « Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie ! » (Romains 8. 30-34). Le pécheur, qui est justifié par le moyen de la foi et accusé par la loi (Galates 3. 10-14), par Satan (Zacharie 3. 1-5 ; Apocalypse 12. 10-11) et par sa conscience (1 Jean 3. 20), est non seulement délivré du châtiment par le Souverain Juge, mais il est déclaré juste, et considéré plus blanc que la neige (Ésaie 1. 18). Il n’y a plus pour lui aucune condamnation (Romains 8. 1), car Dieu le voit « en Christ », revêtu de la Justice parfaite de son Fils Jésus-Christ (2 Corinthiens 5. 21).

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Dieu nous aime d'un Amour parfait‏

29 Janvier 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Réfléchissons-nous souvent à l'Amour parfait que Dieu a déployé envers nous ? La Bible nous révèle cet Amour merveilleux de Dieu qui ne ressemble à aucun autre. “Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci: lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous” (Romains 5. 8).

Dieu seul peut aimer de cette façon. L'amour humain peut se manifester envers une personne digne d'être aimée, mais l'Amour divin englobe d'une manière unilatérale des êtres humains qui Lui tournaient le dos, des pécheurs, ses ennemis. Il s'est exercé envers des gens détestables et qui se haïssaient les uns les autres (Tite 3. 3). C'est pour de tels êtres humains que Dieu a donné son Fils unique et bien-aimé. Il “n'a pas épargné son propre Fils, mais il l'a livré pour nous tous” (Romains 8. 32). Ce parfait sacrifice de Jésus sur la croix était indispensable pour notre Salut, et Dieu l'a consenti par Amour pour nous.

Seul Jésus Christ pouvait expier tous nos péchés, et il l'a fait une fois pour toutes sur la croix de Golgotha. Il offre maintenant son pardon à quiconque croit et met toute sa confiance en Lui. Bien plus, il introduit le vrai croyant en Lui dans une relation d'intimité avec Dieu, celle d'un enfant avec son Père. C'est pourquoi l'apôtre Jean peut s'exclamer: “Voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu” (1 Jean 3. 1).

Le vrai chrétien apprend à connaître un tel amour, privilège immense au milieu d'un monde si dur. Ne voulons-nous pas y regarder de plus près ? Lisons et méditons la Bible, nous y trouverons Jésus qui révèle pleinement cet Amour infini.

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Sur la croix, Jésus refusa d'être soulagé

28 Janvier 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

“Ils lui donnèrent à boire un vin mêlé de myrrhe, mais il ne le prit pas.” (Marc 15:23).

Le récit de la passion contient beaucoup de détails qui ne retiennent pas notre attention, alors que le texte nous entraîne vers le point culminant des souffrances de Jésus. Chaque détail a toutefois été écrit pour notre édification et pour notre instruction dans la foi. C’est le cas du texte sur lequel nous nous pencherons et qui relate l’incident du vin mêlé de myrrhe.

Une tradition juive nous apprend que, pour soulager un peu leurs souffrances, du vin mêlé à une autre substance était offert à l’époque à ceux qui étaient sur le point d’être exécutés et qui allaient beaucoup souffrir pendant leur mise à mort. La myrrhe est un exemple d’une telle substance. Elle possédait, semble-t-il, des propriétés narcotiques, comme l’atteste Dioscorides Pedanius, médecin des temps anciens qui a fait une étude exhaustive de nombreuses plantes et de nombreux médicaments au premier siècle de notre ère. Les commentateurs ne s’entendent pas tous sur la signification exacte du geste des soldats offrant à Jésus du vin mêlé de myrrhe, mais, compte tenu des circonstances, il semble tout à fait plausible qu’ils aient offert un analgésique à Jésus pour soulager ses souffrances.

Jésus venait tout juste de subir beaucoup de souffrances physiques. Il avait été flagellé et battu. On avait mis sur sa tête une couronne d’épines et les soldats l’avaient frappé à répétition sur la tête avec un bâton. Ils avaient finalement amené Jésus à Golgotha pour Le crucifier. La crucifixion est une façon très douloureuse de mourir. Toute autre personne dans de telles circonstances aurait accepté volontiers n’importe quelle sorte de soulagement pour apaiser les terribles souffrances qu’il venait de subir et qu’il allait encore subir. Mais Jésus n’a pas pris le vin mêlé de myrrhe qu’on lui offrait.

Pourquoi ? Pourquoi Jésus ne pouvait-il être soulagé un tant soi peu de ses souffrances, le pire étant encore à venir ? Parce que ce qui se passait à ce moment-là allait bien au-delà de la simple souffrance physique, aussi pénible ait-elle pu être. Le vin mêlé de myrrhe lui a peut-être été offert dans un geste de bonté humaine élémentaire, mais le diable s’en est servi pour tenter Jésus, pour l’inciter à emprunter une voie plus facile, celle de porter attention aux besoins de son propre corps plutôt qu’à la volonté de Dieu concernant sa vie.

Par cette offre banale d’un peu de vin mêlé de myrrhe, Jésus a fait face à la tentation d’emprunter la voie plus facile, d’entrer dans les profondeurs de l’enfer dans un état "endormi", ce qui lui aurait permis d’éviter une partie de ses souffrances. Mais grâces soient rendues à Dieu ! Jésus est demeuré fidèle et n’a pas emprunté la voie plus facile. Il savait qu’il devait subir la colère de Dieu et la punition pour nos péchés dans toute leur plénitude pour qu’il y ait parfaite satisfaction. Les normes saintes et parfaites de Dieu exigeaient rien de moins qu’une satisfaction complète.

Voyons la grandeur de l’Amour dont Jésus-Christ a fait preuve envers des pécheurs comme vous et moi en refusant de recevoir tout soulagement au milieu de ses souffrances ! Il l’a fait volontairement et consciemment. Il a vécu sa vie dans une parfaite obéissance à tous les commandements de Dieu. C’est le plan de son Père qui occupait en tout temps la première place dans ses pensées. Il n’aurait jamais accepté, en aucune circonstance, de prendre des voies d’évitement devant les exigences des commandements de Dieu. Jésus avait toujours les yeux fixés sur ce que Dieu voulait de Lui. Il s’est offert comme l’Agneau parfait, l’Agneau sans défaut, sans même le défaut d’une pensée engourdie et d’un esprit enivré. Jésus a été sacrifié tout entier à tous égards. Il a subi le rejet de Dieu dans toute sa pensée, dans toute son âme et dans son être tout entier. Lorsqu’il s’est écrié “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?” (Marc 15:34). Jésus n’a pas prononcé ces mots comme quelqu’un qui ne savait pas ce qu’il disait. Il n’était pas en train d’halluciner ou d’imaginer des choses. Non, Jésus était dans la réalité, dans la réalité la plus complète.

Sur la croix, Jésus-Christ a subi l'Enfer d’une façon totale afin que nous puissions être totalement délivrés. Nous n’avons pas besoin de subir une petite partie de ces souffrances, pas même la moindre parcelle, parce que Jésus a tout fait et tout subi de manière parfaite et complète, dans tout son être. Ses souffrances et sa mort nous permettent d’avoir le pardon de tous nos péchés. Jésus a bu la coupe de la colère de Dieu jusqu’à la dernière goutte afin que notre coupe déborde des magnifiques bénédictions du Seigneur : le pardon des péchés, la justice et la vie éternelle. Venons boire à la coupe de ces trésors que Jésus nous a acquis et vivons dans la joie de son salut tous les jours de notre vie.

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Jésus-Christ a accompli le plan de Dieu pour notre salut

27 Janvier 2022 Publié dans #Salut

Le Sauveur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a été fait homme dans un but bien précis : Accomplir le plan de Dieu pour le salut des êtres humains, comme il est écrit : "C’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m’as formé un corps; Tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j’ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, ô Dieu, ta volonté. Après avoir dit d’abord: Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu’on offre selon la loi, il dit ensuite: Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde. C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes" (Hébreux 10. 5-10).

Lorsque nous parlons de "salut", il faut comprendre sa nécessité absolue en rapport avec une situation créée par le péché. Il est donc important de prendre conscience de la nature, de la gravité du péché, de tous les maux qu'il engendre dans le monde et dans notre vie, et surtout du destin tragique des pécheurs qui ne se seront pas repentis et n'auront pas cru en Jésus-Christ. "Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux; et chacun fut jugé selon ses œuvres. Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu" (Apocalypse 20.12-15).

Lorsque nous aurons réalisé la nature du péché et ses conséquences, nous comprendrons mieux la nécessité d'une expiation à la mesure de sa gravité. Dans toutes les religions anciennes ou actuelles, le concept de l'expiation des péchés repose sur des œuvres méritoires, des offrandes ou des sacrifices. Cependant ces sacrifices sont insuffisants et ceux qui étaient offerts selon la loi de Moïse pour le peuple d'Israël étaient simplement une préfiguration du sacrifice parfait et éternel de Christ.

Lorsque nous parlons du salut, nous comprenons en premier son auteur, celui qui sauve, Jésus-Christ le seul Sauveur. "Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4. 12). Avant d'être une œuvre, le salut est d'abord une personne, selon que l'exprime Siméon quand il a pris dans ses bras l'enfant Jésus : Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi, il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit : "Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur S’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, Salut que tu as préparé devant tous les peuples" (Luc 2. 27).
Cela signifie que Christ est Celui en qui et par qui le salut à été rendu parfait et lui-seul le pouvait. Il est à la fois le sacrificateur, celui qui offre le sacrifice, et la victime expiatoire, comme un agneau sans défaut et sans tache. Christ, nous a aimés, et "il s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur" (Éphésiens 5. 2). "Vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache ; prédestiné avant la fondation du monde, il fut manifesté à la fin des temps, à cause de vous ; par lui, vous croyez en Dieu qui l’a ressuscité des morts et lui a donné la gloire, en sorte que votre foi et votre espérance reposent sur Dieu" (1 Pierre 1. 18).

Nous avons bien compris que le Seigneur Jésus-Christ, annoncé par les prophètes de l'Ancien Testament et présenté dans le Nouveau Testament, est l'unique Sauveur. Le nom indiqué par l'ange à Marie signifie : Yahvé sauve, c'est à dire que Celui qui s'est révélé à Moïse par son nom ineffable a envoyé son Fils unique pour être le Sauveur du monde. L’ange dit à Joseph: "Tu lui donneras le nom de Jésus (Yahvé sauve), car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés" (Matthieu 1. 20-21). "Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que par lui le monde soit sauvé" (Jean 3. 17). Le salut c'est la réponse de Dieu au besoin fondamental de l'être humain et cela par amour pour les perdus. "Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous" (Romains 5. 8). "Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).

Le salut peut se comprendre par les deux réalités suivantes : - Le besoin d'échapper à la sentence méritée à cause de nos péchés : car le salaire du péché c'est la mort. (Romains 6. 23). - La nécessité d'être réconciliés avec Dieu pour recevoir la vie éternelle.

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Croyez-vous en la Bonne Nouvelle ?

26 Janvier 2022 Publié dans #EVANGILE

À quel point la Bonne Nouvelle de l’Évangile en laquelle nous croyons est-elle bonne ? Est-elle tellement bonne qu’à vrai dire, elle semble parfois trop belle pour être vraie ? Relisons l’histoire de la résurrection de Lazare, l’ami de Jésus, en Jean 11. 17-45.

« Crois-tu cela ? »

Comme il nous le dit lui-même, Jean n’a pas rapporté tous les miracles que Jésus a accomplis en présence de ses disciples. Cependant, ceux qu’il a rapportés, il les a mis par écrit afin que nous puissions croire que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant, nous ayons la vie en son nom (Jean 20. 31).

Il est très clair que c’est là le but de ce merveilleux onzième chapitre de l’Évangile de Jean et la lecture de ce récit n’aura pas atteint son but à moins d’avoir suscité en nous une réponse renouvelée dans la foi, un engagement de tout notre être envers celui qui déclare être lui-même la résurrection et la vie (Jean 11. 25). La question que notre Seigneur a posée à Marthe, il nous la pose à nous aujourd’hui par son Esprit Saint : « Crois-tu cela ? » (Jean 11. 26).

« Oui, Seigneur, je crois »

Puisse l’Esprit Saint rendre chacun de nous capable de répondre comme Marthe : « Oui, Seigneur, je crois ». Le texte grec indique qu’elle a insisté sur le pronom personnel : « Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui vient dans le monde » (Jean 11. 27).

Quel discernement dans cette réponse de Marthe ! Jésus vient de faire une déclaration inconcevable — de telles paroles ne pouvaient sortir de la bouche de qui que ce soit, autre que Dieu Lui-même. « Je suis la résurrection et la vie ». Il demande ensuite à Marthe : « Crois-tu cela ? ». Et elle répond: « Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui vient ». Marthe sait que la résurrection aura lieu « au dernier jour » (Jean 11. 24), mais une nouvelle vérité fait jour dans son esprit : voici devant elle le Christ, qui est lui-même Christ le Seigneur — Celui qui a été promis et qui doit venir dans le monde instaurer un monde nouveau, une nouvelle ère. La résurrection, le don de la vie, c’est là l’œuvre du Messie. En fait, elle dit : « Oui, Seigneur, je crois qu’il est possible d’avoir la vie maintenant, en toi, car tu es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui a été promis et qui vient dans le monde ».

« Lazare, sors ! »

Non seulement avons-nous le témoignage de Jésus proclamant avec autorité son pouvoir de donner la vie, mais le miracle qu’il a accompli avec cette même autorité nous est également rapporté: « Lazare, sors ! »”, crie Jésus, et celui qui était mort sort (Jean 11. 44).

Les faits sont clairs et parlent d’eux-mêmes : Jésus a exercé son pouvoir de résurrection ! Ainsi, Il s’est révélé, à travers ses actions tout comme à travers ses paroles, comme étant le Rédempteur qui devait venir.

Des larmes

Toutes choses ne Lui sont cependant pas encore soumises (Hébreux 2. 8). Le dernier ennemi n’a pas encore été détruit (1 Corinthiens 15. 26). Vous et moi vivons dans ce « pas encore » dans lequel nous versons des larmes, tout comme notre Seigneur Lui-même a pleuré devant la mort et le deuil (Jean 11. 35).

Pourquoi ces larmes de notre Sauveur ? Dans notre société, un homme fort n’est pas censé pleurer, comme plusieurs l’ont appris à leurs dépens. Cependant, le fait d’être élevés avec le Christ et de prendre part à toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ ne devrait pas nous rendre froids et insensibles à la douleur et aux pertes que nous vivons sur cette terre. La mort physique est une souffrance bien réelle. Les larmes de Jésus en témoignent avec éloquence. Lorsque vous et moi présentons la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ à des hommes et à des femmes pécheurs et souffrants, nous devons le faire avec sensibilité et nos larmes doivent être sincères.

Le salut

Cependant, nous ne devons jamais oublier que, par sa mort expiatoire et sa résurrection triomphante, notre Seigneur Jésus a brisé le pouvoir de Satan et nous a délivrés de la peur.

La bonne nouvelle de la Résurrection en Jésus, de la vie éternelle en Jésus n’est pas trop belle pour être vraie. Notre Seigneur Jésus-Christ dit Lui-même : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort, et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » (Jean 11. 25).

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Jésus-Christ l'Agneau de Dieu au travers de la Bible (2)

25 Janvier 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #Salut

L’agneau pascal :
Voyons maintenant un autre type merveilleux du salut : la Pâque.
Le peuple de Dieu, Israël / les hébreux, était en Égypte. Ils étaient esclaves de Pharaon, le roi d’Égypte. Pharaon était très cruel envers eux ; aussi les enfants d’Israël ont-ils crié vers le Seigneur. Dieu a entendu leur cri et a envoyé Moïse pour les faire sortir d’Égypte. Dieu a dit à Moïse d’aller vers Pharaon et de lui dire : « Ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël : Laisse aller mon peuple […] » (Exode 5. 1). Mais Pharaon n’a pas voulu laisser aller les enfants d’Israël. Il a dit : « Qui est l’Éternel, pour que j’obéisse à sa voix […] ? » (Exode 5. 2).
Dieu a donné à Moïse le pouvoir d’envoyer neuf grandes plaies, ou jugements, sur le pays d’Égypte. Parfois, lorsqu’une plaie s’abattait sur le pays, Pharaon promettait de laisser aller les enfants d’Israël. Mais quand Moïse faisait cesser la plaie, Pharaon changeait d’idée et refusait de les laisser aller.
Puis, un jour, Dieu a dit à Moïse qu’il allait envoyer une dernière plaie sur le pays. Il allait envoyer l’ange de la mort sur le pays, et celui-ci tuerait le fils aîné de chaque maison. Dieu a dit : « Après cela, Pharaon vous laissera sûrement aller. »
Ils devaient prendre du sang de l’agneau et en mettre sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte de leur maison. Dieu a arrangé les choses pour son peuple de manière à ce que leurs fils aînés ne meurent pas. Chaque famille devait mettre à part un agneau. L’agneau devait être parfait, sans aucune infirmité. Ils devaient garder l’agneau quatre jours et le tuer ensuite. Ils devaient prendre du sang de l’agneau et en mettre sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte de leur maison. Ce sang protégerait leurs fils aînés de la mort. Dieu a dit : « […] Je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous […]. » (Exode 12. 13).
Tout cela est arrivé exactement comme Dieu l’avait dit. L’ange de la mort est passé à travers le pays, et dans chaque maison qui n’avait pas de sang sur les poteaux de la porte, le fils aîné est mort. Dans chaque maison qui avait du sang sur les poteaux de la porte, le fils aîné a vécu. Il était sauvé ! C’est le sang de l’agneau qui l’avait protégé du jugement de Dieu.
Qu’est-ce que Dieu nous enseigne par le récit de la Pâque ? Il nous enseigne que c’est le sang de Jésus-Christ qui nous protège du jugement de Dieu. Le Christ est notre agneau. La Bible dit : « […] Christ, notre Pâque, a été immolé. » (1 Corinthiens 5. 7).
Quand nous acceptons le Christ comme notre Sauveur, nous sommes protégés par son sang. Quand Dieu regarde au cœur et voit que nous avons confiance dans le sang du Christ, il dit : « Je passerai par-dessus vous. Mon jugement ne tombera pas sur vous. »

L’agneau comme sacrifice :
Après avoir quitté l’Égypte, les enfants d’Israël ont traversé la mer Rouge. Au mont Sinaï, Dieu leur a donné les dix commandements. Ces commandements leur enseignaient ce qui était bien et ce qui était mal aux yeux de Dieu.
À cause de leur nature pécheresse, les enfants d’Israël n’ont pas gardé les lois saintes de Dieu. Ils étaient donc des pécheurs et condamnés à mort. Mais Dieu a arrangé les choses pour qu’ils puissent être pardonnés de leurs péchés.
Donc la personne qui voulait être pardonnée pouvait apporter au tabernacle un agneau comme sacrifice pour ses péchés. Elle plaçait ses mains sur l’agneau et disait quelque chose qui ressemblait à ceci : « J’ai péché, mais Dieu a permis que cet agneau meure à ma place. » L’agneau mourait pour les péchés de cette personne.
Pendant des centaines d’années, le peuple d'Israel ont sacrifié des animaux, comme Dieu leur avait dit de le faire. Le sang de ces animaux n’enlevait pas leurs péchés ; ces sacrifices n’étaient que des figures ou des types de la mort du Christ pour nous. Leurs nombreux sacrifices annonçaient le sacrifice unique du Christ sur la croix.

Nous sommes sauvés par la mort de Christ :
Les croyants de l’Ancien Testament étaient sauvés par la mort du Christ sur la croix, tout comme nous, mais il y avait une différence. Ils étaient sauvés en croyant d’avance à la mort du Christ, et nous sommes sauvés en croyant à la mort du Christ sur la croix alors que celle-ci a déjà eu lieu.

Jésus est notre Agneau :
Nous avons appris une grande vérité : sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon. Peut-être vous demandez-vous maintenant pourquoi nous n’offrons pas d’agneau comme sacrifice pour nos péchés ? La raison pour laquelle nous n’offrons pas d’agneau en sacrifice est que Jésus est l’Agneau de Dieu qui est mort pour nos péchés. Jésus est le véritable Agneau, l’accomplissement des types de l’Ancien Testament. Quand Jean-Baptiste a vu Jésus, il a dit : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29).
Qu’est-ce que Jésus voulait dire quand il a crié : « Tout est accompli » (Jean 19. 30) ? Il voulait dire qu’il avait achevé l’œuvre qu’il était venu faire. Il s’était offert Lui-même comme sacrifice parfait et complet pour nos péchés. Il n’y aura jamais besoin d’un autre sacrifice pour les péchés. La Bible dit : « Lui [Jésus-Christ], après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés » (Hébreux 10. 12, 14).

Nous sommes justifiés pour toujours :
La Bible dit que nous sommes « justifiés » par le sang du Christ, c’est-à-dire par sa mort sur la croix pour nous. Et Dieu Lui-même nous déclare « non coupables » parce que nous avons cru au parfait sacrifice de Jésus pour nous. Nous sommes déclarés justes aux yeux de Dieu.
Comment Dieu peut-Il nous pardonner les péchés et nous déclarer justes, alors que nous avons commis tant de péchés ? Dieu peut nous pardonner à cause du sacrifice parfait et complet du Christ pour nous. Dieu ne passe pas sur nos péchés, mais Il les pardonne parce que, en nous qui croyons véritablement en Jésus, Dieu voit le sang de Jésus-Christ qui a été versé pour nous sur la croix. La Bible dit : « En lui nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés, selon la richesse de sa grâce. » (Éphésiens 1. 7). « […] Maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. » (Romains 5. 9)

Étant donné que Jésus est mort sur la croix pour nous comme l'unique Agneau de Dieu, nous sommes justifiés pour toujours en recevant Jésus dans notre vie. Mais notre ennemi, Satan, aime à nous rappeler nos fautes et nos péchés. Il aime bien nous condamner et nous faire sentir coupables.
Il est vrai que nous avons péché. Même après avoir été sauvés, nous disons et nous faisons de mauvaises choses. Mais Dieu nous a dit ce que nous devons faire de nos péchés. Nous devons nous repentir, confesser nos péchés à Dieu et Lui demander de nous laver avec le sang précieux de Jésus. Puis nous devons croire que Dieu nous a pardonnés. La Bible dit : « […] Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7). Sur la croix, le Seigneur Jésus a payé pour tous nos péchés, même ceux que nous commettons après avoir été sauvés.

Quand Satan nous condamne en nous montrant nos péchés, nous pouvons lui répondre en lui montrant le sang de Christ. Nous pouvons dire : « Oui, j’ai péché, mais le sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, me purifie de tout péché ». Dieu a dit qu’Il ne rappellerait plus nos péchés. Et mieux encore, il ne permettra à personne de le faire ! La Bible dit : « Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie ! » (Romains 8. 33).
Nous n’avons plus à craindre de nous approcher de Dieu. Par le sang du Christ, nous pouvons venir sans crainte en sa présence. La Bible dit : « Ainsi donc, frères, nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire […] ; approchons-nous [de Dieu] donc avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi […]. » (Hébreux 10. 19, 22).

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Jésus-Christ l'Agneau de Dieu au travers de la Bible (1)

24 Janvier 2022 Publié dans #Divers

Quand Jean-Baptiste vit Jésus pour la première fois, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29).
Dans le dernier livre de la Bible, nous voyons que Jésus est « l’Agneau » qui est sur le Trône de Dieu
(Apocalypse 5). Qu’est-ce que ce nom veut dire ?

Pour comprendre pourquoi Jésus est appelé « l’Agneau de Dieu », nous devons regarder dans l’Ancien Testament. À travers l’Ancien Testament, nous voyons plusieurs « types » de salut. Un « type » est quelque chose qui illustre une vérité spirituelle. Par exemple, quand une personne offrait un agneau en sacrifice pour ses péchés, c’était là une illustration pour montrer que le Seigneur Jésus devrait un jour mourir sur la croix pour nos péchés.

Adam et Eve péchèrent contre Dieu le Créateur :
La Bible dit que le premier homme, Adam, a été créé par Dieu. Dieu a aussi créé une femme pour Adam dont le nom était Ève. La Bible dit qu’Adam et Ève ont été créés « à l’image de Dieu » (Genèse 1. 26). Il y a quelque chose d’encore plus merveilleux : ils ont été créés de manière à ce que Dieu puisse habiter dans leur cœur.
Dieu a placé Adam et Ève dans un très beau jardin appelé le « jardin d’Éden ». Il y avait des arbres fruitiers de toutes sortes dans ce jardin. Dieu leur a dit qu’ils pouvaient manger du fruit de tout arbre sauf d’un. Dieu a dit : « Mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. » (Genèse 2. 17). Chaque soir, Dieu descendait pour marcher et parler avec Adam et Ève. Comme ils étaient heureux !
Mais un jour, quelqu’un d’autre est venu dans le jardin. C’était Satan. Il avait pris la forme d’un serpent. Satan a dit à Ève que, si elle et son mari mangeaient du fruit défendu, ils ne mourraient pas comme Dieu avait dit, mais qu’ils seraient comme des dieux. Ève a cru Satan au lieu de croire Dieu. Elle a pris du fruit et en a mangé. Elle a donné du fruit à Adam, et il en a mangé aussi. Adam et Ève ont péché. Ils ont désobéi à Dieu.
(Genèse 3. 1-8). Dieu avait dit : « Le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2. 16). Adam et Ève sont-ils morts physiquement ce jour-là ? Non. Mais ils sont morts spirituellement. Cela veut dire qu’ils ont été séparés de Dieu et c’est leur péché qui les a séparés de Dieu.

Les animaux tués par Dieu pour Adam et Ève :
Avant qu’Adam et Ève ne pèchent, ils n’avaient pas besoin de vêtements. Ils étaient vêtus de la gloire de Dieu. Maintenant qu’ils avaient péché, cette gloire était partie. La Bible dit : « Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures » (Genèse 3. 7). Quand Dieu est venu vers eux ce soir-là, Adam et Ève ont essayé de se cacher de lui. Ils avaient peur de Dieu parce qu’ils savaient qu’ils avaient péché. Dieu les a appelés à lui. Les ceintures de feuilles de figuier qu’Adam et Ève s’étaient faites eux-mêmes n’étaient pas acceptables pour Dieu.
La Bible dit que Dieu les a revêtus d’« habits de peau ». Dieu a tué des animaux innocents, afin de fournir des habits de peau à Adam et Ève. D’où les habits de peau provenaient-ils ? Ils provenaient d’animaux. Dieu a tué des animaux innocents, afin de fournir des habits de peau à Adam et Ève.
Dieu a enseigné à Adam et Ève que quelque chose devait mourir pour le péché. La Bible dit que "sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon" (Hébreux 9. 22). Ceci nous montre à quel point le péché est terrible aux yeux de Dieu. Rappelez-vous que sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon. Cette grande vérité est enseignée à travers toute la Bible.

Les offrandes de Caïn et d’Abel :
Une autre image (ou type) de salut nous est donnée dans l’histoire de Caïn et Abel. Ils étaient les fils d’Adam et Ève. Caïn était cultivateur, il faisait pousser des céréales et des légumes. Abel prenait soin du troupeau. Ces deux fils savaient que Dieu n’accepte pas les feuilles de figuier pour couvrir le péché. Ils savaient que Dieu avait versé du sang pour couvrir le péché de leurs parents, Adam et Ève.
Quand le temps est arrivé d’apporter leur offrande au Seigneur, Abel a apporté un agneau et l’a offert comme sacrifice pour ses péchés. Mais Caïn n’a pas apporté un agneau ; au contraire, il a apporté quelques-uns des beaux fruits qu’il avait faits pousser.
La Bible dit que Dieu a accepté l’offrande d’Abel, mais qu’il a rejeté celle de Caïn. Il est important pour nous de savoir pourquoi l’une des offrandes a plu à Dieu alors que l’autre lui a déplu.
Dieu a accepté l’offrande d’Abel parce qu’Abel lui a obéi et a offert un agneau comme un type ou une image du Seigneur Jésus mourant pour ses péchés. Dieu a refusé l’offrande de Caïn parce que Caïn ne lui a pas obéi. Au lieu d’offrir un agneau en sacrifice pour ses péchés, Caïn a fait ce qu’il pensait être bien. Mais Dieu n’a pas accepté son offrande.
Que nous enseigne Dieu dans cette histoire de Caïn et Abel ? Il nous enseigne qu’il n’y a qu’un chemin par lequel les êtres humains pécheurs peuvent approcher du Dieu saint. Nous devons nous approcher dans la foi au sang de Jésus qui a été répandu pour nos péchés. La Bible dit : « C’est lui que Dieu a destiné à être, par son sang pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire […]. » (Romains 3. 25).

A SUIVRE...

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Le seul vrai Dieu

23 Janvier 2022 Publié dans #EVANGILE

“Il y a un seul vrai Dieu”. Tel était le grand témoignage du peuple d'Israël, à une époque où le monde païen qui l'entourait croyait en une multitude de divinités. De même, les premiers chrétiens ont témoigné de la foi au Dieu unique, ce qui a valu le martyr à beaucoup d'entre eux. Ce seul vrai Dieu unique qu'ils priaient, ils ne l'adoraient pas comme une force impersonnelle, ni une entité englobant tout, mais ils s'adressaient à une personne. La Bible nous révèle que Dieu est le Dieu vivant, qui parle, qui agit, qui aime...

Le seul vrai Dieu veut être connu. Pour cela, Il s'est révélé à l'être humain à travers son Fils unique Jésus Christ, le Messie promis, annoncé à Israël par les prophètes depuis longtemps. Jésus, parlant à Dieu son Père, dit : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17 : 3). Envoyé par Dieu pour nous sauver et nous Le révéler, Jésus est venu volontairement dans ce monde, s'est fait homme parmi nous, tout en étant le Fils unique du seul vrai Dieu. Jésus a pu dire : “Celui qui m'a vu a vu le Père”, et encore : “Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ?” (Jean 14, 9-10). Par ces paroles, et par bien d'autres encore, nous apprenons que Jésus est plus que le Messie, l'Envoyé de Dieu ; Jésus est Dieu Lui-même, “notre grand Dieu Sauveur”, “Dieu béni éternellement” (Tite 2. 13 ; Romains 9. 5).

Comment concilier cette apparente contradiction entre un seul Dieu unique et cette affirmation que Jésus est Dieu ? Nous ne pouvons pas comprendre le mystère de Dieu, mais nous pouvons croire en la révélation que le seul vrai Dieu donne de Lui-même : un seul Dieu : Père, Fils, Saint Esprit. Mystère insondable que le vrai croyant en Jésus reçoit et pour lequel il adore !

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L'Amour du Seigneur Jésus Christ à la croix

22 Janvier 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle  (Jean 3 : 16).

« Christ nous a aimés et s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur » (Éphésiens 5:2).

« Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle » (Éphésiens 5:25). « [Christ] m’a aimé et… s’est livré lui-même pour moi » (Galates 2:20).

La mort de Christ n’est pas seulement la démonstration de l’Amour de Dieu (Jean 3:16) ; elle est aussi l’expression suprême de l’Amour de Christ pour tous ceux qui Le reçoivent comme leur trésor. Les premiers témoins qui souffrirent beaucoup parce qu’ils étaient chrétiens étaient émerveillés par ce fait : « [Christ] m’a aimé et… s’est livré lui-même pour moi » (Galates 2:20). Ils s’appropriaient très fortement le sacrifice par lequel Christ s’était donné lui-même. Ils disaient : « Il m’a aimé. Il s’est livré pour moi. »

Les souffrances et la mort de Christ nous concernent

C’est certainement ainsi que nous devons comprendre les souffrances et la mort de Christ. Elles nous concernent. Elles parlent de l’Amour de Christ pour chacun de nous personnellement. C’est notre péché qui nous sépare de Dieu, non le péché en général. Ce sont notre dureté de cœur et notre torpeur spirituelle qui portent atteinte à la valeur de Christ. En matière de salut, nous avons perdu tout droit de faire appel à la justice par nous-même. Il ne nous reste plus qu’à implorer la pitié et la miséricorde. Nous voyons alors la souffrance et la mort de Christ. Pour qui ?

Il est dit : « Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle » (Éphésiens 5:25).

« Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jean 15:13).

« Le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup » (Matthieu 20:28).

En s’interrogeant chacun : Suis-je parmi ces « beaucoup » ? Se pourrait-il que je figure parmi « ses amis » ? Est-ce que j’appartiens à l’« Église » ? Nous entendons la réponse : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16:31). « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10:13). « Quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés » (Actes 10:43). « À tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle [la Parole – Christ] a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1:12). « … afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16).

Nous devons saisir l’Amour de Christ comme un trésor

Notre cœur chancelle et nous embrassons la beauté et la bonté de Christ, et nous nous en saisissons comme notre trésor. Notre cœur est alors inondé de cette précieuse réalité, à savoir l’Amour de Christ pour nous. Je peux donc dire avec les premiers témoins : « [Christ] m’a aimé et… s’est livré lui-même pour moi. » Qu’est-ce que j’entends par là ? Qu’il a payé le prix le plus élevé possible pour me donner le cadeau le plus précieux possible. Quel est ce don ?

C’est le cadeau pour lequel il a prié à la fin de sa vie : « Père, je veux que là où je suis ceux que tu m’as donnés soient aussi avec moi, afin qu’ils voient ma gloire » (Jean 17:24). Dans les souffrances et la mort de Christ, de la Parole « pleine de grâce et de vérité », « nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père » (Jean 1:14). Nous en avons vu assez pour nous gagner à sa cause. Mais le meilleur est encore à venir. Il est mort pour nous le garantir. Voilà ce qu’est l’Amour de Christ.

L'Amour du Seigneur Jésus Christ à la croix
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