Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Pourquoi parler de la mort de Jésus-Christ ? (1)

20 Septembre 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Nous relatons facilement la vie d’un homme politique qui a marqué l’histoire de son pays ou d’un illustre chef militaire qui a donné sa vie pour défendre sa patrie. Nous retrouvons son nom dans les manuels d’histoire, ou sur un monument. Aussi des noms de rue lui sont parfois attribués.
En revanche, parler d’un crucifié peut paraître, pour certains, comme surprenant. De plus, des milliers d’hommes sont morts crucifiés comme Jésus-Christ. La crucifixion, c’était la mise à mort employé par les Romains pendant deux siècles environ. Ce moyen d’exécution était utilisé surtout pour les esclaves et les criminels.
Pourquoi, aujourd’hui encore, parle-t-on de la mort de Jésus, plus que des autres crucifiés ? C’est vrai que certains dans ce monde possèdent des croix avec un corps d’homme, cloué dessus, en souvenir de la mort de Jésus sur une croix. Mais pourquoi ces croix ? Cherche t-on à nous démontrer que la vie de Jésus se termine lamentablement sur une croix ?
C’est ce que croyaient deux hommes en quittant Jérusalem à l’époque de Jésus. Ils retournaient chez eux déçus après sa crucifixion. Quelle déception : Leur leader venait de terminer sa vie sur une croix. Ils attendaient un sauveur qui les délivrerait de l’occupation des Romains, le voilà mort et son corps mis au tombeau depuis trois jours. Ils disaient : "Nous espérions que ce serait lui qui délivrerait Israël ; mais avec tout cela, voici le troisième jour que ces choses se sont passées" (Luc 24 : 21).

En quoi cela nous concerne t’il encore ?
Nous remarquons que beaucoup de personnes, chrétiennes ou non, portent un pendentif, un bracelet ou même des boucles d’oreilles avec une croix. Lorsque vous posez cette question à certaines  personnes, elles vous répondent : la croix, c’est un symbole de la vie chrétienne.

Pourtant la croix, par elle-même, n’est qu’un moyen de torture, d'exécution parmi d’autres, mais c’est peut-être le plus cruel que les hommes aient inventé.

Ce sont les Romains qui ont institué ce mode d’exécution pour les esclaves condamnés à mort. Cette pratique a duré deux siècles environ. Jésus a choisi le temps de cette pratique pour venir sur la terre, se faire Homme pour mourir crucifié.
Pourquoi ? Jésus aime t-il souffrir ? Non ! Alors pourquoi ? C’est ce que nous allons développer, en laissant la liberté à chacun de croire et de se laisser interpeller.
Les condamnés mouraient par asphyxie, qui souvent était provoquée par le brisement des jambes. Ainsi tout point d’appui sur leurs pieds leur était enlevé et provoquait la mort par étouffement. La mort pouvait intervenir au bout de quelques jours. Ils avaient à subir la chaleur, la soif, la souffrance, les moqueries, la honte, le dénuement. Pourtant l’apôtre Paul, nous dit : "Je ne veux rien savoir ou connaître d’autre que Jésus-Christ crucifié : "Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus–Christ, et Jésus–Christ crucifié" (1 Corinthiens 2. 2). "Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu" (1 Corinthiens 1. 18).

Pourquoi ces déclarations sortent-elles de la bouche de l’apôtre Paul ? Paul était-il un adepte de la crucifixion ? Avait-il compris ou reçu une révélation, concernant la mort de Jésus sur une croix ?
Deux autres condamnés sont morts crucifiés en même temps que Jésus, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche. Pourquoi la mort de Jésus est-elle plus importante que celle de ces deux hommes condamnés ?
Voyons ce que nous dit l’un de ces deux hommes avant de mourir. "L’un des malfaiteurs injuriait Jésus, disant : N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi, toi-même et nous avec ! Mais l’autre le reprenait et disait : Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes, mais celui-ci n’a rien fait de mal, et il dit à Jésus : Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit : je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis" (Luc 23. 39–43).
Le deuxième homme reconnait qu’il meurt, crucifié à cause de ses crimes. Il s’identifie comme étant un criminel. C’est bien le terme de crime qu’il utilise. Il reconnait qu’ils sont bien coupables de crimes : « Nos crimes ». L’un de ces deux hommes crucifié à coté de Jésus, par ses propos, sait que Jésus est victime d’une injustice.

Mais pour Jésus-Christ, quelle est la cause de sa mort par crucifixion ? Quel crime a-t-il commis ? Malgré cela, de quel pouvoir ou autorité bénéficient-il pour se permettre de dire au brigand repentant : "Aujourd’hui, tu seras avec moi au paradis". Le brigand repentant, nous donne un début de réponse « mais celui-ci n’a rien fait de mal ». Personne n’a trouvé dans la vie de Jésus, quoi que ce soit de mal.
Même Pilate, le chef romain, après avoir interrogé Jésus, dit aux chefs religieux juifs qui lui avaient demandé de juger Jésus : « Je ne trouve rien de coupable en lui ». A nouveau, constatons que Pilate utilise bien le terme : crime. « Voici je vous l’amène dehors, afin que vous sachiez que je ne trouve aucun crime en lui » (Jean 19. 4).
Jésus dit de Lui-même : « Qui me convaincra de péchés ? Le prince du monde vient. Il n’a rien en moi qui lui appartient » (Jean 14. 30). Même des faux témoins ont été suscités, afin d'accuser Jésus et de trouver une cause pour le condamné à mort. Mais ils n’en trouvèrent point.
Aussi les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient quelques faux témoignages contre Jésus, suffisant pour le faire mourir. Mais ils n’en trouvèrent point, quoique plusieurs faux témoins se soient présentés. (Voir Matthieu 26- 59 et 60).

A SUIVRE...

Lire la suite

Jésus-Christ est la Porte du Paradis

19 Septembre 2022 Publié dans #Salut

Jésus leur dit : « Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. Il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages » (Jean 10 : 9).

Dans ce verset, Jésus se compare à l’un des éléments les plus familiers de nos demeures. Tout le monde sait ce que c’est une porte. On se sert tous les jours d’une porte : Jésus désire que nous tournons les regards vers Lui. Qu’y a t-il de plus simple qu’une porte ? Jésus veut que tous les êtres humains, du plus intelligent au plus simple d’esprit, aient la possibilité de Le recevoir comme Seigneur et Sauveur et de Le connaître personnellement. Pour servir et sauver son peuple, le Seigneur Jésus consent à se dépouiller de toute supériorité et à se mettre au rang des plus humbles.

1) La porte du Paradis : Permettez-moi d’en dégager avec vous quelques-uns des aspects essentiels :
a) Elle est nécessaire : Sans porte, il n’y a pas d’accès possible au parfait Salut de Dieu, ni à sa grâce, ni à sa paix, à sa joie ou à son Ciel.
b) Elle est unique : Inutile d’en chercher une autre, il n’en existe pas ! On accède au salut par cette porte-là et par aucune autre
(Actes 6 : 12)
c) Elle s’est incarnée dans une Personne vivante : Le Seigneur Jésus Lui-même est cette porte. La réussite, l’activité, les rites ou les doctrines n’ont aucune valeur. Seul reste valable le parfait sacrifice de Jésus-Christ au Calvaire.
d) Elle est parfaitement adaptée à nos besoins : C’est par le Seigneur Jésus seulement que nous avons accès auprès du Père, car en Lui sont réunies la divinité et l’humanité. C’est une porte qui ouvre d’un côté sur la terre et de l’autre sur le Ciel
: "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme" (1 Timothée 2 : 5).
c) Elle demeure éternellement : "JE SUIS" (Exode 3 : 14) : Éternel présent pour le temps et l’éternité. L’accès à Dieu le Père est encore possible aujourd’hui par le moyen de son Fils Jésus-Christ. (Jean 14 : 6 ; Hébreux 7 : 25).

2) Accès au Salut :
a) Il ne s’agit pas simplement de regarder cette porte ou d’y frapper, de s’asseoir ou de faire les cent pas devant, il s’agit de la franchir personnellement par la foi en Jésus, dans la sainte communion avec Dieu.
b) Cela n’est pas réservé à une minorité de privilégiés particulièrement qualifiés, soit par leur fortune, leur éducation, leur race ou leur situation. Jean 10 : 9 dit : "quelqu’un" sans plus de précision. Donc chaque être humain est invité à y enter avant qu'il ne quitte ce monde.
c) Seule et unique qualification requise : Il faut passer par cette porte. Rien d’autre ne saurait mener au moindre résultat par rapport au salut. Ceci afin d’éliminer :

- Tout sujet d’orgueil personnel quant aux qualités individuelles requises pour avoir accès au salut ;
- La prise en considération des sentiments (joie ou peine) comme pouvant mener au salut ;
- Et toute action autre que le simple fait de passer par la porte du salut en ayant la foi en Jésus.
Sur certaines portes, on peut lire l’inscription : "Privé", ce qui signifie que peu de gens sont autorisés à les franchir. Par contre, lorsque sur une porte on peut lire "Entrée libre", il ne reste plus de doute sur qui peut entrer. Elle est destinée à être franchie par le plus grand nombre. L’invitation est générale et pour tous. Jésus dit "Je suis la porte", et Il souhaite voir le plus grand nombre de pécheurs entrer "par Lui" pour être sauvés. Vous qui soupirez après la vie éternelle et le vrai bonheur éternel, franchissez la porte du salut par la foi en Jésus-Christ !

3) Les privilèges réservés à ceux qui entrent par cette porte : Voici les privilèges réservés à ceux qui franchissent le seuil de la porte du Salut en Jésus-Christ :
a) Le Salut : "Il sera sauvé", il est déjà sauvé. Salut immédiat et éternel.
b) La Liberté : "Il entrera et il sortira". C'est la porte par laquelle passe les enfants de Dieu et Jésus-Christ leur donne la véritable liberté.
c) L'Entrée : "Il entrera". Trouver un abri, recevoir un enseignement et jouir de la communion avec Dieu.
d) La Sortie : "Il sortira". Pour servir fidèlement le Seigneur Jésus et progresser dans la vie spirituelle.
e) La Nourriture : "Il trouvera des pâturages". La nourriture spirituelle nous est donnée en Christ, par Christ et dans la présence de Christ.

Entrons donc par cette porte : L’entrée par la porte du Ciel, du Paradis, est libre et gratuite. Il n’y a pas d’obstacles à franchir. Ne craignons pas d’entrer. Entrons dons par Jésus Lui-même qui est cette porte. Approchons nous de Lui sans crainte, car Jésus est "doux et humble de coeur" (Matthieu 11 : 29b).

Lire la suite

La Grâce de Dieu

18 Septembre 2022 Publié dans #Pardon des péchés

On ne peut pas recommencer sa vie. Le vieillard ne peut pas refaire ce qu'il a mal fait autrefois. Mais ce qu'il peut faire, c'est revoir le passé avec le regard de Dieu, et supplier Dieu de lui pardonner ses péchés. Il le dira peut-être en pleurant, le cœur brisé, honteux d'avoir si souvent offensé Dieu. Il trouvera peut-être dans ce passé des péchés qui lui paraîtront aujourd'hui impardonnables. Mais Dieu n'a-t-il pas dit : “C'est à celui-ci que je regarderai : à l'affligé, et à celui qui a l'esprit contrit et qui tremble à ma parole” (Esaïe 66. 2) ?
Dieu est Juste et Saint, et il ne peut pas passer par-dessus le péché sans le punir ; pourtant il pardonne au pécheur. Comment concilier la Justice du Dieu Saint qui exige un châtiment, et sa Grâce qui pardonne ? C'est la gloire de Dieu de concilier l'un et l'autre. Son Fils bien-aimé Jésus a voulu subir pour nous le châtiment que nous méritions à cause de nos péchés, pour que Dieu puisse nous pardonner en toute justice.

Oui, Dieu, dans son divin Amour, dans ses plans adorables,
Pour nous soustraire à notre sort
Abandonna son Fils Jésus à notre place, aux terribles coups
Du jugement et de la mort.

Désormais, Dieu ne demande rien à l'être humain, sinon qu'il reconnaisse sa culpabilité et qu'il croie que Jésus Christ s'en est chargé, sur la croix, en mourant pour lui.

Lire la suite

Une justice injuste

17 Septembre 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Des scandales empoisonnent régulièrement la vie politique de nos pays. C'est grave, car si ceux qui ont le pouvoir ne donnent pas l'exemple, qui le donnera ? Si la justice est injuste, quels repères nous reste-t-il ?
Ce triste constat ne date pas d'hier. Il y a près de 2000 ans a eu lieu le plus injuste de tous les procès. L'accusé n'était autre que Jésus Christ, le Juste. Les plaignants étaient des gens comme vous et moi, ceux que Jésus voulait pourtant aider et sauver. Parce que Jésus se disait Fils de Dieu, les juges religieux le condamnèrent à mort. Le magistrat civil, convaincu de son innocence, confirma la sentence sous la pression du peuple. Même ses amis l'abandonnèrent...
Ce procès se termina sinistrement par la crucifixion du condamné. Oui, véritablement, ce jour-là, la justice était bafouée, la justice était injuste...
- Mais comment Jésus Christ, innocent, a-t-il pu laisser l'humanité être contre Lui ? Parce que Jésus était la lumière morale des êtres humains, et que ceux-ci ne pouvaient la supporter.
- Pourquoi, étant Fils de Dieu, Jésus s'est-il laissé crucifier ? Parce que c'était le seul moyen de nous sauver.
- Pourquoi Dieu a-t-il laissé faire ? Parce qu'au lieu de nous punir nous, Dieu punissait son propre Fils, chargé de nos péchés, y compris celle de notre révolte contre Dieu, pour en subir les conséquences.
La crucifixion de Jésus Christ est la plus grande injustice que l'humanité ait jamais commise. Mais par elle, Dieu a montré sa Justice à Lui et son Amour infini, en acceptant le sacrifice de son Fils. Jésus a déjà subi le châtiment de Dieu en portant nos péchés sur la croix, et Dieu ne nous punira pas une seconde fois, si du moins nous acceptons son pardon gratuit en Jésus Christ.

Or il y a plus de 2000 ans, Dieu a donné la preuve de tout l'intérêt qu'il a pour nous, en envoyant son Fils sur la terre. Jésus Christ “a passé de lieu en lieu, faisant du bien” (Actes 10. 38). Ses contemporains ont dû reconnaître son amour, sa grâce et sa perfection morale. Ils ont dit : “Rien n'a été fait par lui qui mérite la mort” (Luc 23. 15), et pourtant ils l'ont crucifié. La plus grande injustice a été commise ce jour-là, on a condamné à mort le seul homme juste. Mais Dieu l'a ressuscité, et Jésus est monté au ciel. Sa présence, là-haut, démontre que la justice de Dieu a été satisfaite par son sacrifice à la croix.
Aujourd'hui, s'il n'y a pas d'homme juste sur la terre, “pas même un seul” (Romains 3. 11), la justice de Dieu par la foi en Jésus Christ est proposée à tous par l'évangile. “Tous ceux qui croient sont justifiés (rendus justes) gratuitement par sa grâce” (Romains 3. 24) à cause du prix payé par Jésus, mort sur la croix.

Lire la suite

Un seul Dieu et un seul Chemin vers Lui

16 Septembre 2022 Publié dans #EVANGILE, #Salut

L’histoire de l’humanité dans ses relations avec Dieu est marquée par trois étapes : l’avènement de la loi, l’avènement de la grâce et, dans l’avenir, l’avènement du Christ glorifié. Jésus est le personnage central de l’Histoire : « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 : 6). Jésus est le chemin qui mène à Dieu le Père, la vérité qui ne change jamais, la vie qui ne prend jamais fin. Il a été – et il est aujourd’hui – l’Espoir donné à toute l’humanité. Il est là pour tous ceux qui se tournent vers Lui.

Jésus offre le don de la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui. Il a dit : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16).

Dès le commencement du monde, Adam a perdu sa relation de confiance avec Dieu en lui désobéissant. Ses descendants ont oublié qu'il n'existe qu'un seul Dieu et se sont fait des dieux à leur image, qu'ils ont servi avec dévotion. Dieu a dû leur rappeler : "Hors moi, il n'y a pas de Dieu, de Dieu Juste et Sauveur, il n'y en a point si ce n'est moi. Tournez vous vers moi et soyez sauvés, vous tous jusqu'aux bouts de la terre" (Ésaïe 45 : 21-22).
Il existe d'innombrables chemins tracés sur la terre par les êtres humains, mais il y a qu'un seul et unique Chemin qui mène au Ciel, au Paradis et ce seul Chemin, c'est Jésus-Christ. Jésus dit : "Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Personne ne vient au Père sans passer par moi" (Jean 14 : 6).
Des multitudes d'animaux ont été offerts en sacrifice au vrai Dieu, en commençant par l'offrande présentée par Abel, le fils d'Adam, car Dieu a dit : "Sans effusion de sang il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9 : 22). Pourtant "il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés" (Hébreux 10 : 4). Ces sacrifices qui couvraient seulement les péchés, étaient la préfiguration de la seule offrande acceptable aux yeux de Dieu, celle de Jésus Christ sacrifié qui allait expier pour toujours tous les péchés du monde entier : "Celui-ci, ayant offert un seul sacrifice pour les péchés, s'est assis à perpétuité à la droite de Dieu" (Hébreux 10 : 12). "Il n'y a de salut en aucun autre" (Actes 4 : 12). Le Salut se trouve en Jésus seul.
Comment être sûr que c'est la Vérité ? En lisant et en méditant le seul Livre qui soit la Parole de Dieu, la Bible, le seul qui a été inspiré par le Saint-Esprit de Dieu à des hommes fidèles : "Car de saints hommes de Dieu ont parlé, étant inspirés par l'Esprit Saint de Dieu" (2 Pierre 1 : 21)

Lire la suite

Le Jour du Retour de Jésus-Christ

15 Septembre 2022 Publié dans #Retour de Jésus

Que se passera-t-il le Jour du Retour de Jésus-Christ ? : Un événement mondial
Cela ne peut continuer ainsi. Certainement pas ! Vous êtes sûrement bien d’accord. De nombreuses personnes envisagent l’avenir avec anxiété.
Oui, un événement mondial dans sa puissance et sa portée est imminent. Le Seigneur Jésus Christ va revenir ! « Car le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement, puis nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4 : 16, 17).
Lisons la Bible, la Parole infaillible de Dieu. Dieu a parlé, donc cet événement se réalisera certainement. En un clin d’œil, « Les morts en Christ » ressusciteront et « ceux qui seront encore en vie » à ce moment-là, nous tous ensemble serons transformés, pour être éternellement avec Jésus. Tous les rachetés, tous les vrais croyants en Jésus, appartiennent à cette catégorie. Il s’agit de ceux qui ont capitulé devant Dieu, ont accepté le Seigneur et Sauveur Jésus Christ, ont reçu le pardon de leurs péchés et la vie éternelle. C’est eux qui seront ravis à la Venue de Jésus et introduits dans la joie et la félicité éternelles de la patrie céleste.
L’apôtre Paul n’est pas le seul à avoir annoncé cet événement. Le Seigneur Jésus Christ Lui-même a dit à ses disciples : « Je vais vous préparer une place. Et si je m’en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai, et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi » (Jean 14 : 2b, 3).
Y serez-vous ? Puisse cette question insistante vous sonder !

Le moment même de l’Enlèvement marquera la fin de la période de la grâce. Les êtres humains qui auront entendu l’Évangile, le message du salut de Dieu, et qui ne se seront pas convertis, ne pourront plus le faire alors. Arrêtons-nous chacun un instant et considérons quelle est notre relation avec le seul Dieu Vivant.
Des jugements terribles s’abattront alors sur les habitants incrédules de la terre. La Bible en parle d’une façon tout à fait claire : « Quand ils diront : « Paix et sûreté », alors une subite destruction viendra sur eux, comme les douleurs sur celle qui est enceinte, et ils n’échapperont point » (1 Thessaloniciens 5 : 3).
Depuis longtemps, Dieu offre sa grâce à tout être humain. Librement et gratuitement ! À vous aussi. N’avez-vous pas encore accepté cette offre de grâce unique ? Jusques à quand voulez-vous attendre ?
Dieu n’est pas seulement un Dieu d’amour, il est aussi un Dieu Saint. Combien de temps se taira-t-il encore face à toutes les atrocités de ses créatures ? Un jour la longanimité, la patience et la pitié de Dieu prendront fin.
Dieu ne frappera pas seulement cette terre d’un jugement temporel. Il prononcera aussi un jugement définitif sur les êtres humains qui auront méprisé et rejeté son amour. Voulez-vous subir ce jugement et connaître la perdition éternelle dans le lieu de tourment « où leur ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint pas » (Marc 9 : 48) ?

Chaque être humain peut être sauvé. Aujourd’hui encore, maintenant, Le Sauveur du monde est prêt à sauver parfaitement. Il veut nous placer dans une sécurité éternelle, dans la gloire de Dieu. Reconnaissons devant Dieu que nous sommes des pécheurs coupables. Confessons nos péchés au Seigneur et Sauveur Jésus Christ, et nous aurons son pardon. À cause de nos péchés, Jésus a subi pour nous le Jugement de Dieu à Golgotha. Il a payé notre dette sur la croix. Croyons de tout notre cœur qu’Il est mort pour chacun de nous personnellement. « Qui croit au Fils a la vie éternelle, mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean 3 : 36). « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 : 16). « En vérité, en vérité, je vous dis que celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5 : 24).

Lire la suite

Le malfaiteur repentant sur la croix

14 Septembre 2022 Publié dans #Salut

"Jésus fut crucifié sur le mont Golgotha (lieu du Crâne), ainsi que deux malfaiteurs, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. L’un des malfaiteurs qui étaient crucifiés l’injuriait, disant : « N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi. » Mais l’autre, lui répondit et le reprit : « Tu ne crains pas Dieu, toi ? Car tu es sous le même jugement. Pour nous, nous y sommes justement, car nous recevons ce que méritent les actes que nous avons commis ; mais celui-ci n’a rien fait de mal ». Et il disait à Jésus : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume ». Jésus lui dit : « En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23. 33, 39-43).

Les autres évangiles (Matthieu 27. 44 ; Marc 15. 32) nous apprennent que ce malfaiteur repentant avait auparavant insulté le Seigneur, lui aussi : la révolte contre Dieu est l'état de tout être humain avant sa conversion. Mais il reconnaît qu'il est là justement, méritant sa condamnation. C’est le premier pas indispensable vers le salut : reconnaître sa culpabilité devant Dieu. Certains admettent que Jésus est le Fils de Dieu venu sur la terre pour payer le prix du péché, mais n’ont pas pour eux-mêmes la conviction de leur propre culpabilité. Or Jésus a dit qu’Il n’était pas venu pour appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance (Luc 5. 32). Le malfaiteur craint Dieu, déclare que Jésus n'a rien fait de mal et lui dit : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume. » Non seulement il reconnaît la parfaite justice de toute la vie de Jésus, mais aussi sa Seigneurie, et en Lui, Celui à qui appartient le Royaume dans lequel Il viendra. En prononçant ses paroles, le malfaiteur manifeste sa foi au Seigneur Jésus et en sa résurrection.
« Si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneur, et que tu croies dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, tu seras sauvé » (Romains 10. 9).
Ce brigand confesse de sa bouche Jésus comme Seigneur, et il croit dans son cœur, non pas que Dieu l'a ressuscité‚ mais qu'il va le ressusciter d'entre les morts. Jésus ne laisse pas une telle foi sans réponse. « En vérité, je te dis : aujourd'hui, tu seras avec moi dans le paradis ». Cette merveilleuse déclaration a dû soutenir ce pauvre malfaiteur, devenu bienheureux croyant, durant les quelques heures d’atroces souffrances qu'il endura avant d'entrer dans cette félicité inespérée.

Par les épîtres, en particulier celles de Paul, nous savons que les croyants passant par la mort entrent dans le repos, dans le Paradis où ils entendent des paroles ineffables qu'il n'est pas permis à l'homme d'exprimer (2 Corinthiens 12. 2-4), en attendant la résurrection, pour être introduits par le Seigneur Lui-même dans la maison du Père, dans la félicité ineffable, pour toujours avec Lui. Voilà la part éternelle de ce malfaiteur repentant et croyant. Il a demandé au Seigneur qu'il se souvienne de lui quand il viendra dans son royaume. La réponse qu'il reçoit est infiniment plus que ce qu'il a demandé et même pensé : « EN VÉRITÉ, JE TE DIS… »
Ces deux expressions donnent au malfaiteur une certitude absolue. C'est le Seigneur qui parle. Ce qu'il dit ne peut être que la vérité. N'a-t-il pas dit lui-même : « Je suis LA VÉRITÉ » ? (Jean 14. 6). Comment un croyant pourrait-il douter des paroles de celui qui est la vérité ? Si l'un de nos lecteurs n'avait pas encore la certitude de son salut, qu'il écoute la parole de la Vérité : « Qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3. 36). « Je vous écris ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5. 13).

Le salut que Jésus offre est un salut certain. « AUJOURD’HUI… » Non pas "plus tard" ou "quand je viendrai régner sur la terre", mais « AUJOURD’HUI ». « Qui croit au Fils a la vie éternelle ». Non pas "aura" ou "peut espérer l'avoir", mais il a la vie éternelle. C'est une possession immédiate.
Cette parole du Seigneur prouve l'inexistence d'un purgatoire, idée inventée par les hommes. Si celui-ci existait, le brigand ne devrait-il pas y faire un séjour ? Or le Seigneur lui dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi dans le paradis. »
Précieuse promesse pour ce brigand repentant et croyant ! Précieuse promesse pour vous aussi, cher ami lecteur, si vous avez reconnu que vous méritez la juste condamnation de Dieu à cause de vos péchés et que vous croyez au Seigneur Jésus qui, sur la croix, a subi cette condamnation pour vous.
Les bras et les jambes du brigand sont alors attachés au bois. Il est donc dans l’incapacité totale de : prendre la communion, se faire baptiser, donner l'aumône, fréquenter une église, essayer d'améliorer sa façon de vivre, appeler un prêtre ou un pasteur, etc.
En fait, beaucoup de ces actes que certaines personnes considèrent nécessaires au salut, comme un "laissez-passer" pour le ciel, il est dans l'incapacité de les accomplir. Ce qu'il peut faire, et ce que chacun peut faire quelle que soit la situation dans laquelle il se trouve, il le fait : Il se repent et croit au Seigneur Jésus.

Ces deux malfaiteurs qui représentent deux catégories de personnes – les perdus et les sauvés – étaient de chaque côté de Jésus : l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. Le jour viendra où Jésus séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs ; et il mettra les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père, héritez du royaume qui vous est préparé depuis la fondation du monde ! » Et il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : « Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui est préparé pour le diable et ses anges ! »  (Matthieu 25. 32-34 ; 41).

Deux catégories de personnes, et deux seulement. De laquelle ferez-vous partie ?

Lire la suite

Ce qu’il faut pour grandir dans le Seigneur Jésus

13 Septembre 2022 Publié dans #Divers

"Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut" (1 Pierre 2. 2).

La vie chrétienne débute par la Nouvelle Naissance et tout comme les bébés, le nouveau croyant à des besoins vitaux et des phases de croissances. Il a besoin d’être aimé, d’être nourri et d’être stimulé afin de grandir et de s’affermir à titre d’enfant de Dieu. Heureusement, il peut compter sur l’assistance de l’Esprit Saint et de l’église locale qui de concert l’assisteront et répondront à ses besoins.

Lors de la Nouvelle Naissance, le nouveau croyant en Jésus compte déjà sur l’appui de trois éléments importants…

"L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu" (Romains 8. 16).

- Premièrement, il bénéficie premièrement de la Rédemption en Jésus Christ qui lui procure une nouvelle identité à l’opposée de ce qu’y a été vécu avant. Le nouveau croyant est maintenant un enfant de Dieu (Romains 8. 16) justifié par la foi (Romains 5.1), sanctifié (Éphésiens 2. 19), glorifié (Colossiens 3. 4), citoyen des cieux (Philippiens 3. 20), héritier de Dieu (Galates 4. 7) et plus encore.

- Deuxièmement, Il a également l’assistance de l’Esprit Saint qui a le mandat de l’instruire (Jean 14. 26), d’intercéder pour lui (Romains 8. 27). Il produit dans la vie du jeune croyant son fruit (Galates 5. 22-23) et ses dons (Hébreux 2. 4).

- Et troisièmement, il a l’appui de l’église locale qui est le corps de Christ (1 Corinthiens 12. 27) et qui a le mandat d’aimer le nouveau membre selon le modèle de Jésus et de le former à titre de nouveau disciple de Christ.

"La nourriture solide est pour les hommes faits, pour ceux dont le jugement est exercé par l’usage à discerner ce qui est bien et ce qui est mal" (Hébreux 5. 14).

Tant l’église qu’avec la Trinité se chargeront de prendre soin du jeune chrétien en l’alimentant avec la Parole de Dieu. Au début, on lui donnera du lait spirituel facile à comprendre (1 Pierre 2. 2) et plus il grandira, plus il recevra une nourriture solide afin de l’aider dans sa croissance (Hébreux 5. 14). Comme Jésus Lui-même l’a affirmé, "l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toutes paroles qui sort de la bouche de Dieu" (Matthieu 4. 4). Plus le chrétien grandit, plus il cherchera la face de Dieu pour saisir pleinement sa volonté parce qu’il saisira que seul Dieu a les Paroles de la vie éternelle. Vers qui d’autres pourrait-il se tourner (Jean 6. 68). Seules les Écritures sont inspirées de Dieu et sont en mesure de donner un réel sens à la vie du croyant qui se devra de la méditer sans cesse afin d’obtenir du succès dans ses entreprises (Josué 1. 8).

Avec l’assistance de la famille de Dieu, Père, frères et sœurs, le nouveau-né dans l’Esprit aura les outils nécessaires à apprendre à marcher dans les voies de Dieu et également à s’exprimer au trône de la grâce.

Tout comme un jeune enfant, il apprendra à faire ses premiers pas sous les yeux attentionnés de Dieu et de l’église. Par sa marche, il aura le privilège d’expérimenter encore plus la grâce de Dieu, il connaîtra des chutes mais son Père Céleste lui prendra la main et il ne sera pas terrassé (Psaume 37. 24).

"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" (Jean 14. 6).

Il ne marchera pas selon le conseil des méchants (Psaume 1. 1) mais au contraire, il placera ses petits pieds dans les traces de pas de Jésus, qui est le véritable chemin (Jean 14. 6). il se lèvera pour marcher sur ce que l’on nomme la voie sainte (Ésaïe 35. 8) sans déplacer les bornes anciennes (Proverbes 23. 10) en utilisant la Parole de Dieu comme étant la lumière sur son sentier (Psaume 119. 105).

"Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !" (2 Corinthiens 5. 20).

Un bébé s’exprime par des pleurs et des rires ainsi que par son visage qui nous fait découvrir son état d’âme que ses parents apprennent à décoder. Le petit enfant dans le Seigneur apprendra également à s’exprimer auprès du Père afin de prier, d’intercéder et de rendre grâce pour les bontés reçues de l’Éternel. En plus de prier, le croyant aura le privilège de partager la bonne nouvelle, partager un salut qu’il a expérimenté et aussi d’encourager, de consoler et d’exhorter son prochain. Le chrétien n’est pas de ceux qui garde silence mais au contraire il est ambassadeur de Christ afin de parler en son nom (2 Corinthiens 5. 20).

Celui qui vient à la nouvelle naissance a le privilège d’avoir une vie rempli de bénédiction, il ne sera jamais seul et expérimentera les joies de vivre dans sa nouvelle famille. Il expérimentera la foi, l’espérance et l’amour (1 Corinthiens 13. 13). Sa vie sera une longue marche progressive ou il expérimentera un processus de sanctification qui le mènera à la gloire éternelle auprès de Christ et du Père dans les lieux célestes.

Lire la suite

Le Ciel, notre demeure future

12 Septembre 2022 Publié dans #Paradis

Qu’en est-il de notre avenir ?
Qui peut penser à l’avenir sans se demander s’il y a une existence après cette vie sur terre ? Même si les êtres humains ne peuvent échapper aux pensées de leur état après la mort, beaucoup sont portés à les chasser de leur esprit. Ils s’occupent des affaires de la vie et remettent à un avenir lointain les pensées sur la mort, le ciel et l’enfer (Matthieu 24. 48 ; Ecclésiaste 8. 11). En réalité, cependant, ils doivent prendre une décision. Ne rien faire signifie la perdition éternelle.

Il n’y a que deux destinés après la mort :
La gloire du Ciel, ainsi que les terreurs de l’Enfer, nous convainquent que c'est primordial de faire du Ciel notre destinée éternelle. Pour obtenir cette récompense, nous devons choisir. Une chose est certaine : aucun péché, aucune impureté, n’entrera au ciel. Il y aura un châtiment éternel en Enfer pour ceux qui n'acceptent pas de recevoir le pardon de leurs péchés en Jésus. « Et ceux-ci iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle » (Matthieu 25. 46).

Le Ciel — la demeure de tous les rachetés :
Pour les rachetés, ceux qui ont été lavés dans le sang de Christ, le Ciel est un lieu spécial
(Apocalypse 7. 13-17). C’est leur demeure. Leur désir pour le Ciel est comme une soif qu'il aspire à la réalisation Psaume 63. 2 : « Mon âme a soif de toi... ». Oui, un être humain, né de l’Esprit-Saint de Dieu, ressent la réalité et la proximité du Ciel. Il vit un avant-goût de sa demeure éternelle.

Le Ciel — Pays de lumière :
La vie sur terre est entourée d’ombres. Souvent, nous rencontrons des choses que nous ne comprenons pas. Nous essayons de regarder dans l’avenir, mais nous en sommes incapables. Nous vivons souvent des déceptions. Tout cela pourrait être décrit comme des ténèbres dans ce monde.
Par contre, le Ciel n’a que de la lumière, le Ciel est rempli de la gloire de Dieu. C’est là où Dieu demeure. « Dieu est lumière, il n’y a pas en lui de ténèbres » (1 Jean 1. 5). La compréhension parfaite se trouve dans sa lumière. La connaissance sera complète. Le passé et tous ses événements seront rendus absolument clairs. Dans cette lumière, il y aura pleine communion entre le Père et tous ceux qui résident avec Lui.
Le ciel est décrit comme « l’héritage des saints dans la lumière » (Colossiens 1. 12). Les attributs de la lumière énumérés dans les Écritures incluent la connaissance, la sainteté et la joie. Cette lumière sera constante éternellement ! « Là il n’y aura pas de nuit » (Apocalypse 21. 25).

Le Ciel — pays sans menace ni péché :
« Il n’y entrera rien de souillé, ni personne qui se livre à l’abomination et au mensonge » (Apocalypse 21. 27). Le découragement, la déception, la tentation et le péché font partie de cette vie terrestre. Ils n’entreront jamais dans ce pays magnifique qu'est le Ciel.
Dans Apocalypse 21. 4 nous lisons : « Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu ». Le Ciel est le repos qui satisfait les enfants de Dieu. Il sait que de la même façon que Dieu a essuyé ses larmes sur terre, ainsi toute tristesse sera ôtée dans la perfection du ciel.

L’état immortel des sauvés :
Ici sur terre, les rapports humains sont importants pour nous. Les joies et les tristesses des autres affectent nos émotions. Les liens familiaux sont significatifs et la séparation apporte la douleur. Tout cela fait nécessairement partie de l’état mortel.
Lorsque Jésus reviendra pour le Jugement, tous seront transformés. Les morts en Christ ressusciteront. Le corps mortel, maintenant corrompu et assujetti à la mort, deviendra immortel. « Et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous les vivants, nous serons transformés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité » (1 Corinthiens 15. 52-53).
Dans cet état, les rapports familiaux n’auront plus la même signification. Jésus a enseigné qu’il n’y aurait pas de relations maritales au ciel (Matthieu 22. 30). Les émotions de cette vie pâliront en comparaison avec la joie qui sera dans la présence du Seigneur. Rien ne gâchera le rapport entre les sauvés et l’Agneau de Dieu.
Les saints contempleront continuellement ce que leurs yeux mortels n’ont jamais vu ; ils entendront des choses que leurs oreilles mortelles n’ont jamais entendues ; et ils connaîtront ce qui n’est même point monté au cœur de l’être humain.

Les élus de Dieu seront glorifiés :
Le jour viendra où le Seigneur Jésus paraîtra pour tous les habitants de la terre. Pour ses élus, Jésus les amènera dans Sa gloire au Ciel ; là, ils pourront adorer et glorifier Dieu sans fin. Mais, pour tous ses ennemis, Jésus reviendra à la fin des temps pour les condamner éternellement dans les tourments de l'Enfer. Pour les enfants de Dieu, la mortalité cédera à l’immortalité, « Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15. 54).
Dans cette vie ici-bas, les enfants de Dieu vivent avec beaucoup d’épreuves, de tentations et de difficultés. C’est par la grâce que ceux qui ont mis leur confiance dans le Sauveur Jésus et ont persévéré jusqu’à la fin seront amenés au Ciel dans la gloire de Dieu. Oui, de toute nation, de toute langue et de tous les temps, ceux qui ont gardé la foi seront là. Cette grande multitude innombrable, pardonnée de leur péché, sanctifiée dans le sang de Jésus-Christ, habitera au Ciel
(Apocalypse 7. 9-14). Ces âmes, qui, par la foi en Jésus, ont été rachetées dans cette vie, seront glorifiées au Ciel. Quelle merveille que d’assister aux noces de l’Agneau de Dieu et de son Église ! Ce sera la joie infinie et sans comparaison (Apocalypse 19. 7-9).

Le Ciel — au-delà de toute compréhension humaine :
« Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu » (1 Corinthiens 13. 12).
On ne peut comprendre ni décrire en totalité la gloire et la splendeur du Ciel. Nos esprits humains comprennent ce que nous voyons et ressentons. Bien que nous comprenions que le Ciel est la demeure de Dieu et notre demeure future, Dieu a choisi de ne pas nous révéler tous les aspects de cette demeure éternelle.
Étienne, le premier martyr chrétien, a reçu quelques aperçus du Ciel. Lorsqu’il était lapidé pour sa foi, il « fixa les regards vers le ciel et vit la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu » (Actes 7. 55).
Même s’il y a beaucoup de choses concernant le Ciel qui ne peuvent être expliquées, nous en savons assez pour que nous désirions, avec tous les fidèles à travers les siècles, habiter éternellement la Cité céleste, dans la Nouvelle Jérusalem, que Dieu a préparée. Hébreux 11. 10,
13-16 nous dit que, par la foi, Abraham « attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur... ».

Serons-nous là ?
Nous êtres humains, où irons-nous chacun personnellement lorsque notre vie sur la terre sera terminée ? Irons-nous au Ciel ou en Enfer ? Le Saint-Esprit de Dieu frappe doucement en nous et nous rappelle de nous préparer pour notre demeure future.
Nous devons reconnaître notre besoin de Dieu. Par sa chute au commencement, l’être humain a perdu faveur auprès de Dieu. Nous devons nous repentir de nos péchés et trouver le pardon par le sang de Jésus qui peut restaurer cette relation. Alors, Dieu nous pardonne et nous accepte tels que nous sommes. Nous devenons ainsi des enfants de Dieu par la puissance de la Parole et de l’Esprit (Jean 3. 5, 1. 12). La paix que nous ressentons est un avant-goût du plein repos que nous aurons dans cette demeure éternelle. Chaque âme peut avoir dans son cœur une preuve convaincante qu’une demeure lui est préparée au ciel
(Jean 14. 2-3).

Lire la suite

Bénéficier de l’Amour de Dieu‏

11 Septembre 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Nous est-il arrivé de douter de l’Amour de Dieu à notre égard, aux vues de nos innombrables manquements envers Lui ?
Alors écoutons ces paroles: “Croyons-nous vraiment que quelque chose est capable d’ériger une barrière entre nous et l’Amour de Dieu pour nous. Totalement impossible ! Ni les épreuves, ni les difficultés, ni la haine, ni la faim, ni la solitude, ni les menaces, ni la trahison ne le pourront jamais.” (paraphrase de Romains 8. 35).
Même si nous nous sentons aujourd'hui tout à fait indigne de son Amour, il nous est impossible de ralentir, d’enrayer ou détourner le flot de l’Amour divin envers nous. Rien ne peut changer la manière dont Dieu nous aime. Dieu va continuer à nous aimer, quoique nous fassions ou disions au cours de notre vie; et cela est un fait indéniable qu’il nous faut accepter ! A nous maintenant d'accepter l'Amour de Dieu, de Jésus Christ, et de recevoir le Seigneur Jésus Christ dans notre cœur comme seul Seigneur et Sauveur personnel. N’oublions donc jamais que l’Amour de Dieu peut guérir nos blessures émotionnelles, nous redonner de l’assurance, de la dignité et de la valeur aux yeux de tous, afin que nous apprenions à nous respecter nous-même, et en même temps à nous discipliner chaque jour. Car lorsqu’on aime un objet de grande valeur, on y fait très attention, on veut le protéger et le faire apprécier. Il en est de même pour Dieu. L’Amour de Dieu devrait nous donner la capacité de nous aimer nous-même, avant d’aimer les autres. Le cercle est ainsi achevé. Non seulement Dieu nous a choisi, mais bien plus encore, Il nous aime tendrement, passionnément, pour l’éternité, et sans y attacher aucune condition !
Il n’y a rien qui soit comparable à l'Amour parfait de Dieu envers les êtres humains et Dieu veut que tous les êtres humains soient sauvés. Quiconque accepte l'Amour de Dieu et son don de la Vie Éternelle en Jésus Christ est déjà sauvé et vivra dans le Paradis, dans la Gloire de Dieu. Amen !

Lire la suite
<< < 1 2 3 > >>