Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

Vivons dans la dimension céleste de Jésus-Christ (1)

11 Décembre 2023 Publié dans #Divers

La dimension céleste de Jésus Christ :

Aujourd’hui, nous voulons parler de la dimension céleste de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Sur la terre, Jésus, qui est Saint, était Homme à cent pour cent ; mais aussi Il était Dieu et à cent pour cent relié au Ciel. Tout en étant Homme, en vivant comme un humain, le Ciel transparaissait à travers Jésus-Christ. Quand les gens qui L'entouraient, L’observaient et Le suivaient, ils pouvaient voir se manifester en Jésus les choses d’En-Haut, les choses du Ciel. Ils pouvaient voir Dieu à l'œuvre à travers son Fils Jésus-Christ.

Et nous, enfants de Dieu, sommes appelés à montrer le Ciel aux gens autour de nous, par notre vie. Même si nous continuons à vivre sur la terre comme tous les humains, des traits de notre vie doivent montrer que nous ne sommes pas du monde. Désormais, nous sommes du Ciel. Des traits de notre vie doivent montrer le Ciel. Jésus-Christ vivait dans la dimension céleste, de sorte que ceux qui Le suivaient commençaient à penser au Ciel en L’observant.

Faire la différence par le fruit de l’Esprit

"Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent; car c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n'avoir pas couru en vain ni travaillé en vain" (Philippiens 2 : 12-16).

La dimension céleste a été perdue par beaucoup de ceux qui se disent chrétiens à cause de l’évangile de prospérité, à cause de la religion. Les gens sont tellement pris par l’évangile de prospérité d’un côté, la religion de l’autre. Qu’est-ce que la religion ? C’est satisfaire la terre par sa façon de prier, par sa façon de s’habiller… On veut satisfaire la terre en ayant une grande salle, c’est de la religion ! De l’autre côté, l’évangile de prospérité prêche que l’on doit réussir et être riche ici-bas.

La Parole de Dieu nous dit ceci : "Si vous êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes : Ne prends pas ! ne goûte pas ! ne touche pas ! préceptes qui tous deviennent pernicieux par l'abus, et qui ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes ? Ils ont, à la vérité, une apparence de sagesse, en ce qu'ils indiquent un culte volontaire, de l'humilité, et le mépris du corps, mais ils sont sans aucun mérite et contribuent à la satisfaction de la chair" (Colossiens 2. 20-23).

Beaucoup de chrétiens ont perdu de vue la dimension céleste alors que Jésus-Christ sur terre était constamment dans la dimension céleste. Il était toujours en parfaite communion avec Dieu le Père. Dans la prière que Jésus nous laisse, Il dit : "Notre Père qui est aux cieux" (Matthieu 6. 9). Il y a toujours le lien avec le Ciel. Voilà Jésus-Christ qui a vécu sur la terre sans chercher à s’enrichir. Pourquoi ? Parce que Jésus était relié totalement au Ciel. Pourquoi chercher à s’enrichir si Jésus est déjà immensément riche au Ciel ? Nous aussi avons besoin de vivre la dimension céleste d’un enfant de Dieu, d'un héritier de Dieu et cohéritier de Jésus-Christ.

Brillons comme des flambeaux

L’apôtre Paul nous dit au verset 15 : « Afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde. »

La Parole de Dieu nous demande d’utiliser la puissance de Dieu en nous car : "C’est Lui qui produit en vous le vouloir et le faire" (Philippiens 2. 13)Donc Dieu nous accorde sa puissance pour que nous soyons des flambeaux dans le monde par notre comportement irréprochable et pur, pour que nous brillions. De sorte que celui qui nous observera puisse dire : Il n’est pas tout à fait humain.

Nous devons avoir une dimension céleste. Ce n’est pas démontrer qu’il y a des anges à côté de nous, même si cela est vrai. Mais c’est vivre une vie qu’un homme terrestre ne peut pas vivre. Vivre une vie qui exige l’action du Ciel sur nous de sorte qu’il y ait une différence entre nous enfants de Dieu.et les non-croyants. Une différence comparable à celle qui existe entre la lumière et les ténèbres.

Témoins de Jésus-Christ

Oui, c’est écrit ceci : « Soyez des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie » (Philippiens 2. 15). Nous enfants de Dieu portons la parole de vie et nous brillons par la puissance céleste, par la vie céleste, de sorte que celui qui nous observe finira par conclure que nous ne sommes pas comme lui. Il y a quelque chose en nous qui vient d'En Haut, et, finalement, il va comprendre que cela vient du Ciel.

C’est ce que le Seigneur nous demande quand Il dit : Vous serez mes témoins. Mais témoins de qui ? De Celui qui vient du Ciel. Jésus dit clairement dans Jean 3. 31-32: "Moi je vous parle des choses que j’ai vues au Ciel. Je viens du ciel. Vous parlez des choses que vous avez entendues, moi je parle de ce que j’ai vu". Lorsque nous sommes Ses témoins, nous sommes comme des gens venant du Ciel.

Lorsque le Seigneur Jésus nous a sauvé, c’est comme s’il nous avait transportés un instant au Ciel, puis renvoyés sur terre. Nous venons sur terre avec la semence céleste pour éclairer le monde, et nous devons avoir cette dimension céleste. Nous devons nous dire : Je suis du Ciel, Seigneur aide-moi à manifester le Ciel dans tous les domaines de ma vie ! AMEN !!!

A SUIVRE...

Lire la suite

Ce qui a changé la vie de Déreck Prince‏

10 Décembre 2023 Publié dans #Divers

« Combien il est important d'avoir une relation personnelle et intime avec Dieu ! Parler de Dieu, avoir une pratique religieuse, ne suffit pas. Il faut rencontrer Dieu personnellement.
Une telle expérience d'avoir une relation personnelle et intime avec Dieu, est-elle possible aujourd'hui ? Oui, c'est bien possible car Dérek Prince (1915-2003) l'a vécue ainsi que des milliers de personnes. À l'âge de 24 ans, Dérek Prince était professeur de philosophie au King's College à Cambridge. Appelé dans l'armée britannique pendant la seconde guerre mondiale, il a emporté une Bible dans son paquetage. Il avait l'intention de l'étudier comme on le fait avec un ouvrage de philosophie. En fait, au fur et à mesure que Dérek Prince lisait sa Bible, il a découvert bien plus que ce qu'il attendait. Il a été confronté à la réalité de Jésus Christ. Il a pris soudain conscience que Jésus est vivant et qu'Il l'aimait. Dérek ne peut pas expliquer comment cela s'est passé réellement, mais il peut témoigner que cette rencontre avec Jésus-Christ a transformé pour toujours sa vie. Depuis lors, plus de crainte, mais la paix, même dans les moments les plus difficiles ! Et son désir n'a plus été que de partager, avec tous ceux qu'il a rencontrés, cette richesse éternelle qu'il avait découverte en lisant la Bible.
En Jésus, Déreck Prince a eu ce privilège de "boire" à l'unique source de la Vie Éternelle à côté de laquelle toutes les autres lui paraissent fades et vanité. Même plus de cinquante ans après, il avait toujours dans son âme cette même soif de Dieu. Dieu seul peut l'étancher. Et ce fut pour Dérek Prince un immense bonheur, quand il lisait la Bible, d'y découvrir Jésus, son Sauveur, et ainsi d'apprendre à toujours mieux le connaître et l'aimer ».

Lire la suite

Un chrétien peut-il perdre son Salut ?

9 Décembre 2023 Publié dans #Divers

Il est de coutume en Israël, avant de répondre à une question posée, d'en poser une autre. On trouve cela dans les Évangiles : au sujet du baptême de Jean-Baptiste (Matthieu 21. 23-27) ou au sujet de l'impôt à César (Matthieu 22. 15-22) par exemple.

Ainsi, Il est donc nécessaire d’en poser une autre : Qu'est-ce qu'un véritable chrétien ?
C'est un être humain qui est né de nouveau (ou : d'en haut). Cette nouvelle naissance s'est produite parce que cet être humain s'est repenti de ses péchés, a cru en Jésus crucifié et ressuscité, et s'est converti (ou : s'est tourné vers Dieu). Il est donc passé de la mort à la vie et a été transféré dans le Royaume du Fils bien-aimé de Dieu. Le Saint-Esprit rend témoignage à son esprit qu'il est enfant de Dieu.

Il n'est pas question ici de religion, d’appartenance à une église, à un mouvement, ou à une dénomination. C'est une affaire entre Dieu et l'être humain sauvé ;  c'est une question de relation avec Dieu par Jésus-Christ le Sauveur.
Cet être humain, selon les critères exposés ci-dessus, est désormais revêtue du vêtement de justice, sa vie est cachée avec Christ en Dieu. Il est au bénéfice du sang de Jésus et de sa fidèle intercession dans le sanctuaire céleste. Il marche en nouveauté de vie et porte des fruits.
Il est (globalement) fidèle. S'il lui arrive de pécher, elle fait appel à Jésus, son divin Avocat, pour recevoir pardon, relèvement, restauration...

Posons donc la question de la manière suivante : CETTE  PERSONNE-LÀ  peut-elle perdre son salut. ?

Laissons parler les Écritures. Jésus a dit (au sujet de ses brebis) : "Je leur donne la vie éternelle ; elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père" (Jean 10. 28-29).
"Il n'y a donc plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus" (Romains 8. 1a). Rien ne pourra nous séparer de l'Amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ (Romains 8. 38). Les promesses de Dieu sont certaines ; et la promesse qu'il nous a faite c'est la vie éternelle.
Bien entendu, il y a la notion de persévérance : j'ai gardé la foi, dit Paul. Dieu ne nous sauve pas indépendamment de notre foi, mais par son moyen.

Les deux textes de l'épître aux Hébreux 6. 4-6 et 10. 26-29 sont à replacer dans leur contexte : ces paroles s'adressaient à l'origine à des Hébreux qui revenaient aux sacrifices du temple et ainsi foulaient aux pieds le sang de Jésus.

2 Pierre 2. 20-22 est aussi a replacer dans son contexte : il est question des faux-prophètes et des faux docteurs, et de ceux qui les ont suivis. Les chrétiens qui sont tombés peuvent revenir à Dieu, toujours prêt à pardonner.

Si une personne ne remplit pas les critères qui caractérisent un véritable chrétien, la question n'est même pas de savoir si elle peut perdre son salut car elle n'a probablement jamais été sauvée : on ne peut perdre ce qu'on ne possède pas.
Dans nos églises évangéliques il y a des chrétiens de nom, ayant l''apparence de la piété et de véritables enfants de Dieu : l'ivraie dans le bon grain (voir
1 Jean 2. 19).
Ce n'est pas le baptême d'eau en lui-même qui sauve, c'est le baptême de la régénération  (ou. nouvelle naissance). Le Seigneur Jésus connaît ceux qui Lui appartiennent !

Lire la suite

Sans Jésus-Christ …. Où serions-nous ?

8 Décembre 2023 Publié dans #Divers

LIRE JEAN 9

La vraie question :

L'homme qui était aveugle dit : « Je sais une chose : J’étais aveugle » (Jean 9. 25). Sans Jésus, il serait resté aveugle toute sa vie. Il l’était depuis sa naissance. Pensez à sa souffrance. Il devait se dire : Sans Jésus, ma vie aurait continué dans les galères, dans la misère. Aveugle de naissance, il était condamné à mendier toute sa vie. Sans le Seigneur Jésus, c’en était fini pour lui. S’il n’avait pas accepté l'intervention de Jésus, sa vie n’aurait pas changé.

Que chacun regarde en lui-même pour se poser la question : « Sans Jésus, où serais-je ? ». L’aveugle-né serait où ? Il en est tellement conscient qu’il prend la défense du Nom de Jésus. Les gens qui ne défendent pas le Nom du Fils de Dieu, ne se sont pas posé cette question.

Enfants de Dieu, si nous réalisons où nous serions sans Jésus notre Sauveur, cela change tout. Car sans Jésus, l’être humain n’est rien. Dites moi : Où serions-nous ?

Nous voyons la transformation de cet homme qui était aveugle. Imaginons ce que représente la cécité : celui qui en est atteint ne voit pas, souvent il mendie, on doit lui amener toujours de la nourriture, faire les choses pour lui. Il dépend entièrement des autres. Certains, se trouvent dans des difficultés semblables. C’était aussi notre cas lorsque nous ne connaissions pas le Seigneur Jésus.

Lire le Psaume 124 qui nous parle du fait que sans Dieu ce serait fini pour nous.

Notre situation :

Ce psaume nous dit que Dieu a préparé notre Salut, notre rencontre avec Lui. Sans Dieu, nous serions détruits depuis longtemps à cause des forces des ténèbres, des nombreux démons qui nous entourent et ne cherchent qu’à nous détruire.

Nous en voyons des exemples autour de nous : Certains habités par la colère risquent de tuer ou de se faire tuer. D’autres sont possédés par la drogue, deviennent des "serpillères" vivantes. Sans Dieu nous vivrions ces choses. Non seulement le Seigneur Jésus nous a préservés de cela, mais Il a aussi préparé le jour de notre rencontre avec Lui.

La question est donc : Quand Dieu intervient dans ta vie, L'abandonnes-tu par la suite ? Te rends-tu compte de ce que tu es réellement devenu ? Sans Dieu, que serais-tu aujourd’hui ? Que chacun examine sa situation.

Dieu est maître des circonstances :

Dieu connaissait cet aveugle. On demande à Jésus si son état est la conséquence de ses péchés ou des péchés de ses parents. Jésus répond : Ni l’un, ni l’autre ! C’est afin que la gloire de Dieu se manifeste dans sa vie !

Cela signifie que chacun d’entre nous sur terre est dans le plan de Dieu. Le Seigneur Dieu a laissé faire le passé difficile, car Il voulait un jour intervenir et que chacun de nous reconnaisse que c'est Dieu qui intervient. C’est la raison pour laquelle Dieu a laissé faire les choses, pour que nous comprenions que, dès le départ, Il maîtrise les circonstances. Il nous garde jusqu’à ce qu’Il nous rencontre.

C’est pourquoi, personne d'entre nous ne doit Le négliger, car sans Dieu, nous risquerons de finir très mal. Nous ressemblions tous à cet aveugle, nous vivions selon notre logique, selon le monde. Notre souffrance était réelle, mais engourdie et calmée par les plaisirs du monde qui nous donnaient une fausse joie de courte durée. Nous n’étions pas bien au fond de nous. Mais Dieu a laissé faire afin que nous réalisions notre malheur et que nous venions à Lui.

Dieu nous cherche :

Cet aveugle a-t-il cherché Jésus ? Non ! C’est le Seigneur Jésus qui est venu à lui. C’est la preuve que Dieu nous cherche et va nous trouver. Le problème est de se saisir de Lui quand Il nous trouve. Sans Jésus, notre vie est perdue ! Réalisons cela en utilisant l’exemple de cet aveugle. Imaginons que cet homme n’ait pas rencontré Jésus, qui allait lui rendre la vue ? Lui-même dit aux gens qui l'interrogeait : Avez-vous déjà vu quelqu’un rendre la vue à un aveugle-né ? Si cet homme le fait c’est qu’Il vient de Dieu ! Je viens de rencontrer Dieu.

La rencontre :

Dans Jean 9. 35-39, cet homme n’a pas seulement recouvré la vue, il a aussi rencontré le Fils Dieu pour une transformation totale et définitive de sa vie. Qu’était sa vie sans Jésus ? Jésus l’a cherché, l’a rencontré. Et toi, où en es-tu ?
C’est la même chose pour nous tous. Jésus dit dans Jean 15. 16 : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis ». Dieu Lui-même organise sa rencontre avec nous. Depuis avant notre naissance, Dieu nous connaissait et a préparé le moyen de nous rencontrer. Il a voulu que nous vivions un temps sans Lui afin de nous faire comprendre ce qu’est la vie sans Dieu, sans Jésus. Et afin que nous sachions, le jour de la rencontre, que sans cela nous irions tout droit en Enfer, vers le suicide spirituel, vers la mort éternelle. Maintenant Il nous sauve et nous donne une nouvelle vie. Saisissons-la et disons-nous : En Jésus, nous sommes en sécurité, nous avons retrouvé notre Père, notre Créateur !

Lire la suite

Le parfait Salut ne se trouve qu'en Jésus seul

7 Décembre 2023 Publié dans #Salut

Le bonheur ne se trouve pas uniquement dans le succès, qu'il soit financier, professionnel, familial, ou autre. Nous savons combien tout cela est fragile et souvent éphémère. La réussite, aussi bonne qu'elle soit, n'est pas ce qui procure le vrai bonheur. Le véritable bonheur a une dimension spirituelle, il se trouve dans le repos de l'âme et la délivrance de la culpabilité.
Chaque être humain a de la valeur aux yeux de Dieu. Dites-vous que vous représentez quelque chose d'important pour le Seigneur Jésus. Dieu vous a
tant aimé qu'Il a donné pour vous son Fils unique afin que si vous croyiez en Lui, que vous ne sombriez pas dans la détresse, mais que vous connaissiez la vraie vie (Voir dans Jean 3. 16).
Jésus vous appelle à sortir du ghetto de votre souffrance afin de marcher sur un chemin nouveau. Alors, pourquoi hésiter encore ? Venez à Lui dès
aujourd'hui. "...Venez car tout est déjà prêt..."!

La Bible nous révèle un Dieu prévoyant. Le Dieu de la Bible n'est jamais pris au dépourvu quand il s'agit de bénir les êtres humains, de leur faire du bien, de les sauver, de les secourir ou de les guérir ! Tout est déjà prêt ! Le salut, le pardon, la grâce, la foi sont dans l’Évangile, personne ne pourra dire : "J'étais prêt, mais Dieu non ! Par contre, Dieu nous dira certainement "Tout était prêt, alors vous n'avez aucune excuse si vous n'êtes pas sauvés". Alors, ne courons pas ce risque, puisque tout est déjà prêt, recevons le parfait salut que Dieu offre gratuitement !

La Bible nous révèle un Dieu généreux, qui donne avec largesse, qui ne compte pas quand Il donne. N'est-Il pas le Dieu "riche en bonté..." ? Quand Dieu s'occupe de nous, il y a sûrement plus que moins. Dieu est : "...Celui qui fait infiniment au-delà de ce que nous demandons ou même pensons..." (Éphésiens 3. 20). Dieu pourrait se contenter de nous donner ce qui est bien, mais Il nous offre ce qui est mieux, ce qui est meilleur pour nous ! Nourrissons-nous des grâces "ordinaires" et de la grâce "supérieure" ! Que personne ne se prive de la Grâce de Dieu !

A la Croix, Jésus s'écria : "Tout est accompli" (Jean 19. 30).
Plus rien d'autre ne pourra jamais combler le cœur de Dieu ni la vie d'un être humain. Tout est déjà là, tout est déjà fait ! Que nous ayons besoin de salut, de paix, de guérison, de changement, de délivrance ou encore de renouveau, tout est dans l’œuvre parfaite de Jésus à la Croix ! En comprenant cela et en réalisant toute
l'idée de plénitude que renferme ces mots "Tout est accompli", plus jamais nous n'oserions nous plaindre du Seigneur Dieu ! Jésus a tout accompli ! Que le Saint-Esprit de Dieu nous conduise à y plonger et à y nager !
Oui, "...Nous avons tout pleinement en Jésus..." (Colossiens 2. 10).

Jésus est le seul et unique Sauveur du monde :
Aucune religion ne sauve, pas même la religion chrétienne pour ceux qui considère le christianisme comme une religion alors qu'il est une relation vivante et personnelle avec Dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu qui sauve, c'est celui qui a créé le ciel et la terre. La Bible révèle ce seul Dieu unique. Seul Dieu, par sa Parole, la Bible, peut nous dire en toute vérité ce qui peut nous sauver et comment.
S’il avait existé une religion capable de nous sauver de la perdition éternelle, Dieu nous aurait recommandé d’en suivre les préceptes. Mais dans ce cas, la mort de Jésus sur la croix n’aurait pas été nécessaire. Si le Fils de Dieu est mort en sacrifice à
Golgotha, c’est que ce moyen était absolument indispensable pour notre salut. La croix nous déclare donc clairement qu’il n’y avait pas d'autres moyens aux yeux du Dieu Saint pour expier les péchés des êtres humains. La mort de Jésus sur la croix marque le Jugement de Dieu sur le péché : la seule façon d’être sauvé consiste donc à se tourner vers Jésus et à Lui abandonner notre vie.
Dans toutes les religions du monde, l’être humain doit obtenir son salut par ses propres efforts. En revanche, selon l’Évangile, Dieu a déjà tout accompli en son propre Fils Jésus pour notre Salut, et l'être humain n’a plus qu’à
recevoir le salut par la foi. C’est ce que déclare explicitement la Bible : « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4. 12). En dehors de Jésus, il n’existe aucune réconciliation entre le seul Dieu trois fois Saint et les êtres humains pécheurs.

Seule une relation vivante et personnelle avec le seul vrai Dieu de l'Univers nous sauve de l'Enfer éternel. Toutes les religions sont des mirages trompeurs dans le désert de l’humanité perdue. Or, jamais le mirage d’une oasis n’a étanché la soif d’un voyageur égaré dans l’étendue désertique. Même la tolérance envers tous les systèmes religieux imaginés par les êtres humains conduit à la mort. La Bible dit : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort » (Proverbes 14. 12). L’être humain a besoin d’une eau fraîche. La Bible désigne sans l’ombre d’un doute Jésus comme la véritable oasis, comme l’unique source du salut éternel.
Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14. 6).
L’apôtre Paul écrit : « Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ » (1 Corinthiens 3. 11).
L’apôtre Jean dit : « Celui qui a le Fils [Jésus] a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie » (1 Jean 5. 12).

Lire la suite

Jésus-Christ nous pardonne et nous secourt

6 Décembre 2023 Publié dans #Pardon des péchés

LIRE Jean 8. 3-11

– Le piège tendu à Jésus

Ici, une femme est accusée d’adultère.
Les pharisiens devaient penser de Jésus : "Nous connaissons bien ton attachement à la Parole de Dieu" (En parlant du
verset 6, la version anglaise parle de piège.) D’un côté, ils savent que Jésus est attaché à la loi, de l’autre qu’Il est Amour. Si Jésus dit qu’il faut pardonner, Il contrevient à la loi de Moïse. Pour eux, Jésus n’est pas plus que Moïse. Le piège est ainsi tendu !

Ils s’adressent donc à Jésus : Toi, que dis-Tu ? Jésus dessine dans le sable. La loi à laquelle les pharisiens sont attachés doit s’appliquer. Tout le monde est d’accord ! Le problème est que celui qui applique la loi doit être sans reproche.

En communication, il y a le langage verbal et le langage non verbal. Il y a ce que l’on dit et ce que l’on ne dit pas, mais que l’on entend. On peut dire certaines choses, mais derrière cela, on pense à autre chose. Les gens avertis comprennent ce que tu dis. Là Jésus dit : « Que celui qui n’a jamais péché commence... En quelque sorte, c’est comme si Jésus disait : Vous êtes tous coupables. Si vous punissez cette femme, Dieu vous punira aussi. Et là, « accusés par leur conscience », ils se retirèrent. Jésus demanda à la femme : « Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? ». Personne ne t'a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Puis lui répond : « Je ne te condamne pas non plus ; va, et ne pèche plus ».

– Le pardon de Jésus

Ainsi est Jésus. Il est venu porter les péchés des êtres humains. « Car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur » (1 Jean 3. 20) et Il connaît toutes choses. Combien notre cœur nous condamne, chaque jour ! Et nous accuse, nous reproche beaucoup de choses : "tu fais cela devant les gens et toi-même hier tu as menti. Tu fais le gentil devant les gens mais tu es hypocrite !"

On peut tromper les humains, mais qui va tromper son cœur ? Quand nous parlons du cœur, nous évoquons la conscience. Qui va tromper notre conscience. Mais ce texte nous dit que même si notre cœur nous condamne, Dieu s’autorise à nous pardonner.

Parfois nous faisons des choses et on se dit : Seigneur Jésus, je suis vraiment mauvais. On se culpabilise. Le Seigneur nous dit : Si tu penses être mauvais, Moi, Je te pardonne.

Un jour, on amène à Jésus un homme alité. Et Jésus lui dit : Tes péchés sont pardonnés. Les témoins se disaient : Pour qui se prend-Il pour pardonner les péchés ? Mais le Seigneur Jésus a lu dans leurs pensées. Pour que les gens voient qu’Il a non seulement le pouvoir de pardonner les péchés, mais aussi de guérir, Il dit au paralytique : Lève-toi, prends ton lit et rentre chez toi ! (Voir Luc 5. 17-26).

– Demandons le secours du Seigneur

Lecteurs/trices, qui est Jésus pour vous ? C’est Celui qui pardonne. Vous êtes peut-être chrétien, mais vous vivez avec le cœur serré, avec une pointe d’amertume. Le Seigneur te pose la question : Est-ce que ta vie correspond à ce que Je suis ? Et l’état dans lequel tu es ? Si c’est oui, gloire à Dieu. Si c’est non, dis au Seigneur : J’ai essayé, je n’y arrive pas, viens m’aider ! Relisons ceci : « Jésus demeure la solution. »

Ne nous arrêtons pas en disant : J’ai essayé, je n’y arrive pas, c’est la même chose à chaque fois ! Un jour, les disciples ont essayé toute la nuit et n’ont rien pris. Quand le Seigneur est intervenu, les choses ont changé. Tu penses connaître Jésus, tu penses tout maîtriser. Nous devons contempler Jésus chaque jour pour apprendre de Lui. Il est venu sauver les humains, régler la question du péché.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle" (Jean 3. 16).

– La solitude :

Jésus nous donne la vie, et donne un sens à notre vie. Non seulement cela, mais Il est là pour nous soutenir : Tu n’y arrives pas, Il va t’aider. Dans Jean 5, à la piscine de Béthesda, Le Seigneur Jésus voit un paralytique et lui dit : Veux-tu être guéri ? L’homme répond : Je suis là depuis 38 ans. Jésus réitère sa question : Veux-tu être guéri ? Oui mais il faut attendre que l’ange vienne, qu’il fasse bouger l’eau, puis il faut entrer dans l’eau, cela fait beaucoup de conditions pour cet homme. Jésus le regarde et lui dit : « Lève-toi, prends ton lit et marche ». Cette histoire nous montre la solitude de ce paralytique. Lorsque l’eau était secouée, personne ne se présentait pour l’aider car il était là depuis 38 ans.

Nous avons beaucoup de technologie autour de nous, mais, en réalité l’être humain est seul. Qui va t’aider face à tes problèmes ? Chacun a les siens.

– Pour une seule personne

Bien-aimés, Jésus est Celui qui entend, voit nos souffrances, et vient à nous. N’est-ce pas merveilleux ? La conséquence est que nous devons décider de vivre pour Lui désormais. C’est l’enseignement de ce matin. Une fois toutes les caractéristiques de Jésus connues, pourquoi traîner des pieds pour servir le Seigneur ?

Certains arrivent à dix heures moins une pour le culte de dix heures. Tu me diras : Il n’a pas péché. La question n’est pas là. Moralement ce n’est pas une faute. Il s’agit d’autre chose, c’est une question d’amour pour le Seigneur Jésus. Quand quelqu’un aime Jésus, il ne doit pas être en retard en allant à sa rencontre, il ne perd pas une minute.

Qui suis-je pour vous personnellement ? nous demande le Seigneur. Certains viennent parce que c’est dimanche, d’autres parce qu’ils se disent qu’on va leur envoyer un texto pour leur demander ce qui se passe. Si tu fais les choses pour cela, reste chez toi. Et nous allons prier que Jésus se révèle à toi.

Bien-aimés, Jésus, pour une seule personne fait le déplacement. Nous ne sommes pas dans une logique comptable en calculant ce qu’on y gagne ! Pour une seule âme, Jésus se déplace. Une âme sauvée donne de la joie au Père. Réalisons qui est le Seigneur !

– Jésus est notre assurance

Combien de temps passons-nous sur nos smartphones ? Et combien de temps passons-nous avec notre Seigneur ?

Répondez à la question : Qui est le Seigneur Jésus pour vous ? Est-ce que tout ce que tu vois autour de toi te ramène au Seigneur. Exprimez-vous ceci au Seigneur ? : Seigneur, puisque tu demeures la solution, je te prie pour les situations que je rencontre ! Seigneur, regarde mon pays telle qu’il est, regarde le monde tel qu’il est !

Lire la suite

Le péché

5 Décembre 2023 Publié dans #Divers

Adam et Ève ont été chassés du jardin d’Éden à cause de leur désobéissance. Désormais, c’est à force de peine qu’ils pourront subsister. Leur situation est de loin pire que ce qu’ils avaient espéré, mais il est trop tard pour revenir en arrière.
Le bonheur qu’ils jouissant dans la sécurité du jardin est fortement présent à leur esprit, ils ne peuvent oublier ces moments agréables qu’ils passaient dans la présence de Dieu, lorsque celui-ci venait à leur rencontre vers le soir. Mais, ils ont tout gâchés à cause d’une grossière désobéissance, à propos de l’arbre défendu.
Dieu n’a-t-il pas été trop dur avec eux ? Ne les a-t-il pas puni trop sévèrement ?

Au-delà du simple fait d’avoir mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Adam et Eve ont carrément remis en question l’autorité de la Parole de Dieu qui était suffisamment clair : "Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 3. 16-17). La désobéissance à la Parole de Dieu, que la Bible appelle le péché, entraîne des conséquences qui peuvent être immédiates ou différés.

Aujourd’hui, le péché est un terme qui disparaît peu à peu de notre vocabulaire pour être remplacé par d’autres mots tels que faute, erreur, ou encore écart de conduite. L’emploi de ces termes finit par atténuer le sens premier du péché qui est la transgression de la loi de Dieu. Derrière le simple fait de commettre un péché, il y a une volonté de l’être humain de se rebeller contre Dieu et contre son autorité. Nous nous arrêtons à un acte isolé que nous pouvons qualifier d’anodin, mais Dieu regarde au cœur et Il condamne le mépris que nous témoignons à l’égard de sa Parole.

Parler du péché, ce n’est pas seulement parler de fautes morales dans la société, mais du péché qui est une insulte à la Sainteté de Dieu. Le péché offense Dieu au plus haut point au point que la Bible emploie le mot "abomination" pour désigner le péché. "Si le juste se détourne de sa justice et commet l'iniquité, s'il imite toutes les abominations du méchant, vivra-t-il ? Toute sa justice sera oubliée, parce qu'il s'est livré à l'iniquité et au péché; à cause de cela, il mourra." (Ézéchiel 18. 24).
Avec notre mentalité réprouvée, nous excusons le péché tout comme le monde le tolère et l’encourage même, en le minimisant, et en nous trouvant de circonstances atténuantes. Mais du point de vu de Dieu, l'être humain est entièrement responsable de son péché.

La question du péché concerne tous les êtres humains car "tous ont péchés et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3. 23). Le péché est universel, personne ne peut se vanter de ne pas en commettre, l’humanité toute entière est sous la condamnation à cause du péché.

Au-delà des conséquences immédiates qui peuvent être la honte, la tristesse, la culpabilité ou la prison, le péché entraîne également des conséquences irrémédiables qui, à long terme, ferment tout accès à la Vie Éternelle pour celui qui refuse de se repentir. Nous ne pouvons pas négliger de telles graves conséquences du péché. Le diable essaie de persuader l’être humain d’une part que son péché n’est pas si grave, et d’autre part, il le convainc que Dieu n’est pas si méchant pour le condamner.

La solution au problème du péché, c’est le pardon de Dieu. Dieu notre Créateur est disposé à nous pardonner sur la base du sang de Jésus. En effet, Jésus est venu mourir en sacrifice pour payer notre dette. Il a pris sur Lui la condamnation que nous méritions à cause de nos péchés.

Éphésiens 1. 7 nous dit : “En Lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de Sa grâce”. On ne peut pas acheter le pardon de Dieu, mais c’est seulement par la foi en Jésus-Christ qu’on peut le recevoir.

Lire la suite

Jésus-Christ, Médiateur de l’alliance, exerce ce rôle

4 Décembre 2023 Publié dans #Divers

Jésus-Christ fut établi Médiateur du peuple de Dieu avant la fondation du monde par l’alliance éternelle de rédemption ; Il a exécuté sa médiation dans l’histoire par la rédemption et Il poursuit son œuvre en assurant le salut de son peuple. (Voir 1 Pierre 1.18-21).

La relation entre Dieu le Créateur et la créature a toujours eu lieu dans le cadre de différentes alliances qui déterminèrent les termes de cette relation : ce qui est exigé de l’être humain et ce qui est promis par Dieu. La première alliance des œuvres fut transgressée par l'être humain, rendant ainsi nécessaire une nouvelle alliance de grâce pour éviter la malédiction de la première alliance. Cette alliance de grâce a son fondement, sa révélation et ses promesses. La médiation du Christ est l’unique médiation qui rend possible l’alliance de grâce.

Il a plu à Dieu, dans son dessein éternel, de choisir et d’établir le Seigneur Jésus, son Fils unique, selon les termes de l’alliance faite entre eux deux, comme Médiateur entre Dieu et l’être humain, Prophète, Prêtre et Roi, Chef et Sauveur de son Église, Héritier de toutes choses, Juge du monde. Dieu le Père Lui a donné de toute éternité un peuple qui soit sa postérité, et qu’Il rachètera en temps voulu, l’appelant, le justifiant, le sanctifiant, et le glorifiant.

La médiation de l’alliance de grâce nous est présentée sous le triple motif de l’alliance de rédemption, de l'histoire de la Rédemption et de l'ordre du Salut. Ces expressions réfèrent au salut sous trois angles : son décret dans l'alliance éternelle de rédemption, son accomplissement dans l’histoire et son application individuelles aux personnes rachetées. Voyons comment l’Écriture révèle la médiation du Seigneur Jésus à chacune de ces étapes.

L’alliance de rédemption sur lequel se fonde tout le salut, n’a d’autre cause que le bon plaisir de Dieu. L’apôtre Paul attribue la prédestination dont Dieu est l’auteur au « bon plaisir de sa volonté » (Éphésiens 1. 5). Ce n’est donc pas une nécessité en Dieu ou de Dieu envers l’être humain qui est la cause du Salut, mais c’est l’unique bonté de la volonté de Dieu. Voilà pourquoi « Il a plu à Dieu, dans son dessein éternel selon les termes de l’alliance faite entre eux deux ». Ce dessein éternel de rédemption qui était en Dieu fut formé entre le Père et le Fils.

L’Écriture appelle le Médiateur de l’alliance « un agneau sans défaut et sans tache, prédestiné avant la fondation du monde, et manifesté à la fin des temps » (1 Pierre 1.19-20). Avant d’être manifesté dans le monde, le Médiateur fut prédestiné ; autrement dit, l’œuvre du Christ dans l’histoire fut déterminée dans l’éternité. Le Fils éternel de Dieu n’est pas devenu Médiateur entre Dieu et l’être humain en réponse à un accident de parcours qui n’était pas au programme, mais pour accomplir la volonté éternelle de Dieu. C’est pour cette raison que la Bible parle de notre élection en Jésus-Christ avant la fondation du monde (Éphésiens 1. 3-5 ; 2 Timothée 1. 9). Nous n’avons pas été élus en nous-mêmes, mais en Jésus-Christ ; sa médiation remonte aux temps éternels. Les croyants sont le peuple que Dieu le Père a donné au Fils avant que le monde fut (Jean 6. 37, 6. 65, 10. 29, 17. 11, 24), cependant il devait racheter ce peuple pour qu’il puisse lui appartenir (Ésaïe 53. 10-12).

L’histoire de la rédemption est fondée sur le pacte du Salut. Jésus, Celui qui a été « prédestiné avant la fondation du monde » a aussi été « manifesté à la fin des temps ». C’est au cours de l’histoire que la médiation du Christ a pris une forme concrète lorsqu’en s’incarnant, Il est devenu « Prophète (Actes 3. 22), Prêtre (Hébreux 5. 5-6) et Roi (Psaume 2. 6 ; Luc 1. 33), Chef et Sauveur de son Église (Éphésiens 1. 22-23), Héritier de toutes choses (Hébreux 1. 2), Juge du monde (Actes 17. 31) ».

Rappelons également que l’histoire de la rédemption doit être envisagée en deux temps. Dans un premier temps, cette histoire débute dès Genèse 3, lorsque le Médiateur commença à être révélé. Elle se poursuit tout au long de l’Ancien Testament en Le révélant de plus en plus au travers des ombres et des promesses qui y furent faites. Dans un deuxième temps, l’histoire de la rédemption commence véritablement lorsqu’à la fin des temps le Médiateur fut manifesté en chair dans le monde (1 Timothée 3. 16 ; 1 Pierre 1. 20). C’est alors que l’histoire de la rédemption passa de la typologie à l’eschatologie, de l’ombre à la réalité, de la promesse à l’accomplissement, de l’attente à l’arrivée. L’histoire du Salut s’acheva lorsque le Médiateur s’écria « Tout est accompli » (Jean 19. 30), expira et ressuscita glorieux trois jours plus tard.

Bien que l’histoire de la rédemption ne soit rien de moins que la pleine historicité des événements de la Bible, rappelons-nous que l’histoire du Christ n’est pas simplement historique, mais elle est l’Histoire finale de l’être humain : la seule Histoire dans laquelle la rédemption fut accomplie, la seule Histoire qui compte devant Dieu (Actes 4. 12). Ainsi, ce qui importe n’est pas de « réussir » notre propre histoire, mais d’unir notre histoire à l’Histoire par laquelle la rédemption fut définitivement accomplie. Voici comment une telle chose est possible par l’ordre du Salut.

L’ordre du salut est l’ordre par lequel le Médiateur applique son œuvre de rédemption à ceux qu’Il a rachetés. La confession présente l’ordre du Salut comme étant fondé à la foi sur l'alliance et l’histoire du salut : « Dieu le Père Lui a donné de toute éternité un peuple qui soit sa postérité [pacte du salut], et qu’Il rachètera en temps voulu [histoire du salut], l’appelant, le justifiant, le sanctifiant, et le glorifiant [ordre du salut] ».

Cette compréhension reflète clairement l’enseignement biblique : "Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils [pacte du salut], afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères [histoire du salut]. Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés [ordre du salut]" (Romains 8. 29-30).

La prédestination a engendré la rédemption, mais il est nécessaire que le salut soit appliqué individuellement à ceux que le Christ a rachetés. L’application du salut se fait en vertu de la médiation du Christ qui appelle ceux que le Père Lui a donnés (Jean 10. 27). Il justifie ceux qui ont la foi en Lui (Ésaïe 53. 11). Il sanctifie ceux à qui Il s’unit (Éphésiens 5. 26-27). Finalement Jésus-Christ glorifiera ceux qui Lui appartiennent en les rendant semblables à Lui (Philippiens 3. 21). Cet ordre du salut résume entièrement comment Christ opère sa médiation en notre faveur. Il nous rappelle que notre salut est entièrement l’œuvre du Médiateur même si nous y participons (Éphésiens 2.10 ; Philipiens 2.12-13).

Lire la suite

Ce qui sauve les êtres humains

3 Décembre 2023 Publié dans #Salut

Quelle action les hébreux ont-ils dû accomplir pour être sauvés ? Simplement asperger le pourtour de leur porte du sang de l'agneau.

"Celui même qui n'a pas épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ?" (Romains 8. 32).

Quelle action les chrétiens ont-ils dû accomplir pour être sauvés ? simplement laver leur robe dans le sang de l'Agneau (Apocalypse 7. 14).

Devant le Trône de la Grâce, le sang de Christ est notre garantie, et Jésus intercède pour nous à la droite du Père.
Tout est accompli (Jean 19. 30), nous n'avons rien à faire, sinon nous ouvrir à Christ, et recevoir Son Esprit Saint.
Christ est la tête, nous sommes les membres : l'ensemble dans son entier est agréé par Dieu.

Le nouveau converti est tout autant sauvé, a tout autant accès à la plénitude que l'ancien.
Nous sommes tout autant sauvés entièrement aujourd'hui qu'à notre conversion, et dans 10 ans qu'aujourd'hui.
Tous les sauvés sont sauvés entièrement.
La différence extérieure de "bénédiction" provient de ce que certains s'ouvrent plus que d'autres à cette plénitude - mais elle est la même pour tous.

Acceptons d'être libérés par Christ de ce qui, en nous, remplace notre union avec Lui : nous allons passer l'éternité avec Lui, éliminons dès maintenant tout ce qui fait de l'ombre à notre union avec Lui !
Christ saura nous dire que faire : Il répondra à nos questions, non pas en apportant une réponse à la question elle-même, mais en mettant en évidence la cause profonde de ce qui nous pousse à poser la question, et ainsi Il nous libérera de nos chaînes.

Dieu pourvoit à tous nos besoins (Philippiens 4. 19)

Jésus a été, et est encore méprisé : c'est pourquoi Il peut s'occuper de nos besoins, car Il se met au niveau du plus petit.
Il fait cela par Amour du Père et par Amour de nous : Il est le Soleil de Justice ! et au-dessus des nuages le Soleil est toujours là!
Dieu est plus grand que nos problèmes : "en louant, je crierai au Seigneur, et je serai délivré de mes ennemis!" (Psaumes 18. 3).

Fais de l'Eternel tes délices, et Il te donnera ce que ton cœur désire ! (Psaumes 37. 4).

Lire la suite

L'Amour selon Dieu

2 Décembre 2023 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

« L'amour est fort comme la mort... Beaucoup d'eaux ne peuvent éteindre l'amour et des fleuves ne le submergent pas » (Cantique des cantiques 8. 6, 7). « Dieu est amour » (1 Jean 4. 8)

La mort arrache l'être humain à ses affections et à toutes les attaches qu'il peut avoir dans le monde. Mais l'Amour de Dieu arrache l'être humain à sa misère et à la mort même. Rien ne peut résister à la mort quand elle vient ; il n'y a ni remède, ni science, ni richesse qui soit capable de l'empêcher. De même, rien n'a pu résister à l'Amour de Dieu, pas même l'obstacle insurmontable que nos péchés élevaient entre nous et Dieu. C'est l'Amour qui a poussé Dieu à donner son Fils unique Jésus-Christ pour sauver des pécheurs et en faire d'eux ses propres enfants. C'est l'Amour qui a poussé Jésus Christ à venir volontairement dans le monde à notre rencontre, à être cloué sur une croix où il est mort dans de terribles souffrances pour expier nos péchés jusqu'au bout. C'est encore l'Amour qui fait que Dieu nous supporte inlassablement. Oui, véritablement, l'amour est fort comme la mort (Cantiques des cantiques 8. 6).
Faisons confiance à Dieu qui nous aime tant. Si nous acceptons son Amour, qui nous offre le pardon parfait de tous nos péchés en Jésus Christ, nous réaliserons comme Paul que rien « ne pourra nous séparer de l'Amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus » (Romains 8. 39). Non, vraiment rien, jamais. Cet Amour de Dieu pour nous subsiste au milieu de n'importe quelle tempête dans la vie, et Dieu nous aide à la traverser. Nous sommes tellement aimés de Dieu que nous pouvons aussi, en retour, l'aimer Lui-même et, avec la force que Dieu nous donne, aimer aussi tous ceux que nous rencontrons, leur montrant ainsi ce que Dieu a mis dans notre cœur.

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 > >>