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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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Jésus-Christ le Sauveur

7 Janvier 2023 Publié dans #Salut

« Le Père a envoyé le Fils, Sauveur du monde » (1 Jean 4. 14). Le nom même de Jésus en est la révélation : l’Éternel Sauveur.
L'ange a annoncé aux bergers : « Un Sauveur vous est né ». Les Samaritains de Sichar en ont rendu témoignage : « Nous-mêmes nous l'avons entendu et nous connaissons que celui-ci est véritablement le Sauveur du monde » (Jean 4. 42).
Et 2 Timothée 1. 10 en affirme toute la réalité : « Notre Sauveur Jésus-Christ a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l’Évangile ».

Le salut

« Le fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19. 10). Il faut s'être vu perdu pour apprécier le fait d'être sauvé.
Être vraiment placé un jour, ou plusieurs jours, devant la Sainteté de Dieu qui ne peut voir le mal ; accepter qu'ayant offensé ce Dieu Saint tant de fois, on est condamné à la perdition ; saisir alors que nous sommes « sauvés par la grâce, moyennant la foi, et cela ne vient pas de nous, c'est le don de Dieu » (Éphésiens 2. 8).
Le croyant a été et est sauvé : « Vous êtes sauvés... ». Le salut de l'âme n'est pas futur, il est actuel, il est permanent : « Dieu nous a sauvés... non selon nos œuvres, mais selon son propre dessein et sa propre grâce » (2 Timothée 1. 9).

Mais le salut est aussi effectif dans le présent. Philippiens 2. 12-13 nous dit : « Travaillez à votre propre salut, avec crainte et tremblement : car c'est Dieu qui opère en vous et le vouloir et le faire ». «Travaillez », dans ce texte, a plutôt la signification de « cultiver », comme en font foi, pour le sens du mot original, bien des papyrus du 1er siècle, retrouvés il y a quelques années.
Il ne s'agit pas d'acquérir le salut, mais de « l'amener à bonne fin en travaillant », en portant du fruit, des résultats, qui se montrent dans notre conduite.
Seule la puissance divine peut opérer en nous et le vouloir et le faire ; mais cela demande aussi de notre part vigilance et disposition de cœur et d'esprit pour laisser Dieu agir par son Esprit dans nos vies.

Enfin, le salut complet est encore futur. Il est « plus près de nous que lorsque nous avons cru » (Romains 13. 11).
Encore une fois il ne s'agit pas de l'acquérir, mais de nous réveiller du sommeil et de revêtir les armes de la lumière en nous conduisant honnêtement, comme de jour.
Dans un avenir sans doute proche, « le Seigneur Jésus-Christ comme Sauveur transformera le corps de notre abaissement en la conformité du corps de sa gloire » (Philippiens 3. 21).
Maintenant nous avons « les prémices de l'Esprit », mais nous attendons « l'adoption, la délivrance de notre corps » (Romains 8. 23).

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Jésus-Christ fut bien mort et Il est ressuscité

6 Janvier 2023 Publié dans #Sacrifice de Jésus

Dieu le Créateur de l'Univers est venu dans ce monde, à travers son Fils Jésus-Christ, qui s'est fait homme il y a un peu plus de 2000 ans. Quittant la gloire du Ciel, Jésus le Messie est né près de Jérusalem, à Bethléem exactement. Il est venu ici-bas, s’abaissant volontairement jusqu’à nous. Il faisait beaucoup de miracles, guérissait les malades, rendait la vue aux aveugles et ressuscitait même les morts, des témoins l’ont vu et l’ont écrit. A cause de son amour, Jésus, le Fils de Dieu, est venu pour chercher et sauver ceux qui étaient perdus. Dans une étable, Il est né ; sur une croix, dans la honte, Il meurt, s’offrant Lui-même en sacrifice pour le pécheur.
Mais les chefs religieux ne Le fréquentaient pas. Jésus allait plutôt avec les petites gens, les gens de mauvaises vies, les pauvres et les estropiés. Avec ses miracles et son enseignement révolutionnaire, un foule de personnes crurent en Lui et Le suivirent. Alors les chefs religieux se sont mis en colère, ils l’ont dénoncé aux autorités romaines et l’ont fait arrêter. Finalement, ils l'ont cloué sur la croix.
Quel est donc le sens de cette croix que l’on voit un peu partout au carrefour de nos routes et de nos chemins, ou sur les tombes de nos cimetières ? Que s’est-il passé sur cette croix, il y a bientôt 2000 ans pour qu’aujourd’hui on en parle encore ?
Cette croix nous rappelle l’histoire d’un homme de Galilée, Jésus de Nazareth qui est le Messie, qui pendant 3 ans a prêché la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu, demandant à tous de se repentir pour le pardon de leurs péchés. Jésus guérissait les malades, chassait les mauvais esprits et enseignait les foules. Les chefs religieux, jaloux de son influence l’ont livré aux Romains pour le faire mourir sur une croix.
Pourquoi cette mort ? Est-ce la fin normale d’un homme trop gentil dans un monde trop méchant ? Ou bien l’accomplissement de cette prophétie donnée plusieurs siècles auparavant : "Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. (Ésaïe 53. 5).

Le message de notre méchanceté : Nous rejetons et nous crucifions Jésus le Fils de Dieu, notre Créateur, qui vint sur la terre en nous apportant l’amour, la guérison, le pardon et la vie éternelle.
Le message de l’Amour infini de Dieu : Nous sommes coupables de nos péchés, mais Jésus, l’Agneau innocent, accepte volontairement de mourir sur la croix pour subir le châtiment que nous méritons.

A la croix, de chaque côté de Jésus, il y avait un bandit (un brigand). Au début, les deux brigands insultaient Jésus (Matthieu 27. 44). Mais quelques temps après, l'un des brigands se repenti en réalisant qui est Jésus. Alors que l’un des brigands continuait à se moquer de Jésus, l’autre lui a répondu : pour nous, c’est justice, mais celui-ci n’a rien fait. Puis ce tournant vers Jésus, il lui a dit : souviens-toi de moi quand tu reviendras dans ton règne. Et Jésus lui a répondu : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis (Luc 23. 43).
Comme ce brigand, pour être assuré de notre salut éternel, nous n’avons que deux choses à faire : nous repentir de nos péchés, et croire que Jésus est bien le Fils de Dieu, qu’Il est ressuscité et qu’Il reviendra pour régner.
Les romains L’ont condamné à mort, en Le faisant clouer sur une croix de bois. Il fut mort sur la croix, ça a été vérifié, mais quelques jours après, ses disciples ont dit que Jésus est ressuscité et qu'ils L'ont vu. De fait, on a vu quelques temps après se produire les mêmes miracles partout à Jérusalem et dans les environs.
Au premier siècle de l'ère chrétienne, tous ses disciples qui l’avaient suivi faisaient en son Nom les mêmes miracles, ils disaient que Jésus est toujours Vivant. Alors les chefs religieux et les hommes politiques les ont pourchassés et tués, craignant pour leur pouvoir. Mais plus ils le faisaient, plus encore la nouvelle que Jésus est ressuscité se répandait partout.   
Et puis cette nouvelle s’est répandue à travers le monde entier. Partout où l’on annonçait que Jésus était ressuscité, partout il se faisait des miracles en son nom, ceux qui avaient le cœur brisé reprenaient courage, et toutes les personnes qui croyaient en Jésus recommençaient une nouvelle vie. Deux mille ans après Jésus Christ, dans le monde entier, on annonce toujours sa résurrection ; il y a toujours des miracles, et tous ceux qui croient en Jésus reçoivent une nouvelle vie. Aujourd’hui le message est toujours le même, Jésus est ressuscité, et chaque être humain qui croit peut recevoir en toi sa vie de résurrection.  
Jésus est réellement, Lui le Messie, le Sauveur et le Fils de Dieu. Il est venu sur la terre pour nous réconcilier avec Dieu. En mourant sur la croix, Il est venu expier nos péchés, porter nos souffrances et nos maladies. Il est venu nous apporter un message d’amour absolu et parfait, l’Amour de Dieu le Fils qui donne sa vie pour nous. Il veut nous faire renaitre à une vie nouvelle avec Lui

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La réalité du Paradis éternel

5 Janvier 2023 Publié dans #Paradis, #Retour de Jésus

Le Paradis est le lieu réel dans lequel tous les enfants de Dieu vont vivre pour l'éternité avec l'Éternel Dieu. Nous allons voir en différents points, des détails au sujet de ce merveilleux Royaume de Dieu où la paix, la joie et la présence de Dieu sont éternelles.

Où va notre âme si nous mourrons aujourd'hui ?
Pour commencer, ce qu'il faut bien savoir, c'est que c'est l'âme/l'esprit d'un croyant en Jésus qui va au Ciel lors de sa mort, non son corps physique. Le corps
physique ne ressuscite qu'au moment du Retour de Jésus ou bien est changé en un clin d’œil pour ceux qui seront encore vivants lors de son glorieux Retour.

Ainsi, si l'on meurt, notre corps est enterré ou autre, mais l'âme elle va auprès de Dieu. "Car pour moi vivre c’est Christ et mourir est un gain." (Philippiens 1. 21). "Car je suis déchiré entre deux, ayant un désir de partir, et d’être avec Christ; ce qui est de loin le meilleur" (Philippiens 1. 23). Donc pour nous qui sommes enfants de Dieu, dès notre mort, nous ouvrons les yeux et nous sommes au Paradis.
En lisant
Apocalypse 6. 9-11, Nous pouvons voir que ces personnes sont bien vivantes et conscientes, ce sont des croyants qui sont au Paradis.

L'enlèvement n'a pas encore eu lieu à ce moment là, donc la résurrection non plus. Ceci est même confirmé dans les versets d'Apocalypse 6. 12-17), car ces versets parlent justement des événements suivants qui sont : l'Enlèvement et le début de la colère de Dieu déversée sur Terre.

Une autre question peut aussi se poser : Allons-nous retrouver nos êtres chers au Paradis ? La réponse est oui, nous allons retrouver toutes les personnes qui ont cru en Jésus au Paradis. La Bible nous en parle : "Mais frères, je ne veux pas que vous soyez dans l’ignorance, concernant ceux qui sont endormis, afin que vous ne soyez pas attristés, comme les autres qui n’ont pas d’espérance" (1 Thessaloniciens 4. 13). "C’est pourquoi confortez-vous l’un l’autre par ces paroles" (1 Thessaloniciens 4. 18). L'apôtre Paul dans ces versets nous dit que nous pouvons nous réconforter dans le fait que si nous perdons des êtres chers qui ont cru en Jésus, alors nous les reverrons au Paradis. Ainsi, c'est une joie de pouvoir retrouver ces personnes pour l'éternité.
De même aussi, nous verrons au Paradis tous nos frères et sœurs en Christ que nous avons connus, ainsi que toutes les personnes que nous avons
amenées à Christ ou qui nous ont amenées à Christ.
Oui, une fois morts en tant qu'enfants de Dieu, nous allons donc directement au Paradis et serons toujours auprès de Dieu. Dès que nous quittons ce monde, nous
ouvrons les yeux et sommes dans son Royaume, dans le Paradis !

Lors du Retour de Jésus (de l'Enlèvement) a lieu la résurrection des saints : Voir 1 Thessaloniciens 4. 15-17 ; 1 Corinthiens 15. 51-53
"Béni et saint est celui qui a part à la première résurrection: sur eux la seconde mort n'a aucun pouvoir, mais ils seront prêtres de Dieu et de Christ,
et régneront avec lui mille ans" (Apocalypse 20. 6).
Ainsi, une personne qui est vivante lors de l'Enlèvement sera changée et une personne qui était morte sera ressuscitée. Nous vivrons à partir de ce
moment-là dans notre corps de gloire : un corps incorruptible. Ce corps sera immortelle et ne pourra plus pécher. Nous serons donc au Ciel dans nos corps de gloire. Et dans le Ciel, après que nous soyons tous passer devant le Tribunal de Christ, nous tous ensemble, qui formons l’Église, irons célébrer les noces de l'Agneau dans la Nouvelle Jérusalem, dans la Cité céleste. Puis ensuite, tous les personne sauvées vont revenir sur Terre avec le Seigneur Jésus Christ ; là où Il va établir son Royaume et nous règnerons avec Lui pour mille ans : c'est ce que l'on appelle le Millénium.
Ce gouvernement sera rempli de la connaissance de Dieu et de la Parole de Dieu dans le monde entier. Il y aura donc aussi une mise en place de
lois justes et de jugements justes. Ce seront les lois de Dieu qui seront établies et appliquées dans le monde entier. Ainsi, Jésus Christ apportera la paix sur toute la terre. Ce sera un temps de joie et d'allégresse! Ainsi, nous vivrons donc sur Terre pendant ces 1000 ans.

Après les 1000 ans, aura lieu la seconde Venue de Jésus pour condamner dans l'enfer éternel, Satan, les démons et tous ceux qui l'on rejeté. Ensuite nous partirons vivre dans le nouveau Ciel et sur la Nouvelle Terre qu Dieu va créer.

La Nouvelle Terre sera un retour au jardin d’Éden. Ce sera cela à une plus grande échelle. Nous y retrouvons notamment l'arbre de vie, puis tout y est parfait : il n'y aura plus de malédiction, plus de mort, plus de souffrance, etc... La Nouvelle Terre est notre maison pour toute l'éternité : Lire Apocalypse 21. 1-5, 22-24 ; Apocalypse 22. 1-5.

Dieu a donc du travail pour nous qu'Il nous réserve pour l'éternité. Ce sera un travail merveilleux que de servir Dieu sur la Nouvelle Terre et le Nouveau Ciel !

Conclusion :
Nous avons vu en plusieurs points ce que nous allons vivre dans le Paradis en tant qu'enfants de Dieu. Si nous mourons aujourd'hui, nous ouvrons les yeux au Paradis (au ciel) et vivons avec notre âme, notre esprit, dans le Royaume de Dieu. Puis lors de l'enlèvement,
nous serons changés ou ressuscités, et vivrons dans notre corps de gloire au Ciel. Après la colère de Dieu qui va s’abattre sur terre et la bataille d'Harmaguédon, nous allons revenir et vivre sur Terre pour le Millénium. Et ensuite après divers événements, Dieu a en réserve une nouvelle terre et un nouveau Ciel merveilleux pour ses enfants, pour ses élus ; et cela pour l'éternité.

Ainsi, nous pouvons nous réjouir malgré toutes les difficultés du moment présent, car ce qui nous attend est une telle joie infinie ! Lire Romains 8. 18-30.

Lire aussi cet article : La réalité de l'Enfer.

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La Victoire qui triomphe du monde (2)

4 Janvier 2023 Publié dans #Divers

La semence de Dieu est la Parole de Dieu qui nous a régénérés en Christ. « Vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu » (1 Pierre 1. 23).

Est-ce que nous mesurons bien l’immensité de la grâce qui nous a été faite en Christ ? Est-ce que nous réalisons quelle est notre position spirituelle en Christ, lorsqu’il est écrit que « Dieu nous a fait asseoir ensemble à Sa droite dans les lieux célestes, en Jésus-Christ » ? (Éphésiens 2. 6).

N’est-ce pas là une position de victoire totale, en Christ, sur Satan et toutes les puissances démoniaques ?

Dieu a déployé toute Sa puissance en Christ, « en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l’a donné pour chef suprême à l’Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous » (Éphésiens 1. 20-23).

L'infinie grandeur de cette puissance n’est disponible que pour ceux qui croient ! « Et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force » (Éphésiens 1. 19).

Jésus-Christ, étant notre Sauveur et Seigneur, est aussi notre modèle. Il a prouvé Son Amour pour Dieu Son Père en obéissant constamment à Sa volonté, c’est-à-dire en marchant constamment dans la foi en la Parole de Son Père.

En faisant de nous de nouvelles créations en Christ, participants de Sa nature, Dieu nous a rendus capables d’obéir parfaitement à toute Sa volonté, c’est-à-dire de marcher constamment dans la foi en Sa Parole, par amour pour Lui. « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi. Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? » (1 Jean 5. 3-5).

Notez bien que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ! Or ce qui est né de Dieu en nous, c’est seulement notre esprit régénéré. Notre âme, c’est-à-dire notre personnalité humaine consciente, n’a pas été régénérée à notre conversion à Christ. Seul notre esprit l’a été.

Notre âme a besoin d’être métamorphosée par le renouvellement de notre intelligence, lorsque nous méditons la Parole de Dieu avec l’aide du Saint-Esprit (voir Romains 12. 2). Nous apprenons ainsi à ne plus être contrôlés par la chair de péché qui demeure dans nos membres, mais à marcher par l’Esprit Saint, en laissant notre esprit régénéré nous conduire dans la volonté de notre Dieu.

Ce n’est qu’en marchant par le Saint-Esprit que nous pouvons manifester cette victoire qui triomphe du monde ! Cette victoire, c’est celle que Christ a remportée pour nous, par Sa mort et Sa résurrection, et dont Il nous fait bénéficier en Lui C’est en marchant dans la foi en ce que Dieu dit que nous sommes en Christ, que nous pouvons obéir naturellement à toute la volonté de notre Père, sans nous efforcer de le faire!

Car il est aussi naturel et facile, pour notre esprit régénéré, de marcher constamment dans l’obéissance à la volonté de Dieu, qu’il l’est pour un poisson de nager dans son élément !

Chers frères et sœurs, combien il est important, et même vital pour nous, de méditer toutes ces vérités, et de bien réaliser qui nous sommes en Christ ! Demandons au Seigneur qu’Il nous aide à bien comprendre quelle est notre nouvelle identité en Christ, afin d’en avoir une claire révélation!

Car comment pourrions-nous croire à une Vérité que nous ne connaissons pas ou que nous ne comprenons pas ? Or sans notre foi en l’œuvre de Christ, il ne nous sera pas possible de manifester cette victoire qui triomphe du monde, et de vivre chaque instant de notre vie dans cette victoire!

« Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand; car le témoignage de Dieu consiste en ce qu’il a rendu témoignage à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5: 9-13).

Celui qui croit au Fils de Dieu doit aussi croire au témoignage que Dieu a rendu à Son Fils. Et ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la Vie éternelle, et que cette Vie est dans Son Fils!

Cette Vie que Dieu nous a donnée remplit déjà tout notre esprit. Elle est disponible pour s’écouler abondamment dans notre âme et dans tous les domaines de notre existence de tous les jours, pourvu que nous attachions notre foi aux vérités que nous venons de rappeler brièvement.

Que Dieu ouvre pleinement les yeux de notre entendement, afin que nous sachions qui nous sommes en Christ, en tant que nouvelles créations semblables à Lui, et que nous puissions pleinement marcher sur cette terre comme étant plus que vainqueurs en Celui qui nous a tant aimés! (Romains 8: 37).

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La Victoire qui triomphe du monde (1)

3 Janvier 2023 Publié dans #Divers

Il existe une Victoire qui triomphe totalement du monde et de celui qui est le prince de ce monde ! Savez-vous que nous pouvons vivre constamment dans cette Victoire, parce que Quelqu’un (Jésus-Christ) l’a déjà remportée pour nous ?

L’apôtre Jean a écrit : « Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin » (1 Jean 5. 19).

Le monde entier définit tous les êtres humains qui sont encore sous la puissance du malin. Ceux qui sont de Dieu, ce sont tous ceux qui ont échappé à la puissance du malin, parce qu’ils se sont repentis de leurs péchés, et qu’ils ont accepté Jésus-Christ, le Fils de Dieu, comme leur Seigneur et Sauveur personnel.

Il s’agit de deux positions diamétralement opposées. L’une est de Dieu, et l’autre est du Malin. Être de Dieu signifie être né de Dieu. Être du Malin signifie n’avoir pas encore accepté Jésus-Christ.

Parlant de la Parole de Dieu, qui est la Lumière qui est venue dans le monde, Jean a dit aussi : « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu » (Jean 1. 12-13).

L’apôtre Jean parle de ceux qui sont nés de nouveau en Christ. Par cette Nouvelle Naissance, Dieu nous a délivrés de la puissance des ténèbres, pour nous transporter dans le Royaume de Son Fils Bien-aimé, en qui nous avons la rédemption et la Vie éternelle (Colossiens 1: 13-14).

A partir du moment où nous nous sommes convertis à Christ, nous ne devrions donc plus être vaincus par le Malin, mais c’est nous, au contraire, qui devrions triompher de lui et de tout ce qui vient de lui, que ce soit le péché, la maladie ou toute forme de malédiction ! Car tout cela, Jésus-Christ l’a pris dans Son corps sur la croix, afin de nous en libérer complètement et définitivement (1 Pierre 2. 24).

« Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5. 21).

« Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable » (1 Jean 3. 8). « Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix » (Colossiens 2. 15).

Nous aussi, Dieu nous appelle à manifester constamment cette Victoire qui triomphe du monde, de la chair et de Satan, par la foi en Christ qui, le premier, a obtenu pour nous cette Victoire triomphale.

L’apôtre Jean nous révèle aussi que Dieu est Amour. Si nous sommes en Christ et en Dieu, nous sommes donc dans l’Amour de Dieu.

« Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu » (1 Jean 4. 15). Nous pouvons donc affirmer que si nous confessons que Jésus est le Fils de Dieu, l’Amour de Dieu demeure en nous, et nous demeurons dans l’Amour de Dieu. « Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier » (1 Jean 4. 19).

« Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru » (1 Jean 4. 16). Comment avons-nous connu l’Amour de Dieu ? En apprenant que Dieu a tant aimé ce monde perdu, dont nous faisions partie, qu’Il a envoyé Son Fils unique expier nos péchés sur la croix, afin que tous ceux qui croient en Lui ne périssent pas, mais qu’ils aient la Vie éternelle (Jean 3. 16).

Et nous l’avons cru ! En croyant à l’Amour parfait de Dieu pour nous, nous sommes libérés de toute crainte. Car la crainte suppose une condamnation. Or nous n’avons plus à craindre d’être condamnés, si nous croyons que le Seigneur Jésus a déjà été condamné pour nous sur la croix. « La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour » (1 Jean 4. 18). En d’autres termes, celui qui craint n’est pas parfait dans sa connaissance de l’Amour de Dieu pour lui. Il ne sait pas à quel point Dieu l’aime. Quand on sait à quel point Dieu nous aime, que pouvons-nous craindre de Lui ?

Cela nous donne de l’assurance dans le combat que nous devons mener contre la puissance des ténèbres. Dans ce combat, nous devons non seulement nous appuyer sur l’Amour que Dieu a pour nous, mais aussi savoir que Dieu, en nous délivrant de la puissance des ténèbres, a fait de nous de nouvelles créatures, auxquelles Il a conféré Sa justice et Sa sainteté. « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5. 17).

C’est notre esprit, notre homme intérieur, qui est passé par la Nouvelle Naissance en Christ. Dieu, dans Sa grâce infinie, a accordé à notre esprit régénéré le privilège glorieux de devenir participant de Sa nature divine (2 Pierre 1. 4). Cela signifie que notre esprit, en Christ, est aussi juste et saint que Dieu Lui-même. Notre esprit est un seul esprit avec Christ (1 Corinthiens 6. 17).

De même que Dieu, par Sa nature, ne peut absolument pas pécher, ainsi, notre esprit régénéré en Christ ne peut pas pécher non plus, parce qu’il est né de Dieu. « Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu (1 Jean 3. 9).

A SUIVRE...

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Deux manières de naître, vivre, mourir, ressusciter

2 Janvier 2023 Publié dans #La Vie, #La mort, #Résurrection

NAÎTRE :
« Si quelqu'un n'est né d'eau et de l'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair; et ce qui est né de l'Esprit est esprit » (Jean 3. 5-6).
C'est une étrange parole, mais une parole vraie, une parole de la Bible, une parole du Seigneur Jésus Christ. Il existe donc bien deux naissances, deux manières de naître.
Nous avons tous fait notre entrée dans le monde de la même façon, par la naissance hors du sein maternel. Jésus, le Fils de Dieu, s'y est lui-même assujetti lorsque, pour nous sauver, il a revêtu notre humanité.
Mais à côté de cette naissance naturelle, le Seigneur Jésus parle d'une "Nouvelle Naissance", celle "de l'Esprit", c'est-à-dire la réception de la vie éternelle et divine par laquelle l'être humain entre dans la famille de Dieu. Que faut-il faire pour l'obtenir ? L'accepter comme un don gratuit que Dieu fait à celui qui se repent et qui croit en Jésus le Sauveur, mort sur la croix pour porter ses péchés.
« Qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3. 36). Vous n'avez pas choisi de naître dans le monde ; par contre votre naissance dans le Royaume de Dieu dépend aujourd'hui de votre acceptation. « Il vous faut être nés de nouveau » (Jean 3. 7).

VIVRE :
« Afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité » (Jésus Christ) (2 Corinthiens 5. 15).
Notre existence se partage entre des obligations et des loisirs, qui varient suivant les milieux, les aptitudes, les goûts de chacun.
En réalité, la Bible ne reconnaît que deux manières de vivre. La première consiste à vivre pour soi, à vivre sa vie. Autrement dit à considérer celle-ci comme un bien personnel, un capital qu'on entend dépenser à son gré sans que cela regarde personne. Faisons le point honnêtement ! Cette vie-là nous a-t-elle apporté tout ce que nous en attendions ?
Mais Dieu nous invite, après avoir cru en Lui, à vivre pour Jésus-Christ. La satisfaction du moi a été remplacée par un nouveau but : En tant que chrétiens enfants de Dieu, Je vis désormais pour Jésus mon Créateur, à qui j'appartiens, que j'aime, et dont par conséquent je désire faire Sa volonté. En m'aimant au point de mourir pour moi sur la croix pour me sauver, Jésus s'est acquis des droits sur mes affections. Si désormais ma propre volonté qui me menait au désastre est remplacée par la sienne, bonne et sage, ce n'est pas comme une pénible servitude mais comme la joyeuse réponse de mon amour au sien. Seule cette vie-là est une vie remplie, une vie heureuse. « Pour moi, vivre c'est Christ », disait l'apôtre Paul (Philippiens 1. 21).

MOURIR :
Jésus leur dit : « 
C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8. 24). « Bienheureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Apocalypse 14. 13).
Quelles que soient les causes de décès recensées par les statistiques, que l'on meure dans son lit, à l'hôpital, sur la route, à la maison... il n'y a d'après la Bible que deux manières de mourir. La première, effrayante, est réservée aux incroyants. "Si vous ne croyez pas que c'est moi, (Jésus, le Fils de Dieu) vous mourrez dans vos péchés". Mourir dans ses péchés, c'est se présenter devant Dieu, qui est Saint, comme un coupable devant son Juge, avec la certitude de la condamnation. Les péchés oubliés ou minimisés (mais que Dieu a fidèlement enregistrés) seront un jour replacés sous les yeux de chacun. Pas d'avocat devant ce Tribunal, mais seulement un Juge inflexible, et qui sait tout.
Mais la Grâce de Dieu a accordé au croyant en Jésus de pouvoir mourir d'une autre manière. "Mourir dans le Seigneur", c'est être revêtu de Sa parfaite Justice qui seule met à l'abri de la condamnation.
Ce ne sont pas les gens les plus coupables qui iront en Enfer, mais ceux qui n'auront pas voulu croire. Et ce ne sont pas les gens les plus honorables qui auront place au Ciel, ce seront ceux, et ceux-là seuls, qui par la foi en Jésus seront morts dans le Seigneur.

RESSUSCITER :
« L'heure vient en laquelle tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix; et ils sortiront, ceux qui auront pratiqué le bien en résurrection de vie, et ceux qui auront fait le mal en résurrection de jugement » (Jean 5. 28, 29).
Que la résurrection des morts heurte ou non la raison humaine, elle est un fait prouvé par la résurrection de Jésus Christ et une vérité fondamentale de la Parole de Dieu
(1 Corinthiens 15). Ce qui est encore moins compris et accepté, c'est qu'il ne se produira pas une, mais deux résurrections.
La résurrection de vie est promise à ceux qui ont reçu par grâce la vie éternelle : (qui permet seule de pratiquer le bien). Quand retentira, bientôt, le cri de commandement du Seigneur Jésus Christ, la mort devra Lui rendre ceux qui Lui appartiennent. Ils sortiront du tombeau avec un corps glorieux et s'en iront "à la rencontre du Seigneur dans les airs", pour être "toujours avec le Seigneur" (1 Thessaloniciens 4. 17).
La seconde résurrection aura lieu beaucoup plus tard. Elle est appelée résurrection de Jugement parce que tous ceux qu'elle concernera auront à comparaître devant le Trône du Juge Souverain (le Grand Trône Blanc) pour y répondre de leurs péchés et entendre leur condamnation.

Deux manières... qui caractérisent deux catégories de personnes et deux seulement. De laquelle ferez-vous partie ?

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Avoir une année bénie pour nous en Jésus-Christ

1 Janvier 2023 Publié dans #Divers

Bonne et heureuse année 2023. Voici les paroles que l’apôtre Jean écrivait à un frère bien-aimé : "Je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme" (3 Jean 1. 2).

C’est  le vœu que nous formons de tout cœur pour chacun et chacune d’entre vous, concernant bien sûr les choses nécessaires à la vie quotidienne en cette nouvelle année 2023 : votre santé, vos besoins, votre bonheur à titre personnel et familial, mais surtout que votre cœur demeure attentif aux choses éternelles promises et préparées par le Seigneur.
Nous savons que les vœux les meilleurs et les plus sincères n’ont pas le pouvoir de créer les événements et de changer les circonstances…ce ne sont que des vœux.
C’est la différence qui existe entre les vœux et les bénédictions. Les vœux sont de simples désirs, les bénédictions que nous prononçons au nom du Seigneur Jésus-Christ  sont accompagnées de sa propre bénédiction. Elles servent à édifier, encourager et communiquer la grâce du Seigneur. (Éphésiens 4. 29).

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.
Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. (Jean 14. 12).
La foi nous persuade que le Dieu Éternel, qui tient dans sa main l’âme de tout ce qui vit et les profondeurs de la terre, est vigilant pour l’accomplissement de tous ses bons desseins, lui qui donne à tous la respiration et la vie, ne cessant de rendre témoignage de ce qu’il est, en faisant du bien…(Actes 14. 17).

Que nous réserve cette année nouvelle ?

Fin d’une année, commencement d’une année nouvelle, on efface tout et on recommence, on élabore de nouveaux projets et on espère la santé, la réussite, le bonheur.
C’est vrai que les jours passés dont été marqués par bien des lacunes, des pertes, des échecs et des chutes. Mais le Père que nous invoquons est miséricordieux et fidèle pour pardonner, consoler et restaurer. Ceux qui croient en Lui et en Jésus-Christ savent que la vraie sagesse consiste à mettre sa confiance en Celui qui tient dans sa main l’âme de tout ce qui vit. (Job 12. 10).
C’est de LUI que viennent la richesse et la gloire, c’est Lui qui domines sur tout, c’est dans sa main que sont la force et la puissance, et c’est sa main qui a le pouvoir d’agrandir et d’affermir toutes choses. (1 Chroniques 29. 10). Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui. (Psaumes 95. 4).

Alors avec le psalmiste nous proclamons : Mes destinées sont dans ta main. (Psaume 31. 15). Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure. (Matthieu 25. 13).

Certains disent : Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création. Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau, et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau, tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. Le jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée. Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habitera. C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, appliquez-vous à être trouvés par lui sans tache et irrépréhensibles dans la paix" (2 Pierre 3. 4-14).

"Que le Dieu de l’espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint-Esprit !" (Romains 15. 13).

"Que la grâce du Seigneur Jésus–Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint–Esprit soient avec vous tous ! (2 Corinthiens 13. 14).

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Bien finir l'année 2022 qui se termine

31 Décembre 2022 Publié dans #Divers

" Frères, je ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ." (Philippiens 3 : 13-14)

Dans quelques heures, le ballet des bonnes résolutions va commencer. Et prendre de bonnes résolutions est une bonne chose car c'est l'occasion de réfléchir pour adopter de nouvelles habitudes, de prendre un nouveau départ.

Mais il nous faut d'abord bien finir l'année. La Bible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement." (Ecclésiaste 7. 8) et je crois qu'il y a de la sagesse en cela. Considérer que la fin est plus importante que le début, nous donne une autre perspective sur la façon de terminer cette année.

Lorsque vous pensez à ces 12 mois qui se sont écoulés, qu'est-ce qui vous vient à l'esprit ? Personnellement, le chemin de chaque jour n'a pas toujours été facile. Il y a eu des moments difficiles, de la fatigue due à nos nombreux engagements, de l'injustice parfois ou de l'incompréhension devant des idées nouvelles mais Dieu a toujours étendu sa main pour nous aider, nous secourir et nous accompagner. Remercions Dieu de tout cœur.

Alors que l'année 2022 va se terminer et que l'année 2023 va commencer, pourquoi ne pas se lever et s'engager dans cette voie ? Avec l'aide de Dieu, oublions notre passé. Cessons de nous torturer pour ce que nous avons fait ou que nous n'avons pas fait…
Cette nouvelle année qui va bientôt débuter est une occasion de ne plus être enchaîné à nos échecs d'autrefois. Dieu nous dit à travers sa Parole : "Décide d'oublier le passé…" ; "Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. Chantez à l'Éternel un cantique nouveau, chantez ses louanges jusqu'aux extrémités de la terre." (Ésaïe 42. 9-10).

Jésus-Christ est mort sur la croix afin de pouvoir nous pardonner. Quand nous devenons enfants de Dieu, ce pardon devient réalité dans nos vies. En recevant le pardon de Christ, l'occasion nous est donnée de nous pardonner à nous-mêmes et d'oublier nos échecs. Peut-être avons-nous besoin en cet instant, que Christ nous pardonne. Voulons-nous accepter son pardon et ensuite voulons-nous nous pardonner à nous-mêmes ?

Lorsque nous vivons dans une dimension de gratitude quotidienne pour les choses que Dieu nous a données, alors, tel un bon père, il les multiplie dans notre vie." Pour bien terminer cette année, il faut le faire avec reconnaissance, avec action de grâce… même dans les temps difficiles.

La Bible nous invite à louer Dieu sans cesse, en toute circonstance. La gratitude doit être une valeur particulièrement chère à notre cœur, et sachons dire toujours "Merci" au Seigneur Jésus. Merci pour toute chose et en toute situation. Nous voulons terminer l'année le cœur plein de reconnaissance !

"Oui, Seigneur Jésus, nous te remercions pour l'année écoulée. Nous ne voulons pas rester sur nos frustrations ou sur ce qui n'a pas marché. Mais nous voulons garder les yeux fixés sur toi. Nous voulons marcher avec gratitude et reconnaissance. Que notre cœur soit rempli d'actions de grâce ! Merci pour tes bontés renouvelées aujourd'hui et pour chaque jour à venir. Au Nom précieux de Jésus ! Amen."

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Le Christ le Messie

30 Décembre 2022 Publié dans #Divers

Le Christ prophétique

Il est important de connaître ces termes à propos du Christ : Le Christ prophétique, le Christ historique, le Christ vivant ; est-ce la même Personne ? - Voyons donc ce qu'en dit la Parole.
Le mot hébreu « Messie » (oint) a donné « Christ » en grec et en français. C'est un titre de notre Seigneur, tandis que Jésus est un nom personnel.
Ne pensons toutefois pas qu'il soit devenu le Christ à un moment de son existence, comme d'aucuns le prétendent, mais relisons ce qu'en dit Romains 9. 5 : « Le Christ est sur toutes choses Dieu béni éternellement ».

Christ dans la prophétie

Sans le déclarer expressément, Proverbes 8. 23 nous dit au sujet de la Sagesse : « Dès l'éternité je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre ». Le mot « établie » signifie en hébreu « oint », impliquant le Christ.

La « semence » :

Après la chute, l’Éternel Dieu déclare au serpent : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, et entre ta semence et sa semence. Elle (la semence de la femme) te brisera la tête, et toi tu lui briseras le talon » (Genèse 3. 15).
Première promesse expresse au sujet de Celui qui viendrait et aurait la Victoire sur Satan, lui « brisant la tête ».
Le diable « briserait le talon » du descendant de la femme, Christ devenu homme, qui passera par la mort, pour en sortir victorieux, « afin que, par la mort, il rendît impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable » (Hébreux 2. 14).
Tout au long de l'histoire, l'inimitié subsiste entre la semence de la femme et la semence du diable.
A ceux qui contestaient contre Lui, Jésus dit : « Vous, vous avez pour père le diable » (Jean 8. 44). — « Ils prirent donc des pierres pour les jeter contre lui ! » (Jean 8. 59).
Des siècles plus tard, l'Ange de l’Éternel s'adresse à Abraham après qu'il a offert son fils unique : « Je multiplierai abondamment ta semence, comme les étoiles des cieux et comme le sable qui est sur le bord de la mer... et toutes les nations de la terre se béniront en ta semence » (Genèse 22. 17-18).
Trois semences dans ces versets : une semence céleste : Abraham est le père de tous les croyants (Romains 4. 16) ; une semence terrestre : Israël ; enfin, « ta semence » en laquelle toutes les nations de la terre te béniront, « semence qui est Christ » (Galates 3. 16).
Il est aussi la semence de David, selon 1 Chroniques 17. 13, cité expressément en Hébreux 1. 5 comme s'appliquant au Fils.
La prophétie de Nathan visait bien sûr Salomon dans l'avenir proche ; mais la vision allait bien au-delà, jusqu'à celui dont l’Éternel pouvait dire : « Je l'établirai dans ma maison et dans mon royaume à toujours, et son trône sera affermi pour toujours ».

L'Oint :

Moise avait annoncé que l’Éternel susciterait à son peuple un prophète comme lui, pris d'entre ses frères (Deutéronome 18. 15-19).
Dieu mettrait ses paroles dans sa bouche et lui donnerait l'autorité. Si quelqu'un ne l'écoutait pas, cela lui serait redemandé. Les Juifs avaient très bien compris qu'il s'agissait du Messie lorsqu'ils demandent Jean le baptiseur : « Toi, qui es-tu ? ». Il nie être le Christ ou Élie ; ils lui demandent : « Es-tu le prophète ? » (Jean 1. 21 ; cf. Actes 3. 22).
Il est aussi le Roi, selon le Psaume 2. 6-8 : « Moi, j'ai oint mon roi sur Sion, la montagne de ma sainteté. —Je raconterai le décret : l’Éternel m'a dit : Tu es mon Fils ; aujourd'hui je t'ai engendré. — Demande-moi, et je te donnerai les nations pour héritage, et pour ta possession les bouts de la terre ».
Le psaume 110 le présente comme sacrificateur : « L’Éternel a juré, il ne se repentira point : Tu es sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchiséclec », ce que Hébreux 2. 17, etc., vient nous confirmer.
Dans la Parole, le prophète, le roi, et le sacrificateur, devaient être « oints ».

Les souffrances et les gloires :

Sur le chemin d'Emmaüs, Jésus rappelait : « Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu'il entrât dans sa gloire ? » (Luc 24. 26).
Les prophètes d'autrefois en avaient été perplexes, « l'Esprit de Christ qui était en eux rendant par avance témoignage des souffrances qui devaient être la part de Christ et des gloires qui suivraient » (1 Pierre 1. 11).
Que de prophéties n'avons-nous pas au sujet de ses souffrances.
Celles si remarquables d’Ésaïe 53, des psaumes 22, 69, 102, et de tant d'autres. A Daniel, il avait été annoncé que le Messie serait retranché et n'aurait rien (Daniel 9. 26).
Mais peu avant, dans la vision, le prophète avait vu la gloire de ce fils d'homme amené à l'Ancien des jours, auquel sont donnés « la domination et l'honneur et la royauté pour que tous les peuples, les peuplades et les langues le servent. Sa domination est une domination éternelle » (17. 13-14).
Ésaïe avait vu sa gloire : Le serviteur abaissé et maltraité, l'homme de douleurs, serait « exalté et élevé et placé très haut » (Ésaïe 52. 13). « Je lui assignerai une part avec les grands, et il partagera le butin avec les forts » (Ésaïe 53. 12).
Que d'heures enrichissantes on pourrait passer à chercher « dans toutes les Écritures » les versets qui parlent et de ses souffrances, et de ses gloires !

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(2) Ne pas s'affliger face à la mort comme les autres

29 Décembre 2022 Publié dans #La mort

(2) Ne pas s’affliger comme les autres :

Quand une personne que nous avons aimée vient à mourir, il est normal de ressentir de la tristesse, car nous éprouvons une sorte de perte. Même si nous ne connaissions pas intimement le défunt, la douleur que nous lisons dans les visages de ses proches peut nous toucher et faire couler quelques larmes. La mort ne représente pour nous chrétiens qu’une séparation temporaire de nos bien-aimés en Christ. En plus, nous trouvons du réconfort dans la confiance que ceux qui nous ont devancés ne souffrent pas; au contraire, ils sont bénis : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent » (Apocalypse 14. 13).

Tout comme notre espérance chrétienne vainc la peur, elle adoucit la tristesse. Mais ce n’est pas simplement parce que nous reconnaissons l’autorité de Dieu que nous pouvons accepter ses décisions concernant la vie et la mort; nous avons, en plus, l’assurance de sa Justice et de son Amour. Quoiqu’il arrive dans notre vie, nous pouvons être certains d’une chose : Dieu nous aime. Il se peut que nous ne comprenions jamais pourquoi tel événement douloureux s’est produit, mais une chose est sûre : Si Dieu ne nous aimait pas, il n’aurait jamais envoyé son Fils unique pour qu’on le maltraite et l’humilie, pour qu’il souffre et meure sur une croix pour nous. Un tel amour est insondable et indéniable.

Dieu a le droit d’appeler en jugement n’importe qui à n’importe quel moment. Il n’agit pas injustement quand Il le fait. Supposons que Dieu « fait mourir » (rappelle à Lui) un jeune chrétien qui avait devant lui, à nos yeux, toute une vie de joie et de service à rendre dans l’Église. Nous pouvons être sûrs que ce jeune ne se lamentera pas dans l’au-delà de tout ce qu’il n’a pas eu l’occasion de vivre ici sur la terre. Comme Paul l’a dit:  « J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur » (Philippiens 1. 23).

(3) Pèlerins sur cette terre :

Une idée qui revient souvent dans la Parole de Dieu est que nous sommes de passage dans ce monde et que nous ne devons pas trop nous y attacher (1 Pierre 2. 11 ; Hébreux 13. 14 ; Philippiens 3. 19, 20 ; Matthieu 6. 19-21). Nous rappeler que nous sommes là pour peu de temps nous aide à fixer les yeux sur notre destination finale et à supporter les difficultés et les privations de cette vie, sachant que « les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Romains 8. 18).

Conclusion :

Parfois, on entend quelqu’un parler d’une situation où une vie a été en danger. Si la personne n’est pas morte, même si elle a été blessée ou doit se contenter d’une santé qui sera toujours fragile, on se console en disant qu’elle a pu « éviter le pire ». Certes, il y a dans une telle situation de quoi remercier Dieu. En même temps, le chrétien devrait reconnaître que la mort n’est pas du tout « le pire » qui puisse arriver; au contraire, elle permet au fidèle d’entrer dans le bonheur parfait et éternel au Paradis. Le pire, c’est le fait de mourir dans un état de rébellion contre son Dieu. Ce n’est que dans le cas où il vit dans l’infidélité que le chrétien devrait craindre la mort. Ce n’est donc pas la mort qui est l’ennemi; c’est le péché.

La réalité de la mort tout autour de nous devrait nous amener à vivre de telle manière que nous soyons prêts pour le Jugement. La philosophie du monde est « Mangeons et buvons, car demain nous mourrons » (1 Corinthiens 15. 32). L'espérance des chrétiens est que la mort est pour eux un gain, mais elle leur rappelle aussi l’urgence de la mission que Dieu leur confie tant qu’ils sont sur la terre : « Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps. Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes » (2 Corinthiens 5. 8-11).

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