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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

divers

Qui est Jésus-Christ ?

19 Août 2019 Publié dans #Divers

Jésus Christ vint dans ce monde il y a un peu plus de 2000 ans d'une manière miraculeuse. Il vécut dans la pauvreté et grandit dans l'effacement. On n'a de Lui ni image, ni portrait exact. Jésus n'eut ni richesses ni influence particulière : Il travailla de ses mains, Il fut charpentier, fils de charpentier.
Nouveau-né, Jésus fit trembler un roi ; enfant, Il embarrassa les érudits ; homme mûr, il commanda aux forces de la nature, ouvrit les yeux des aveugles et ressuscita des morts, etc...
Jamais Jésus n'écrivit de livre, et cependant aucune bibliothèque ne pourrait contenir tous les livres qui ont été écrits à son sujet.
Jamais Jésus ne composa de chant, et pourtant Il a été le thème d'innombrables cantiques pour des milliers de compositeurs illustres ou ignorés.
De nombreux volontaires furent prêts à suivre Jésus et à annoncer Son message pour que beaucoup de pécheurs rebelles puissent se repentir et croire en Jésus.
Dans l'histoire de ce monde, de grands hommes sont apparus, puis ont disparu ; mais Jésus-Christ est Vivant et son Nom est connu depuis des millénaires par des milliards de personnes.
A trente-trois ans, Jésus fut trahi par un de ses disciples; un autre le renia, puis tous l'abandonnèrent. Son peuple demanda sa mort, un gouverneur romain l'accorda. Jésus fut crucifié et mis dans un tombeau mais la tombe n'a pu le retenir et Jésus ressucita d'entre les morts. Lors de sa montée au Ciel, le Ciel s'est ouvert pour le recevoir. Jésus fut établi par Dieu Juge des vivants et des morts.

Vie et œuvre de Jésus Christ

L'incarnation de Jésus Christ (Philippiens 2. 5-11)

C'est l'acte par lequel le Fils de Dieu a revêtu volontairement un corps humain (Jean 1. 1, 14). Annoncé par de nombreuses prophéties, Jésus est venu "au temps convenable" c'est à dire au moment et au lieu fixés par Dieu lui-même (Romains 5. 6 ; Daniel 9. 24-26 ; Michée 5. 1). Il naquit sous l'empereur romain Auguste (Luc 2. 1).
Son incarnation suppose sa préexistence
(Jean 16. 27-30) ; elle s'est faite d'une façon miraculeuse par l'intermédiaire de Marie (Luc 1. 35). Ainsi Jésus devint le seul homme sans péché (1 Pierre 2. 222 Corinthiens 5. 21 ; (1 Jean 3. 5).
Cette incarnation était nécessaire pour achever la révélation de Dieu à l'être humain (Jean 1. 18), mais aussi pour accomplir l'oeuvre de notre salut (2 Corinthiens 5. 21).

L'expiation (Luc 23. 33-49) :

C'est l'acte par lequel on paye, par la peine qu'on subit, un crime ou une faute.
Non seulement les iniquités de l'être humain font séparation entre Dieu et lui (Ésaïe 59. 2) mais l'être humain est incapable de se racheter lui-même  (Psaumes 49. 7-8).
L'expiation accomplie par Jésus Christ était donc indispensable pour le salut de l'être humain. On peut la considérer sous différents aspects :
* La Substitution (Ésaïe 53. 5) : Christ meurt pour nous devant Dieu.
* La Réconciliation (2 Corinthiens 5. 19-20) : Il rétablit notre relation avec Dieu.
* La Rédemption (Jean 8. 36) : Christ nous rachète pour Dieu.

La résurrection de Jésus Christ (Matthieu 27. 57 -  28. 20)

Annoncée plusieurs fois par le Seigneur (Matthieu 12. 38-40)elle eut lieu le troisième jour après sa mort et cela malgré de multiples obstacles: le corps de Jésus était enveloppé de bandelettes, le sépulcre fermé par une lourde pierre, la garde romaine était mobilisée et le tombeau scellé.
La résurrection de Christ est un fait capital: Paul écrira aux Corinthiens : "Si Christ n'a pas été ressuscité votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés" (1 Corinthiens 15. 17).
La résurrection a des conséquences glorieuses: elle montre que Dieu est satisfait par l'oeuvre de Christ; le croyant en Jésus peut donc être justifié (Romains 4. 24-25). Il est libéré de l'esclavage de Satan et de la crainte de la mort (2 Timothée 1. 10 ; Hébreux 2. 15).

L'ascension de Jésus Christ (Actes 1. 9-11) :

Si la mission de Jésus-Christ sur la terre a commencé par son incarnation, elle se termine par son Ascension. Celui qui, étant Dieu s'est fait homme, remonte auprès du Père en tant qu'être humain glorifié (Jean 16. 28)Jean 17. 5). Cet événement avait été prédit plusieurs fois  (Psaumes 110. 1 ;  Actes 2. 33-36 ; Jean 14. 28 ; Jean 16. 4-7).
Ainsi Jésus Christ occupe une nouvelle place dans le Ciel : il est Souverain Sacrificateur (Hébreux 5), Intercesseur  (Romains 8. 34), Avocat (1 Jean 2.1-2), Roi et Seigneur (Apocalypse 19. 16), il a toute autorité (Matthieu 28. 18)  et il est établi juge des vivants et des morts   (Actes 17. 31).

Le Retour de Jésus Christ (1 Thessaloniciens 4. 13-18) :

De nombreux passages nous parlent du Retour de Jésus Christ (Jean 14 ; 1 Corinthiens 15. 51-58 ; Philippiens 3. 20-21). Dans cette attente, les croyants en Jésus Le servent et sont ses témoins (1 Thessaloniciens 1. 9-10 ; Actes 1. 6-11).

Le seul Nom de Jésus :

Jésus est le chemin, la vérité et la vie, Jésus est le bon berger, notre Sauveur, etc... Dans nos messages, il est en effet toujours question de Jésus Christ dont nous parle la Bible. De qui d’autre voudriez-vous que nous parlions ? C’est lui, et lui seul qui apporte tout ce dont notre âme a besoin.
Tout homme, toute femme a besoin de paix. Jésus a dit : « Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif. » (Jean 14. 27).
Avez-vous soif de bonheur ? Jésus a dit : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. », « celui qui croit en moi n’aura jamais soif » (Jean 7. 37 et 6. 35).
Vous désirez connaître la vérité, le chemin qui mène à Dieu ? Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; personne ne vient au Père si ce n’est par moi. » (Jean 14. 6).
Vous avez besoin d’une espérance. Le Christ Jésus est l’espérance du chrétien
(1 Timothée 1. 1).
Non, nous ne pouvons prêcher personne d’autre que Jésus Christ mort pour nos péchés, ressuscité pour notre justification. « Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a pas non plus sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. » (Actes 4. 12). Jésus est maintenant vivant aux siècles des siècles. Il est la réponse à tous les besoins des cœurs. Il y a beaucoup à recevoir de Jésus, Lui ne change pas : « Il est le même hier, et aujourd’hui et éternellement » (Hébreux 13. 8).

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Dieu est le plus heureux dans tout l'Univers

18 Août 2019 Publié dans #Divers

Qui est la personne la plus heureuse au monde ? Est-ce la personne la plus riche ? Ou celle qui a le plus de pouvoir terrestre ? Pas vraiment. La personne la plus heureuse n’est pas un être humain. La personne la plus heureuse de l’univers est en réalité Dieu !

La plupart des gens n’associent pas le bonheur à Dieu. Ils pensent que Dieu est un être sombre, sérieux et conscient du péché, qui est presque toujours un peu en colère et déçu par ces créatures déchues qu’Il a créées il y a des milliers d’années. Ils dépeignent un Dieu perpétuellement de mauvaise humeur. Mais c’est tellement faux cela !

La vérité est tout le contraire. Dieu est en fait, « infiniment heureux parce qu’Il est infiniment parfait ». C’est vrai, infiniment heureux, car infiniment saint ! Son bonheur découle de Ses perfections; c’est le résultat du fait qu’Il soit complètement saint. Dieu n’est pas triste et Dieu n’est pas fâché.

Dieu est plutôt cet être bon, une fontaine de bienveillance infinie…Dieu est éternel, indépendant et autonome… Les buts et les actions de Dieu jaillissent sans motif ou influence étrangers … Dieu est le plus pur, le plus simple et le plus spirituel de toutes les essences … Dieu est vrai et saint… Dieu est la cause de tout être… Dieu est éternellement autosuffisant, n’ayant besoin de rien qu’Il a créé … Dieu qui, de tout cela et de Ses biens infinis, ne peut faire que ce qui est éternellement juste, juste et bon.

Comment un tel être si parfait, si sain et si complet, ne serait-Il pas infiniment heureux ?

La religion, sûrement sous l’influence de Satan, a accompli un travail magistral en déformant l’image de Dieu et la nature de la sainteté. Mais Jésus-Christ, qui a révélé parfaitement le Père, a peint une image tout à fait différente de Son Père et de l’effet de Sa sainteté sur les esprits et les cœurs de ceux qui L’ont bien connu et qui ont profondément communié avec Lui. Regardez l’histoire du fils Prodigue, dans Luc 15, et vous verrez ce que le Père est vraiment, selon Jésus. Vous verrez le Dieu Saint à l’œuvre, organisant une grande fête pour Son fils, remplie de beaucoup de nourriture, de musique joyeuse et de danses. Dieu aime la fête. Il aime « danser de joie ! » Alléluia !

David l’a bien compris parce qu’il écrit : « Tu me feras connaître le sentier de la vie; Il y a d’abondantes joies devant ta face, des délices éternelles à ta droite. » (Psaumes 16:11, LSG)

La version NCV établit un lien encore plus clair la sainteté de Dieu et Son bonheur: « Tu m’apprendras à vivre une vie sainte. Être avec toi me remplira de joie; À ta droite, je trouverai le plaisir pour toujours. » (Psaumes 16:11, NCV, ici traduite en Français)

Enfant de Dieu, l'Évangile est la bonne nouvelle d’un Dieu heureux et saint qui nous a pardonné tous nos péchés et nous permet d’être aussi saint et heureux qu’Il est, par notre union avec Son Fils. Voyez-vous, Dieu aime danser de joie. Et Il nous invite, nous aussi et le monde entier, à danser de joie avec Lui en son Fils Jésus Christ. Amen !

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Les projets de l'être humain

17 Août 2019 Publié dans #Divers

"Et il leur dit cette parabole : Les terres d'un homme riche avaient beaucoup rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant, Que ferai-je ? Car je n'ai pas de place pour rentrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je ferai : j'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands, j'y amasserai toute ma récolte et tous mes biens;  Et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi. " (Luc 12 : 16 à 17)

Cet homme dans la parabole ci-dessus avait de grands projets. L’être humain se projette facilement sur l’avenir en disant : « On fera…. », « Je ferai telle étude, tel métier », « Je partirai de la maison, du carcan familial », « J’aurai telle voiture, telle maison », « Je vais me marier, avoir des enfants », etc...

L’être humain est plein de projets et d’ambitions, mais à courts termes et basés sur soi, sur le matériel, les biens, la façon de vivre…  Mais où sont les projets pour l’âme, pour l’éternité ?

C’est le cas de cet homme ci-dessus qui n'a pas de projet pour son âme : « Mange, bois et réjouis toi ! ». Il veut agrandir ses greniers, s’enrichir de plus en plus, mais son âme est pauvre et il ne s’en inquiète pas.

Et pour chacun de nous êtres humains ? Avons-nous pensé à notre âme, à notre salut et à l’éternité ?

Dieu y a pensé avant chacun de nous, Il nous interpelle par cette parabole. Cet homme s’était vanté du lendemain, sans se soucier du présent pour son âme éternelle, il a agit en insensé. Avoir une perspective pour sa vie c’est bien, mais oublier l’âme c’est stupide.

« Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16 : 26)

Dieu nous aime et se préoccupe de notre éternité et de notre âme.  Nous êtres humains, allons-nous rester sourds, insensibles à son Amour parfait ? Il faut saisir l’offre de Jésus, et arrêter de raisonner ou de fermer les yeux et ses oreilles. Il faut se confier en Jésus qui prend en main notre avenir car Il sait ce qui est bon pour chacun de nous.

Pensons à notre éternité, à notre avenir pour notre âme.

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Le sacrifice d'Abraham

12 Août 2019 Publié dans #Divers

Pour obéir à l’ordre de Dieu, Abraham accepta d’immoler son fils Isaac, lorsqu’un Ange intervena pour l’en empêcher. Surnommé le père des croyants, Abraham est une figure du Père Éternel qui a tellement aimé le monde qu’Il a envoyé Son propre Fils pour nous racheter par Sa mort sur la Croix (voir Jean 3. 16).

Le fils de la promesse, Isaac, grandissait sous les yeux du Seigneur Dieu. Il avait environ vingt-cinq ans; il était plein de grâces et de vertus. Même si Abraham le patriarche allait mourir un jour, son fils Isaac multiplierait sa race comme les étoiles du ciel. Il se berçait de ces pensées enchanteresses, lorsqu’un jour, il entend une voix qu’il reconnaît pour la voix de l'Eternel Dieu :
— « Abraham, Abraham.
— Me voici, Seigneur.
— Prends ton fils unique, ton fils bien aimé, ton Isaac, et conduis-le dans la terre de Moriah. Là, tu Me l’offriras en holocauste sur une des montagnes que Je te désignerai » (Genèse 22. 1-2).

À ce commandement qui broyait son cœur et déconcertait sa raison, Abraham resta comme frappé de stupeur. Cependant il n’eut même pas la tentation de se plaindre, ni de désobéir. Dieu avait parlé : l’homme n’avait qu’à s’incliner et à espérer contre toute espérance. Abraham se leva donc avant le jour, sella son âne pour le voyage, et coupa du bois pour l’holocauste. Puis, prenant avec lui deux jeunes serviteurs et son fils Isaac, il s’achemina vers le pays indiqué par le Seigneur Dieu.

Il marcha ainsi pendant deux jours, accablé de mortelles angoisses, n’osant ni regarder son fils ni lui parler. Le troisième jour, en levant les yeux sur la région qui s’ouvrait devant lui, il vit se dresser la montagne du sacrifice. « Restez ici avec l’âne, dit-il aux deux serviteurs : mon fils et moi nous gravirons ces hauteurs, et quand nous aurons adoré l'Eternel, nous viendrons vous rejoindre » (Genèse 22. 5).

Abraham prit alors le bois de l’holocauste et le plaça sur les épaules d’Isaac. Lui-même, tenant en main le couteau et le feu, donna le signal du départ. Le père et le fils marchaient côte à côte, en silence, lorsque Isaac lui posa une question :
— Mon père ?
— Eh bien, mon fils ?
— Je vois le bois et le feu pour l’holocauste, mais où est la victime ?
— Mon fils, Dieu y pourvoira », répondit Abraham en étouffant ses sanglots. (Genèse 22. 7-8).

Cependant ils continuaient à gravir la colline, sans prononcer une parole. Arrivé au sommet, Abraham dressa un autel et disposa le bois qui devait consumer la victime. Puis, il révéla au fils de sa tendresse l’ordre formel du Seigneur : Prends ton fils Isaac, et conduis-le sur la montagne pour Me l’offrir en holocauste. Comme un innocent agneau, Isaac se laissa lier sans résistance, et coucher sur l’autel au-dessus du bûcher. Alors le père étendit la main, saisit le glaive, et son bras allait frapper, quand un cri retentit au-dessus de sa tête :
— « Abraham, Abraham.
— Me voici, Seigneur, dit le patriarche, reconnaissant la voix d'un Ange de Dieu.
— Abaisse ton glaive et ne touche point l’enfant. Je sais maintenant que tu crains Dieu, puisque tu n’as pas hésité, pour M’obéir, à sacrifier ton fils unique » (Genèse 22. 9-12).

Un cri d’allégresse et de reconnaissance s’échappa du cœur du père et de l’enfant, qui se prosternèrent et adorèrent la divine Majesté. En se relevant, Abraham aperçut un bélier dont les cornes s’étaient embarrassées dans un buisson. Il le mit sur l’autel, à la place qu’occupait tout à l’heure son fils, et l’offrit en sacrifice au Seigneur. En souvenir du Dieu qui voit tout et pourvoit aux situations les plus étranges, ce lieu fut appelé "En la montagne de l'Eternel, il sera pourvu. Depuis ce temps, quand vient l’heure des difficultés, le peuple juif répète ce proverbe : Dieu y pourvoira, comme sur la montagne.

Abraham ne tarda pas à recevoir la récompense de son dévouement absolu à L'Éternel. La voix de l’Éternel l’appela une seconde fois, et lui fit entendre ces solennelles paroles : « Parce que tu n’as pas reculé pour Ma gloire devant le sacrifice de ton fils unique, J’en fais le serment par Moi-même, Je te bénirai, Je multiplierai ta race comme le sable des mers, ta postérité étendra sa domination sur les cités ennemies, et toutes les nations de la terre seront bénies en Celui qui naîtra de toi. Tel sera le prix de ton obéissance » (Genèse 22. 15-18).

Celui qui parlait ainsi n’était autre que le Fils unique de Dieu, le Messie promis à l’humanité déchue. Abraham attendait le Libérateur, il savait qu’Il naîtrait de sa race, il aspirait de tous ses désirs après le jour béni de la Rédemption; par les transports de son âme, il s’élançait dans le lointain des âges pour saluer le Rédempteur. Le Fils de Dieu voulut récompenser sa foi et son amour en lui manifestant les secrets de l’avenir. Dans une vision sublime, le saint patriarche contempla le Fils unique de Dieu descendu sur la terre, incarné pour le salut des hommes. Il Le vit, nouvel Isaac, portant sur Ses épaules le bois du sacrifice, à l’endroit même où Dieu avait commandé d’immoler son fils. Le Sang coulait, la Victime expirait, le monde était sauvé. Au souvenir des angoisses qu’il avait ressenties sur la montagne, Abraham comprit l’Amour d’un Dieu qui sacrifie Son fils unique, et tressaillit de joie en voyant tous les peuples de la terre, régénérés dans le Sang du divin Agneau, chanter l’hymne de la délivrance au pied de Jésus.

Ainsi se réalisa cette parole de Jésus:  « Abraham a désiré voir Mon jour; il l’a vu et s’est réjoui » (Jean 8. 56).

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Louanges au seul Dieu révélé en Jésus-Christ

11 Août 2019 Publié dans #Divers

L'apôtre Paul exalte Dieu dans ce qu’Il est :
« Au roi des siècles, immortel, invisible, seul Dieu, soient honneur et gloire, aux siècles des siècles ! Amen ! » (1 Timothée 1. 17).
« Le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, qui seul possède l’immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n’a vu ni ne peut voir, à qui appartiennent l’honneur et la puissance éternelle. Amen ! » (1 Timothée 6. 15-16).

Trois caractéristiques se dégagent de ces louanges :

– Dieu est invisible : L’expression courante de « Dieu qui est au ciel » ne doit pas nous tromper : les « cieux des cieux » ne peuvent le contenir (2 Chroniques 2. 6 ; 6. 18). Dieu est si radicalement différent de nous que nul ne peut le voir et vivre (Exode 33. 20). Il est « esprit » (Jean 4. 24), sans corps matériel tangible. Cette invisibilité de Dieu va au-delà de notre impossibilité de le voir de nos yeux physiques ; elle tient aussi à l’aveuglement moral dans lequel nous sommes pour discerner ce qu’Il est (2 Corinthiens 3. 7 - 4. 6). Si Dieu ne se révèle pas à nous, nous ne pourrons jamais le voir tel qu’Il est vraiment.

– Dieu est immortel : La même Épître va dire de Dieu qu’Il est « le Dieu vivant » (1 Timothée 3. 15). Dire que Dieu est immortel implique à la fois qu’Il est Saint, Pur, sans péché (car la mort est la conséquence du péché), qu’Il reste le même dans son Être et qu’Il est le seul à communiquer la vie : la vie corporelle d’abord (« en lui nous avons la vie », Actes 17. 28), puis la vie éternelle. L’immortalité glorieuse de ceux qui ont reçu l’Évangile (2 Timothée 1. 10 ; 1 Corinthiens 15. 54) ne sera qu’une conséquence de la sienne propre.

– Dieu est bienheureux : Outre la seconde doxologie de l’Épître, ce qualificatif se retrouve ailleurs : « … l’Évangile de la gloire du Dieu bienheureux, Évangile qui m’a été confié » (1 Timothée 1. 11). Dieu, dans la perfection de son être trinitaire, n’a besoin de rien ni de personne pour être « heureux ». Dans un sens, son bonheur ne dépend en rien de nous, pas plus de notre réponse à l’Évangile que de notre fidélité dans notre marche chrétienne.

Un Dieu si glorieux suscite immédiatement la louange de la part de ceux auxquels il a daigné se révéler. Paul l’a bien compris et ne peut faire autrement que d’exulter en doxologie. Même si notre expression est souvent bien plus pauvre que la sienne, chantons, louons, magnifions les gloires de la Personne de Dieu.
Ce Dieu bienheureux souhaite se faire connaître et c’est pourquoi il est important de proclamer et de confesser la grandeur de son Être éternel. Paul était heureux qu’un tel message lui ait été confié ; c’est à nous aujourd’hui de prendre sa relève.

DIEU S'EST REVELE EN CHRIST :

Au cœur de cette Épître, Paul indique le secret de la vie chrétienne, le « mystère de la piété » : « Dieu a été manifesté en chair, justifié par l’Esprit, vu des anges, prêché aux nations, cru dans le monde, élevé dans la gloire. » (1 Timothée 3. 16). En Christ seul, Dieu s’est montré dans la plénitude de son être moral. C’est lui qui est « venu dans le monde » (1 Timothée 1. 15) pour s’approcher de nous. Nous ne pouvons pas connaître le Dieu infini, éternel, invisible sans passer par celui qui « révèle le Père », notre Seigneur incarné, mort, ressuscité et glorifié. C’est cette vérité, la plus fondamentale de toutes, que l’Église du Dieu vivant est appelée à porter haut, dans un monde qui en a tant besoin mais qui méconnaît tant la Gloire de Jésus de Nazareth.

Quel Dieu magnifique cette Épitre nous présente-t-elle ! Le Dieu Vivant qui se révèle dans l’infini de son être, le Dieu bienfaiteur qui prend soin de sa créature, le Dieu miséricordieux qui veut le salut des hommes pécheurs, le Dieu proche qui s’est incarné en Christ. Qu’il grandisse à nos yeux au fur et à mesure que nous le connaîtrons mieux, pour l’aimer davantage et mieux le servir ! Et nous deviendrons à notre tour des serviteurs et des disciples de notre Dieu Tout Puissant.

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Ce que le péché d'Adam a produit

9 Août 2019 Publié dans #Divers

Quelle est la première chose qu’Adam et Ève ont fait après avoir désobéi à Dieu ? Ils ont cherché à couvrir leur honte. Avant d’avoir mangé de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Adam et Ève « étaient tous les deux nus et n’en avaient pas honte » (Genèse 2. 25). Mais lorsqu'ils ont désobéi à Dieu, leurs pensées en ce qui concerne leurs corps avaient changé. Désormais, ils se sentaient coupables et honteux devant Dieu qui doit les juger. Et dans une tentative de cacher leur honte, ils ont cousu ensemble des feuilles de figuier et en ont couvert leurs corps nus.
Ensuite les Écritures disent : « Alors ils entendirent la voix de l’Éternel Dieu, qui parcourait le jardin avec la brise du soir. L’homme et sa femme allèrent se cacher devant l’Éternel Dieu, parmi les arbres du jardin » (Genèse 3. 8). Combien les choses étaient différentes maintenant, depuis qu’ils avaient péché ! Avant d’avoir péché contre Dieu, ils se réjouissaient quand le Seigneur Dieu venait parler avec eux dans le jardin. Mais maintenant, quand ils L’ont entendu s’approcher, ils se sont mis à trembler de peur et de honte, et ils ont essayé de se cacher parmi les arbres du jardin !
Pourquoi Adam et Ève étaient-ils effrayés et cherchaient-ils à se cacher de Dieu ? Parce qu'ils avaient mangé du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal que Dieu leur avait interdit. Adam savait très bien qu’il avait désobéi à Dieu. Est-ce qu’Adam devait avoir peur après avoir désobéi au commandement de Dieu ? Oui, certainement ! Pourquoi ? Parce que Dieu lui avait clairement dit : « le jour où vous mangerez de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, vous mourrez certainement. »
Est-ce que Dieu allait faire ce qu’Il avait dit ? Qu’est-ce que vous en pensez ? Est-ce qu’Adam allait vraiment mourir ? Dieu allait-il vraiment punir les êtres humains qu’il avait créés Lui-même ? On peut mieux répondre à cette question en posant une autre question : Qu’est-ce que le Seigneur a fait à Lucifer, c’est à dire à Satan, après que ce dernier a rejeté le Règne de Dieu et s'est rebellé contre Lui ? Dieu a-t-il acquitté Satan et les anges qui avaient péché ? Non, Il ne les a pas acquittés ! Dieu les a chassés hors de sa Sainte présence. Et non seulement cela, mais Dieu a encore préparé pour eux le feu éternel de l’Enfer !
Comme Satan, Adam avait rejeté le Règne de Dieu et Lui avait désobéi. Dieu pouvait-il simplement dire : ‘Ce n’est pas grave !’ et laisser aller Adam sans le juger ? Impossible ! Dieu est Saint et Il doit juger tous les péchés. Il ne peut pas fermer les yeux sur le péché. A ce sujet, la Parole de Dieu dit que « les yeux de l’Éternel sont trop purs pour voir le mal, et il ne peut pas regarder l’oppression » (Habacue 1. 13). « Le Seigneur jugera son peuple. Il est terrible de tomber dans les mains du Dieu vivant ! » (Hébreux 10. 30-31).

La nature sainte de Dieu exige qu’Il juge et punisse le péché. Il était donc nécessaire qu’Il juge Adam et Ève pour leur péché. C’est pourquoi, nous voyons dans les versets qui suivent que Dieu les a recherchés. Les Écritures disent : « L’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : Où es-tu ? » (Genèse 3. 9). Qu’est ce que Dieu a fait après qu’Adam a péché ? Dieu est venu à sa recherche, Il l’a appelé et lui a dit : « Où es-tu ? ». Est-ce qu’Adam est allé à la recherche de Dieu ? Non ! Il était en train d’essayer de se cacher loin de Dieu ! Pourquoi Dieu a-t-Il appelé Adam ? Ne savait-Il pas où était Adam ? Dieu, qui connaît les pensées et les intentions du cœur, savait très bien où Adam se cachait ! Dieu l’a appelé parce qu’Il voulait qu’Adam reconnaisse et confesse son péché.
Qu’est-ce qu’Adam a répondu quand Dieu lui a demandé « où es-tu ? » ? Les Écritures disent : « [Adam] répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin et j’ai eu peur, parce que je suis nu ; je me suis donc caché. L’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : C’est la femme que tu as mise auprès de moi qui m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Alors l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a induite en erreur, et j’en ai mangé » (Genèse 3. 10-13).
Est-ce que vous avez vu comment Adam et Ève ont répondu à Dieu ? Chacun a essayé de blâmer quelqu’un d’autre. Adam a accusé à la fois Dieu et Ève, en disant : "Ce n’est pas de ma faute ! La femme que tu m’as donnée, c’est de sa faute !" Quant à Ève, elle a rejeté la responsabilité sur le serpent, en disant : "Ne me blâme pas ! C’est la faute du serpent. Il m’a trompé". Mais Dieu, qui connaît le cœur de l’être humain, savait qu’ils étaient tous les deux coupables. Dieu ne les avait pas obligés de manger le fruit de l’arbre. Satan non plus ne les avait pas obligés à en manger. Satan peut tenter et tromper quelqu’un mais il ne peut pas forcer quelqu’un à pécher. Satan a trompé Ève, mais c’était de son propre choix qu’elle a mangé du fruit défendu.
Quant à Adam, les Écritures disent qu’il n’a pas été trompé
(1 Timothée 2. 14). Mais il a choisi de prendre son propre chemin, de suivre la voie du Diable. Adam savait parfaitement ce que Dieu avait ordonné mais il a choisi de s’écarter de la voie de la justice et de suivre la voie de l’injustice. Et non seulement il a désobéi à Dieu, mais il a ajouté le péché au péché en essayant de mettre le blâme sur d’autres.

Jusqu’à aujourd’hui, l’être humain cherche toujours à rejeter la responsabilité de son péché sur autrui, mais Dieu connaît la vérité. Au travers des Saintes Écritures, Dieu s’adresse aux êtres humans et leur dit : Où êtes-vous ? Répondez-moi. Qu’avez-vous fait ? Pourquoi refusez-vous de croire et d’obéir à ma Parole ? Pourquoi méprisez-vous ma bonté ? Pourquoi blâmez-vous votre prochain pour vos propres péchés ?. « Je suis Vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, et toute langue donnera gloire à Dieu. Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même » (Romains 14. 11-12).
Lire dans (Genèse 3. 14-19) pour voir comment Dieu a jugé Adam, Ève, Satan et le serpent.

Savez-vous que le péché d'Adam a produit dans ce monde la souffrance et la peine, des chardons et des broussailles, la terre sèche et la sueur, la maladie et la mort, etc... Oui, « le salaire du péché, c’est la mort » ! Est-ce qu’Adam et Ève ont été enterrés le jour même où ils en ont mangé ? Non ! Mais sont-ils morts ce jour-là ? Oui, certainement ! Ce jour là, Adam et Ève sont morts dans leur âme et dans leur esprit parce qu’ils n’étaient désormais plus en communion avec le seul Dieu Saint.
La mort, c’est la séparation d’avec Dieu. Quand Adam et Ève ont désobéi à Dieu, ils se sont séparés eux-mêmes de Dieu, la source de la vie. Puisqu’ils avaient choisi de croire et de suivre l’ennemi de Dieu, ils n’auront désormais plus part à la vie de Dieu. Car quiconque obéit à Satan est l’ennemi de Dieu car le péché sépare l’être humain de Dieu.
Nous sommes tous nés dans ce monde en étant « morts par [nos] fautes et par [nos] péchés » (Éphésiens 2. 1) et « étrangers à la vie de Dieu » (Éphésiens 4. 18). Peut-être que nous n’aimons pas entendre cela, mais c’est ce que dit la Parole de Dieu. Le jour où Adam a désobéi à Dieu, il est devenu pécheur. Adam, qui a rejeté le Règne de Dieu, est le père de tous les vivants. Le résultat du péché d’Adam c’est que maintenant, tous ses descendants sont pécheurs.
Le péché d’Adam a rompu sa communion avec Dieu. Le résultat de cela, c’est que tous les descendants d’Adam sont nés séparés de Dieu. C’est exactement ce que déclare la Parole de Dieu en disant : « le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et (...) ainsi la mort a passé sur tous les hommes, parce que tous ont péché » (Romains 5. 12). Le prophète David a écrit : « Voici, je suis né dans la faute, et ma mère m’a conçu dans le péché » (Romains 5. 12; Psaumes 51. 7).
Le péché est une calamité qui se répand dans le monde entier. C’est une terrible calamité qui s’est répandu sur toute la terre. C’est un meurtrier qui entraîne les gens dans la perdition éternelle en Enfer, et l’être humain, en lui-même, n’a aucun remède à cela.
Cependant, nous louons aujourd’hui Dieu avec des cœurs reconnaissants parce que Dieu Lui-même a pourvu à une solution au problème du péché (Jésus-Christ est la solution au problème du péché), et si nous acceptons cette solution, elle nous sauvera parfaitement et pour toujours du pénalité du péché, et nous irons vivre dans la sainte Présence de Dieu au Paradis.

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Le Nom Merveilleux de Jésus-Christ

7 Août 2019 Publié dans #Divers

"Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est merveilleux" (Juges 13. 18)
"Un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et le gouvernement sera sur son épaule; et on l'appellera : Merveilleux, Conseiller, Dieu fort, Père éternel, Prince de paix" (Ésaïe 9. 6)
Avant la venue de Jésus, les croyants attendaient le Messie. Des prophéties en parlaient dans la Bible. Il était annoncé que son nom serait : Merveilleux. Marie a reçu ce message : “Celui qui naîtra, saint, sera appelé Fils de Dieu” (Luc 1. 35). Sa venue parmi son peuple a été un grand sujet de joie et d'étonnement. Sa naissance extraordinaire a émerveillé tous ceux qui l'attendaient. Des cantiques montaient spontanément de leur cœur, une multitude d'anges dans le ciel donnaient gloire à Dieu.
Jésus-Christ, l'homme parfait, en qui Dieu trouve son plaisir est admirable. Ceux qui croyaient en Lui, par son enseignement et ses miracles, Le reconnaissaient comme “Emmanuel”, c'est-à-­dire Dieu avec eux.
Jésus est plus merveilleux encore : Il est le Dieu Sauveur qui, incompris de la foule, haï à cause de la pureté de sa conduite, se laisse clouer à la croix par des hommes iniques. Là, Jésus prie pour ses bourreaux : “Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font” (Luc 23. 34). Jésus ouvre au malfaiteur le Chemin du Ciel en lui disant : “Aujourd'hui, tu seras avec moi dans le paradis” (Luc 23. 43). Et Jésus règle pour toujours la question du péché de l'être humain qui offensait Dieu. Jésus dit : “C'est accompli” (Jean 19. 30), et Il entre volontairement et victorieusement dans la mort : “Père, entre tes mains je remets mon esprit” (Luc 23. 46). Alors, la terre tremble, des tombeaux s'ouvrent, des croyants ressuscitent… (Matthieu 27. 51-52). “Véritablement celui-ci était le Fils de Dieu” (Matthieu 27.54), s'exclame un chef de l'armée.
Jamais œil ne verra chose plus merveilleuse
Que la croix, où fut attaché Jésus-Christ
Le Prince de la vie, à l'heure ténébreuse
Où Dieu condamna le péché.

Mais le troisième jour après sa mort sur la croix, Jésus ressuscita et Il vit éternellement. "Jésus a reçu de Dieu le Père honneur et gloire, quand la gloire magnifique lui fit entendre une voix qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.(2 Pierre 1. 17)
Sachons qu'il n'y a pas d'autre nom qui soit donné parmi les êtres humains pour connaître Dieu. Le Nom unique que Dieu a donné aux êtres humains pour qu'ils soient sauvés, c'est le Nom de Jésus-Christ, son Fils bien-aimé, en qui Il a trouvé son plaisir. “Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16). La foi dans le Nom de Jésus sauve, délivre, transforme tous les êtres humains qui placent toute leur confiance en Jésus. Jésus les fait passer d'une vie sans espoir, marquée par le péché, vouée à la perdition éternelle ; à une vie libre, heureuse et éternelle dans la Gloire de Dieu. Qui d'autre, sinon le Christ, peut libérer quelqu'un des chaînes du mal ? Qu'il soit un criminel, un voleur, ou un persécuteur des chrétiens, tout être humain qui se reconnaît coupable devant Dieu, qui se repent de tous ses péchés, s'en détourne et qui se confie dans le Christ Jésus n'est pas seulement pardonné de tous ses péchés passés, présents et futurs, mais il devient une personne entièrement nouvelle : il est un enfant de Dieu. Il aime alors le bien et rejette le mal. Et il peut chanter en l'honneur de Celui dont le Nom est si Merveilleux : Jésus-Christ.
À toi, Jésus, nul n'est semblable,
Car toi seul est la vérité;
Tout, dans ta personne adorable,
Est amour, grandeur et beauté.

Déjà lorsque Jésus était sur la terre, Il “reçut de Dieu le Père honneur et gloire”. Après sa crucifixion, sa résurrection et son élevation dans le Ciel, “Dieu l'a élevé très haut et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus se plie tout genou… et que toute langue reconnaisse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père” (Philippiens 2. 9-11).
Au milieu de ton Trône suprême, Jésus tu sièges,
Agneau de Dieu qui fut crucifié sur la croix,
Et proclamé Roi des rois par Dieu Lui-même.

Je vous invite à prendre le temps d'écouter et de méditer sur les paroles de ces deux chants ci-dessous. Soyez davantage béni(e)s dans le Précieux Nom de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

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Dans ce monde, Jésus vécut une vie sans péché

1 Août 2019 Publié dans #Divers

Durant sa vie dans ce monde, Jésus-Christ vécu de manière vertueuse, sans jamais pécher et ceux qui Le connaissaient en témoignèrent, car ils L’avaient observé dans la vie quotidienne ainsi que dans les circonstances difficiles.

Vivre une vie sans péché, aussi exceptionnel que cela puisse paraître, ne prouverait pas nécessairement qu’une personne soit Dieu. Toutefois, puisque Jésus affirma qu’Il était Dieu, vécut vertueusement sans pécher et étaya Ses paroles par des miracles, ce n’est plus la même chose.

Qu'est ce que le péché :

La Bible déclare que « le péché est la transgression de la loi » (1 Jean 3. 4). Paul nous dit que « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 23).
Plus tard Paul déclare que « le salaire du péché c’est la mort » (Romains 6. 23). Dieu ne fera aucun compromis avec Sa loi de Justice et de Sainteté. Jésus déclara « qu’il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé » (Matthieu 5.18). La pénalité pour enfreindre cette loi sera payée.
« Plusieurs parmi la foule crurent en lui, et ils disaient : le Christ, quand il viendra, fera-t-il plus de miracles que n’en a fait celui-ci ? » (Jean 7. 31).

Puisque nous avons tous péché, nous avons tous mérité la mort, comme le dit Paul. Ceci est le sort de tous les êtres humains, à moins qu’une Personne ne vienne répondre pour nous aux exigences de la loi. C’est en effet ce que fit Jésus le Fils de Dieu, car il fallait que cette Personne soit Dieu. Aucune vie humaine ordinaire ne pouvait être suffisante pour satisfaire les exigences de la loi pour les péchés de toute l’humanité. La seule vie qui pouvait payer l’amende pour les péchés de nous tous, devait être la plus grande de toutes — celle du Dieu Créateur Lui-Même qui est Saint.
L’idée que le Dieu Créateur serait Celui qui mourrait pour les êtres humains pécheurs afin qu’ils vivent, fut concue bien avant la création de l’humanité. Jésus-Christ est le Créateur de toutes choses — Il est par conséquent plus grand que tout et en Lui se trouve la valeur inhérente capable de satisfaire aux exigences divines.

Ainsi, Il était essentiel pour Jésus de vivre une vie sans péché pour sauver le monde. Mais « Celui qui n’a point connu le péché, Dieu l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5. 21). Jésus est devenu l’offrande que la loi exigeait pour les péchés. « C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes » (Hébreux 10. 10).
Jésus savait que cela était le but majeur de Sa venue sur terre pour vivre en tant qu’être humain. « Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je ?… Père, délivre-moi de cette heure ?… Mais c’est pour cela que je suis venu jusqu’à cette heure » (Jean 12. 27).

Une vie sans péché sacrifiée pour nous :

Le prophète Ésaïe nous dit dans Esaïe 53 que Dieu le Père « a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous » (verset 6) et qu’Il a été « frappé pour les péchés de son peuple » (verset 8). Alors Ésaïe affirme Son innocence : « quoiqu’il n’ait point commis de violence et qu’il n’y ait point eu de fraude dans sa bouche » (verset 9).

Pierre, reprenant les paroles d’Ésaïe après la mort de Jésus, confirme que tel était bien le cas. « Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces. Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois. » (1 Pierre 2. 21-24).

Jésus n'a commis aucun péché — que ce soit en parole, en action ou en pensée, même face à la plus grande tentation possible et sous le stress ! Hébreux 4. 15 le décrit ainsi : « Il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché ».
Les personnes les plus proches de Jésus (ses disciples) — qui voyagaient avec Lui, mangeaient, marchaient et parlaient avec Lui continuellement tout au long de Son ministère — en témoignèrent et étaient prêtes à mourir parce qu’elles croyaient que Jésus était Le Fils de Dieu sans péché.

Jésus-Christ défia Ses ennemis en disant : « Qui de vous me convaincra de péché ? » (Jean 8. 46). Le récit montre que la seule chose que les ennemis de Jésus pouvaient faire était de Lui lancer de fausses accusations sans fondement : « nous ne sommes pas des enfants illégitimes » — ce qui implique que Jésus L’était (verset 41) ; et « Il égare la multitude » (Jean 7. 12), « Il a un démon, il est fou » (10. 20). Même lors du procès de Jésus, Ses accusateurs durent recourir à de faux témoins, car personne ne fut en mesure d’attester une mauvaise action commise par Jésus (Matthieu 26. 59-61).

Même ceux qui ne faisaient pas partie des disciples de Jésus s’accordèrent pour dire que le caractère de Jésus de Nazareth était sans reproche. Le verdict de Pilate fut : « je ne trouve point de crime en lui » (Jean 19. 6). Le centurion qui supervisait l’exécution de Jésus témoigna que Jésus était certainament juste : « il glorifia Dieu, disant, certainement, cet homme était juste ! » (Luc 23. 47)

L’un des criminels crucifiés avec Jésus confirma cette droiture de Jésus dont il fut témoin. Il réprimanda l’autre condamné : « Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes ; mais celui-ci n’a rien fait de mal » (Luc 23. 40-41). Jésus vécu de manière vertueuse, sans jamais pécher et ceux qui Le connaissaient en témoignèrent, car ils L’avaient observé dans la vie quotidienne ainsi que dans les circonstances difficiles. Le caractère de Jésus, qui est le Fils de Dieu parfait et sans péché,   était en lui-même une preuve que tout ce qu’Il proclamait de Lui était la Vérité.

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Quel corps aurons-nous au Ciel ?

30 Juillet 2019 Publié dans #Divers

La Bible parle peu de comment sera la vie au Ciel, mais nous savons que nous aurons certainement un corps physique glorifié, bien que différent de notre corps actuel et semblable à celui de Jésus. 1 Corinthiens 15. 52 dit que « les morts ressusciteront incorruptibles » et que ceux qui seront restés vivants au moment du Retour de Christ « seront transformés ». Jésus-Christ est le « premier » à être passé par la Résurrection (1 Corinthiens 15. 20, 23), Il est notre exemple qui nous montre la voie. 1 Corinthiens 15. 42 dit que « notre corps est semé corruptible, il ressuscite incorruptible ». En préfiguration de la résurrection des croyants, quelques personnes ont déjà été ressuscitées au moment de celle de Christ : Matthieu 27. 52 dit que leurs « corps […] ressuscitèrent ». En Jean 20. 27, Thomas a été invité à toucher physiquement le corps de Christ après sa résurrection, ce qui montre que son corps était certainement solide.

Tous les croyants en Jésus, ressuscités, auront certainement un corps semblable à celui de Christ. Quelle vérité merveilleuse ! En Apocalypse 22.2, Jean raconte sa vision de l'éternité : « Au milieu de la place de la ville et entre les deux bras du fleuve se trouvait l'arbre de vie qui produit douze récoltes ; il donne son fruit chaque mois ». Cette scène semble être une inversion du jugement de Genèse 3, qui a barré l'accès à cet arbre à Adam et Ève, donc à toute l'humanité. Par ailleurs, au Ciel il n'y aura plus de faim. Ésaïe 49.10 dit qu'il n'y aura plus ni faim, ni soif, au Ciel, pendant le Millénium et pour l'éternité (voir aussi Apocalypse 7.14-16).

Oui, au Ciel, nos corps seront glorifiés pour l'éternité. Quelle qu'en soit la forme, nous savons qu'elle sera parfaite, pure et sans péché.

En quoi notre corps ressuscité sera-t-il différent de notre corps actuel ?

Dans 1 Corinthiens 15. 35-57, l'apôtre Paul aborde les grandes différences entre notre corps terrestre et notre corps ressuscité. Il met en opposition notre corps terrestre et la splendeur de notre corps céleste (ressuscité) : « Le corps est semé corruptible, il ressuscite incorruptible. Il est semé méprisable, il ressuscite glorieux. Il est semé faible, il ressuscite plein de force. Il est semé corps naturel, il ressuscite corps spirituel » (1 Corinthiens 15. 42-44). Pour résumer, notre corps ressuscité sera spirituel, incorruptible, puissant et glorieux.

C'est du premier Adam que nous avons hérité notre corps naturel, parfaitement adapté à notre environnement terrestre, mais il est devenu périssable à cause du péché. Après avoir désobéi à Dieu, l'être humain est devenu mortel. Le vieillissement, la détérioration physique et, enfin, la mort nous concernent tous à présent. Nous sommes poussière et retournerons à la poussière (Genèse 3. 19, Ecclésiaste 3. 20). Notre corps ressuscité, lui, sera « ressuscit[é] incorruptible ». Il ne connaîtra jamais la maladie, la détérioration, la corruption ni la mort. « Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité […], alors s'accomplira cette parole de l'Écriture : La mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15. 54).

À cause de la chute, nous sommes « semé[s] méprisable[s] ». Alors qu'à l'origine, nous avions été créés parfaits, à l'image de Dieu (Genèse 1. 27). Le péché nous a déshonorés, mais nous les croyants en Jésus avons reçu la promesse qu'un jour, notre corps imparfait et méprisable ressuscitera glorieux. Notre corps ressuscité, libéré des restrictions imposées par le péché, sera plein d'honneur et parfaitement adapté à la louange et au service éternel de notre Créateur.

Notre corps actuel se caractérise également par sa faiblesse et sa fragilité. Notre « temple » terrestre est fragile et exposé aux maladies causées par le péché. Nous sommes également soumis au péché et à la tentation ; mais un jour, notre corps ressuscitera puissant et glorieux et nous ne serons plus soumis à la faiblesse et à la fragilité de notre vie actuelle.

Enfin, notre corps ressuscité sera un corps spirituel. Notre corps naturel est adapté à la vie sur terre, mais ne peut survivre ailleurs. « Notre nature actuelle ne peut pas hériter du royaume de Dieu » (1 Corinthiens 15. 50). Après la résurrection, nous recevrons un « corps spirituel », parfaitement adapté à la vie au Ciel. Cela ne veut pas dire que nous serons pur esprit, car les esprits n'ont pas de corps, mais que notre corps ressuscité n'aura pas besoin de nourriture physique et ne dépendra d'aucun moyen de subsistance naturel.

Les apparitions de Jésus après sa résurrection nous donnent un aperçu de ce que sera notre corps ressuscité. Ses blessures à la crucifixion étaient toujours visibles et ses disciples pouvaient le toucher physiquement, mais Jésus pouvait se déplacer sans effort et apparaître et disparaître à volonté. Jésus mangeait, buvait, s'asseyait et parlait, mais Il pouvait aussi traverser les portes et les murs. La Bible dit que notre « corps de misère » sera « conforme à son corps glorieux » (Philippiens 3. 21). Les limites physiques dues au péché, qui nous empêchent de servir pleinement Jésus sur terre, auront disparu pour toujours, si bien que nous serons libres de Le louer, de Le servir et de Le glorifier pour l'éternité.

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Jésus-Christ est le chemin, la vérité et la vie

26 Juillet 2019 Publié dans #Divers

"Je suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père que par moi" (Jean 14. 6).

Jésus-Christ est le Chemin :

Avant d’affronter la croix, Jésus dit à ses disciples : « Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous préparer une place. Et si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi. Or vous savez où moi je vais, et vous en savez le chemin. ». Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? ». Jésus lui dit : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie ; personne ne vient au Père si ce n'est par moi. » (Jean 14. 2-6).

Pour se rendre à un lieu et connaître celui qui l’habite, il faut en connaître le chemin. Beaucoup veulent gagner leur place au Ciel par des chemins détournés qui peuvent être la religion, les bonnes œuvres, les prières apprises par cœur, les offrandes, etc... Aucun de ces chemins ne mènent au Ciel. Seul, Jésus-Christ est le chemin qui mène à la Vie : « Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a pas non plus sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés » (Actes 4. 12). En suivant ce chemin, c'est-à-dire en recevant Jésus, en croyant en Lui, nous devenons enfants de Dieu, Le connaissant comme notre Père (Jean 1. 12).

Mais quel chemin le Seigneur Jésus a-t-il dû prendre pour qu’il soit Lui-même le chemin ? Philippiens 2. 5-8 répond : « Jésus, existant en forme de Dieu, n’a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver, mais s’est anéanti lui-même, prenant la forme d’esclave, étant fait à la ressemblance des hommes ; et, trouvé quant à son aspect comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix ».

Voilà le chemin que le Seigneur Jésus a dû prendre pour que des pécheurs tels nous puissent avoir accès au Père et avoir une place dans sa maison. De la Gloire où Jésus se trouvait de toute éternité, Il est descendu sur cette terre souillée, s’abaissant Lui-même en prenant la forme d’un esclave. Il s’est offert Lui-même en sacrifice pour payer le terrible prix de nos péchés. Il est allé jusqu’à la mort, à la mort honteuse de la croix ! Il a pris le chemin d’abaissement suprême de la gloire éternelle à la mort pour être le chemin qui nous mène de la perdition à la gloire de la maison du Père !

Jésus est ressuscité et remonté au Ciel. Bientôt, Il reviendra pour prendre tous ceux et toutes celles qui Le connaissent comme étant le chemin, la vérité et la vie, et Il les introduira dans la maison du Père où Il a préparé une place pour chacun d’eux. « Et ainsi, nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4. 18). Cher lecteur, chère lectrice, y serez-vous ?

Jésus-Christ est la Vérité :

« Qu’est-ce que la vérité ? ». Cette question fut posée par Pilate à Jésus lors de son procès. Hélas, Pilate n'attendit pas la réponse : « il sortit de nouveau vers les Juifs » (Jean 18. 38). Il est comme beaucoup que cette question n’intéresse pas car ils ont peur d’entendre la vérité. Comment les hommes qui ne connaissent pas Dieu, ayant perdu tout contact avec lui peuvent-ils connaître la Vérité ? Dieu seul – donc Jésus seul – connaît tout car il est la Vérité. N’a-t-il pas affirmé : « Moi, je suis le chemin, et la vérité… » (Jean 14. 16) ?

Au jardin d'Eden, Le diable Satan avait déclaré à l'homme que le jugement prononcé n'arriverait pas s'il désobéissait. A la croix, Jésus a rétabli la vérité d'une manière complète. Prenant sur lui le jugement que nous méritions tous, il a prouvé que Dieu ne pouvait pas passer à côté du péché. Sa sainteté et sa justice exigeaient le châtiment de la désobéissance et du mal. Jésus, le Fils de Dieu, l’Homme parfait, l’a subi pour nous.

Qu’est-ce que la vérité ? En voici un résumé succinct :
- « Tous ont péché » (Romains 3. 23).
- L’homme pécheur ne peut pas accéder à la présence du Dieu saint qui a les yeux trop purs pour voir le mal (Habakuk 1. 13).
- Dieu est juste en condamnant le péché et en punissant le pécheur.
- « Dieu est amour » (1 Jean 4. 9, 16). A cause de son grand amour, « il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).

La Vérité se trouve dans la plénitude de la divinité :
- en Dieu le Père : « Ta Parole est la vérité » a dit Jésus (Jean 17. 17).
- en Dieu le Fils : « Moi, je suis la vérité » a-t-il déclaré (Jean 14. 6).
- en Dieu le Saint Esprit : « L’Esprit est la vérité » (1 Jean 5. 7).....

Jésus dit aux Juifs qui avaient cru en lui : « Si vous persévérez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples. Et vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres […] .Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » (Jean 8. 31, 32 et 36).

A toi, Jésus, nul n'est semblable, car toi seul est la Vérité. Tout, dans ta personne adorable est amour, grandeur et beauté.  

Jésus-Christ est la vie :

Jésus l’a déclaré à plusieurs reprises : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14. 6). « Moi, je suis la résurrection et la vie » (Jean 11. 25).

L’Evangile selon Jean commence par ces mots : « Au commencement était la Parole ; et la Parole était auprès de Dieu ; et la Parole était Dieu. Elle était au commencement auprès de Dieu. Tout fut fait par elle ; et sans elle, pas une seule chose ne fut faite de ce qui a été fait. En elle était la vie… » (Jean 1. 1-4).
En continuant la lecture, il est aisé de comprendre que la Parole (ou le Verbe) n’était autre que Jésus Christ, « la Parole faite chair » (v. 14). « Incontestablement, le mystère de la piété est grand : Dieu a été manifesté en chair » (1 Timothée 3. 16).
C’est Jésus qui, d’une seule parole, a créé les cieux et la terre et tout ce qui s’y trouve. Il créa les êtres vivants et souffla en l’homme un souffle de vie et l’homme devint une âme vivante (Genèse 2. 7). L’âme de l’être humain demeure éternellement.
C’est Jésus aussi, le Créateur de tout ce qui existe, qui s’est fait homme pour parcourir humblement le pays d’Israël, allant de lieu en lieu, n’ayant pas d’endroit où reposer sa tête (Luc 9. 58) pour apporter la vie aux hommes spirituellement morts dans leurs fautes et leurs péchés. Car depuis que le péché est entré dans le monde, la vie spirituelle, la vraie vie donnant la capacité de communiquer avec Dieu, a été remplacée par la mort, l’absence de relations avec Dieu.

Mais « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16). « Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde afin que nous vivions par lui » (1 Jean 4 v.9). Jésus a dit : « Moi, je suis venu afin que mes brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance. Moi, je suis le bon berger : le bon berger laisse sa vie pour les brebis… Moi, je leur donne la vie éternelle ; elles ne périront jamais… » (Jean 10. 10-11, 28).

Réalisons-nous que Celui qui EST la vie donne SA vie pour des êtres pécheurs tels que nous ? Déjà que Dieu se fasse homme (Dieu manifesté en chair) est un grand mystère, mais qu’il donne SA vie, ce qu’il est lui-même… !
Le ciel a visité la terre : Emmanuel vient jusqu’à nous. Dieu se fait homme : ô saint mystère ! Que son peuple adore à genoux !
Amour impossible à comprendre, le Fils de Dieu, le Créateur, descendit vers nous, pécheurs, sous les traits du vrai Serviteur.
Ce grand amour qui s’humilie, est descendu plus bas encore : Le Fils de l’homme offre sa vie et meurt pour un monde perdu !

« Personne n'a de plus grand amour que celui-ci : qu'il donne sa vie pour ses amis » (Jean 15. 13). « Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle » (Jean 3. 36). « Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie » (1 Jean 5. 11-12).
Jésus est la vie ; le croyant ayant la vie a donc Jésus habitant en lui par son Esprit (voir Jean 14 fin du v.23). L’apôtre Paul a écrit : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. » (Galates 2. 20) et : « Pour moi, vivre, c’est Christ » (Philippiens 1. 21).

Et nous, vivons-nous pour Christ ?

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