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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)

divers

Réponses bibliques à quelques questions

9 Août 2020 Publié dans #Divers, #Salut

Comment en savoir plus sur la vie éternelle ?
“Sondez les Écritures, car vous, vous estimez avoir en elles la vie éternelle, et ce sont elles qui rendent témoignage de moi”. (Jean 5. 39)

Que dit la Bible sur l'au-delà ?
“Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois – et après cela le jugement”. (Hébreux 9. 27)

Que faut-il faire, alors, pour échapper au jugement de Dieu ?
“Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé”. (Actes 16. 31)

Les bonnes œuvres ne suffisent-elles pas pour obtenir la vie éternelle ?
“C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie”. (Éphésiens 2. 8-9)
“Il nous sauva, non sur la base d'oeuvres accomplies en justice que nous, nous aurions faites, mais selon sa propre miséricorde”. (Tite 3. 5)

Peut-on être sûr d'avoir la vie éternelle ?
“Tout cela, je vous l'ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu”. (1 Jean 5. 13)

Dieu accepte-t-il n'importe qui, sans tenir compte de son passé ?
“Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous”. (Romains 5. 8)
Jésus dit : “Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors”. (Jean 6. 37)

Est-il possible d'avoir la certitude que nos péchés sont complètement pardonnés ?
“Venez, et plaidons ensemble, dit l'Éternel : si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige”. (Esaïe 1. 18)
“Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité”. (1 Jean 1. 9)
“Autant l'orient est loin de l'occident, autant il a éloigné de nous nos transgressions”.(Psaume 103. 12)

Que devient celui qui accepte Jésus Christ dans sa vie ?
“A tous ceux qui l'ont reçu, il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à-dire à ceux qui croient en son nom”. (Jean 1. 12)
“Si quelqu'un est en Christ, c'est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles”. (2 Corinthiens 5. 17)
“Que le méchant abandonne sa voie, et l'être humain inique, ses pensées, et qu'il retourne à l'Éternel, et il aura compassion de lui, et à notre Dieu, car il pardonne abondamment”. (Esaïe 55. 7)

Comment savoir que Dieu nous écoute ?
“Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé”. (Romains 10. 13)
“Crie vers moi, et je te répondrai, et je te déclarerai des choses grandes et cachées que tu ne sais pas”. (Jérémie 33. 3)
“La main de l'Éternel n'est pas devenue trop courte pour délivrer, ni son oreille trop dure pour entendre”. (Esaïe 59. 1)

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Pour ôter le péché du monde

8 Août 2020 Publié dans #Divers

“Voilà l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde !” (Jean 1. 29)

Cette exclamation de Jean Baptiste voyant Jésus venir à lui ouvre devant nous une perspective infinie qui embrasse toute l’histoire de l’humanité et en déborde les limites.

À l’issue des six jours de la création, Dieu constate que tout ce qu’il vient de faire est très bon (Genèse 1. 31). Mais bientôt Adam et Ève, séduits par le serpent, désobéissent: le péché est introduit dans ce monde et vient, comme une tache apparemment ineffaçable, ternir la gloire de Dieu.

Dieu pourrait-il en rester là et admettre que son plan d’amour ne s’accomplisse pas comme il l’a prévu ? Bien sûr que non !

C’est pourquoi, son Fils Jésus devint homme. Oui, Jésus s'est fait homme Saint, sans péché, Lui l’Agneau de Dieu, la victime dont le sacrifice effacera cette tache du péché devenue aussi gigantesque. Jean-Baptiste, le plus grand des prophètes, présente Jésus-Christ sous ce caractère et annonce les conséquences infinies de sa croix.

Puis, après avoir accompli le salut pour nous, Jésus voit la foule innombrable des rachetés qui constitueront l’Église. Il distingue l’accomplissement des promesses de Dieu à Abraham, par l’Avènement du règne millénaire de Christ sur une terre restaurée et délivrée de la servitude du péché. Par-dessus tout, Jésus annonce le moment où le péché aura entièrement disparu de devant Dieu.

“Ensuite sera la fin, quand Jésus aura remis le Royaume à Dieu le Père, quand Il aura aboli tout pouvoir, toute autorité, et toute puissance” (1 Corinthiens 15. 24).

"Dieu a tout placé sous ses pieds, et ce Christ qui domine toutes choses, il l'a donné pour Chef à l'Église qui est son corps, lui en qui habite la plénitude du Dieu qui remplit tout en tous." (Éphésiens 1. 22-23)

L’apôtre Paul a reçu des révélations concernant ce terme final de l’histoire de l’humanité. Quand le Seigneur Jésus aura aboli tout le système du mal et le péché lui-même. Le dernier ennemi, la mort, conséquence du péché, pourra elle aussi être abolie. Le moment sera alors venu pour que commence « l’état éternel » où Dieu sera "tout en tous" (1 Corinthiens 15. 28).

Éternel sujet d’adoration ! Jésus Christ est “l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin(Apocalypse 21. 6). Il est celui par qui “Dieu a fait les mondes(Hebreux 1. 2) et celui qui remettra à son Père une création entièrement débarrassée, par son sacrifice à la croix, du péché qui la souille encore.

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(2) Nous avons part à la Souveraineté de Dieu

29 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Après Sa mort et Sa résurrection, le Seigneur Jésus-Christ a reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre : "Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit,et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit" (Matthieu 28. 18-20).
"Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris" (Marc 16. 15-18).
"En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père" (Jean 14. 12).

Remarquez que le Seigneur Jésus, après avoir reçu tout pouvoir, délègue aussitôt à Ses disciples ce pouvoir, pour qu'ils accomplissent en Son Nom les mêmes œuvres que Lui-même avait accomplies au cours de Son ministère.
Il en découle un principe biblique très important : Si Dieu nous demande de faire quelque chose, Il ne le fera pas à notre place, si nous ne le faisons pas ! Ne L'accusons donc pas des conséquences de notre désobéissance !

Voici de quelle manière l'apôtre Paul définit la manière dont les disciples de Christ doivent exercer l'autorité qu'ils ont reçue du Seigneur Jésus : "Si par l’offense d’un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ lui seul" (Romains 5. 17).
Paul ne dit pas que c'est Jésus qui régnera dans la vie, par nous ! Mais il dit que c'est nous qui régnerons dans la vie, par Jésus-Christ Lui seul. Le fait de "régner" implique, de la part de celui qui règne, l'exercice d'une autorité et d'une souveraineté.
Bien entendu, le Seigneur notre Dieu est le seul Souverain Suprême, et Il le restera toujours. Mais, dans Sa grâce et dans Sa bonté, Il a décidé de nous associer à Son règne, nous qui sommes membres de Son Église.
Cela signifie que nous avons une grande responsabilité, celle d'accepter de régner dans la vie, comme le Seigneur Jésus a régné dans la vie, au cours de Son ministère terrestre. Nous ne pouvons pas, et nous ne devons pas, nous soustraire à cette responsabilité, par ignorance ou par incrédulité.

Quand Paul parle de "régner dans la vie," il ne fait pas allusion au règne de l’Épouse avec Christ pendant le Millénium, ou dans l'éternité. Mais il parle de régner dans cette vie présente.
Si nous ne le faisons pas, nous priverons Dieu d'une partie de Sa souveraineté, celle qu'Il nous a déléguée, et qu'Il nous a demandé d'exercer en Son Nom. Rappelons-nous que Dieu ne fera pas à notre place ce qu'Il nous a demandé de faire. Si nous ne le faisons pas, c'est que nous ne laissons pas Sa gloire se manifester !

Comme le Royaume de Christ n'est pas de ce monde, du moins pas encore, sur quoi et de quelle manière devons-nous régner dans cette vie actuelle ? Essentiellement, nous sommes appelés à régner sur Satan et toutes ses œuvres, que ce soient le péché, la chair, les maladies et les infirmités, et toute forme de malédiction héritée du péché.
Nous ne sommes plus esclaves de toutes ces choses ! Mais nous sommes appelés à les dominer, à les détruire, et à les empêcher de se manifester dans notre vie, afin de ne plus laisser à Satan le moindre contrôle sur nous !
"Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté" (Éphésiens 6. 10-13).
"Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous" (Jacques 4. 7).
"Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde" (1 Pierre 5. 8-9).

Résistez ! Résistez ! Nous ne pouvons résister victorieusement aux attaques de Satan que si nous connaissons notre position en Christ, et si nous avons réalisé que Dieu, en Christ, nous a donné l'autorité de régner dans cette vie sur toutes les œuvres du malin. Sinon, le diable va continuer à exercer une autorité qu'il n'a plus le droit d'exercer.
C'est à nous de combattre et de vaincre un ennemi déjà vaincu par Dieu notre Créateur, après nous être revêtus de toutes les armes spirituelles que Dieu a mises à notre disposition : le précieux sang de Jésus, l'onction de Son Esprit, les dons et le fruit de Son Esprit, et Sa divine Parole prononcée par nous avec foi, etc...

Notre "pays de Canaan" spirituel est devant nous ! C'est tout l'héritage que nous possédons en Christ. Mais il y a encore dans ce pays des villes ennemies fortifiées et des géants ! Dieu nous demande de les conquérir à la pointe de Son épée ! C'est la Parole de Dieu dans notre cœur, sur nos lèvres et dans nos actes qui nous donnera la victoire !
Nous avons la victoire, quand nous prononçons de notre bouche un Amen de foi à toutes les promesses de Dieu, et que nous pouvons dire à Satan avec assurance et autorité, comme Jésus dans le désert : "Satan, il est écrit !"
En outre, ne nous laissons jamais reprendre ou voler ce qui nous appartient, et que nous avons conquis par la foi ! Car, jusqu'au bout, l'ennemi cherchera à nous reprendre le terrain qu'il a perdu ! C'est pourquoi le Seigneur nous dit : "Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne" (Apocalypse 3. 11).

Amen! Viens Seigneur Jésus!

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(1) La Souveraineté de Dieu

28 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Certains affirment que tout ce qui arrive dans le monde est nécessairement voulu, ou du moins permis par Dieu, parce que Dieu est absolument Souverain, et qu'Il a tout sous Son contrôle. Mais est-ce bien ainsi que la Bible définit la Souveraineté de Dieu ?

Par définition, Dieu, en tant qu'Être Suprême, est le seul à être Souverain. Comment alors définir cette Souveraineté de Dieu ?

La souveraineté peut être définie comme un pouvoir absolu et perpétuel, qui l'emporte sur tous les autres, et qui n'admet aucune restriction dans son exercice.

Il est clair que seul Dieu possède un tel pouvoir, et qu'Il est le seul à pouvoir l'exercer avec une parfaite sagesse, un parfait amour, et une parfaite justice.

Nous pouvons constater, dès le début du Livre de la Genèse, de quelle manière le Seigneur Dieu a créé l'univers et tout ce qu'il contient. Il Lui a suffi de prononcer quelques paroles, pour que la puissance de Son Esprit manifeste aussitôt ce qui n'existait pas ! "Dieu dit : Que la lumière soit! Et la lumière fut !" (Genèse 1. 3).

Le sixième jour, après avoir tout créé par Sa Parole, Dieu créa l'homme à Son image, selon Sa ressemblance, voir Genèse 1. 26-28.
Nous constatons, dès la création de l'être humain, que le Seigneur Dieu Tout-Puissant a décidé de déléguer une partie de Son autorité à l'homme qu'Il a créé. Cet homme doit dominer, remplir la terre et l'assujettir. Ce n'est pas Dieu qui le fera à sa place. Adam et Eve, tout en restant soumis à l'autorité suprême de Dieu, puisqu'ils devaient continuer à obéir à Ses commandements, avaient reçu du Seigneur Dieu la responsabilité de dominer sur toute la création.
En créant l'homme à Son image, Dieu lui a aussi donné le libre-arbitre. L'homme avait donc le choix d'obéir à Dieu ou de Lui désobéir, de Le suivre ou de Le quitter. Ce libre-arbitre, nous l'avons conservé après la chute. Dans le Livre du Deutéronome, donc bien après la chute, Dieu dit à Son peuple : "J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité" (Deutéronome 30. 19).
Si Dieu ordonne à Son peuple de choisir la vie, c'est qu'il peut le faire ! Dieu serait injuste, s'Il nous demandait de faire quelque chose que nous ne pourrions pas faire. En effet, quand Dieu a donné à l'homme la liberté de choix, Il a souverainement décidé de déléguer à l'homme une partie de Sa souveraineté. L'homme devait l'exercer comme Dieu l'aurait exercée Lui-même.
Est-ce à dire que Dieu, en nous donnant le libre-arbitre, avait abandonné cette partie de Sa souveraineté ? Non, Il l'avait simplement déléguée. L'homme et la femme pouvaient, et devaient même, exercer cette domination qui leur avait été déléguée, mais toujours au nom du Seigneur. Ils pouvaient continuer à l'exercer, aussi longtemps qu'eux-mêmes continueraient à rester soumis au Seigneur, et à obéir à l'ordre qu'Il avait donné à Adam : "L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin;mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras" (Genèse 2. 16-17).
Lorsque Adam et Eve eurent choisi de désobéir à cet ordre formel, ils tombèrent dans la mort spirituelle, furent coupés de Dieu, et ce fut alors le diable qui devint leur maître. "C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché" (Romains 5. 12).
L'homme est alors devenu l'esclave de la loi du péché et de la mort. Et c'est Satan qui est devenu le prince et le dieu de ce monde (Jean 12. 31 ; 16. 11).

Lorsque Satan vint tenter Jésus dans le désert, le diable lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et Lui dit : "Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux" (Luc 4. 6). Jésus ne contesta pas cette affirmation, car, depuis la chute, c'était la réalité. "Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin" (1 Jean 5. 19).
"Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion" (Éphésiens 2. 1-2).
Satan est donc bien appelé le "dieu de ce siècle," "le prince de la puissance de l'air," qui tient le monde entier sous sa puissance. Le diable ne cherche qu'à dérober, égorger et détruire (Jean 10: 10). Cela signifie que toutes les catastrophes qui surviennent sur la terre, depuis la chute, ne sont pas l’œuvre de Dieu, mais doivent être attribuées à Satan, puisqu'il est le maître de ce monde.

Dieu avait établi une loi : "Car le salaire du péché, c’est la mort" (Romains 6: 23). La conséquence du péché, c'est toujours la mort. Dans cette mort, sont inclues toutes ces calamités et malédictions que nous venons d'énumérer. Dieu n'en est donc pas le responsable direct. Mais, dans Sa justice, Il a établi une loi, selon laquelle le péché devait entraîner la malédiction et la mort. Si un être humain choisit de pécher, il doit en subir les conséquences. Mais il ne doit pas accuser Dieu d'être le responsable de ces conséquences.

Certains posent la question : "Mais pourquoi Dieu, puisqu'Il en a le pouvoir, n'intervient-Il pas pour empêcher le diable de faire tout ce mal sur la terre ?" Dieu ne va pas violer les lois qu'Il a Lui-même établies. Le seul moyen que Dieu donne aux êtres humains pour échapper à Satan et à tout ce mal, c'est de se repentir de tous leurs péchés et de recevoir comme Sauveur et Maître le Seigneur Jésus, qui a vaincu Satan à la croix.
Gloire à Dieu ! Le Seigneur Jésus est venu pour détruire le péché et toutes les oeuvres du diable, et pour lui ôter toute sa puissance et nous donner la rédemption, la rémission des péchés" Voir Colossiens 2: 13-15 ; Colossiens 1: 12-14.
En Christ, non seulement nous avons été libérés de la domination de Satan et de ses oeuvres, mais nous avons aussi été restaurés dans l'autorité que nous devons exercer sur le diable et sur le monde. En Christ, nous sommes de nouvelles créations appelées à régner !

LIRE AUSSI : (2) Nous avons part à la Souveraineté de Dieu

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Comment évangéliser ?

21 Juillet 2020 Publié dans #Divers, #Choix

Il y a plusieurs formes d'évangélisation dont voici les deux principales : la prédication et le témoignage.
Chaque disciple de Christ est une lampe qui brille dans le monde.
"Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée; et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux" (Matthieu 5. 14-16).
"Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera" (1 Pierre 2. 12).
"Seulement, conduisez-vous d’une manière digne de l’Évangile de Christ ... demeurez fermes dans un même esprit, combattant d’une même âme pour la foi de l’Évangile ..."  Philippiens 1:27

C'est une chose certaine, la plus grande force de l'évangélisation c'est notre témoignage personnel et celui des églises. Quelle vision donnons au monde ?
Le message est claire : ... afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie. (Philippiens 2. 15).
Ce qui frappe les gens, ce n'est pas tant nos discours que nos actes, la façon dont nous nous comportons. "Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes oeuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera" (1 Pierre 2. 12).
Notre témoignage personnel est directement visible par notre entourage, celui des églises est évident dans le quartier.

Quel spectacle donnons au monde ? Celui de nos divisions, de nos querelles, de nos rivalités, de notre esprit sectaire ? Jésus dit :  "A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres." (Jean 13:35).
Dans notre travail d'évangélisation, nous devons aussi respecter le travail des autres prédicateurs. Nous ne sommes ni les seuls, ni les meilleurs. Lorsque nous voulons entreprendre une œuvre d'évangélisation, nous devons regarder autour de nous. Des ouvriers sont déjà dans le champ, à l'œuvre depuis parfois des années. Nous récolterons peut-être ce qu'ils ont semé, mais nous devons respecter leur présence et leur travail.
Autant que cela est possible recherchons la main d'association, afin de ne pas bâtir sur les fondations et avec les matériaux des autres.

Évangéliser avec la puissance de Dieu :
La force de l'évangélisation, c'est la manifestation de la puissance de Dieu, lorsque le Seigneur rend lui-même témoignage à sa Parole et confirme le message que nous annonçons.
Lorsque les premiers disciples ont commencé leur mission, ils l'ont fait après avoir été remplis du Saint-Esprit, selon ce que Jésus leur avait recommandé : "Et voici, j’enverrai sur vous ce que mon Père a promis; mais vous, restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut". (Luc 24. 49).

Ce n'est qu'après avoir été revêtus de la puissance d'en haut qu'ils ont pu obéir à l'ordre de Jésus de prêcher la Bonne Nouvelle et nous en lisons les résultats dès les premiers chapitres des Actes des apôtres.
"Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres: Hommes frères, que ferons-nous? Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. ... Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s’augmenta d’environ trois mille âmes.     Actes 2.37- 41

La main du Seigneur était avec eux, et un grand nombre de personnes crurent et se convertirent au Seigneur (Actes 11:21).
Ils restèrent cependant assez longtemps à Icone, parlant avec assurance, appuyés sur le Seigneur, qui rendait témoignage à la parole de sa grâce et permettait qu’il se fît par leurs mains des prodiges et des miracles (Actes 14. 3).
Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient. (Marc 16. 20).

C'est le modèle. Nous disposons aujourd'hui de moyens de communication que les premiers disciples n'avaient pas, mais peut-être qu'il nous manque ce que eux possédaient : - Ils étaient revêtus de la puissance d'en haut. - Le Seigneur travaillait avec eux

Jésus Lui-même a été revêtu du Saint-Esprit et a reçu le témoignage de son Père, ainsi que ses disciples. "Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé. Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi" (Jean 5. 36-37).
Ils restèrent cependant assez longtemps à Icone, parlant avec assurance, appuyés sur le Seigneur, qui rendait témoignage à la parole de sa grâce et permettait qu’il se fît par leurs mains des prodiges et des miracles. (Actes 14. 3).
"Car je n’oserais mentionner aucune chose que Christ n’ait pas faite par moi pour amener les païens à l’obéissance, par la parole et par les actes,  par la puissance des miracles et des prodiges, par la puissance de l’Esprit de Dieu, en sorte que, depuis Jérusalem et les pays voisins jusqu’en Illyrie, j’ai abondamment répandu l’Évangile de Christ" (Romains 15.17-19).
Notre bonne volonté, nos propres désirs, notre zèle, notre énergie, nos plans, nos méthodes, nos moyens, humains sont insuffisants. Le Seigneur l'a dit dans Luc 24. 46-49 : ...  mais vous, restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut.

Nous ne sommes pas meilleurs qu'eux, mais souvent téméraires et impétueux. Nous manquons de sagesse et nous ne sommes pas obéissants, alors nous semons beaucoup et nos récoltons peu, car nous ne remplissons pas les bonnes conditions, celles de Dieu.
Avant d'entreprendre quelque chose, attendez que le Seigneur vous rende capables, car naturellement vous ne l'êtes pas.
"Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu" (2 Corinthiens 3. 5).

Certes, vous pouvez parler et agir, mais le royaume dans lequel nous travaillons n'est pas régi par des lois naturelles et humaines.
C'est le Royaume de Dieu, ses règles sont divines, spirituelles et surnaturelles. Il n'obéit pas à nos conceptions. C'est parce que nous ne voulons pas comprendre cela que nous ne pouvons pas surmonter certains obstacles.
Le résultat de l'évangélisation est directement lié à l'œuvre du Saint-Esprit concernant la conviction qui s'empare de ceux qui entendent l’Évangile et à la démonstration des miracles et des guérisons qui accompagnent la Parole.
Nous avons besoin de prendre conscience de plusieurs choses si nous voulons que notre évangélisation soit conforme à la pensée de Dieu et de Christ :
- annoncer le bon message, tout le conseil de Dieu (Actes 20. 27).
- en parler comme il se doit, avec assurance et à propos. (Colossiens 4. 6).
- prier afin que le Seigneur ouvre les portes (Colossiens 4. 3).
- discerner et saisir les occasions (2 Timothée 4. 2).
- être respectueux du travail des autres (Romains 15. 20).
- être revêtus de la puissance d'en haut, remplis du Saint-Esprit (Actes 1. 8).
- compter sur le Seigneur, plus que sur nos propres forces, nos moyens, nos méthodes, notre sagesse (Actes 4. 29-31).

Enfin ayez du zèle, celui que produit l'Évangile de paix. "Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. La sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d’hypocrisie. Le fruit de la justice est semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix" (Jacques 3. 16-18).

Ne perdez pas votre temps dans des discussions vaines et stériles, qui n'avancent pas le royaume de Dieu. "Mais évite les discussions folles, les généalogies, les querelles, les disputes relatives à la loi; car elles sont inutiles et vaines" (Tite 3. 9).
N'oublions pas l'objectif de l'évangélisation : "Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde" (Matthieu 28. 19-20).

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Garder la foi en Dieu jusqu'au bout

19 Juillet 2020 Publié dans #Divers

"Le moment de mon départ est arrivé. J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi" (2 Timothée 4. 6-7).

Une chrétienne du nom de Anne-Lise s’est éteinte sur son lit d’hôpital, au terme de longues années vécues en communion avec le Seigneur Jésus-Christ. Ce verset ci-dessus qu’elle a choisi pour ses obsèques, exprime combien elle a fait siennes ces paroles de l’apôtre Paul, sans aucune prétention ou orgueil de sa part.

J’ai gardé la foi. La conversion de l'apôtre Paul a été spectaculaire (Actes 9 : 1-22). Pour Anne-Lise, sa conversion à Jésus fut le fruit d’un cheminement au sein de sa famille et au contact des croyants en Jésus-Christ. Il y a eu cependant un moment où clairement elle a fait ce pas de foi en plaçant sa confiance en Jésus-Christ. Cette confiance en Dieu l’a habitée et soutenue jusqu’à son dernier souffle.

J’ai combattu le bon combat. Certes la vie est un combat. Mais celui dont parle l'apôtre Paul est le combat de la foi, celui de l’enfant de Dieu contre tout ce qui le pousse à se détourner de l’essentiel qui est de connaître le seul vrai Dieu, de l’aimer, de le louer et de le servir durant notre vie sur la terre. Anne-Lise, bien que consciente de ses faiblesses et de ses limites, a eu ce combat à cœur.

J’ai achevé la course. Quand l'apôtre Paul écrit ces lignes, il sait que sa fin terrestre est proche. Mais c’est un regard confiant qu’il tourne vers l’avenir, il sait où il va, il sait qu'après la mort, il ira immédiatement dans la gloire du Ciel auprés de son Sauveur Jésus-Christ. Anne-Lise savait aussi où elle allait après la mort et ses derniers mots ont exprimé son désir de rejoindre son Père céleste et Jésus-Christ dans la Gloire du Paradis.

Ces trois affirmations nous renvoient à ce qui fait notre vie :
• En quoi plaçons-nous notre foi ?
• Pour quoi combattons-nous ?
• Quel regard portons-nous sur le présent pour préparer notre avenir éternel ?

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Sept conséquences de l’eschatologie dans notre vie chrétienne

17 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Quand on parle d’eschatologie (des temps de la fin), on a souvent deux types de réactions : ceux qui se régalent parce qu’ils vont encore pouvoir parler de leur sujet favori, et ceux qui ne voient pas trop l’intérêt de parler de choses si étranges et si lointaines.

Mais ces deux postures manquent le vrai sens de l’eschatologie. L’enjeu de l’eschatologie n’est pas d’abord chronologique, mais éthique.

Bien sûr, il ne faut pas nier que l’eschatologie ait une dimension chronologique. Dieu se révèle dans l’histoire en déployant son plan de salut. On peut décrire l’eschatologie comme une compréhension des actes de Dieu qui fait progresser, de son commencement jusqu’à la fin, l’histoire du salut des êtres humains, dont l’acteur principal est Christ. La chronologie est donc importante. Dieu fait les choses dans un certain ordre et l’histoire se dirige vers une fin.

Mais en lisant le Nouveau Testament, on est frappé par l’usage que font les auteurs des vérités eschatologiques. On peut relever deux grands buts :

- L’eschatologie nous aide à vivre une vie sainte et servir avec diligence en attendant le Retour de Christ.
- L’eschatologie nous aide à supporter la persécution et fonder notre espérance dans la gloire à venir.

Je vous propose sept conséquences de l’eschatologie dans notre vie chrétienne :

1. Avoir les bonnes priorités :

Paul invite les Philippiens à imiter le modèle de ceux qui marchent selon l’Évangile (Philippiens 3. 17), mais à ne pas imiter ceux qui marchent « en ennemis de la croix du Christ » (Philippiens 3. 18). Ces gens-là ont la perdition pour fin, leur ventre pour dieu et « ne pensent qu’aux choses de la terre » (Philippiens 3. 19). Mais Paul explique: « Pour nous, notre cité est dans les cieux; de là nous attendons comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera notre corps humilié, en le rendant semblable à son corps glorieux par le pouvoir efficace qu’il a de s’assujettir toutes choses. » (Philippiens 3. 20-21).

Et il continue en les exhortant: « C’est pourquoi, frères bien-aimés que je désire vivement revoir, ma joie et ma couronne, demeurez ainsi fermes dans le Seigneur, mes bien-aimés! » (Philippiens 4. 1). Demeurer ferme dans le Seigneur, c’est penser à la cité qui nous attend dans les cieux. Tourner les yeux vers le ciel nous aide à mieux vivre sur terre. Notre espérance doit nous pousser à ne pas vivre comme si ce que nous voyons est tout ce qui existe. Notre espérance nous aide à avoir les bonnes priorités.

2. Supporter l’injustice :

Paul avait déjà encouragé les chrétiens de Thessalonique en soulignant le modèle qu’ils étaient pour tous les chrétiens de la région (1 Thessaloniciens 1. 7) : parce qu’ils avaient reçu avec joie la parole, et ce au milieu de beaucoup de tribulations (1 Thessaloniciens 1. 6).

Paul les encourage à nouveau, avec pour argument la justice que Dieu rendra : Lire 2 Thessaloniciens 1. 4-10.

Le jour où Christ reviendra pour juger la terre, il va s’opérer un grand renversement : ceux qui affligent aujourd’hui seront châtiés, et ceux qui sont affligés aujourd’hui trouveront enfin le repos. Savoir que la justice et la vengeance appartiennent à Dieu nous aide à vaincre le mal par le bien (Romains 12. 17-21).

3. Renoncer à l’impiété :

La sainteté est la marque du peuple de Dieu. C’est pour être saints que Dieu nous a appelés (Éphésiens 1. 4 ; 1 Pierre 1. 14-16 ; 2. 9-10). La sainteté est donc enracinée dans notre élection. Mais elle est également motivée par notre glorification. D’ailleurs, remettre en cause le Retour de Christ et son Jugement était précisément ce qui avait précipité certains dans la débauche (2 Pierre 2. 1-3). Être saint, dans un sens, c’est vouloir ressembler dès maintenant à ce que nous serons pleinement dans l'avenir.

« D’autant que vous savez en quel temps nous sommes : c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. La nuit est avancée, le Jour approche. Dépouillons-nous donc des œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière. Marchons honnêtement, comme en plein jour, sans excès de table ni de boisson, sans luxure ni dérèglement, sans discorde ni jalousie. » (Romains 13. 11-13)

« La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. Elle nous enseigne à renoncer à l’impiété, aux désirs de ce monde, et à vivre dans le siècle présent d’une manière sensée, juste et pieuse, en attendant la bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-Jésus. » (Tite 2. 11-13).

« C’est pourquoi, affermissez votre pensée, soyez sobres et ayez une parfaite espérance en la grâce qui vous sera apportée, lors de la révélation de Jésus-Christ. » (1 Pierre 1. 13)

« Le jour du Seigneur viendra comme un voleur. En ce jour-là, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre, avec les œuvres qu’elle renferme, sera consumée. Puisque tout cela est en voie de dissolution, combien votre conduite et votre piété doivent être saintes! (…) C’est pourquoi, bien-aimés, dans cette attente, efforcez-vous d’être trouvés par lui sans tache et sans défaut dans la paix. » (2 Pierre 3. 10-11, 14).

4. Savoir que c’est Dieu qui nous fait persévérer :

« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers; que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé sans reproche à l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ! Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est lui qui le fera » (1 Thessaloniciens 5. 23-24).

« Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour du Christ-Jésus. » (1 Pierre 1. 6)

5. Être patients :

« Prenez donc patience, frères, jusqu’à l’avènement du Seigneur. Voici que le laboureur attend le précieux fruit de la terre, plein de patience à son égard, jusqu’à ce qu’il ait reçu les pluies de la première et de l’arrière-saison. Vous aussi prenez patience, affermissez vos cœurs, car l’avènement du Seigneur est proche. » (Jacques 5. 7-8)

6. Attendre notre délivrance :

Paul, dans son chapitre sur l’espérance, nous dit: « nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous avons été sauvés. » (Romains 8. 23).

7. Accomplir activement la tâche qu’il nous a confié :

Dans la parabole des talents, Jésus raconte l’histoire d’un maître parti en voyage. Avant de partir, il confie ses biens à ses serviteurs. À son retour, longtemps après, le maître demande à chacun de rendre compte de ce qu’il leur a confié. À ceux qui ont fait fructifier les talents, Jésus répond: « Son maître lui dit: Bien, bon et fidèle serviteur, tu as été fidèle en peu de choses, je t’établirai sur beaucoup; entre dans la joie de ton maître. » (Matthieu 25. 21, 23). Mais à celui qui a caché le talent, Jésus demande à ce qu’il soit jeté dans les ténèbres du dehors, « où il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (v. 30)

Paul conclut sa première épître aux Corinthiens au chapitre 15 verset 58, le chapitre par excellence sur la résurrection, par ces mots: « Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, progressez toujours dans l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur. ».

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Jésus-Christ vit en nous tous qui sommes sauvés par Lui

14 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Dans 2 Corinthiens 13. 5, l’apôtre Paul pose une question pertinente aux croyants de Corinthe : « Ne reconnaissez-vous pas, à l’égard de vous-mêmes, que Jésus-Christ est en vous ? ». Nous pourrions trouver que « Jésus-Christ est en vous » est une phrase surprenante ou bien, à l’inverse, la lire sans nous attarder sur son sens. Mais que veut-elle dire ? Et quelle est son importance pour notre vie chrétienne aujourd’hui ?
Quand il dit : « Jésus-Christ est en vous », Paul ne parlait pas poétiquement ni métaphoriquement. Il tenait véritablement à dire que Jésus-Christ habite littéralement et pratiquement à l’intérieur des croyants. Il existe de nombreux autres versets dans la Parole de Dieu confirmant le fait que le Seigneur Jésus-Christ habite effectivement dans Ses croyants.
Nous aussi devons reconnaître ce fait nous concernant. Christ ne se tient pas juste en dehors de nous, comme une aide en cas de besoin, mais Il habite en nous, vivant en nous et avec nous à tout instant.

Comment Christ peut-Il être en nous ?
Jésus-Christ est le Dieu Saint qui s'est fait Homme alors que nous, êtres humains, sommes des pécheurs déchus. Dans ce cas, comment est-il possible que Christ vive en nous tous ? Pour accomplir Son souhait de demeurer à l’intérieur des êtres humains, Dieu franchit quelques étapes formidables. Tout d’abord, Dieu Lui-même s'est fait homme en son Fils Jésus-Christ. Cet homme Jésus-Christ mena une véritable vie humaine sur terre, mais sans péché. Au travers de Son existence, de Ses actions et de Ses paroles, Jésus exprimait Dieu complètement.

Après avoir vécu et fait l’expérience de tous les aspects de la vie humaine pendant trente-trois ans et demi, Jésus mourut sur la croix pour nos péchés. Grâce à Sa mort rédemptrice, nous pouvons recevoir le pardon de tous nos péchés et revenir vers Dieu. Mais ce n’est pas tout. Au troisième jour, Il ressuscita Victorieux d'entre les morts, étant Lui-même Celui qui donne la vie. Désormais, le Saint-Esprit est disponible pour quiconque et Il entre en quiconque croit en Lui. Ainsi, lorsque nous prions pour recevoir le Seigneur Jésus, Dieu vient en fait immédiatement vivre à l’intérieur de nous. C’est absolument merveilleux.

De nombreux versets révèlent la merveilleuse vérité que Christ est dans Ses croyants, prouvant que Christ est en nous.

« Mais si Christ est en vous, quoique le corps soit mort à cause du péché, l’esprit est vie à cause de la justice » (Romains 8. 10). Dieu nous créa en tant qu'humains, avec un corps à l’extérieur et une âme et un esprit à l’intérieur. Notre esprit est notre partie la plus profonde, créée pour contacter et recevoir l’Esprit Saint de Dieu. Lorsque nous avons reçu Jésus comme notre Seigneur et Sauveur, Il nous purifia de tous nos péchés et entra dans notre esprit en nous faisant naître de nouveau. De ce fait, puisque Christ est en nous, notre « esprit est vie à cause de la justice.

« Car le même Dieu qui a dit : Des ténèbres brillera la lumière, est celui qui a brillé dans nos cœurs pour illuminer la connaissance de la gloire de Dieu sur le visage de Jésus-Christ. Mais nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l’excellence de la puissance soit de Dieu, et ne provienne pas de nous-mêmes » (2 Corinthiens 4. 6-7).
L’apôtre Paul décrit les croyants  en Jésus comme des vases de terre qui contiennent « ce trésor ». Quel est ce trésor ? C’est Jésus-Christ, sur le visage de qui nous voyons la gloire de Dieu. Christ vit en nous, les vases de terre, comme un précieux trésor qui nous révèle la gloire de Dieu depuis notre for intérieur.

« Mais, lorsqu’il plut à Dieu […] de révéler en moi son Fils » (Galates 1. 15-16).
Nous pourrions penser que ce verset dit : « Il plut à Dieu […] de me révéler Son Fils ». Mais dans la langue d’origine du Nouveau Testament, le grec, le verset dit : « De révéler Son Fils en moi. » Le plan de Dieu est de révéler Son Fils en nous, depuis l’intérieur, plutôt qu’à nous, d’une manière extérieure. En d’autres termes, c’est en nous que Dieu nous révèle Christ. Pour nous tous qui avons Christ en nous, Dieu prend plaisir à révéler en nous la personne la plus merveilleuse, Christ.

« Je suis crucifié avec Christ ; et ce n’est plus moi qui vis, mais Christ qui vit en moi » (Galates 2. 20).
Ici, Paul ne dit pas : « Je vis comme Christ le fit » ni « je glorifie Christ par mon comportement. » Non ! Paul dit : « Christ […] vit en moi », déclarant clairement que Christ vit dans Ses croyants. La vie chrétienne n’a rien à voir avec le fait de se comporter comme Christ, mais de permettre à Christ de vivre en nous et à travers nous.

« Mes enfants, pour qui j’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous » (Galates 4. 19).
Paul considérait que les croyants de Galatie étaient ses enfants spirituels. Il avait travaillé pour les aider à recevoir Christ à leur salut, et dans ce verset, il continue à travailler sur eux pour que le Christ qu’ils avaient reçu soit complètement formé en eux. Christ vit en nous dès le moment de notre salut, mais Il veut être clairement « formé » en nous. Jour après jour, nous devons Lui donner l’occasion de se former en nous. Alors que nous faisons cela, Christ s’exprimera de plus en plus pleinement à travers nous dans notre vie quotidienne.

« Afin que Christ fasse sa demeure dans vos cœurs par la foi » (Éphésiens 3. 17).
Lorsque nous avons cru en Christ, Il est venu dans notre esprit, la partie la plus profonde de notre être. Mais Christ veut aussi faire de notre être tout entier Sa maison, y compris notre cœur et notre âme. Lorsque nous vivons dans notre esprit, Christ est la nouvelle source de notre vie nouvelle. Mais notre âme – notre pensée, nos émotions et notre volonté – peut encore choisir de L’ignorer comme notre nouvelle source et de poursuivre notre vie comme avant. Dans un tel cas, Christ est en nous, mais Il y est limité, restreint à ne vivre que dans notre esprit. À cause de cela, Il n’a que peu d’occasion de s’exprimer à travers nous. Le Seigneur Jésus veut s’installer non seulement dans notre esprit, mais aussi dans toutes les parties de notre âme, pour y être comme chez Lui.

« Christ en vous, l’espérance de la gloire » (Colossiens 1. 27).
Ce verset montre que Jésus-Christ est en nous d’une manière particulière : Il est notre espérance de la gloire. Lorsque nous avons cru en Lui, Christ est venu vivre dans notre esprit. Désormais, Il fait de nos cœurs Sa maison. Dans le futur, à Son Retour, Il se diffusera même visiblement jusqu’à notre corps physique, de sorte que la gloire de Dieu brillera à travers nous sans obstacle. Le Christ qui vit en nous est notre espérance de cette gloire.

« Lorsqu’il viendra en ce jour-là pour être glorifié dans ses saints et admiré dans tous ceux qui auront cru » (2 Thessaloniciens 1. 10).
La seconde venue de Christ sera sans aucun doute une merveille. Mais d’après ce verset, le plus merveilleux ne sera pas l’étalage visible de Sa venue, mais Sa gloire révélée depuis l’intérieur de Ses croyants. Le Christ en nous, qui grandit en nous et qui est en train de s’y former, sera révélé depuis notre intérieur, et même nos corps seront aussi transformés pour Lui correspondre.
Quelle gloire pour Dieu, quelle merveille pour l’être humain et quelle honte pour l’ennemi, que des gens sur la terre puissent choisir de recevoir Christ et de Lui permettre de grandir en eux et de s’exprimer à travers eux tout au long de leurs vies !

Nous vous encourageons à plonger dans ces huit versets ainsi que tant d’autres comme eux, avec l’aide des notes et des références croisées de la version Recouvrement du Nouveau Testament. La Parole de Dieu peut nous permettre d’acquérir une compréhension pleine et entière de cette vérité précieuse : Christ vit en nous. Elle peut nous aider à réaliser, tout comme Paul en avait exhorté les corinthiens, que Christ est véritablement en nous. Prendre conscience de cela enrichira chaque jour notre expérience et notre réjouissance de Christ pratiquement.

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Dieu ne nous condamne pas à cause de notre passé

7 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Il faut sortir de cette honte qui provient du passé. En effet, en Jésus-Christ, les choses anciennes sont passées, il rend toutes choses nouvelles... « Venez et plaidons ! dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine » (Ésaïe 1. 18).

Notre passé sans Christ est un rétroviseur sombre à cause du mal que nous avons fait. Beaucoup de chrétiens avant de connaître Jésus-Christ  ont certainement vécu dans les ténèbres les plus obscures en s’adonnant à la méchanceté, à la débauche et à bien d’autres choses horribles. Le fait qu’aujourd’hui ils se trouvent dans une situation difficile, une situation assez complexe ou dans une impasse, leur fait penser à un Dieu rancunier qui garde toujours en mal leur passé comme souvenir. Ils finissent par vivre dans une culpabilité éternelle en se maintenant dans un océan de remords sans fin. Pourtant Dieu nous invite à nous rapprocher toujours de Lui afin d’obtenir miséricorde.
L’histoire de l’enfant prodigue dans
Luc 15. 11-32 révèle toute la profondeur de l’Amour de notre Père Céleste. Nous y voyons le père venir l'embrasser et célébrer une fête en son honneur parce qu’il était revenu à la maison. Il suffit donc de se repentir et de revenir dans la maison du Père. Dieu efface les péchés de celui qui abandonne complètement ses mauvaises voies pour se tourner vers Lui.

Dieu est Amour :

« Mais Dieu prouve Son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par Son sang, serons-nous sauvés par Lui de la colère. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de Son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par Sa vie » (Romains 5. 8-10).
Lorsque nous vivions loin de Sa volonté, Dieu à cause de Son Amour infini a envoyé Son unique Fils Jésus mourir pour des idolâtres, des assassins, des corrupteurs, des enchanteurs, des sorciers, des méchants, des ivrognes, des impudiques, des menteurs, des voleurs, des criminels, des pécheurs qualifiés que nous étions. Quelqu'un d'entre nous mourrait-il pour un assassin qui aurait tué un des tiens, livrerait-t-il son unique fils ou fille pour qu’un terroriste soit libéré ? Humainement parlant, c’est impossible. Et pourtant Dieu l’a fait, alors même que nous étions dans notre profonde rébellion contre Lui, pour nous sauver.
Dieu est Amour et Son Amour est dépourvu d’intérêt. Il ne nous aime pas parce que nous avons fait des choses extraordinaires comme nous pouvons le penser, Dieu ne nous aime pas parce que nous Le servons ou parce que nous n’avons pas de péchés, non ! Dieu nous aime parce qu’Il est Amour
(1 Jean 4 :8) et même lorsque nous résistions à Sa volonté, que nous persécutions Ses serviteurs, et que nous avions de la haine pour le précieux Nom de Jésus, Il ne cessait de nous tendre la main et nous dire : Je t’aime tel que tu es, viens, Je veux transformer tes ténèbres en lumière pour que tu sois un témoignage vivant aux yeux du monde.

Plus aucune condamnation ne pèse sur ta vie

« Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 11).
Dieu condamne au plus haut niveau le péché et non le pécheur. Il veut que l’être humain sorte du péché afin de pouvoir entrer dans Sa volonté car le péché nous cache Sa face. L'ardent désir de Dieu est que tous soient sauvés. Le privilège que nous avons maintenant en tant qu’enfants de Dieu c’est d’appartenir à Christ car Son Esprit demeure désormais en nous
(Romains 8. 9, 14). L’œuvre de la croix a enlevé toute la condamnation qui pesait sur nous. Aucune condamnation ne pèse sur celui qui est en Jésus. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Jésus selon qu’il est écrit dans Matthieu 12. 20-21 : « Il ne cassera pas le roseau abîmé, Il n’éteindra pas la flamme qui faiblit. Il agira de cette façon, jusqu’à ce qu’Il donne la victoire au droit, et les peuples espéreront en Lui ».
Dieu ne se déchaîne pas contre nous dans nos moments de faiblesse. Il est là pour nous aider à nous redresser et à forger notre caractère si nous le désirons réellement. Néanmoins, Son Amour Le pousse parfois à user des moyens nécessaires pour nous ramener à Lui de la même manière qu’un père aimant corrige son enfant pour le ramener sur le droit chemin. Cette correction n’est pas une irritation, c’est un acte d’amour car qui aime bien, châtie bien, dit-on !

Ne laisse plus ton cœur te condamner :

Demander pardon à plusieurs reprises sur un péché déjà confessé est une fausse accusation de Satan. On croit qu’on n’a pas suffisamment demandé pardon à chaque fois que Satan nous oblige à regarder notre vie passée. "Mais, si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur" (1 Jean 3. 20).
Nous n'avons plus à nous culpabiliser sur ce que nous avons déjà confessé car nous avons déjà reçu le pardon complet. Celui qui n’a pas encore compris la grâce de Dieu peut se le permettre. Si Dieu ne garde plus le souvenir de nos péchés quels qu’ils soient, quelles raisons valables avons-nous pour les ressasser et nous condamner sans arrêt ? Dieu peut se servir de nos faiblesses et les transformer en force contre le royaume de Satan. Étant en Christ et marchant dans Sa volonté, les temps difficiles et les portes fermées ne sont pas une punition contre notre vie passée ; ce sont des moments d’épreuves et nous devons garder la foi pour les surmonter.
Les prières non exaucées ne sont pas une manifestation de la Colère de Dieu. Dieu sait prendre du temps avec nous jusqu’à ce que l’on revienne sur les voies qu’Il a tracées pour nous. Quel que soit ce que nous arrive, n’oublions jamais que l’Amour de Dieu pour nous ne peut s’épuiser. Voici les paroles qui représentent ce que nous pouvons appeler "le sceau de Son amour" : « Quand les montagnes s’éloigneraient, quand les collines chancelleraient, Mon amour ne s’éloignera point de toi, et Mon alliance de paix ne chancellera point, dit l’Éternel, qui a compassion de toi. » (Ésaïe 54. 10).

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Les bénédictions en Jésus-Christ

4 Juillet 2020 Publié dans #Divers

Le Seigneur Jésus-Christ nous comble de toutes sortes de bénédictions pour notre vie spirituelle. Voici quelques bénédictions que nous avons en Jésus-Christ :

En Jésus, l’Amour de Dieu a été manifesté (1 Jean 4. 9)

En Jésus, la richesse de son Amour a été manifestée (Éphésiens 2. 4)

En Jésus, le juste vivra par la foi (Romains 1. 17)

En Jésus, nous avons l’héritage des saints dans la lumière (Colossiens 1. 12). En Jésus, nous sommes héritiers (Éphésiens 1. 11)

En Jésus, nous avons la parole de Vérité (Éphésiens 1. 3)

En Jésus, nous avons le Saint Esprit (Éphésiens 1. 13)

En Jésus, nous sommes enfants de Dieu (Jean 1. 12)

En Jésus, nous avons été élus avant la fondation du monde (Éphésiens 1. 4). En Jésus, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes (Éphésiens 1. 7)

En Jésus, nous sommes citoyens des cieux (Philippiens 3. 20)

En Jésus, nous sommes sanctifiés (Jean 17. 17)

En Jésus, nous triomphons du monde (1 Jean 4. 4)

En Jésus, nous sommes affranchis (Romains 6. 22)

En Jésus, nous sommes crucifiés (Galates 2. 20)

En Jésus, nous sommes morts au péché (Romains 6. 11)

En Jésus, il n’y a plus aucune condamnation (Romains 8. 1)

En Jésus, nous sommes devenus des imitateurs de Dieu (Éphésiens 5. 1-2)

En Jésus, nous sommes transformés par le renouvellement de l’intelligence (Romains 12. 2)

En Jésus, nous sommes des enfants de lumière (1 Thessaloniciens 5. 5)

En Jésus, nous sommes la lumière du monde (Matthieu 5. 14)

En Jésus, nous sommes une nouvelle création (Galates 6. 15 ; 2 Corinthiens 5. 17) En Jésus, nous sommes saints comme Lui-même est saint (1 Pierre 1. 16)

En Jésus, nous avons des trésors dans le ciel (Psaumes 119. 14)

En Jésus, nous avons l’amour (Jean 13. 34, 35)

En Jésus, nous avons la foi agissante (Galates 5. 6)

En Jésus, nous avons l’infinie grandeur de sa puissance (Éphésiens 1. 18 - 19)

En Jésus, nous avons la foi en sa puissance (Colossiens 2. 2)

En Jésus, nous portons dans nos cœurs la puissance de Dieu (2 Corinthiens 4. 7)

En Jésus, nous avons l’infinie richesse de sa grâce (Éphésiens 2. 7)

En Jésus, nous avons la puissance qui agit en nous (Éphésiens 3. 20)

En Jésus, nous sommes vainqueurs (1 Jean 2. 14)

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