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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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Le Ciel, un avenir heureux pour le vrai croyant en Jésus‏

16 Avril 2024 Publié dans #Paradis

 L’apôtre PAUL exhortait les premiers chrétiens à ne pas désespérer comme les gens du monde, en leur parlant du Retour du Seigneur et de l’espérance glorieuse : « Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui sont décédés, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n'ont point d'espérance » (1 Thessaloniciens 4 : 13) « Mais notre cité à nous est dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu'il a de s'assujettir toutes choses » (Philippiens 3 : 20-21)

AU CIEL : Plus de larmes ! Plus de mort ! Plus de douleurs !
« Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » (Apocalypse 21 :4)

Le Ciel est un lieu de :
- Perfection et de pureté :
« Il n'entrera chez elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l'abomination et au mensonge; il n'entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l'agneau » (Apocalypse 21 : 27)
- D'activité : Une des principales activités sera l’adoration.

Le Ciel est un lieu où :
• Nous verrons la gloire de notre Sauveur : Jésus dit : « Père, je veux que là où je suis ceux que tu m'as donnés soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire, la gloire que tu m'as donnée, parce que tu m'as aimé avant la fondation du monde 
»
(Jean 17 : 4).
• Nous servirons le Seigneur : « Il n'y aura plus d'anathème. Le trône de Dieu et de l'Agneau sera dans la ville; ses serviteurs le serviront et verront sa face 
» (Apocalypse 22 : 3).
• Nous aurons l’autorité. (Apocalypse 20).
• Nous aurons une communion extraordinaire : « Le trône de Dieu et de l'agneau sera dans la ville; ses serviteurs le serviront et verront sa face, et son nom sera sur leur front » (Apocalypse 22 : 3-4).
• Nous continuerons d’apprendre au Ciel : « Nous n’aurons jamais fini d’apprendre, car en Lui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science » (Colossiens 2 : 3)
• Nous serons dans un repos éternel : Rien ne viendra troubler la paix infini que nous aurons au Ciel. Maintenant sur la terre, ce sont luttes et tribulations. Alors au Ciel, ce sera le repos et la gloire éternels.
• Nous serons tous récompensés selon nos actes : « Heureux l'homme qui supporte patiemment la tentation ; car, après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment
» (Jacques 1 : 12)

Quelques caractéristiques du Ciel :
Le Ciel est la présence manifeste et glorieuse du seul vrai Dieu de l'Univers (Père, Fils et Saint-Esprit). Il sera caractérisé par l'AMOUR sans passion, car nous serons semblables à Lui
(1 Jean 3. 2) ; le SERVICE sans fatigue, car ses serviteurs le serviront (Apocalypse 22 : 3) ; la SAINTETÉ sans altération, car son Nom sera inscrit sur nos fronts (Apocalypse 22 : 4) ; la BÉNÉDICTION sans interruption, car il n'y aura plus d'anathème (Apocalypse 22. 3) ; la VIE sans deuil, car la mort n'existera plus (Apocalypse 21. 4) ; la JOIE sans pleurs, car il essuiera toute larme de nos yeux (Apocalypse 21. 4) ; la LUMIÈRE sans ténèbres, car il n'y aura plus de nuit (Apocalypse 22. 5) ; la GLOIRE sans lutte, car il n'y aura plus de peine (Apocalypse 21. 4) ; la SATISFACTION sans lacune, car nous n'aurons plus faim (Apocalypse 7. 16) ; l'ORDRE sans interdiction, car nous régnerons aux siècles des siècles (Apocalype 22. 5) ; la BEAUTE sans laideur, car nous serons sans tache ni ride (Ephésiens 5. 27) ; l'EXISTENCE sans péché, car nous serons irréprochables (Jude 24) ; la COMPAGNIE sans absence, car nous serons toujours avec Lui (1 Thessaloniciens 4. 17b).

Sans aucun doute, le Ciel sera un véritable lieu de bonheur infini, au-delà de toute description ou compréhension humaine. 

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Dieu peut supprimer notre passé

15 Avril 2024 Publié dans #Pardon des péchés

L'apôtre Paul dit à propos de Jésus : « IL A EFFACÉ L'ACTE RÉDIGÉ CONTRE NOUS, Il l’a supprimé, en le clouant à la croix » (Colossiens 14-15). Effacé, supprimé, voilà des termes explicites et définitifs.

Vous est-il déjà arrivé d’être presque arrivé au bout d’un projet et de souhaiter pouvoir le recommencer ? Si vous repeignez votre salon et prenez du recul pour comparer sa couleur avec celle du nuancier, elle n’aura pas le même aspect que celui-ci. Vous aimeriez pouvoir recommencer.
Beaucoup de gens ressentent la même chose dans la vie, comme le décrit un auteur : « J’ai fait tellement d’erreurs. J’aimerais pouvoir les effacer et repartir à zéro. » Les échecs, les problèmes, les mauvaises décisions, tout le monde en a souffert. Mais certaines personnes ne parviennent pas à oublier le passé, et le laissent donc limiter leurs possibilités actuelles. Elles vivent dans un état de regret constant, à toujours se lamenter : « Si seulement j’avais pu agir autrement ! » Elles se remettent sans cesse en question. Elles sont tourmentées par des souvenirs douloureux : « J’ai tout gâché et je vais le payer pour le reste de ma vie ».
Nous pouvons choisir de nous sentir coupable, mais nous n’y sommes pas tenus ! Au moment où nous mettons notre confiance en Christ, il efface le récit de notre passé. En fait, nous n'avons plus de passé, rien qu’un avenir ! Nous pouvons déposer une fois pour toutes le fardeau de nos vieilles blessures. Jésus s’en est chargé « en le clouant à la croix ». Dieu l’a promis : « Je ne me souviendrai plus de tes péchés » (Esaïe 43. 25). Il faut le croire !

« JE PARDONNERAI LEUR FAUTE ET JE NE ME SOUVIENDRAI PLUS DE LEUR PÉCHÉ » (JÉRÉMIE 31. 34).

Observez un enfant qui s’amuse avec une ardoise magique. Dès qu’il commet une erreur dans le dessin, il peut juste la retourner pour tout effacer et recommencer à l’infini. C’est ainsi que Dieu gère nos fautes. Il nettoie l’ardoise. Il ne se souviendra plus de nos péchés. C’est sans doute l’une des plus merveilleuses affirmations de la Bible : Dieu oublie !
Lorsque nous avouons nos péchés et demandons à Dieu de nous pardonner, il annule notre passé. Il choisit d’oublier nos torts et nos échecs. Même si chacun de nous, enfants de Dieu, mourons ce soir, et nous nous tenions face à Dieu dans le Ciel, si nous Lui parlions d’un péché que nous aurions commis hier, Dieu dirait : « Quel péché ? ». Lorsque nous nions nos péchés, nous refusons à Dieu la joie de nous pardonner. Si nous tentons de le justifier, Dieu permet que les conséquences de nos péchés en deviennent si douloureuses que nous aurons hâte de nous en détourner.
Mais si nous le Lui confessons, la Bible dit : « Nous pouvons avoir confiance en Dieu, car Il est juste : Il pardonnera nos péchés et nous purifiera de tout mal » (1 Jean 1. 9, BFC).
Le fils prodigue a brisé le cœur de son père, dilapidé son héritage pour finir dans la boue parmi les cochons. Mais c’est alors que commence l’histoire de sa rédemption et de son retour : « Rentré en lui-même, il se dit : combien d’employés chez mon père ont du pain en abondance, et moi ici, je péris à cause de la famine. Je me lèverai, j’irai vers mon père et lui dirai : père, j’ai péché contre le ciel et envers toi » (Luc 15. 17–18). Le père s’est réjoui et lui a pardonné. Aujourd’hui, Dieu fera de même pour celui ou celle qui reviendra vers lui.

« TOUT EST ACCOMPLI » (JEAN 19. 30).

« Tout est accompli » est une des dernières paroles de Christ sur la croix. En grec, cette phrase se résume en un seul mot : « tetelestai », qui signifie « payé en totalité ». C’est le terme que les marchands notaient sur une facture soldée.
On l’apposait aussi sur un document annonçant qu’une peine de prison avait été effectuée. Jésus a payé le prix en totalité pour chaque péché que nous avons pu commettre ! La Bible affirme : « Il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ » (Romains 8. 1, BFC).

L’Éternel Dieu dit : "C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés". (Ésaïe 43. 25). Le sacrifice de Jésus sur la croix pour le péché était un sacrifice une fois pour toutes, Jésus a payé une fois pour le péché. Son paiement était complet. Hébreux 10:14-18 dit : « Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés. C'est ce que le Saint-Esprit nous atteste aussi; car, après avoir dit: ‘Voici l'alliance que je ferai avec eux, Après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leur cœur, Et je les écrirai dans leur esprit,’ il ajoute: ‘Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités.’ Or, là où il y a pardon des péchés, il n 'y a plus d'offrande pour le péché ».
Et si, pour chacun de nous enfants de Dieu, Dieu ne se souvient plus de nos péchés à la seconde où nous les confessons, ne devrions-nous pas l’oublier moi aussi et aller de l'avant ?
Une fois que nous avons réglé une facture, nous la rangeons dans nos archives et nous n’y pensons plus. De la même façon, depuis que, sur la croix, Jésus a payé la facture de tous nos péchés en totalité, nous pouvons les oublier.
Paul, qui se décrit volontiers comme le premier des pécheurs (voir 1 Timothée 1. 15), a dit : « Oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ-Jésus » (Philippiens 3. 13–14).
On peut passer à côté de la puissance de Dieu si on ne croit pas en son pardon. Et pourtant la bonne nouvelle, c'est que, pour nous enfants de Dieu, quand Dieu pardonne un péché, il efface le dossier, annule le passé, et l’oublie à jamais.
Alors, aujourd’hui, nous acceptons son pardon. Et si nous en avons besoin pour avancer, nous nous pardonnons et nous avançons.

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Dieu ne déçoit jamais

14 Avril 2024 Publié dans #Divers

« Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine; et Le trône était environné d’un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude » (Apocalypse 4. 3).

Le monde et le train de ce monde peuvent décevoir et passer ; mais Celui qui est assis sur le Trône subsiste et tient parole.

L’église visible peut faillir et se livrer aux chemins d’à côté, elle peut ouvrir ses portes à l'apostasie ; mais Celui qui est depuis le commencement et qui a clairement révélé sa volonté ne change pas.

Le chrétien peut être tenté de se décourager, de s’abandonner au formalisme et de mourir dans ses routines ; mais Celui qui nous a promis la Vie et qui nous a donné ses promesses est fidèle, et Il agira conformément à ce qu'Il a dit. Même si nous sommes infidèles, Il reste fidèle.

"Dieu a traité alliance avec nous, une alliance sûre en toutes choses. Il tient parole. Il vient à nous... dès qu'Il nous voit contrits et repentants, prêts recevoir sa bénédiction" (Voir Genèse 9. 14-16).
"Nous vous annonçons cette bonne nouvelle que la promesse faite à nos pères, Dieu l’a accomplie pour nous, leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon qu’il est écrit" (Voir
Actes 13. 32-33).

Les êtres humains peuvent nous décevoir ; nous avions compté sur eux et ils n'ont pas tenu parole. Mais Dieu ne déçoit jamais. L'arc-en-ciel est le garant de sa fidélité. Pour que l’arc-en-ciel paraisse, il faut de la pluie et du soleil. La grâce et la fidélité de Dieu se manifestent précisément là où il y a de la « pluie », là où les circonstances sont contraires ; mais elles ne permettront jamais que la pluie nous voile le soleil de son secours. Ce que Dieu a promis, Il va l'accomplir. Son Trône est environné d'un arc-en-ciel plein d'espérance.

Levons-nous, allons à sa rencontre... Jésus tient toujours parole : « Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance » (Jean 10. 10b).

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Bien se préparer pour l'au-delà

13 Avril 2024 Publié dans #Salut

Toute destinée éternelle, la vôtre comme la mienne, se décide ici-bas, et maintenant.
Nous devons réaliser que nous sommes tous pécheurs puisque nous avons tous péché contre Dieu ; et que pas un de nous n'est juste par soi-même devant Dieu. La Bible dit : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 23); et encore : « Il n'y a pas de juste, pas même un seul; nul n'est intelligent, nul ne cherche Dieu; tous sont égarés, tous sont pervertis; il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul » (Romains 3. 10-12).
En conséquence, nous méritons tous la perdition, et chaque être humain est effectivement perdu si il n'appartient pas à Jésus-Christ en croyant en Lui. « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).
En mourant sur la croix, Jésus a expié tous nos péchés. La Bible dit : « Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous » (Esaïe 53. 4-6).
« Celui [Jésus] qui n'a pas connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (Corinthiens 5. 21).
En dehors de cette voie, en dehors de la foi en Jésus-Christ, il n'y a pas de salut. La Bible déclare clairement « qu'il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4. 12).
C'est uniquement par la foi en Jésus-Christ que nous sommes sauvés, et non par nos bonnes œuvres. La Bible dit aussi : « C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Ephésiens 2. 8-9).
Lorsque nous saisissons vraiment, par la foi, l'œuvre de Jésus accomplie pour nous sur la croix, nous sommes à jamais délivrés de la condamnation et de la perdition éternelle : Car « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1). Jésus dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24).
Ma prière est que chaque être humain reçoive Jésus-Christ dans sa vie et croit qu'Il a pris sur Lui tous nos péchés en mourant sur la croix. Que chacun demande à Jésus de lui pardonner et de faire de lui une nouvelle personne. Et Jésus le fera en vous sauvant dès aujourd'hui et pour l'éternité.

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La preuve de l'Amour de Dieu que nous devons faire rayonner

12 Avril 2024 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Dieu nous a prouvé son Amour en nous offrant en sacrifice son Fils Jésus-Christ :

De toute éternité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne font qu'UN. Il s'agit du seul Dieu unique en trois personnes distinctes. Les Saintes Écritures présentent clairement Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Mais elles insistent aussi sur le fait qu'il n'y a qu'un seul Dieu.
Pourtant, Dieu le Fils fut séparé pour un temps de cette unité parfaite de toute éternité dans le Ciel, pour sauver l'humanité en venant dans ce monde. Oui, comme le dit très justement Jean 3. 16 : "Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu’il ait la vie éternelle." Oui, Dieu a vraiment aimé le monde au point qu'Il nous a envoyé Son Fils unique…
Mais cette séparation était nécessaire, pour que vous et moi puissions à nouveau être unis avec Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Oui, grâce à Jésus, nous sommes réconciliés avec Dieu et nous sommes scellés de son Saint-Esprit.
Pour que cela puisse s'accomplir, Jésus s'est dépouillé. Il a tout laissé et abandonné sauf sa Sainteté, sa Divinité. Jésus a renoncé à son Trône de Gloire… mais pas à son Amour pour nous. Pour un temps, Jésus a même subi sur la croix l'abandon de Dieu son Père pour nous. En effet, Matthieu 27. 46 nous dit ceci : "Vers trois heures, Jésus cria avec force : Éli, Éli, lema sabactani ? ce qui signifie Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?". Et à cette question, une seconde fait écho en notre cœur : "Jésus, pourquoi as-tu abandonné ton Ciel de gloire ?" Et sa douce réponse est : "Par Amour, par Amour, par Amour... pour toi".
Oui, Jésus a fait cela pour chaque être humain, pour que, par son sacrifice, nous accédions au pardon, à la réconciliation et à la communion avec Dieu le Père. Par cela, Jésus le Bien-aimé du Père a fait de chacun de nous qui croyons enfant de l'Éternel Dieu.

Rien ne peut nous séparer de l'Amour de Dieu :

L’Amour de Dieu est indestructible. C’est une promesse divine, un engagement sacré, une alliance éternelle. Aussi l’apôtre Paul nous le confirme en disant : "Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu" (Romains 8. 38-39).
Ne trouvons-nous pas remarquable la certitude de l’apôtre Paul quand il parle de l’Amour de Dieu ! On pourrait traduire "j’ai l’assurance" par "je suis absolument sûr et certain", "je suis persuadé" ou encore "je n’ai aucun doute". Cela signifie que même dans les moments difficiles, le vrai croyant en Jésus demeure ferme dans sa foi en l’Amour parfait de Dieu.
Cher(e)s lecteurs/trices, nous nous encourageons en ce jour à adopter la même assurance que l’apôtre Paul. Quand tout bascule ou s’effondre autour de nous, cet Amour infini de Dieu est l’ancre qui nous empêche de chavirer. Quoique nous puissions endurer, Dieu nous enlace dans ses cordages d’Amour pour nous éviter de sombrer. Même quand il nous semble nous perdre en chemin, si nous voulons lâchez sa main, Dieu promet de nous conduire à bon port (Lire
Psaume 107. 23-32).
Dès maintenant, laissons le Saint-Esprit déposer en nous cette conviction inébranlable que rien ne pourra nous séparer de son Amour : Aucune circonstance aussi terrible soit-elle, aucune domination, aucune autorité spirituelle, aucun événement présent ou futur, aucun être humain.
Même si nous ne comprenons pas l'Amour de Dieu à notre égard, soyons certains qu'Il nous aime jour et nuit. Et rien ne nous séparera de l’Amour de Dieu. Oui, nous savons que Dieu nous aime et rien ne pourra nous séparer de son Amour...!

Maintenant, à travers Dieu qui habite en nous, nous devons laisser son Amour rayonner en nous et autour de nous :

Nous devons dire des paroles de bénédiction sur les gens comme celles de Nombres 6. 24-26 : « Que l’Éternel te bénisse et te garde ! Que l’Éternel fasse briller sa face sur toi et t’accorde sa grâce ! Que l’Éternel lève sa face vers toi et te donne la paix ! ».
Réfléchissons-y : à chaque fois que nous sourions à quelqu’un, nous lui disons chacun : « Je t’approuve. Je t’accepte. Tu es cool ». Mais Dieu ne se contente pas de nous approuver, Il nous sourit et Il nous aime infiniment !
Nous devons ancrer cette vérité profondément dans notre cœur au point que rien de pourra l’en arracher. Lorsque nous sommes ancrés dans l’Amour de Dieu, cela nous aide à tenir ferme dans la foi et à marcher dans l’obéissance à sa Parole.
Mais nous ne pourrons jamais prendre de l’avance sur Dieu en essayant d’accomplir des bonnes œuvres par nous même. Nous devons connaître la Parole de Dieu afin de pouvoir savoir qui nous sommes en Christ et quelle est notre position en Christ. Dans Psaumes 18. 20, David dit : « L’Éternel m’a pris en affection ». David n’était pas parfait mais il savait que Dieu prenait plaisir en lui. Dieu prend également plaisir en chacun de nous qui sommes Ses enfants. Ancrons cette vérité au plus profond de notre être. Dieu nous sourit et il nous aime tant. Dieu nous approuve !
Remercions donc notre Dieu du fond de notre cœur pour son Amour et son approbation. Remercions Dieu de nous avoir pris en affection et de nous sourire. Son Amour pour nous a changé notre vie et nous savons que cela va continuer au fur et à mesure que nous grandissons avec Lui.

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Jésus nous sauve et nous enrichit de toutes bénédictions

11 Avril 2024 Publié dans #Salut

Les êtres humains, tous pécheurs, vivent temporairement sur la terre, mais méritant la mort éternelle à cause de leurs péchés qui les séparent du seul vrai Dieu trois fois Saint. Oui, Dieu, à cause de sa Sainteté et de sa Justice, ne peut voir le mal sans le punir. Tout le temps qu'un être humain ne se repente pas et qu'il ne se convertisse pas, Dieu le considère comme mort dans ses fautes et dans ses péchés ; c'est ce que nous étions tous autrefois nous enfants de Dieu.
Pour nous êtres humains, se reconnaître comme tels est la première étape indispensable de notre conversion car, si nous ne reconnaissons pas notre mauvais état de pécheurs méritant la Colère de Dieu, nous disons que nous n’avons pas besoin du Sauveur. « Ceux qui sont en bonne santé n’ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal. De même, Jésus n’est pas venu appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance » (Luc 5. 32). « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés » (Actes 3. 19).
Dans sa grâce immense, non seulement Dieu efface les péchés de ceux et celles qui se repentent et croient, mais Il fait d’eux ses enfants
(Jean 1. 12) et, par conséquent, ses héritiers, cohéritiers de Christ (Romains 8. 17).
Réalisons-nous la hauteur de la position dans laquelle Dieu place le vrai croyant en Jésus qui, autrefois, était tombé si bas dans la poussière de la mort, sur le fumier du péché ?
« Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause de son grand amour dont il nous a aimés, alors même que nous étions morts dans nos fautes, nous a vivifiés ensemble avec le Christ (c’est par la grâce que vous êtes sauvés) et nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes dans le Christ Jésus, afin de montrer dans les siècles à venir les immenses richesses de sa grâce… » (Ephésiens 2. 5-7)

Nous sommes vivifiés (ou rendus vivants) :
Un enfant de Dieu est né de nouveau dès sa Nouvelle Naissance opérée par le Saint-Esprit : par le moyen de la foi, il reçoit une nouvelle vie, la vie divine et éternelle. Il n’est plus mort dans ses fautes et dans ses péchés, mais il est éternellement vivant pour Dieu.

Nous sommes ressuscités et assis dans les lieux célestes dans le Christ Jésus :
Nous ne sommes pas encore ressuscités de manière effective et complète, mais dans les pensées de Dieu nous le sommes car pour Dieu qui n’est pas limité par le temps, ce qui sera d’une manière certaine l'est déjà. Il en est de même pour : Assis dans les lieux célestes dans le Christ Jésus.
Jésus s’est maintenant, en tant qu’homme glorifié, assis à la Droite de la Majesté divine dans les lieux très hauts
(Hébreux 1. 3), élevé plus haut que les cieux (Hébreux 7. 26) et c’est ainsi que nous serons et que nous sommes déjà dans les pensées de notre Dieu Sauveur. « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; nous savons que quand il sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons comme il est. » (1 Jean 3. 2)
Cette si haute élévation que Dieu offre à ses enfants dépasse notre entendement, mais lorsque nous serons dans le Ciel avec le Seigneur Jésus, Il montrera « dans les siècles à venir les immenses richesses de sa grâce ... ». (Ephésiens 2. 7)

Mais, Comment tout celà est-il possible ?
Une question se pose alors, car nous avons dit que Dieu, à cause de sa Sainteté et de sa Justice, ne peut pas voir le péché sans le punir. Comment peut-il donc placer des êtres humains pécheurs sur des hauteurs aussi élevées sans que ceux-ci ne soient punis et condamnés ? Comment peut-il exercer son amour et son immense grâce envers nous tout en satisfaisant sa Sainteté et sa Justice ?
Il fallait une sainte victime qui subisse pour nous la juste condamnation divine, expiant tous nos péchés. Jésus, le Saint Fils de Dieu, dans son Amour infini, s’est présenté. De la Gloire du Ciel où Il était de toute éternité, Jésus est descendu jusqu’à nous, s'est fait homme, naissant dans une étable. Étant Maître de l’Univers parce qu’ll en est le Créateur, Jésus aurait pu naître dans un palais d’or et recevoir tous les honneurs qui Lui étaient dus. Mais Jésus a choisi la pauvreté parce que « Il n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup » (Marc 10. 45). Étant riche, Jésus s’est fait pauvre pour nous. Partout, Il a été le méprisé et le délaissé des hommes, le peuple n’a eu pour Lui aucune estime, et son chemin sur la terre s’est terminé dans la honte de la crucifixion à laquelle Il s’est livré volontairement pour prendre sur Lui tous nos péchés qu'Il a expiés un à un.
« Le Christ Jésus, existant en forme de Dieu, n’a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver, mais s’est anéanti lui-même, prenant la forme de serviteur, étant devenu semblable aux hommes ; et, trouvé quant à son aspect comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a élevé très haut et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom… » (Philippiens 2. 6-9)
Pour que des pécheurs tels que nous puissent être sauvés et occuper auprès de Jésus une place élevée dans le Ciel, Jésus-Christ, à cause de son parfait Amour pour nous, quitta la gloire du Ciel où Il se trouvait de toute éternité, pour s’abaisser jusqu'à nous. Plus bas encore, Jésus est descendu jusqu’à la mort de la croix où Il accepta de subir pour nous le jugement et la condamnation de Dieu.
Oui, pour nous enrichir, Jésus daigna Lui même s'appauvrir, Lui, le Dieu suprême. Gloire au Fils du Très-Haut ! Gloire à toi Jésus, Saint Agneau de Dieu ! Reçois de notre cœur l’amour et l’hommage ; Qu’il soit, divin Sauveur, à toi sans partage !

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Quand une bonne chose devient une idole

10 Avril 2024 Publié dans #Divers

“Tu ne te feras pas d’idole…” (Exode 20. 4).

Dieu tient à occuper la totalité de notre cœur. Une idole est simplement tout ce qui prend, peu ou trop, la place de Dieu dans notre cœur. Reconnaître la nature d’une idole aux temps des Hébreux était facile : elle avait l’apparence d’une statue ou d’un objet sculpté représentant une divinité quelconque, devant lesquels venaient se prosterner les gens de cette époque. De nos jours, les idoles sont plus difficiles à reconnaître, mais tout aussi dangereuses.

Nous comprenons que la poursuite effrénée vers le succès, l’acquisition incessante de biens matériels, le désir d’embellir son aspect physique, la volonté d’imiter un chanteur ou un acteur célèbre deviennent vite des idoles dans notre vie.
Nous sommes prêts à leur sacrifier notre famille, notre paix, notre intégrité, et ainsi nous offrons des sacrifices à nos idoles comme les anciens Hébreux le faisaient trop souvent. Pire encore lorsque nous prenons de bonnes choses et les mettons sur un piédestal, créant ainsi des idoles sans même y penser vraiment.
Or une bénédiction que Dieu nous a accordée peut finir par prendre la place de Dieu dans notre cœur : par exemple un enfant que Dieu nous a donné alors que nous ne l’attendions plus.

Mais pouvez-vous imaginer que quelque chose instauré par Dieu puisse devenir une idole qui nous fait trébucher ?
Comme un ministère établi à l’origine pour le glorifier, mais qui a pris trop de place en nous au point de nous faire oublier pourquoi nous le poursuivons !

Un étrange exemple nous est donné dans l’Ancien testament, lorsque Dieu dit à Moïse de façonner un serpent en airain pour guérir les Hébreux mordus par des serpents venimeux lors de leur périple au désert.
Symbole de la mort de Jésus sur la croix, élevé aux yeux de tous comme le serpent que Moïse avait dû placer au sommet d’un mât, ce serpent était source de vie et de guérison pour ceux qui levaient leur regard vers lui.
Dieu n’avait pas changé d’idée : tu ne feras pas d’idole est toujours valable pour nous aujourd’hui !

“Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut, de même, que le Fils de l’homme soit élevé, pour que quiconque croit ait en Lui la vie éternelle” (Jean 3. 14-15).

Pourquoi Dieu a-t-Il dit à Moïse d’agir ainsi ? Ne pouvait-Il pas guérir les Hébreux comme Jésus le fit plus tard avec les dix lépreux ?
Certes, mais Il voulait que les personnes mordues par les serpents venimeux lèvent la tête vers leur salut et acceptent que leur guérison ne dépendait pas d’eux, mais de la seule grâce divine.
Le serpent, qui représentait les péchés que Jésus allait porter à la croix pour nous, n’était qu’un symbole, pas une idole devant laquelle les Hébreux devaient se prosterner, pourtant il devint une idole pour tout Israël au cours des siècles qui suivirent.

Que s’est-il passé ? Les Hébreux oublièrent la véritable signification du serpent d’airain, comme ils avaient oublié en son temps la raison pour laquelle Moïse était resté sur la montagne de Sinaï pendant quarante jours.
Ils avaient conservé le serpent comme une relique et se mirent à lui offrir des sacrifices au lieu d’en offrir à Dieu seul. Sept siècles plus tard, le roi Ézéchias le détruisit :”C’est lui qui… mit en pièces le serpent de bronze que Moïse avait fait, car les fils d’Israël avaient brûlé de l’encens devant lui jusqu’à cette époque : on l’appelait Nehoushtân” (2 Rois 18. 4).

Parfois de bonnes choses, même instaurées par Dieu peuvent accaparer notre cœur au point de devenir des idoles. La seule solution est de les détruire une fois pour toutes. Avez-vous pris des habitudes qui sont devenues trop importantes dans votre vie pour vous permettre d’apprécier votre relation avec Dieu ? Avez-vous des bénédictions matérielles qui occupent aujourd’hui une place de choix dans votre vie ?

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Nous sommes des sacrificateurs en Jésus-Christ

9 Avril 2024 Publié dans #Divers

Il est important de connaître notre rôle véritable devant Dieu, afin de l’intégrer et d’être efficace. Je crois que tous doivent le connaître. Une des fonctions que la Bible déclare est que tous les sauvés sont des sacrificateurs. "À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !" (Apocalypse 1:5-6).

Le rôle de sacrificateur dans l’Ancien Testament :

Le poste de sacrificateur était de se présenter devant Dieu. Il n’existait aucun autre poste plus grand que celui-là. (à cause de la proximité de Dieu. Ils étaient choisis par ligné familial (tribu de Lévi) avec une promesse perpétuelle : Aaron… etc. C’étaient des gens consacrés. Il ne faisait rien d’autre, ils appartenaient à Dieu. Ils étaient les seuls autorisés à entrer dans le lieu Saint (présence de Dieu). Ils avaient un rituel de purification afin d’être toujours purs.
Le sacrificateur était intermédiaire entre Dieu et les hommes (pour les enseignements et pour leur pardon). Le chef des sacrificateurs, le souverain sacrificateur entraient une fois l’an dans le lieu très saint.
Maintenant Dieu a appelé de nouveaux sacrificateurs dans le Nouveau Testament. L’appel de ce ministère est donné à tous ceux qui ont été rachetés par Jésus-Christ. À part de nos ministères personnels que nous avons reçus, nous avons tous part au ministère de sacrificateur. L’accès dans le lieu Très Saint nous est ouvert, nous pouvons jouir de la présence de Dieu tous les jours. Nous sommes appelés à nous tenir dans la présence de Dieu et de préservet notre communion. Nous ne devons pas prendre notre rôle à la légère et négliger l’extraordinaire Grâce qui nous a été accordée. Nous ne devons pas nous présenter les mains vides.

Nous croyons qu’il y a qu’une seule chose qui à de la valeur comme sacrifice pour le péché : « le sacrifice de Jésus » ; Il y a aussi l’offrande de notre être entier qui est agréable à Dieu ; Il y aussi le sacrifice de louange, la bienfaisance et la libéralité.
Nous avons un Souverain Sacrificateur qui a pourvu au sacrifice, son nom est « Jésus ou Yeshua ». "Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est à dire, qui n’est pas de cette création ; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle" (Hébreux 9. 11-12).

Jésus exerce sa fonction de Sacrificateur en intercédant pour nous. "Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !" (Romains 8. 34).

Notre fonction est de présenter une intercession pour ceux qui nous entourent. "J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité" (1 Timothée 2. 1-4).

Dieu se cherche des sacrificateurs intercesseur pour se présenter entre Dieu et les hommes. "Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en trouve point" (Ézéchiel 22. 30).

Toutes nos requêtes doivent être demandées au nom de notre Souverain Sacrificateur : Jésus. "Et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai" (Jean 14:13-14)

Dieu nous a choisis et a déjà promis de nous exhausser. "Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne" (Jean 15. 16).

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L'expiation de nos péchés

8 Avril 2024 Publié dans #Sacrifice de Jésus

1. Définition et généralités :

Lorsque le mot "expiation" apparaît dans l'Ancien Testament en français, il est la traduction de l'hébreu "kippér" qui signifie étymologiquement "couvrir". Les offrandes lévitiques "couvraient les péchés" mais étaient incapables "d'ôter les péchés" (Hébreux 10. 4). Ces offrandes étaient "l'image" (Hébreux 8. 5) du sacrifice de Christ qui allait effacer pleinement les péchés "laissés impunis au temps de la patience de Dieu" (Romains 3. 25). Dieu accordait alors son pardon en prévision de l’œuvre de Christ qui a satisfait réellement à la Justice divine.

Dans le Nouveau Testament, d'autres expressions apparaissent et il n'y est plus dit que Dieu "couvre" simplement les péchés. Car en vertu de l’œuvre expiatoire de Jésus-Christ, le péché des croyants est ôté (1 Jean 3. 5 ; Jean 1. 29 ; cf. Hébreux 10. 4 ; 9. 26). La Parole de Dieu nous montre très nettement la différence d'attitude que Dieu a pu adopter à l'égard du péché confessé sous l'ancienne et sous la nouvelle alliance : auparavant les péchés étaient restés impunis, mais dans le temps présent, Dieu justifie celui qui a la foi en Jésus et cela sans enfreindre sa Justice puisque Christ a satisfait à toutes les exigences de la loi (Romains 3. 25-26).

Par l'expiation, Dieu a résolu le problème du péché et de la relation entre l'être humain et son Créateur. Le terme "expiation" désigne l'ensemble de ce que Dieu exige pour délivrer les êtres humains de leurs péchés. Dieu a jugé le péché. Son verdict est la mort (Romains 6. 23a ; cf. Genèse 2. 17) ; c'est pourquoi l'expiation du péché n'est possible que par le sacrifice d'un substitut qui subit la mort. C'est le seul moyen que Dieu puisse approuver (Hébreux 9. 22 ; Lévitique 17. 11).
Dans l'Ancien Testament, pour accomplir l'expiation, il fallait un autel sur lequel une victime était offerte
(Lévitique 4). Le Nouveau Testament présente la croix du Calvaire sur laquelle Jésus s'est offert volontairement comme Agneau de Dieu (Hébreux 9. 13-14 ; 1 Pierre 1. 19 ; Jean 1. 29, 36 ; Jean 10. 17-18). Jésus-Christ a parfaitement accompli l'expiation de tous nos péchés ; sa mort sur la croix en est le point culminant (Hébreux 10. 10 ; Marc 10. 45 ; Jean 12. 23-27, 9. 30).

A savoir :
Les traductions françaises utilisent généralement les termes "expiation" et "expiatoire" en
Romains 3. 25 ; 1 Jean 2. 2, 4. 10 ; Hébreux 2. 17. Cependant, l'expression grecque - "hilastêrion, hilasmos ou hilaskomai" - traduite par victime "expiatoire" a le sens de victime "propitiatoire", c'est-à-dire qui a la vertu de rendre Dieu propice (favorable). Il convient de bien saisir le sens biblique de ce terme. Dieu est fondamentalement propice à l'être humain en ce qu'Il désire de toute sa force faire grâce au pécheur. Mais la Colère de Dieu se manifeste contre le péché (Romains 1. 28) et contre ceux qui ne s'en éloignent pas (Romains 2. 5-8 ; Ephésiens 2. 2), car le Dieu trois fois Saint (Esaïe 6. 3 ; Apocalypse 4. 8) ne peut pas tolérer le mal. Ainsi l'être humain ne doit pas chercher à gagner la faveur de Dieu mais doit se mettre à l'abri de la Colère et du Jugement de Dieu, par la foi en Jésus-Christ (Romains 3. 25, 5. 9 ; Jean 3. 36 ; 1 Thessaloniciens 5. 9-10). Le sacrifice de Jésus-Christ permet à Dieu de justifier le pécheur puisque les exigences de sa Justice ont été satisfaites. Jésus-Christ a ouvert, à tous ceux croient en Lui, le chemin jusqu'à Dieu (Hébreux 10. 19-20 ; cf. Matthieu 27. 50-51).

2. La nécessité de l'expiation :

L'être humain pécheur est totalement séparé de Dieu (Esaie 59. 2). Cette situation vient du fait que, par nature, l'être humain est mort spirituellement (Ephésiens 2. 1), c'est-à-dire étranger à la vie de Dieu ; Il est esclave du péché (Jean 8. 34 ; Romains 6. 16, 20) ; il est ennemi de Dieu (Romains 5. 10a) ; il est insoumis à la loi de Dieu (Romains 8. 7).
De plus, le pécheur est incapable d'expier ses fautes lui-même
(Romains 3. 20 ; Galates 2. 16 ; Psaumes 49. 7-9) et de rétablir la relation avec Dieu.

3. L’œuvre expiatoire de Jésus-Christ :

Toute la mission de salut de Jésus-Christ, en particulier son incarnation et sa mort sur la croix, est la démonstration de l'Amour de Dieu pour les êtres humains (1 Jean 4. 10 ; Romains 5. 8).
Jésus-Christ a subi le châtiment mérité par les êtres humains à cause de leur insoumission à la loi divine. Dans sa Justice, Dieu ne pouvait pas supprimer le châtiment, car toute faute entraîne une sanction. Pour satisfaire sa Justice, Dieu a accepté le principe de la Substitution : qui est de faire tomber le châtiment sur son Fils Jésus
(Esaïe 53. 5) qui a porté tous nos péchés pour nous. Ainsi Dieu reste juste tout en justifiant le coupable (Romains 3. 25-26).
Christ a rétabli la paix entre l'être humain et Dieu. En effaçant ou en ôtant le péché
(Hébreux 9. 26b ; Jean 1. 29), Jésus a supprimé ce qui rend l'être humain ennemi de Dieu. Ainsi, la réconciliation est possible, car Dieu n'a plus à prendre en compte les fautes de ceux qui mettent leur confiance en son Fils Jésus (2 Corinthiens 5. 19-20). Par le don de son sang (de sa vie), Christ a permis à l'être humain de retrouver la relation avec Dieu, de "faire la paix" avec Lui (Colossiens 1. 19-21 ; Romains 5. 10).
Christ a payé le prix du rachat afin que l'être humain soit libéré de son esclavage du péché et qu'il appartienne à Dieu son nouveau Maître. Jésus a payé la rançon nécessaire
(1 Pierre 1. 18-19 ; Marc 10. 45 ; Apocalypse 5. 9). Cet aspect de l’œuvre du Sauveur s'appelle la rédemption (la délivrance par le paiement d'un prix) (Romains 3. 24 ; Colossiens 1. 13-14 ; Ephésiens 1. 7).
Jésus-Christ a vaincu Satan par sa mort et sa résurrection
(Hébreux 2. 14-15 ; Colossiens 2. 15 ; Apocalypse 1. 18 ; cf. Romains 14. 9 ; 1 Jean 3. 8b). Pour que l'être humain puisse avoir part à la vie de Dieu, Christ a rendu impuissant le diable qui avait la puissance de la mort. Cette victoire, déjà pleinement acquise, sera entièrement manifestée lorsque Satan sera jeté définitivement dans l'étang de feu (Apocalypse 20. 10).
Ainsi, tout ce qui séparait l'être humain d'avec le seul Dieu tois fois Saint est ôté par Christ. Désormais le pécheur repentant a, par la foi en Lui, la liberté de s'approcher de Dieu
(Ephésiens 3. 12, 2. 18 ; Hébreux 10. 19). C'est sur cette base que Dieu peut dès maintenant accorder gratuitement la vie éternelle (Romains 6. 23 ; 1 Jean 5. 11-13) à quiconque croit réellement en Jésus et se confie en Lui seul.

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La seule ancre jetée en haut

7 Avril 2024 Publié dans #Divers

« … Pour saisir l’espérance proposée, laquelle nous avons comme une ancre de l’âme, sûre et ferme, et qui pénètre jusqu’au dedans du voile, là où Jésus est entré pour nous, en précurseur... » (Hébreux 6. 19).

Nous sommes les seuls matelots qui jettent l’ancre vers le haut. Notre espérance repose sur Dieu ; c’est pourquoi elle est solide. Elle est fondée sur la Personne du Christ ressuscité ; c’est pourquoi elle est vivante.

Nous ne craignons pas les vents impétueux, ni la fureur des flots, ni la violence des tempêtes ; notre espérance s’est fixée dans le sanctuaire de Dieu, elle est céleste.
Jésus nous rend forts devant les persécuteurs, inébranlables dans les calamités, résistants au sein des tribulations. En Jésus, notre espérance est ferme.
Notre Dieu ne peut mentir. Ce qu’Il a promis, il le donnera, tôt ou tard. Ce que nous attendons, nous le posséderons un jour. Demain, notre espérance sera comblée. Aujourd’hui, elle est persévérante.

Le meilleur est devant nous. Nous le savons. Nous le croyons. Cette terre de misère ne nous épargne pas. Nous pleurons ? Bientôt nous tressaillirons de joie. Nous luttons ? Nous recevrons la palme des vainqueurs.
Avançons-nous sous les propos moqueurs, les railleries, et les crachats ? Mais, nous nous reposerons et nous chanterons parmi les phalanges angéliques. Notre espérance est joyeuse.

« Le malheur atteint souvent le juste » (Psaumes 34. 19), dit le Psalmiste. Certes, notre Seigneur permet que nous soyons souvent vêtus du manteau de la souffrance.
Notre corps de misère, tente si fragile, s’affaiblit, se détruit, nous accablant de toutes sortes de maux. Les larmes versées dans le secret arrosent les sillons de nos cœurs lacérés et meurtris. Mais nous attendons la manifestation de la Gloire de notre Sauveur Jésus. Il revient bientôt. Notre espérance est bienheureuse.

Le monde sombre désespérément dans l’océan de la séduction, du mensonge, et de l’iniquité. Mais notre Dieu nous a aimés, choisis, appelés, sauvés, consolés, sanctifiés, instruits, affermis. Il a déposé en nos cœurs une bonne espérance.

Celui qui s’appelle « le Dieu de l’espérance », œuvre en nous par la puissance de l’Esprit Saint pour que nous soyons animés d’une espérance débordante.

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