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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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La preuve de l'Amour de Dieu : Son Fils Jésus-Christ

17 Novembre 2022 Publié dans #Amour de Dieu - de Jésus

Le tout début de la Bible nous raconte que les êtres humains (Adam et Ève) ont été créés pour vivre en harmonie dans le monde merveilleux qui les entoure, dotés de la responsabilité d’en prendre soin pour en préserver l’équilibre et la richesse, et invités à partager non seulement la joie d’une alliance d’amour entre l’homme et la femme, mais aussi plus étonnamment avec Dieu leur Créateur.

Mais, à travers le diable, survient la tentation de croire que ce statut d’être humain n’est pas le meilleur, que Dieu se réserve la meilleure part et qu’en refusant les limites données par Dieu, on pourrait devenir comme Lui, des dieux nous-mêmes… Le doute insinué par le diable sur la bienveillance de Dieu fait son chemin et Adam et Ève décident de ne plus faire confiance à leur Créateur, de ne plus avoir foi en Lui. Ainsi, ils Le désobéirent en mangeant du fruit défendu. Adam et Eve se coupent ainsi eux-mêmes de leur source vitale. La désobéissance à la Parole du seul vrai Dieu Saint  est ce que la Bible appelle « le péché ». Il a pour conséquence la mort, comme état spirituel de séparation d’avec Dieu et de la vie abondante qu’il nous offre.

Signalons au passage que ce refus de confiance à la Parole de Dieu a des conséquences dans les relations humaines, en commençant l'entrée du péché dans le monde et de toutes ses conséquences. Nous en connaissons la suite : toute notre Histoire est contaminé par le péché. Ce qui est frappant, c’est que Dieu n’abandonne pas l’être humain à son triste sort, se retirant dans sa Majesté offensée. Mais, par Amour et prenant acte du nouvel état dans lequel l’être humain s’est placé, Dieu revêtit Adam et Eve d'habits de peau d'animal, et leur promet la Venue de Quelqu’un qui s'offrira en sacrifice parfait pour toute la race humaine. La Vie divine sera ainsi retrouvée par tous ceux qui se repentiront et placeront leur confiance dans le Sauveur promis. Oui le Sauveur promis par Dieu à Adam et Eve et à toute sa descendance, c’est Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu.

La mort de Jésus sur la croix : une preuve d’amour
Ce que nous ne pouvions faire pour nous-mêmes, Dieu, en Jésus-Christ, l’accomplit. Là où le péché (le mal) a entraîné la mort, le don gratuit de Dieu, Jésus, nous donne la vie éternelle. Et si, sur la croix, Jésus a pris le poids de nos maux, de nos péchés et de notre mort, cela signifie qu’il n’y a plus rien en nous qui puisse le surprendre. Paul souligne que « Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5. 8).

La valeur immense de ce don dit que, même empêtrés dans leurs chemins de mort, les êtres humains sont infiniment aimés. La preuve de cet Amour infini de Dieu se trouve en Jésus et précède toute conscience d’un désir de salut, toute initiative de notre part. Nous n’y pouvons rien et nous ne pouvons pas la revendiquer. De même que la vie humaine nous est donnée dans le ventre de notre mère avant même que nous n’en ayons conscience, la grâce du Salut accompli nous précède toujours. Le salut nous est offert avant même que nous n’en réalisions le besoin.

Seul le Don parfait de Jésus Christ sur la croix - preuve de l'Amour de Dieu envers nous - a la capacité de mettre en évidence le véritable sens de la vie de chaque être humain. Nous ne saisissons vraiment le sens de notre existence qu'à partir du moment où nous comprenons pourquoi Jésus a accepté de payer pour nous un tel prix. Par Amour pour nous, Jésus a choisi de donner sa vie en rançon pour nous tous afin de libérer de la puissance du péché quiconque se confie entièrement en Lui.

Alors, pour nous êtres humains, derrière notre difficulté à accepter ce salut, n’y a-t-il pas un problème d’orgueil qui refuse d’admettre que nos actes aient pu avoir des conséquences douloureuses et que celles-ci ne puissent être réparées par nos propres forces ? Il faut sans doute de l’humilité pour admettre que l’accueil de la Vie Éternelle passe par la repentance et l’acceptation de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. Il nous montre, non pas la cruauté, mais l’immensité de l’Amour merveilleux de Dieu. Ce Dieu s’implique et se livre librement tout entier et jusqu’au bout dans notre humanité, traversant la mort pour nous ouvrir le passage vers la vie éternelle et dans une communion éternelle avec Lui. Cet amour, comme tout amour véritable, ne s’impose pas. La liberté de l’être humain n’est pas court-circuitée. Ce don est à recevoir dans la foi et la confiance en Celui qui l’offre. Jésus dit  : faire l’œuvre de Dieu c’est « croire en celui (que Dieu) a envoyé » (Jean 6. 28).

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Une espérance vivante à travers la Résurection de Jésus-Christ (2)

16 Novembre 2022 Publié dans #Résurrection

Bien-aimés, il nous faut savoir que l’Église du 1er siècle a connu des épreuves qui ont décimé des villes et des régions. Les temps étaient périlleux. Mais le Seigneur a été, comme il l’est toujours, le secours qui n’a jamais manqué. Par la grâce de Dieu, nous pouvons donc regarder l’avenir avec confiance et compter sur Lui.

En quoi l’espérance chrétienne peut-elle nous aider dans ces temps difficiles ? L’espérance a, pour le croyant, une valeur de protection. L’Écriture nous dit : « Équipez-vous du casque de l’espérance du salut » (1 Thessaloniciens 5. 8). Le casque couvre des centres vitaux. Une foi qui n’aurait plus une forte dimension d’espérance serait en grave danger. Une espérance forte abrite des menaces… Seigneur, abrite-moi sous tes ailes.

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ! Selon sa grande bonté, il nous a fait naître de nouveau à travers la résurrection de Jésus-Christ pour une espérance vivante, pour un héritage qui ne peut ni se détruire, ni se souiller, ni perdre son éclat. Il vous est réservé dans le ciel, à vous qui êtes gardés par la puissance de Dieu, au moyen de la foi, pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps » (1 Pierre 1. 3).

Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre (1 Pierre 2. 11a). Quelle était la situation de ces croyants ?

Pierre utilise le terme d’étranger pour décrire la situation des chrétiens dans le monde. Les croyants sont des étrangers, dispersés dans le monde. Ils sont en diaspora et en attente d’un héritage qui leur est réservé dans les cieux. Leur situation concrète est donc celle d’un peuple de pèlerins, en exode / en route vers sa patrie céleste. Pierre utilise deux mots qui désignent l’étranger.
L’un d’eux désigne « l’étranger résident ». C’est celui qui réside pour une durée plus ou moins longue dans un pays qui n’est pas le sien. Même s’il ne devient pas citoyen du pays, il possède un statut, il bénéficie de certains droits qui le protègent. Sa situation correspondrait globalement aujourd’hui à celle de l’étranger qui posséderait une carte de séjour.

Le terme voyageurs désigne en revanche l’immigrant, le résident temporaire, celui dont on tolère la présence, mais qui n’a pas de statut particulier et qui ne possède pas de droit spécifique, puisqu’il est juste de passage dans le pays.
Pierre accorde une certaine priorité à ce mot pour décrire la situation du croyant dans le monde, le croyant est le résident temporaire, sans droit, ce qui met l’accent sur la précarité de sa situation et le sentiment d’aliénation, le sentiment de ne pas se sentir chez lui.
Dans Jean 15. 19-20, Jésus dit à ses disciples : « Si le monde a de la haine pour vous, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde vous aimerait, car vous seriez à lui. Vous n’êtes pas du monde, mais je vous ai choisis du milieu du monde ; c’est pour cela que le monde vous déteste. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : — “Le serviteur n’est pas plus grand que son seigneur. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre”».

“Je vous ai dit ces choses afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde, vous aurez à souffrir dans le monde, mais prenez courage : moi, j’ai vaincu le monde” (Jean 16. 33).

Quelle attitude avoir en tant que chrétiens ?

Nous devons garder dans notre esprit cette nécessité absolue — le salut de ceux qui ne connaissent pas le Seigneur et qui n’ont donc pas cette  espérance vivante.
L’Écriture dit dans 1 Timothée 2. 1-4 : “En tout premier lieu, je recommande que l’on adresse à Dieu des demandes, des prières, des supplications et des remerciements pour tous les êtres humains. Prions pour les rois et pour toutes les personnes qui détiennent l’autorité, afin que nous puissions mener à l’abri de toute violence et dans la paix, une vie qui exprime, en toute piété et en tout respect, notre attachement à Dieu. Voilà ce qui est beau et agréable à Dieu, notre sauveur, qui veut que tous les humains soient sauvés, et qu’ils parviennent à la connaissance de la vérité”.

Nous ne devons jamais perdre de vue notre espérance

“Quant à nous, nous sommes citoyens du royaume des cieux : de là, nous attendons ardemment la venue du Seigneur Jésus-Christ pour nous sauver, car il transformera notre corps misérable pour le rendre conforme à son corps glorieux par la puissance qui lui permet de tout soumettre à son autorité” (Philippiens 3. 20-21).

Le meilleur est devant nous ! Que le Seigneur vous bénisse.

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Une espérance vivante à travers la Résurection de Jésus-Christ (1)

15 Novembre 2022 Publié dans #Résurrection

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ! Conformément à sa grande bonté, il nous a fait naître de nouveau à travers la résurrection de Jésus-Christ pour une espérance vivante, pour un héritage qui ne peut ni se détruire, ni se souiller, ni perdre son éclat. Il vous est réservé dans le ciel, à vous qui êtes gardés par la puissance de Dieu, au moyen de la foi, pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps » (1 Pierre 1. 3-5).

L’apôtre Paul déclare à propos des non-croyants : « Ils n’ont pas d’espérance » (1 Thessaloniciens 4. 13), ils sont « sans espérance et sans Dieu dans le monde. » (Éphésiens 2. 12).
Quelqu’un peut essayer de contester cette affirmation en disant que l’être humain ne peut pas faire autrement qu’espérer, sans quoi il ne peut pas tenir ! D’ailleurs la sagesse populaire dit : « L’espoir fait vivre », « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». Quelqu’un a dit « Être homme, cela veut dire en réalité : avoir des rêves, de l’utopie ». On peut comprendre ce qu’il a voulu dire. Mais il est très important de préciser les choses.

Bien-aimés, contrairement à de purs produits de l’imaginaire et du désir, l’espérance chrétienne n’est pas un rêve ou une utopie ; elle est fondée sur une réalité historique incontestable. Dans les versets en tête est clairement indiquée la source de l’espérance chrétienne. L’apôtre écrit : « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Conformément à sa grande bonté, il nous a fait naître de nouveau à travers la résurrection de Jésus-Christ pour une espérance vivante. » (1 Pierre 1. 3).

Au centre, au cœur de l’espérance chrétienne, il y a Quelqu’un. C’est Jésus Christ. « En effet, ce n’est pas en suivant des fables habilement conçues que nous vous avons fait connaître la puissante venue de notre Seigneur Jésus-Christ, mais c’est après avoir vu Sa Majesté de nos propres yeux. Oui, Il a reçu de Dieu le Père honneur et gloire quand la gloire magnifique lui a fait entendre une voix qui disait : — Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. Cette voix, nous l’avons nous-mêmes entendue venir du ciel lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne » (2 Pierre 1. 16-18).
Jésus nous a dit : « Que votre cœur ne se trouble pas ! Croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Si ce n’était pas le cas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Lorsque je vous aurai préparé une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi, afin que vous soyez, vous aussi, là où je suis » (Jean 14. 1).

Quelle glorieuse espérance !

L’espérance chrétienne se vit de manière pratique dans des contextes difficiles. En effet, cette épître de Paul s’adresse à des communautés de croyants, qui constituaient une minorité dans une société non chrétienne qui de plus leur était hostile. Ils passaient par des temps très difficiles. Une période de persécutions et de diverses épreuves.
Dans Jean 15. 18-20, Jésus dit à ses disciples : « Si le monde a de la haine pour vous, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde vous aimerait, car vous seriez à lui. Vous n’êtes pas du monde, mais je vous ai choisis du milieu du monde ; c’est pour cela que le monde vous déteste. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : “Le serviteur n’est pas plus grand que son seigneur.” S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. »
« Je vous ai dit ces choses afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde, vous aurez à souffrir dans le monde, mais prenez courage : moi, j’ai vaincu le monde » (Jean 16. 33).

A SUIVRE...

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Deux conditions indispensables pour être sauvé

14 Novembre 2022 Publié dans #Salut

Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu ... Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau" (Jean 3. 5, 7).
"Il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 14-16).

1) « Naître de nouveau » :
Paroles étranges et incompréhensibles si Jésus n’avait pas apporté l’explication. Comment un homme peut-il naître quand il est déjà né ? C’est d’ailleurs la question que posa Nicodème qui, pourtant, était un éminent docteur en Israël, c’est-à-dire enseignant, instruit dans la loi et les prophètes. « Tu es docteur en Israël et tu ne connais pas cela ? » lui dit Jésus (Jean 3. 10).
Et oui, qui que vous soyez, jeune ou âgé, même si votre instruction vous permet d’enseigner les autres, même si vous avez une très bonne connaissance intellectuelle de la Bible, IL VOUS FAUT ÊTRE NÉ DE NOUVEAU. Que cela veut-il dire ?
"A tous ceux qui l’ont reçu (qui ont reçu le Seigneur Jésus), il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à­-dire à ceux qui croient en son nom, lesquels sont nés non pas de sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu" (Jean 1. 12-13).

Ce qui est né de chair est chair. Pour entrer dans le monde des hommes, il faut passer par la naissance physique. De même, pour entrer dans le Royaume de Dieu, autrement dit dans la famille de Dieu, il faut obligatoirement passer par la Nouvelle Naissance qui, celle-ci, est spirituelle : Ce qui est né de l’Esprit est esprit. « Si quelqu’un n’est pas né d’eau et de l’Esprit, dit Jésus, il ne peut pas entrer dans le Royaume de Dieu ».  L’eau nous parle de la Parole de Dieu (voir Éphésiens 5. 26), et la Nouvelle Naissance est l’application de la Parole de Dieu par l’Esprit Saint qui travaille le cœur jusqu’à le convaincre au sujet du péché (Jean 16. 8), puis l’amener à la repentance et à la foi. Naître de nouveau, c’est recevoir une nouvelle vie : la vie divine et éternelle.

Remarquons l’insistance de Jésus par ces deux petits mots « il faut » qui ont une grande signification. La Nouvelle Naissance est une nécessité absolue, un impératif indispensable pour entrer dans le Royaume de Dieu. Jésus n’a pas dit : « il faut vous améliorer » ou : « changer votre façon de vivre ». Un voleur qui décide de ne plus voler fait bien, mais ce n'est pas cela qui lui fera entrer dans le Royaume de Dieu pour autant. Il lui faut être né de nouveau.

La Nouvelle Naissance ne peut être comprise que de celui qui en a fini avec lui-même ainsi qu'avec ses œuvres et qui réalise que, quoiqu’il fasse, il restera toujours avec sa nature pécheresse (la chair) qu’il a hérité de ses parents. Il lui faut une autre nature, une nouvelle vie, autrement dit, il lui faut naître de nouveau.

2) « Il fallait que Jésus soit élevé sur une croix » :
Mais comment ôter nos péchés des yeux de Dieu qui est Saint et ne peut voir le mal sans le punir ? Comment peut-il nous donner une Nouvelle Vie en pardonnant nos péchés sans que sa justice soit satisfaite ? C’est impossible ! « Comment cela peut-il se faire ? » demanda Nicodème. La réponse se trouve dans le 2ème « IL FAUT » que Jésus exprime dans cette même conversation avec Nicodème :  « IL FAUT que le Fils de l’homme soit élevé (sur la croix) afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 14, 16).

Pour que nous puissions nous approcher de Dieu, il fallait que nos péchés soient expiés. La Sainteté et la Justice divine ne pouvaient être satisfaites autrement que par une sainte victime, et seul, Jésus pouvait se présenter en sacrifice parfait. Élevé sur la croix, Jésus a payé le prix de toutes nos fautes, subissant à notre place la Colère divine que nous méritions. Ainsi, nos péchés étant expiés, effacés, oubliés, nous pouvons nous approcher de Dieu par la foi en Jésus Christ et recevoir une nouvelle vie, la vie éternelle.

Avant d’affronter la croix, Jésus a employé plusieurs fois cette expression : « IL FAUT » :
« IL FAUT que le Fils de l'homme souffre beaucoup, et qu'il soit rejeté... et qu'il soit mis à mort, et qu'il ressuscite trois jours après »
(Marc 8. 31, Luc 17. 25, 24. 7).
Et quand Il fut ressuscité, Jésus dit :
« Ne FALLAIT-IL pas que le Christ souffre ces choses et qu'il entre dans sa gloire ? » (Luc 24. 26).

Les deux « IL FAUT » :
Du côté de Dieu :
« IL FAUT que le Fils de l’homme soit élevé afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique...  » (Jean 3. 14, 16a)
Du côté de l’être humain :
« ...afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16b). Et pour avoir la vie éternelle, « IL FAUT NAÎTRE DE NOUVEAU » (Jean 3. 7).

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Attitude devant la mort

13 Novembre 2022 Publié dans #La mort

La vie d'ici-bas ? C'est une brume passagère, une fleur qui s'épanouit, sèche et tombe ! La mort ? Certains veulent l'occulter, éviter d'y penser. Et pourtant, personne ne pourra s'y soustraire. D'autres y pensent avec angoisse et épouvante. Ce sentiment est naturel : la mort n'est-elle pas appelée “le roi des terreurs" ? (Job 18. 14).
Si nous la craignons tant, est-ce parce que nous devons quitter ce monde, tout laisser, et en particulier ceux que nous aimons ? Ou bien suscite-t-elle la peur de l'inconnu, de ce qu'il y a après la mort ? Car tout ne s'arrête pas à la mort, comme beaucoup pourraient le croire !
Qui pourrait répondre à toutes les questions que se posent ceux qui sont préoccupés par l'au-delà ? La Bible, Parole de Dieu, déclare : « Le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don de la grâce de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus » (Romains 6. 23). Ainsi, Jésus ressuscitera celui qui a mis sa confiance en lui et en son sacrifice, pour qu'il soit toujours avec Lui au Paradis, car Christ a fait “luire la vie” ; il est mort pour nous donner la vie. Dieu l'a ressuscité pour que nous soyons déclarés justes (Romains 4. 25). C'est une certitude pour ceux qui ont accepté le salut que Dieu offre en son Fils Jésus Christ. Aujourd'hui encore, Dieu accorde à ceux qui acceptent sincèrement Jésus dans leur vie, le pardon et le salut, la paix de l'âme et une espérance vivante (1 Pierre 1. 3). Tous ceux qui sont sauvés par la foi véritable en Jésus-Christ et en son parfait sacrifice à la croix n'ont pas à craindre la mort, ni ce qu'il y a après la mort.

Chèr(e)s ami(e)s lecteurs, il ne faut pas rejeter le don de Dieu, celui de la Vie Éternelle en son Fils Jésus-Christ !

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Qui est juste ?

12 Novembre 2022 Publié dans #Salut

Job a posé cette question : « Comment un homme sera-t-il juste devant Dieu ? » (Job 9. 2).

Beaucoup de personnes à qui l’on pose la question sur leur espérance répondent : « Oh ! Moi je n’ai rien à me reprocher, je n’ai jamais fait de mal à personne !... Et puis, j’ai été baptisé, j’ai fait ma communion, je fais ceci, je fais cela... ».

Mais la question n’est pas de connaître votre propre opinion de vous-même, mais celle de Dieu qui est saint et dont « les yeux trop purs pour voir le mal » (Habakuk 1. 13).

La question posée par Job est : « Comment un homme sera-t-il juste devant Dieu ? ». Sa Parole – la Bible – y répond clairement : « Non, il n’y a pas sur la terre d’homme juste  qui fasse le bien et qui ne pèche jamais » (Ecclésiaste 7. 20). « Il n’y a pas de juste, pas même un seul [...] Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3. 11, 23).

Comment donc peut-on subsister devant le Dieu Juste et Saint qui, à cause de sa Sainteté, ne peut admettre le mal et à cause de sa Justice, se doit de le punir ?

D’autres reconnaissent qu’ils sont pécheurs mais pensent pouvoir se racheter et être agréés de Dieu en accomplissant des bonnes œuvres. Là aussi, la Parole de Dieu est claire : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2. 8). « L’homme n’est pas justifié sur le principe des œuvres de loi, ni autrement que par la foi en Jésus Christ » (Galates 2. 16).

Quelles œuvres pourrions-nous d’ailleurs faire pour gagner la faveur du Dieu Saint ? Aussi bonnes, aussi grandes, aussi nombreuses et aussi sincères qu’elles soient, nos œuvres ne peuvent effacer un seul péché.

Seule, l’Œuvre de Jésus Christ accomplie à la croix sauve le croyant à tout jamais. Il l’a accomplie parfaitement, il n’y a rien à ajouter. Vouloir faire des œuvres pour le salut de son âme, c’est vouloir ajouter à l’Œuvre de Christ, c’est donc considérer son sacrifice comme insuffisant.

« Christ a souffert une fois pour les péchés, le juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu » (1 Pierre 3. 18).

C’est uniquement sur la base de la mort et de la résurrection de Christ que Dieu peut déclarer juste le pécheur repentant et croyant. Jésus Christ a porté le jugement du péché, il en a subi la condamnation à notre place. Son Œuvre parfaitement accomplie à la croix satisfait toutes les exigences du Dieu Juste et Saint qui déclare juste quiconque croit au Seigneur Jésus et en son Œuvre.

« Dieu nous sauva, non sur la base d’œuvres accomplies en justice que nous, nous aurions faites, mais selon sa propre miséricorde […] afin que, ayant été justifiés par sa grâce, nous devenions héritiers dans l’espérance de la vie éternelle. » (Tite 3. 5-7).

*     *     *

L’Amour de Dieu nous a donné Jésus,
Et par Jésus la paix fut faite.
De la justice satisfaite
Les droits sur nous ne s’exigeront plus.

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La relation entre Jésus-Christ et ses disciples

11 Novembre 2022 Publié dans #Divers

Voilà la parfaite illustration de la relation que nous devons avoir avec le Seigneur Jésus. Le texte de Matthieu nous raconte qu’une grande foule venant de partout suivait Jésus. Voyant la multitude, Il monta sur une montagne et il en profita pour enseigner ses disciples. Pour se faire, ces disciples durent s’approcher de Lui (Matthieu 5. 1). Dans le même ordre d’idées, faisons-nous de même lorsque la multitude nous presse et que tout semble se précipiter dans notre vie ?

Les disciples se sont approchés du Seigneur. Un disciple est l’élève d’un maître, il apprend de lui, il a besoin de sa présence. C’est pour cela que nous retrouvons les disciples de Jésus s’approchant de Lui. Nous avons, en tant que disciples du Seigneur, à apprendre énormément de choses de sa part. L’apôtre Paul nous disait de racheter le temps (Colossiens 4. 5). Alors, soyons prêts à nous approcher de Lui en toutes circonstances.

Comme disciples, nous devons entendre de Lui comment accomplir la volonté de Dieu. Et pour cela, Jésus est le meilleur maître, car il est le Dieu Véritable (1 Jean 5. 20). Dans les Évangiles, nous retrouvons Jésus enseignant ses disciples et étant pour eux le modèle à suivre. Luc disait vrai lorsqu’il a cité les paroles de Jésus affirmant que tout disciple accompli sera comme son maître (Luc 6. 40).

De Jésus, nous avons à apprendre et à comprendre la Parole de Dieu. À maintes reprises dans les Évangiles, Jésus expliquait en particulier à ses disciples les paraboles qu’Il venait de partager avec la foule qui le suivait partout. La foule ne comprenait pas la signification des récits de Jésus, mais Il expliquait tout à ses disciples (Matthieu 13. 36).

Jésus prit le temps de leur expliquer ce qui devait arriver à la croix; sa mort et sa résurrection leur furent révélées (Matthieu 16. 21). Certes, ils n’ont pas compris immédiatement. Mais une fois que les événements de la croix et du tombeau vide arrivés, ils comprirent avec l’action de l’Esprit Saint que Jésus avait tout annoncé d’avance. Cela fortifia leur foi et fit en sorte qu’ils n’ont pas craint l’opposition des juifs, et ils ont annoncé la Bonne Nouvelle qui s’est répandue dans le monde jusqu’à nous aujourd’hui.

Jésus pris également le temps dans l’intimité avec ses disciples de leur enseigner à prier (Luc 11.1). Les disciples avaient vu régulièrement Jésus aller prier à l’aube. Sa vie respirait la prière et la communion avec le Père; il était fréquent de voir Jésus, avant le lever du soleil, sortir pour prier dans un lieu à l’écart des autres (Marc 1. 35). Les disciples avaient le privilège d’apprendre en le regardant parler avec Dieu son Père. Aujourd’hui, avec l’héritage de la Parole de Dieu, nous pouvons parler directement à Dieu notre Père Céleste.

Avec Jésus, nous avons un libre accès à Sa présence, peu importe les circonstances, que ce soit lors de la pire des tempêtes, nous pouvons crier à Lui pour qu’Il nous sauve (Matthieu 8. 24-27), ou dans le cadre d’un repas (Matthieu 9. 10), où nous avons le privilège d’apprendre de Lui. Par la prière, nous sommes toujours en communication constante avec le Créateur de l’Univers. Nous pouvons Lui exprimer toutes nos pensées, nos réflexions, nos projets et aussi nos soucis. Par la prière, nous nous attendons à une réponse de Dieu. C’est un privilège qui nous est accordé à titre de disciple de Jésus-Christ.

Lorsque Jésus lança son appel à tous ceux qui sont fatigués et chargés de venir à Lui, Il ajouta une phrase importante. Jésus a dit : recevez mes instructions. D’autres versions bibliques traduisent cette phrase par : apprenez de moi (Matthieu 11. 28-30). Répondre à son invitation, déposer à ses pieds nos fardeaux inclus un engagement d’apprendre de Lui. Et quoi de mieux qu’avoir le Fils de Dieu pour Enseignant ! Approchons-nous donc de Jésus, et Il nous instruira ! Il nous affranchira du joug et transformera les ténèbres de nos vies en lumières.

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La valeur du sacrifice de Jésus sur la croix (2)

10 Novembre 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #La croix

Jésus, portant les cicatrices de la crucifixion mais couronné de Victoire.
La première référence à la bataille de la croix est mentionnée dans Genèse 3. 15 : la postérité de la femme (Jésus) écrasera la tête du serpent (du diable) mais son talon sera blessé. Jésus parla également d’être « attristé » dans
Matthieu 26. 38. Ce mot signifie ici être sous pression, être contraint. Jésus anticipa constamment Sa rencontre avec la mort, le grand ennemi, en annonçant trois fois à ses disciples sa mort et sa résurrection (Voir dans Marc 8. 31 ; 9. 31 ; 10. 33-34).

Dans le jardin de Gethsémané, Jésus se débattit avec le diable qui voulait L'empêcher d'accomplir Sa mission. A Golgotha, Jésus porta tous nos péchés, les expia et entra victorieusement dans la mort. Et dans le séjour des morts, Jésus saisit le diable et tous les démons, Il les dépouilla complétement de toute autorité (voir Colossiens 2. 14-15). Puis au troisième jour de sa mort, Jésus ressuscita Victorieux du combat, portant sur son corps ressuscité les marques des clous, mais couronné de Victoire pour nous tous.
« Notre Seigneur Jésus Christ a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité » (2 Timothée 1. 10). « Il a également participé au sang et à la chair afin que par la mort, il anéantit celui qui a la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable » (Hébreux 2. 14). Le mot grec "katargeo" qui est traduit par « anéantir » signifie être vidé de sa vigueur, rendu inactif, inutile. Le jour de la Victoire est arrivé par le Triomphe de Jésus lorsque « la mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15. 54).

Sur la croix, Jésus-Christ soutira le poison du crochet venimeux de la mort
La mort a perdu son crochet venimeux (son aiguillon). Quel crochet venimeux ? « O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché » (1 Corinthiens 15. 55-56). Pour tout être humain pécheur, l’horreur véritable de la mort est de mourir dans ses péchés et de passer dans l’au-delà chargé de culpabilité. Il nous est difficile d’en saisir l'horrible conséquence. Mais gloire à Dieu, Jésus-Christ est mort pour nous sur la croix, pour nous épargner cette mort si horrible et y mettre un terme. Il mourut, non seulement pour détruire la mort, mais également pour récupérer les clés de la mort et du Séjour des morts
(Apocalypse 1. 18) après avoir expié tous nos péchés sur la croix, ensuite Il est ressuscité. Oui, sur la croix, Jésus soutira le poison du crochet venimeux de la mort et maintenant nous pouvons proclamer : « O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? ». En Jésus, la mort a perdu son aiguillon.

Qu’est-ce que le péché ? C’est l’effet de la rébellion humaine envers le seul Dieu Saint. L’iniquité affecte Dieu. Il ressent toute injustice, toute cruauté impitoyable, la haine, la fausseté et le mal. Il Le ressent profondément car Il est Saint et Il nous aime tous. Sa réaction n’est pas celle d’une dignité offensée mais celle d’un Père. « J’ai péché contre toi seul » dit David (Psaume 51. 6). Dieu n’est pas indifférent à ce qui se passe sur la terre, mais Il est meurtri et poignardé par l’obstination des êtres humains pécheurs, hostiles au cœur de Dieu et à Son être infiniment Saint.
Jésus-Christ savait que le fardeau du péché était redoutable et Il connaissait son horreur physique et les ténèbres spirituelles qui l’accompagnaient. Mais sur la croix, Jésus devint péché pour nous en portant tous nos péchés, endura pour nous tout le Jugement de nos péchés, en se tenant entre nous et le sort qui nous était destiné. Puis, Jésus nous amena le pardon éternel de nos péchés après avoir subi sur la croix l'horrible Jugement de nos péchés que nous méritions de subir. Oh quel Amour infini !!!

La vérité de l’Évangile n’est pas seulement que le péché a été pardonné, mais qu’il a été maitrisé et qu'il est éternellement vaincu à la croix. Jésus a vaincu le pire des scénarios que Satan ait pu imaginer. La promesse était : « Je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché » (Jérémie 31. 34). Nous bénéficions de cette promesse grâce à Jésus-Christ. Pour nous enfants de Dieu, Dieu ne se souvient plus de nos péchés, Il nous a pardonnés une fois pour toutes.
En tant qu'enfants de Dieu, nous devons fuir le péché, tout faire pour éviter de pécher ; et même s'il nous arrive de pécher, nous devons nécessairement nous repentir, demander pardon à Dieu et veiller à ne plus pécher. Nous devons toujours vivre dans la sanctification. Le vrai chrétien peut pécher mais il ne mène pas une vie de péchés. Nous ne devons pas aussi nous laisser tourmenter par nos péchés, car nous ne sommes plus condamnés puisqu'il n'y a plus de condamnation pour tous ceux qui sont en Jésus-Christ.
Si nous prêchons un autre évangile, il ne s’agit pas de l’Évangile de Christ. Nous trompons le monde lorsque nous minimisons l’horreur du péché en leur annonçant l'Évangile. Sans la vérité de la croix révélée dans l'Évangile, le monde mourra dans son péché. En sommes-nous conscients.

Crucifié sur la croix, Jésus-Christ exposa la dimension complète de Son Amour. Comment ? Par exemple si un homme disait à sa femme : « je t’aime et je vais te le prouver en me tuant » ; cet homme serait vraiment insensé. Comment un suicide pourrait-il prouver qu’un homme aime sa femme ? Cela ne lui apporterait rien. Cependant, si le mari était tué en essayant de protéger sa femme, perdant sa vie pour elle, cela serait de l’amour véritable. Voilà comment Christ est mort pour nous, non pour simplement mourir, mais pour subir pour nous le châtiment de nos péchés et nous sauver. Notre péché allait nous détruire dans la perdition éternelle mais par Amour pour nous tous, « Jésus a porté Lui-même nos péchés en son corps sur le bois » (1 Pierre 2. 24) pour que, en croyant véritablement en Lui, nous soyons éternellement sauvés pour l'éternité.

Dieu Lui-même devait intervenir et, en son Fils Jésus-Christ, porter le poids de toute notre méchanceté. Par la croix où Jésus fut crucifié, Dieu démontre et prouve Son Amour pour Ses créatures. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique » (Jean 3. 16a). Dieu a donné ce qu’Il avait de plus précieux : Son Fils bien-aimé Jésus-Christ. Dieu n’avait rien de plus grand à donner ou à accomplir. Voilà le seul et véritable sacrifice que Dieu pouvait faire pour sauver les êtres humains rebelles envers Lui : Nous offrir son propre Fils Jésus qui vint dans ce monde, nous démontra le Chemin du Salut qu'Il est Lui-même, fut crucifié, porta tous nos péchés à la croix pour les expier, mourut pour nous et ressuscita en Éternel Vainqueur sur le diable et sur la mort.

Oui, c’est un fait bouleversant mais pour nous sauver, cela coûta tout à Dieu ! Lorsque Dieu donna Son Fils Jésus au monde, Il donna tout ce qu’Il avait de précieux. Cela nous montre dans quelle détresse nous nous trouvions, nous êtres humains qui avons péché contre Dieu notre Créateur qui est Saint. Mais Dieu nous aime d'un Amour parfait et infini, Lui seul pouvait nous sauver. Et ce n'est qu'en son Fils Jésus-Christ que Dieu nous sauve parfaitement. Voilà pourquoi nous prêchons Christ crucifié et ressuscité, Vivant éternellement et qui règne aux siècles des siècles. AMEN !!!

Conclusion : Dieu, le Tout-Puissant, dut déployer tant de sacrifice pour sauver la race humaine de l'horrible Jugement qui attend tous ceux qui négligent ou refusent de se repentir de tous leurs péchés et de placer leur confiance en Jésus seul. C'est pourquoi, nous enfants de Dieu sauvés et rachetés par le sang précieux de Jésus, exprimons donc toujours à Dieu toute notre reconnaissance envers Lui avec des louanges et des actions de grâces. Annonçons l’Évangile à tout notre entourage et vivons toute notre vie pour la Gloire de Dieu jusqu'à notre entrée dans sa Gloire infinie au Paradis éternel.

PAR CE CHANT CI-DESSOUS, JE VOUS INVITE A LOUER DIEU, A LOUER JÉSUS, POUR SA GRACE INCOMPARABLE

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La valeur du sacrifice de Jésus sur la croix (1)

9 Novembre 2022 Publié dans #Sacrifice de Jésus, #La croix

« Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 29).

La croix est le symbole le plus puissant qui existe au monde. La mort de Christ est le pivot et la clé de voute de tous les temps, le roc inébranlable dans la mer déchaînée de l’Histoire. La croix est notre unique espérance et elle demeure à jamais le seul espoir éternel.
Jésus-Christ est mort sur la croix pour nous et Il est ressuscité. Cet événement fut une explosion cosmique d’amour et de bonté détruisant les forteresses et les portes de fer de toute forme d’asservissement qui tyrannisait l’être humain. La mort et la résurrection de Jésus nous ouvre les portes des desseins éternels de Dieu.
Le vrai chrétien jouit d’une qualité de vie qu’aucune autre religion n’offre, même à l’un de ses plus fervents adeptes. Seul Jésus sauve car Jésus seul est mort pour nous et Lui seul est capable de nous arracher du Royaume de Satan pour nous introduire dans le Royaume de Dieu, dans le Paradis. Personne au monde ne pourra L’égaler. Le « mystère » le plus merveilleux est celui de la mort rédemptrice de Christ. Nous n’en connaîtrons jamais la profondeur car ce qui arriva venait du cœur infinie de Jésus et de Dieu le Père.
La croix a un impact sur la pensée humaine à bien des égards. Certains pensent que Jésus était comme un martyr, un rejeté. D’autres voient dans l’agonie de Christ l’image d’un monde agonisant. Il représentait certainement tout cela. Solidaire de notre condition, Jésus apporta Dieu à notre monde et à nos misères. Nous n’avons aucunement besoin de poser la question : « Où est Dieu ? », lorsque nous regardons la croix là ou Jésus était, subissant les brisements de nos cœurs, la honte et la souffrance. "Dieu le Père était en Christ, réconciliant le monde avec Lui" (2 Corinthiens 5. 19).

Le message de la croix
Sept semaines après que la foule ait réclamé Son sang pour Le crucifier sur la croix, Pierre accusa publiquement la foule en leur disant : « Vous avez crucifié Jésus, vous L’avez fait mourir par la main des impies. Que toute la maison d’Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié » (Actes 2. 23, 36). L’effet de la prédication de Pierre fut phénoménal car personne ne s’y attendait. Sa prédication sur le message de la croix amena 3.000 personnes à la repentance : les premiers noms qui furent inscrits dans le Livre de vie de l’Agneau.
Jésus Christ crucifié et ressuscité offrant le Salut au monde, est le message central de l’Évangile. Un Évangile bien étrange pour plusieurs ! Les religions mettent toujours en avant leurs grands fondateurs ; mais l’Évangile du Christ crucifié et ressuscité semble être une folie complète pour le monde rebelle à Dieu. Cependant Paul dit : « J’ai un vif désir de vous annoncer aussi l’Évangile, à vous qui êtes à Rome. Car je n’ai point honte de l’Évangile » (Romains 1. 15-16). Il déclara à des citoyens Romains à Corinthe : « Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié » (1 Corinthiens 2. 2). Paul savait qu’un tel message serait une « pierre d’achoppement » pour les Juifs et une « folie » pour tous les autres (1 Corinthiens 1. 23), mais il le prêcha quand même. Le monde l’entendit et changea. Cela semblait impossible que ce message puisse transformer une génération dépravée – mais il le fit par le pouvoir du Saint-Esprit. Ce message reste « le Message central de l’Évangile ». Le Christ crucifié et ressuscité n’a aucun concurrent.

La mort de Jésus est un Triomphe incomparable
Juste avant de mourir sur la croix, Jésus poussa un grand cri. "Jésus dit : Tout est accompli" (Jean 19. 20), (en Grec : tetelestai). Puis, à ce moment-là, Il donna Sa vie à Dieu en s’écriant : « Père je remets mon esprit entre tes mains ! ». Le centenier romain entendit ces paroles. Il avait déjà vu beaucoup de gens mourir mais jamais encore d’une manière si triomphale et il dit : « Certainement, cet homme était juste » (Luc 23. 47, Matthieu 27. 54).
Le terme grec tetelestai signifie bien plus que « fini » ; il signifie « accompli », « achevé ». Un terme grec apparenté est utilisé dans Jean 17. 4 ; Jésus pria : « Je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé (en Grec : teleioósas) l’œuvre que tu m’as donnée à faire ». Ce mot apparaît à nouveau dans Jean 13. 1 : « Ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, il mit le comble à son amour pour eux » (Grec : eis telos).

Jésus vint dans ce monde pour détruire les œuvres du diable
Bien des siècles avant, le prophète Ésaïe avait décrit les souffrances du Christ en disant : « Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n’a point ouvert la bouche » (Ésaïe 53. 7). Jésus se plia à la volonté de Ses ennemis bien qu’Il aurait pu les exterminer d’un seul mot. Jésus avait l’air de mourir comme une victime impuissante mais dans cet acte même reposaient toute sa Grandeur et son Amour infinis.
Sur la croix, Jésus Christ fit bien plus que toucher nos émotions. Il accomplit un but qu’Il avait choisi et dont Il parla durant toute la durée de Son ministère. Il mentionna souvent Sa mort prochaine. « Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je ?... Père, délivre-moi de cette heure » (Jean 12. 27).
« Cette heure » – il y avait eu de grands moments lorsque Jésus guérit les malades, ressuscita les morts et enseigna les multitudes. Mais durant toutes ces heures, Il mentionna « l’heure » où l’objectif de Sa vie se réaliserait, le paroxysme de toute Son existence sur terre. Cette heure était Sa dernière heure lorsqu’Il mourut sur la croix pour faire propitiation. Jésus-Christ est le Puissant Guerrier. Sans renoncer à sa Mission et par son Amour pour nous tous, Jésus alla jusqu'au bout de sa Mission sur la terre (jusqu'à la mort sur la croix). Son sacrifice sur la croix était Son but ultime. Oui Jésus quitta le Ciel et vint dans ce monde pour confronter notre pire ennemi (la mort éternelle), pour détruire les œuvres du diable. Jésus n’était pas poursuivi par la mort ; mais c'est Jésus Lui-même qui poursuivit et défia la mort. Il força la mort (le roi des terreurs :
Job 18. 14)  à venir se mesurer à Lui, Il exigea le duel. Jésus ACCULA la mort et vainquit éternellement Satan le Diable qui possédait le pouvoir de la mort. Oui, « Jésus souffrit la mort pour nous tous » (Hébreux 2. 9) et Il ressuscita VictorieusementOh quel Amour infini Jésus nous a aimés !

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Annoncer le vrai Évangile

8 Novembre 2022 Publié dans #EVANGILE

Nous aimons annoncer l'Évangile sans déformation. L'Évangile n'a besoin ni d'être modifié, ni d'être actualisé. L'Évangile est la puissance de Dieu et les paroles de Jésus-Christ resteront les mêmes jusqu'à la fin. Les paroles de Dieu sont Esprit et Vie, et ces paroles demeureront éternellement.
L'apôtre Paul dit, dans Romains 1. 16, qu'il n'a pas honte de l'Évangile. Devant les généalogies sans fin des érudits religieux, devant la multiplication des doctrines compliquées du pharisianisme, Paul n'a pas honte de prêcher le message de l’Évangile qu'un simple enfant peut comprendre.

Alors, qu'est-ce que l'Évangile que nous enfants de Dieu devons annoncer partout ? Pour le connaître et le comprendre, il faut le lire ! L'Évangile, c'est la Bonne Nouvelle qui avait été promise par Dieu, par l'intermédiaire de ses prophètes dans l'Ancien Testament. Elle concerne Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, né de la vierge Marie par la puissance du Saint-Esprit.

Nous comprenons en lisant l'Évangile que Jésus est le Fils de Dieu, qu'Il a reçu de Dieu l'autorité de chasser les démons, de guérir les malades, et de pardonner les péchés des êtres humains. Nous comprenons que Jésus a vécu sans aucun péché et qu'Il a démontré son Amour parfait, qu'Il a sacrifié sa vie par cet Amour en livrant son corps et en mourant sur la croix, donnant sa vie pour le salut de quiconque met sa confiance en Lui, dans le seul vrai Dieu. Nous comprenons aussi que Jésus est ressuscité des morts, qu'Il se tient à la droite de Dieu, et que le jour viendra où Dieu jugera les actions secrètes de toute l'humanité, en toute justice, par son Fils Jésus-Christ. Or, pour échapper à ce jugement, l'être humain doit se repentir de ses péchés, car « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu'ils aient la vie éternelle. En effet, Dieu a envoyé son Fils dans le monde non pas pour condamner le monde, mais pour qu'il soit sauvé par lui. Celui qui met sa confiance en lui n'est pas condamné, mais celui qui n'a pas foi en lui est déjà condamné, car il n'a pas mis sa confiance en la personne du Fils unique de Dieu. Et voici en quoi consiste sa condamnation : c'est que la lumière est venue dans le monde, mais les hommes lui ont préféré les ténèbres, parce que leurs actes sont mauvais. En effet, celui qui fait le mal déteste la lumière, et il se garde bien de venir à la lumière de peur que ses mauvaises actions ne soient révélées. » (Jean 3. 16-20)

"Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé" (Romains 10. 9). Dieu ne fait aucune différence entre les êtres humains. Sa Justice est parfaite, et "quiconque invoquera le Nom du Seigneur Jésus sera sauvé (Romains 10. 13). Quiconque aura, jusqu'à la fin, cru, accepté, accueilli et obéi à la Bonne Nouvelle qu'est l’Évangile, sera sauvé pour l'éternité. C'est pourquoi, la première étape pour être en paix avec Dieu, pour être pardonné et accueilli à toujours dans Sa présence, est de reconnaître ses péchés et de Lui demander sincèrement, de tout son coeur, pardon pour tous ses péchés, mais également de faire une alliance personnelle avec Dieu. Cette alliance se résume ainsi : nous devons décider de vivre pour Dieu toute notre vie jusqu'à la mort, et renoncer à tout ce que nous étions auparavant. Nous devons décider que Dieu prenne maintenant le contrôle total de notre vie quotidienne et de lui obéir.

Le fruit de cette alliance, le fruit de l'Évangile, c'est avant tout le salut éternel, le pardon des péchés, la paix et l'intimité avec Dieu. Tout à coup, par la puissance de Dieu, nous voici en paix avec Dieu ! Tout à coup, par notre décision personnelle de suivre Jésus, nous voici devenus enfants de Dieu ! En un instant, plus de lois religieuses ou humaines : Jésus-Christ le Fils unique de Dieu, nous assure déjà la vie éternelle. Son Esprit, le Saint-Esprit, vient habiter pour l'éternité en nous et se tient également à nos côtés pour nous diriger dans les moindres aspects de notre vie.

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