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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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Jésus a tout accompli par son sacrifice

12 Mai 2021 Publié dans #Sacrifice de Jésus

En allant à la croix, Jésus a été couronné d’épines. Il a subi les moqueries, on lui a craché au visage. Il a été cloué nu sur une croix. Il a connu la soif et la moquerie, la solitude, l’abandon, la souffrance pendant des heures. Pourtant, pour Jésus, le pire n’était pas la souffrance due au traumatisme physique, à la torture, à la crucifixion ou même à la peine émotionnelle d’être rejeté par le monde et abandonné par ses amis.
Dans le jardin de Gethsémané, Jésus vit ce combat au niveau de son âme. Sur la croix, c’est dans son esprit qu’Il le vit. Jésus expérimente un grand vide dans son esprit : celui du Père qui se retire. La plus grande souffrance connue par Jésus sur la croix fut l’agonie spirituelle et Il l’a vécue pour nous. Il a ressenti la séparation et l’abandon de son Père. C’est pourquoi Jésus s’est écrié : « Mon Dieu, Mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné » (Matthieu 27. 46). D’habitude, il appelait Dieu : Père. Mais à cet instant sur la croix, Jésus était tellement sale à cause de nos péchés qu’Il portait. Dieu le Père s’est détourné de Lui et la Justice de Dieu est tombée sur Lui. Il a connu la mort éternelle pour nous sur la croix. C’est la situation qui nous attendait pour l’éternité.

Jésus a été parfait jusqu'à la fin. Il a pardonné à ses bourreaux et à tous ceux qui se moquaient de lui. « Père pardonne leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23. 34). Personne n’a pris la vie de Jésus. Il est mort quand il l’a décidé, c’est à dire quand sa mission a été accomplie. Normalement, il aurait dû mourir d’épuisement, vidé de son sang, après les coups de fouet. C’est même Jésus qui a choisi d’offrir sa vie lors de la fête de la Pâque, pour manifester qu’Il est bien l’Agneau de Dieu : celui qui ôte le péché du monde, comme Jean-Baptiste l’a proclamé quand il Le vit venir vers lui pour être baptisé.

Par l’offrande de sa vie, lors de cette fête, Jésus annonce la fin de cette loi et qu’Il est le seul Agneau, l’Agneau de Dieu, choisi, offert par le Père, pour ôter le péché du monde. Par l’offrande de sa vie, Jésus annonce la fin des sacrifices de sang.

Dieu avait demandé à son peuple de sacrifier deux agneaux, chaque jour, sur l’autel des holocaustes du temple de Jérusalem : un le matin, l’autre le soir. Sur la croix, Jésus a choisi de remettre sa vie entre les mains de son Père, à la neuvième heure qui est l’heure de l’offrande du soir. "Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte : Eli, Eli, lama sabachtani ? C’est–à–dire, Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as tu abandonné ?" ; "Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l’esprit". (Matthieu 27. 46 et 50).

Retenons aussi ce verset aussi très important, dans l’Évangile de Jean. "Lorsque Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit" (Jean 19 : 30). « Il rendit l’esprit ». Ici encore la Bible nous apprend, une fois du plus, que Jésus est resté conscient jusqu’à la fin. C’est bien Lui qui a décidé du moment pour remettre son esprit au Père, après ses paroles « tout est accompli ».
Accompli signifie : Terminer tout ce qui avait été ordonné, achevé, payé, réaliser la dernière action qui complète une œuvre. « Tout est accompli » en grec se dit : Tételestai. L'expression Tételestai a été retrouvée sur des documents anciens datant du temps de Jésus. Elle pouvait avoir plusieurs significations intéressantes.

1) Nous la retrouvons en-tête de documents commerciaux indiquant que le montant a été payé en totalité. Le premier sens est donc : "Tout est payé".
De quoi Jésus parlait-il ?
De notre dette envers Dieu qui désormais porte le tampon : Tételestai, soit les offenses que nous avons commises et qui nous condamnent devant le tribunal de Dieu. Christ le Juste a payé notre dette à nous injustes.

2) On a retrouvé cette expression dans la bouche des artistes devant leur œuvre achevée. "Tételestai", mon chef d'œuvre est complet, rien ne peut y être ajouté.
Quel est le chef d'œuvre de Jésus ? Il est né en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volonté de Dieu. Il est le seul Homme dans l'histoire de l'humanité à avoir été obéissant au Père de sa naissance à sa mort. Jésus est le Parfait, le Juste, le Saint, le Véritable. Sa vie est un chef d'œuvre, sa mort est un chef d'œuvre et sa résurrection en est le couronnement.

3) "Tételestai" était aussi utilisé autrefois par les maçons lorsqu'un temple ou un bâtiment était terminé. "Tout est accompli". Cette expression signifiait : j'ai suivi scrupuleusement les plans de l'architecte, tout a été établi dans les règles de l'art et le dernier élément vient d'être mis en place. L'œuvre est achevée. Pour Jésus : le plan du Père est accompli parfaitement.

La vie de Jésus était prédestinée à se terminer par une mort cruelle et injuste afin de payer notre dette, à nous injustes. Si Jésus avait échappé à cette mort, son œuvre aurait été un échec.
C’est la raison pour laquelle il a refusé la boisson mêlée de fiel pour anesthésier la douleur; de même il n’a pas essayé d'échapper à la condamnation de Pilate en se déclarant innocent, sinon il aurait alors échoué dans sa mission.

Seigneur Jésus, nous vous remercions de ton Amour et de ce que tu es venu dans le monde mourir pour nous. Nous reconnaissons que nous avions dirigé notre vie comme nous l'avions décidé et qu’aussi nous avons péché contre toi. Nous croyons que tu es mort sur une croix et que tu as versé ton sang pour que nous ayons le pardon de nos péchés. Nous voulons te recevoir dans notre vie et obtenir le pardon de nos péchés. Et nous t’invitons dans notre cœur pour que tu prennes la première place, que tu sois notre Seigneur et que tu diriges notre vie, selon tes lois. Merci pour le pardon de nos péchés. Fais de chacun nous la personne que tu désires que nous soyons. Nous croyons que tu es Vivant, Ressuscité. Nous te remercions d’avoir répondu à notre prière et d’être maintenant dans notre vie. AMEN !!!

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Les derniers temps

11 Mai 2021 Publié dans #Retour de Jésus

Les éléments de la nature s’agitent autour de nous : orages, cyclones, inondations, tremblements de terre, réchauffement de la planète, etc... Les êtres humains sont de plus en plus inquiets alors que sévissent dans ce monde les famines, les épidémies, les nouvelles maladies… La création toute entière soupire et souffre (Romains 8. 22).

Discernons-nous la voix de Dieu dans tout cela ? Tout nous montre que nous arrivons rapidement à la fin d’une période : non seulement les bouleversements planétaires, mais aussi les caractères moraux décrits dans l’épître à Timothée : « Dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles : les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, vantards, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents … aimant le plaisir plutôt que Dieu, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force » (2 Timothée 3. 1-5).

Malgré ce déclin moral, déclin ayant commencé dans le jardin d’Éden, Dieu aime les êtres humains Il a prouvé son Amour en donnant son Fils unique qui est mort pour des pécheurs tels que nous (Jean 3 v.16, Romains 5 v.8).

Dieu ne veut pas la mort du méchant, mais que le méchant se détourne de sa voie et qu’il vive (Ézéchiel 18. 23 ; 33. 11).
« Notre Dieu Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2. 4).
« Il use de patience envers vous, voulant qu’aucun ne périsse, mais que tous viennent à la repentance » (2 Pierre 3. 9).

Dieu use de patience envers le pécheur, mais le temps de sa patience prendra bientôt fin par le Retour de Jésus Christ qui prendra avec Lui tous ceux et toutes celles qui se seront repentis et auront cru en Lui. Ceux et celles qui resteront alors sur la terre connaîtront une période terrible. La Bible affirme que « toutes les tribus de la terre se lamenteront » (Apocalypse 1. 7) et que « les hommes rendront l'âme de peur dans l'attente des choses qui arriveront sur la terre habitée » (Luc 21. 26).

« Dieu est amour » (1 Jean 4. 8, 16) et à cause de son grand Amour, il fait grâce à tout pécheur repentant et croyant, en vertu du sacrifice de Jésus Christ, son Fils unique. Mais à cause de sa Sainteté, il ne peut pas tolérer le péché, et à cause de sa Justice, il doit punir le pécheur non repentant et non croyant.

Signal d'alarme

C’est parce que Dieu nous aime qu’Il nous avertit en permettant l’agitation des éléments de la nature, la propagation de nouvelles maladies telles que le coronavirus qui affecte et inquiète le monde entier. Comment cela ? direz-vous peut-être : Dieu manifeste-t-Il son Amour pour sa créature en la faisant souffrir ?

Comme la douleur dans un corps humain est un avertissement qui contraint le malade à consulter un médecin pour qu’il le soigne, Dieu permet des maux et des calamités pour servir d’avertissements et contraindre chacun à se mettre en règle avec lui.

Dieu parle de plusieurs manières :
• Autrefois par les prophètes qui n’ont pas été écoutés,
• par le Fils venu dans ce monde pour nous révéler les pensées du Père. Il a été rejeté, crucifié !
• par sa Parole, la Bible : livre lu par beaucoup mais aussi le plus combattu.
• Dieu parle aujourd’hui encore par divers évènements mondiaux souvent douloureux dans le but d’éveiller les consciences et de toucher les cœurs. Mais l’écoute-t-on ?

Avertissements sérieux pour les non-croyants, mais aussi pour les croyants :

Jésus revient bientôt ! Comment nous trouvera-t-il ? Endormis comme les dix vierges de la parabole ? « Toutes s’assoupirent et s’endormirent » est-il précisé dans Matthieu 25. 5.
"Veillons donc, car nous ne savons pas quel jour notre Seigneur viendra ; nous ne savons ni le jour, ni l’heure" (Matthieu 24. 42 ; 25. 13).
Jésus dit à ses disciples : « Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison viendra, le soir, ou à minuit, ou au chant du coq, ou le matin ; de peur qu’arrivant tout à coup il ne vous trouve endormis. Or ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez ! » (Marc 13. 35-37).

Écoute, Église bien-aimée, Ton Seigneur vient ! Tenons nos lampes allumées : Notre Epoux vient ! Voici déjà minuit qui sonne ; Nous ne voyons encore personne, Mais que son astre en nous rayonne : Notre Epoux vient !
Un cri pénètre à nos oreilles : Voici l’Epoux ! Plus de nuit, plus de longues veilles ; Voici l’Epoux ! Déjà l’appel de la trompette Nous invite à l’heureuse fête. Il dit : « Mon Église, es-tu prête ? » Réveillons-nous !

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L'efficacité du sang de Jésus-Christ

10 Mai 2021 Publié dans #Divers

Dieu seul connaît et apprécie parfaitement la valeur du sang de Christ. Bien que Dieu nous ait communiqué en grande partie ses pensées à ce sujet, nous ne devons pas oublier que nous connaissons “en partie” (1 Corinthiens 13. 12). Deux choses sont constamment et étroitement liées : une vie spirituelle prospère et une haute appréciation de la place et de la valeur du sang de Christ. Aussi, dans toute période de pauvreté spirituelle, la vraie doctrine du sang est toujours perdue de vue, si même elle n’est pas contestée ou niée. Il est donc vraiment indispensable que nous cherchions à être remplis des pensées de Dieu à ce sujet. Non seulement nous devrions comprendre ce que le sang de Christ a accompli pour le croyant, mais nous devrions saisir également, au moins dans une mesure, notre dette à l’égard de Christ; pour nous racheter et nous amener à Dieu. Jésus s’est abaissé lui-même et est devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort même de la croix (Philippiens 2. 7, 8).

Le sang de Christ a été notre rançon ; c'est l'un des principaux aspects que l’Écriture nous présente à son sujet. Plusieurs passages de la Parole de Dieu l'expriment très clairement. Pierre dit : “Vous avez été rachetés… non par des choses corruptibles, de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache” (1 Pierre 1. 18, 19). De même, “Dieu nous a rendus agréables dans le Bien-aimé. En lui (Jésus) nous avons la rédemption par son sang” (Éphésiens 1. 6, 7). Les rachetés aussi peuvent chanter : “Tu es digne… car tu as été immolé, et tu as acheté pour Dieu par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation” (Apocalypse 5. 9). Le Seigneur Jésus Lui-même exprime la même vérité lorsqu’Il dit : “Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre” (Matthieu 20. 28). Or le mot rançon désigne le prix payé pour une rédemption, pour un rachat ; et le mot rédemption signifie racheter (acheter de nouveau) ou faire sortir quelqu’un d’une condition de captivité ou d’esclavage.

Sous la Loi, le sang des sacrifices, image du sang de Christ, était entièrement pour Dieu. Il était offert, par-dessus tout, pour proclamer la gloire de Dieu et satisfaire ses exigences à l’égard du pécheur. Aussi le premier aspect de la valeur du sang de Christ est-il celui de la propitiation. C’est en effet la signification de l’acte d’Aaron lorsqu'il apportait le sang du sacrifice pour le péché au grand “jour des propitiations” (Lévitique 23. 27). Il devait prendre “du sang du taureau”, en faire “aspersion avec son doigt sur le devant du propitiatoire, vers l’orient”. Il devait agir de la même manière avec le sang du “bouc du sacrifice pour le péché” (Lévitique 16. 15). De plus, il devait faire aspersion du sang “sept fois, devant le propitiatoire”. Pourquoi sept fois ? Pour l’œil de Dieu, une seule fois suffisait ; mais, pour l'homme, Dieu condescendait à ce qu'un témoignage parfait (ce que représente symboliquement le chiffre sept) de l'efficacité de ce sacrifice soit rendu.

Dans le tabernacle au désert, le propitiatoire de l'arche (son couvercle) représentait le trône de Dieu – le trône de l’Éternel au milieu de son peuple Israël. Il est dit : “Toi qui es assis entre les chérubins” (Psaume 80. 1). Le sang mis sur le propitiatoire répondait aux exigences du trône de Dieu vis-à--vis du pécheur. C'est ainsi que le sang de Christ répond maintenant à toutes les exigences d’un Dieu Saint à l’égard des pécheurs coupables. Le sang répandu glorifie Dieu dans tous les aspects de son caractère ; sur ce fondement, Dieu peut pardonner avec justice à tout pécheur qui s’approche de Lui en se confiant dans la valeur du sang de Christ. C’est cela la propitiation ; elle est la base sur laquelle Dieu peut agir en grâce envers le monde entier. Il fait proclamer ainsi son message de grâce par ses ambassadeurs. Il supplie tous les pécheurs – les plus vils et les plus coupables – d’être réconciliés avec lui (voir 2 Corinthiens 5. 20, 21).

"Jésus est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres mais aussi pour le monde entier" (1 Jean 2. 2).

Devant Dieu, le sang de Christ est d’une valeur infinie. Jésus a répondu à toutes les exigences gouvernementales de Dieu envers un monde coupable. La question du péché a été réglée, Dieu a été publiquement honoré par son Fils Jésus ; Dieu l'a été là où nous avions publiquement déshonoré son nom par notre péché et par notre rébellion. N’oublions jamais que Dieu Lui-même, dans son merveilleux amour, a pourvu à la propitiation. “En ceci est l’amour : non en ce que nous, nous ayons aimé Dieu, mais en ce que lui nous aima (tout croyant peut le dire) et qu’il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés” (1 Jean 4. 10). Si donc sa sainteté exigeait la propitiation, son amour y a pourvu. Aussi Dieu peut être prêché maintenant dans le monde entier comme le Dieu de grâce, car Il siège maintenant sur le Trône de miséricorde. Il attend tout pécheur qui vient à Lui par la foi dans le sang de son Fils Jésus-Christ ; Il le reçoit, lui pardonne et le sauve.

La propitiation ayant été faite, Dieu est libre, à la fois en grâce et en justice, de bénir le pécheur. Quiconque s’approche de Dieu par la foi en Christ est justifié. En vertu de ce sang qui a satisfait à toutes les exigences divines – tant pour son saint gouvernement que pour sa gloire –, Dieu peut maintenant, tout en restant juste, recevoir tout pécheur qui se repent et qui croit. Quels que soient les efforts qu’un homme puisse faire, il ne pourra jamais répondre aux exigences d’un Dieu Saint. Quiconque se place sur le terrain des œuvres pour être sauvé, est perdu et demeure sans espoir de salut.

Si quelqu'un se demande encore comment on peut posséder la Justice de Dieu, la réponse est donnée par l’apôtre Paul : “La justice de Dieu est manifestée… sur tous ceux qui croient” (Romains 3. 21, 22). Il poursuit : “Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, lui que Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son sang… en vue de montrer sa justice dans le temps présent, de sorte qu’il est juste et qu'il justifie celui qui est de la foi en Jésus” (Romains 3. 24-26).

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L'assurance de notre Salut en Jésus-Christ

9 Mai 2021 Publié dans #Salut

Si un être humain se repent de ses péchés, reçoit personnellement Jésus-Christ dans sa vie comme son Seigneur et Sauveur et met sa confiance en Lui seul pour son salut, cet être humain peut être sûr que ses péchés sont pardonnés, que Dieu le considère comme juste et que le Seigneur Jésus-Christ vit en lui par le Saint-Esprit. Nous qui sommes sauvés par le moyen de la foi en Jésus, nous avons la vie éternelle, et nous pouvons être certain que nous l'avons reçue et que Jésus-Christ vit en nous. « Je vous ai écrit ces choses afin que sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5 : 13). « Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu » (Ephésiens 2 : 8)

Cinq raisons nous permettant d’être sûrs de notre salut :

1. La rédemption éternelle : En versant son sang pour nos péchés, Jésus-Christ a accompli « une rédemption éternelle » (Hébreux 5 : 9). Il a payé un prix très élevé (1 Pierre 1 : 18-19 ; 1 Corinthiens 6 : 20) qui nous permet d’être « gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3 : 24)

2. Le salut éternel : Nous n'avons pas besoin d'attendre le jour de notre mort pour savoir si nous serons sauvés et irons au Paradis. La Bible déclare que nous sommes déjà sauvés en reçevant dans notre vie Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur et en mettant toute notre confiance en Lui. Nous qui sommes enfants de Dieu, nous ne pouvons pas perdre ce salut, car Jésus-Christ est devenu « l’auteur d’un salut éternel » (Hébreux 9 : 15) et Dieu nous a marqués du sceau du Saint-Esprit (2 Corinthiens 1 : 22).

3. L’héritage éternel : Nous ne sommes pas seulement sauvés de la condamnation et de la perdition, mais en plus de cela, nous avons reçu un glorieux héritage en Jésus-Christ : connaître Dieu et participer à l’accomplissement de son dessein éternel. La Bible nous assure qu’il s’agit d’un « héritage éternel » (Hébreux 9 : 15). « Rendons grâces au Père, qui nous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés » (Colossiens 1 : 12-14)  .

4. La vie éternelle : La vie humaine est précieuse, mais la mort peut y mettre fin à tout moment. En revanche, la vie divine que nous avons déjà reçue en Jésus-Christ ne peut être perdue, car elle est éternelle. La Parole de Dieu nous assure que même Satan ne peut pas nous ravir de la main de Dieu : « Je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main » (Jean 10 : 28).

5. L’amour éternel : Dieu nous aime « d’un amour éternel » (Jérémie 31 : 3) et nous pouvons avoir l’assurance que rien ne nous séparera de l’Amour éternel de Dieu : « ni la mort, ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 8 : 38-39)

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« Un avenir et une espérance » (Un témoignage)

8 Mai 2021 Publié dans #Divers

Les médias l’appelait « fils de SAM », du nom de son chien qu'il élevait. Il était un meurtrier gouverné par le diable. Il a passé plusieurs années en prison. Les dix premières n’ont été que ténèbres, défaite et désespoir. Sa vie n’avait aucun sens, et il pensait toujours au suicide. Il était amer, furieux et misérable. Il n’avait que deux possibilités : tuer ou être tué. En 1977, à l’âge de 24 ans, il a vu la mort en face : les policiers l’ont encerclé, mais ils n’ont pas tiré.

Plus tard, un type l’a tailladé la gorge avec une lame de rasoir ; il l’a mis à deux doigts de la mort. Condamné à être enfermé en prison à perpétuité, sans aucun espoir de sortir, il était déchiré entre désir de mourir et instinct de survie.
En 1987, Un prisonnier (qui était chrétien) s’est approché de lui dans la cour de la prison et lui dit ceci : « Jésus-Christ vous aime ; Il a des plans pour votre vie ». Il lui a répondu, en se moquant de lui : « C’est impossible que Dieu m’aime ! Je suis trop mauvais ; tu perds ton temps ». Mais, le chrétien persévérait avec beaucoup d’intérêt pour lui. Malgré son refus, il lui parlait de l’Évangile chaque jour. Au début, « fils de SAM » écoutait avec indifférence. Mais au bout de quelques semaines, il a changé.
Un jour, le chrétien lui offrit un Nouveau Testament avec les Psaumes. « fils de SAM » y jetait un coup d’œil curieux. Plus tard il s’est mis à lire les Psaumes ; alors quelque chose a changé. Ces paroles semblait s’adresser directement à lui, surtout celle du roi David. Comme lui, il avait traversé beaucoup d’épreuves et avait beaucoup souffert.
La vie d’un roi, « fils de SAM » l’avait toujours imaginée heureuse et enviable. Pourtant, David était en détresse et criait à Dieu pour Le lui dire. « fils de SAM » aussi était malheureux, mais il ne savait que mettre sa tête dans l’oreiller pour crier.
Un jour, en lisant le Nouveau Testament avec les Psaumes, offert par son ami, son cœur a éclaté : d’un seul coup, « fils de SAM » a vu sa culpabilité, sa colère, sa honte, sa solitude, sa souffrance, tout à la foi ! Il s’est mis alors à pleurer comme jamais. A genoux, dévoré de douleur et de remords, il a épanché le trop plein de son cœur devant le Seigneur Jésus. Il lui a parlé comme s’il était là, dans sa cellule, sans être bien sûr qu’il l’écoute ! Mais quand il s’est redressé, un poids immense lui avait été enlevé. Ce fut le tournant de sa vie, le début de sa nouvelle vie en Christ, même s’il était toujours en prison.
Depuis ce soir de 1987, il s’est mis a fréquenter les services à la chapelle de la prison et à lire sa Bible avec ferveur. Il aimait le Seigneur Jésus et sa vie spirituelle grandissait.
Ses anciens compagnons le tournèrent le dos. Mais il savait qu’il était sur la bonne route. Dieu l’inondait de sa paix et il ressentait sa grâce ; en même temps il endurait la persécution et la souffrance. Dieu s’est montré fidèle, même dans ses luttes les plus dures. Pour le délivrer de lui-même et le transformer à l’image de Christ, il a entrepris une œuvre en profondeur ; elle n’est d’ailleurs pas terminée !
Aujourd’hui, il n’est plus appelé « FILS DE SAM », mais « FILS D’ESPÉRANCE ». Après plus de 23 ans passés derrière les barreaux, il peut dire que Jésus-Christ est le seul Chemin.
 
Chers lecteurs, si vous sentez que vous avez gâché votre vie, si vous n’avez jamais trouvé de quoi satisfaire vos aspirations les plus profondes, si vous êtes sans espoir, sachez que Jésus-Christ reconstruit des vie brisées.
Il peut tout changer. Ce n’est pas une réhabilitation, mais une re-création : il donne une vie toute nouvelle. Sans Christ, on est « mort dans ses fautes et dans ses péchés ». Mais Dieu est « riche en miséricorde », il nous aime « d’un grand amour ».
« Le salaire du péché c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur ».
Croyez-vous votre situation sans issue ? Vous trouvez-vous au creux de la vague après avoir visé très haut ? Poussé par le désespoir, avez-vous commis quelques fautes ? Vous apercevez vous que le diable vous a volé des années de vie ? La Bible dit que « les délices du péché » ne sont que « pour un temps ». Le diable ne dit jamais ce qui arrivera après ce temps ! Jésus-Christ vous aime, il y a de l’espoir !
L’important, c’est de savoir si vous voulez vous confier en lui comme votre Seigneur et Sauveur personnel. Jésus seul peut briser les chaînes du péché et rompre les mauvaises habitudes.
Il peux en témoigner personnellement. Christ seul peut ouvrir les menottes que Satan vous a passées.
Votre vie est-elle vide de sens ? Avez-vous soif d’autre chose ? Ni l’argent, ni aucune autre chose ne vous satisferont. L’étude peut remplir votre esprit, mais pas votre cœur vide ; les rites religieux non plus. Alors, avouez votre échec, repentez vous, croyez que Jésus-Christ, le Fils de Dieu est mort pour vos péchés, qu’il est ressuscité et qu’il est assis à la droite de Dieu.
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Jésus-Christ accomplit les prophéties sur le Messie (2)

7 Mai 2021 Publié dans #Divers

- Le Messie sera condamné injustement, maltraité, cloué sur une croix :

« Avec le bâton on frappe sur la joue le juge d’Israël » (livre du prophète Michée 4. 14). « Tous ceux qui me voient se moquent de moi : « recommande toi à l’Éternel ! », « l’Éternel le sauvera, il le délivrera puisqu’il l’aime ! »… une bande de scélérats rôdent autour de moi ; ils ont percé mes mains et mes pieds… ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique » ; « pour apaiser ma soif ils m’abreuvent de vinaigre » (Psaumes prophétiques du roi David, 22 et 69 v 22 ; environ -1000 avant J-C).

Voici ce qui est arrivé à Jésus : « Et quelques uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper » (Évangile de Marc 14, 15). « Les passants l’injuriaient : « il s’est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant , s’il l’aime ! » … Après l’avoir crucifié, ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort » (Évangile de Matthieu 27. 35-39). « Jésus dit : « j’ai soif ». Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge et ils l’approchèrent de sa bouche » (Évangile de Jean 19. 28-29).

- Le Sauveur mourra pour expier tous nos péchés, pour pardonner et délivrer parfaitement tous les êtres humains qui croiront en Lui :

« Il s’est élevé devant (Dieu) comme une faible plante…méprisé et abandonné des hommes… cependant ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé… Il était blessé pour nos péchés, brisés pour nos iniquités… L’Éternel a fait retomber sur lui toutes nos iniquités… Il s’est livré lui-même à la mort… il a porté les péchés de beaucoup d’hommes et il a intercédé pour les coupables » (Livre du prophète Ésaïe 53).

Or voici les paroles de Jésus : « Je donne ma vie pour mes brebis… Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même » (Évangile de Jean 10. 15-17) ; « si le Fils (de Dieu) vous affranchit (du péché), vous serez réellement libres » (Évangile de Jean 8. 36). Le prophète Jean-Baptiste, désignant Jésus a dit aussi : « Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Évangile de Jean 1. 29).

- Le Messie ressuscitera après sa mort :

« Après avoir livré sa vie pour le péché… il prolongera ses jours » (livre du prophète Ésaïe 53. 10) ; « (Dieu) nous rendra la vie dans 2 jours. Le 3ème jour il nous relèvera et nous vivrons devant lui » (Livre du prophète Osée 6. 2 ; environ -700 avant J-C.).
Évangile de Marc 16. 6 : « (un ange devant le tombeau vide, dit aux femmes) vous cherchez Jésus qui a été crucifié ; il est ressuscité ; il n’est pas ici ».

- Le Messie montera au cCiel après sa mort :

« Parole de l’Éternel à mon Seigneur : assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied » (Psaume prophétique de David 110. 1).

Actes 1. 9 : « Il fut élevé pendant qu’ils le regardaient et une nuée le déroba à leurs yeux ». "Jésus, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s'est assis pour toujours à la droite de Dieu" (Hébreux 10. 12).

- Le Messie reviendra à Jérusalem à la vue de tout le monde, à la fin des temps :

« Alors je répandrai sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication et ils tourneront vers moi les regards, celui qu’il ont percé ; ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique » (Livre du prophète Zacharie 12. 10).

Voici ce qu’a dit Jésus avant sa mort : « (à la fin des temps) le signe du Fils de l’homme (c’est-à-dire Jésus) paraîtra dans le ciel ; toutes les tribus de la terre se lamenteront et elles verront le Fils de l’homme venant sur les nuées du ciel avec une puissance et avec une grande gloire » (Évangile de Matthieu 24. 30).

Conclusion :

Tout ceci n’est-il pas extraordinaire ? Le parallèle entre les prophéties annonçant le Sauveur de l’humanité et la vie de Jésus-Christ montre une adéquation parfaite entre les deux ! Personne n’a le pouvoir d’influer sur le lieu, la date et le contexte de sa naissance ; non plus sur les pensées et les actes de l’ensemble de ses contemporains. Enfin, qui pourraient prédire sa résurrection ?

Le fait que tous les critères sur la naissance, la vie, la mort et la résurrection du Messie soient réunis en la personne de Jésus est l’une des preuves par excellence qu’Il est bien celui qui avait été annoncé. Oui, Jésus est le seul Sauveur annoncé. Nul doute n’est possible ! Il est Dieu fait homme, pour nous. Il est celui qui, pour nous, s’est sacrifié pour nous délivrer du mal et de la souffrance. Il est vivant aujourd’hui et s’intéresse à nous. Jésus veut permettre à chaque être humains de recevoir l’Amour de Dieu d’une façon personnelle et vivante, de recevoir l’assurance du salut et de la vie éternelle dès maintenant et pour l'éternité.

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Jésus-Christ accomplit les prophéties sur le Messie (1)

6 Mai 2021 Publié dans #Divers

La 1ère partie de la Bible (l'Ancien Testament) contient un grand nombre de prophéties très précises sur le Messie, le Sauveur de l’humanité. Or la vie de Jésus accomplit exactement toutes ces prophéties…

Savons-nous que la Bible est un livre essentiellement prophétique ? Au travers de paroles de plusieurs prophètes, elle nous délivre un message de la part de Dieu. Certaines prophéties de l’Ancien Testament concernent notamment la venue d’un Messie, c’est-à-dire d’un Sauveur de l’humanité. Ces différents textes ont été écrits entre –1500 et –500 avant Jésus-Christ. Grâce à la traduction grecque des Septante remontant à –250 avant Jésus-Christ et grâce aux manuscrits de Qûmram datant de –200 avant Jesus-Christ (écrits contenant l’Ancien Testament dans son entier plus d’autres textes), nous avons les preuves formelles que ces prophéties ont été écrites bien avant la Venue de Jésus-Christ. Or nous allons voir que la vie de Jésus correspond en tous points à celle du Sauveur annoncé (nous ne mettons ici que quelques prophéties parmi toutes celles qui existent) :

- Le Sauveur naîtra miraculeusement d’une vierge :

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel » (Livre du prophète Ésaïe 7. 14 – environ -700 avant J-C.). Emmanuel signifie « Dieu avec nous » : Jésus s'appelle Emmanuel.

- Il sera Dieu fait homme :

« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera son épaule. On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Livre du prophète Ésaïe 9. 5).

- L’époque et le lieu de sa naissance (Béthléem) ont été prédits :

* Lieu de naissance : « Et toi, Bethléem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, et dont les activités remontent aux temps anciens, aux jours de l’éternité » (Livre du prophète Michée 5. 1 – environ -700 avant J-C). Bethléem Ephrata est la ville près de Jérusalem où Marie a accouché de Jésus dans une étable.

* Date de naissance : « Depuis l'annonce du rétablissement de Jérusalem jusqu’au Messie, il y a 7 semaines et 62 semaines… et après les 62 semaines, le Messie sera retranché » (Livre du prophète Daniel 9. 25-26 – environ -600 avant J-C).

Après la destruction de Jérusalem par les Babyloniens, en -686 avant J-C, les Juifs déportés ont été autorisés à revenir dans leur pays et à rétablir leur capitale, en 450 avant J-C. Si l’on comprend qu’un jour de la prophétie correspond à une année réelle, 69 semaines (483 jours = 483 années) après –450 avant J-C, nous amènent à la troisième décennie de l’ère chrétienne (l'an 33), période du ministère et de la mort de Jésus Christ !

A un moment donné, le Sauveur entrera à Jérusalem sur un ânon :

« Sois transportée d’allégresse, fille de Sion ! Pousse des cris de joie, fille de Jérusalem ! Voici ton roi vient à toi, il est juste et victorieux ; il est humble et monté sur un âne, le petit d’une ânesse » (Livre du prophète Zacharie 9. 9 – environ -500 avant J.C.)

Or voici ce qui se passa lors de l’entrée de Jésus à Jérusalem : « ils amenèrent à Jésus un ânon sur lequel ils jetèrent leurs vêtements et firent monter Jésus… Lorsqu’il approchait de Jérusalem, toute la multitude, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus. Ils disaient : béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur ! » (Évangile de Luc 19. 35-38).

Il sera trahi :

« Ils pesèrent pour mon salaire 30 pièces d’argent. L’Éternel me dit : jette-le au potier, ce prix magnifique auquel ils m’ont estimé ! » (Livre du prophète Zacharie 11. 12-13)

Zacharie avait eu la révélation de ce qui se passerait pour Jésus : « Judas Iscariot alla vers les principaux sacrificateurs et dit : que voulez-vous me donner et je vous le livrerai. Ils lui payèrent 30 pièces d’argent… Pris de remords (Judas) rapporta les 30 pièces… ils achetèrent avec cet argent le champ du potier » (Évangile de Matthieu  26 et 27).

A SUIVRE...

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Notre vie livrée à Jésus-Christ

5 Mai 2021 Publié dans #Divers

 LIVRONS NOTRE VIE A JÉSUS CHRIST :

 « J’ai été crucifié avec Christ » (Galates 2. 20).

Personne ne peut être véritablement uni à Jésus-Christ, s’il n’a résolu d’abandonner non seulement ses péchés, mais toute sa manière de voir les choses. Pour naître du Saint-Esprit, sachons qu’il nous faut lâcher prise avant de saisir, et commencer par abandonner toute prétention. Ce que notre Seigneur Jésus désire que nous Lui offrions, ce n’est pas notre bonté, ni notre honnêteté, ni notre bonne volonté, mais notre péché, réellement et concrètement, c’est tout ce qu’il veut de nous. Et que nous donnera-t-Il en échange de notre péché ? - Sa justice réelle et concrète. Mais abandonnons toute prétention à être quelque chose et toute revendication d’un mérite quelconque au regard de Dieu. Alors le Saint-Esprit de Dieu nous fera voir ce qu’il nous faut encore abandonner. Nous devons renoncer à tout droit sur nous-même.

Sommes-nous prêts à abandonner tout ce que nous possédons, tout ce qui nous est cher, et à nous identifier à la mort de Jésus-Christ ? C’est toujours pour nous un déchirement douloureux de passer par là. Quand on se voit réellement comme le Seigneur nous voit, ce ne sont pas les abominables péchés de la chair qui nous choquent, mais le terrible orgueil de notre propre cœur dressé contre Jésus-Christ. Quand nous nous voyons dans la lumière du Seigneur Jésus, la honte et le désespoir nous envahissent.

Quand cette nécessité de l’abandon total à Jésus se dresse devant vous, acceptons le déchirement, livrons tout à Dieu, et Il nous rendra capable d’accomplir tout ce qu’Il réclame de nous.

LE MONDE CRUCIFIÉ POUR NOUS

Paul déclare sans détours : « Le monde est crucifié pour moi » (Galates 6. 14). Ainsi nous sommes en Christ, vivants par la foi.

« Le juste vivra par la foi » (Romains 1. 17). Cette phrase très courte mais fort suggestive contient trois notions : la justice, la vie, la foi.
D’abord : la justice. Rappelons l’affirmation : il n’y a pas un juste, non pas même un seul, car tous ont péché (Romains 3. 10). L’expérience de chacun vient confirmer la Bible.
Nous sentons en effet combien nombreuses ont été les fois où nous avons été injuste vis-à-vis de Dieu en ne l’aimant pas de tout notre cœur ; injuste vis-à-vis du prochain en ne l’aimant pas comme nous-même ; injuste vis-à-vis de notre âme que nous avons négligée.
Mais l’homme peut être justifié. Comment ? Par Jésus notre justice (1 Corinthiens 1. 30). Jésus s’est offert pour les coupables. Et par son sacrifice, Il justifie pleinement tous ceux qui s’approchent de Dieu par Lui.
Marcher dès lors dans la Justice du Christ c’est ne plus chercher en soi une justice naturelle qui n’existe pas… mais vivre dans la dépendance du Sauveur.
Ensuite la vie. Quand la Bible parle de la vie, elle accorde à ce terme un sens infiniment plus profond qu’on ne croit.
Vivre, au sens biblique, c’est être avec Dieu, se nourrir de Lui, obéir à sa voix et marcher selon sa Parole. La source de la vie, c’est Dieu. Être uni à Dieu, c’est vivre pleinement.
S’éloigner de Dieu, demeurer étranger à Dieu, fermer son cœur et sa vie à Dieu, c’est mourir, ou : « être mort dans ses fautes et dans ses péchés. » (Éphésiens 2. 1).

Est-il donc possible de passer de l’état de mort à l’état de vie ? (Luc 15. 32). Oui, en acceptant la Justice du Christ. Et cela, par un moyen bien simple : La foi. Le juste (justifié) vivra (uni à Dieu) par la foi. La foi et la vie sont deux notions inséparables. Au sens spirituel on ne peut avoir de vie sans foi ni de foi sans vie. Autrement dit : il faut avoir une foi vivante (Jacques 2. 17).
Laissons de côté tout ce qui pourrait ressembler à une foi morte, intellectuelle, stagnante. Les plus beaux credos du monde n’ont rien à faire avec l’élan du cœur qui cherche et trouve Dieu dans le don libre et joyeux.

D’autre part, il y a une foi traditionnelle, celle de nos Pères, glorieuse, certes, parce que plusieurs eurent à subir le martyr.
Mais ne sentons-nous pas que cette foi-là est totalement insuffisante, inefficace, si nous ne la partageons effectivement, si elle ne devient pas une réalité journalière, si elle n’est intégrée à notre vie pratique, si elle ne forme pas la trame secrète et profonde de notre histoire spirituelle.
Mais qu’elle devienne une réalité par un geste de notre part, une détermination personnelle, Dieu ne pouvant faire à notre place ce que nous devons accomplir nous-même et aussitôt, nos yeux s’ouvrent à la plus belle réalité, nos cœurs reçoivent la plus grande des richesses : la présence de Dieu en nous par l’Esprit-Saint.
Et alors s’organise la marche par la foi à cause de la justification dont nous aurons été l’objet.

La plus belle aventure nous est offerte dans la Bible. Mais une aventure qui a fait ses preuves. D’autres ont essayé : ils ont mis Dieu à l’épreuve. Et Dieu a tenu sa promesse infiniment mieux qu’ils n’osaient l’espérer.

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Le Salut final des enfants de Dieu

4 Mai 2021 Publié dans #Salut, #Retour de Jésus

Nous avons une dernière délivrance devant nous qui sommes enfants de Dieu : Des cieux « nous attendons le Seigneur Jésus-Christ comme Sauveur, qui transformera le corps de notre abaissement en la conformité du corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses » (Philippiens 3 : 20, 21). Comme le présentent plusieurs passages des Écritures, nous possédons, dès maintenant, par la foi en Jésus-Christ, le salut de notre âme (1 Pierre 1 : 9) ; mais à la croix a été payé le rachat de notre être tout entier, et nous attendons la délivrance, la rédemption de notre corps (Romains 8 : 23, 24). Nous allons être ravis loin de cette terre de misère et de combat, vers les demeures éternelles, revêtus de corps glorifiés, dignes de ce séjour de gloire. Là « n’entrera aucune chose souillée, ni ce qui fait une abomination et un mensonge ; mais seulement ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l’Agneau » (Apocalypse 21 : 27). C’est le grand Salut final, c'est notre glorieuse assurqnce. Nous serons délivrés de la présence même du péché. Nous serons semblables à notre Sauveur Jésus-Christ Lui-même, et tous ensemble pour toujours avec Lui.

C’est là l’espérance des enfants de Dieu, leur consolation dans les jours de deuil. Quand les enfants de Dieu s’endorment en Jésus, leur corps retourne pour un temps à la poussière, mais leur esprit entre immédiatement dans le repos, auprès de leur Sauveur Jésus. « Absents du corps », ils sont « présents avec le Seigneur » (2 Corinthiens 5 : 8). L’apôtre Paul estimait que « déloger et être avec Christ, cela est de beaucoup meilleur » (Philippiens 1 : 23). C’est la félicité que Jésus-Christ sur la croix assurait au brigand repentant : « En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 : 43).
Mais cet état bienheureux n’est qu’une attente de bénédictions plus élevées encore. Bientôt va s’accomplir la promesse du Seigneur : « Je reviendrai, et je vous prendrai auprès de moi » (Jean 14 : 3). La Parole de Dieu nous précise comment va se dérouler cette prochaine Venue de Jésus pour enlever les siens : « Le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement ; puis nous les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4 : 16, 17).
Cet événement est tout proche : « Voici, je viens bientôt » nous répète Jésus (Apocalypse 22 : 7, 12, 20). Soyons donc nous-mêmes semblables à des serviteurs qui attendent leur Maître (Luc 12 : 35-40). Appliquons-nous à être constamment sans tâche tels que Jésus-Christ désire nous trouver à sa Venue.

Voici, Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur vient bientôt. Jésus est Celui qui nous a aimés et s’est livré Lui-même pour nous, qui a porté nos péchés en son corps sur la croix et nous a délivrés des tourments éternels au prix de ses souffrances et de son parfait sacrifice à la croix. Jésus est Celui que notre foi a saisi comme notre parfait Seigneur et Sauveur, Celui en qui nous avons la vie éternelle, qui nous a approchés de Dieu comme de bien-aimés enfants. Jésus est Celui dont l’élévation dans la gloire nous a valu l’envoi de l’Esprit Saint dans nos coeurs, Celui qui prend soin de nous tout le long du chemin comme un Berger à qui son troupeau est cher.

Regardons ensemble en haut, nous tous ses rachetés, qui formons son Église, son épouse pour l’éternité, et disons d’un même coeur : « Amen ; viens, Seigneur Jésus ! » (Apocalypse 22 : 17, 20).

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La justification est l’œuvre souveraine de Dieu

3 Mai 2021 Publié dans #Justice de Dieu

La justification est l’œuvre souveraine de Dieu

La justification est un terme utilisé dans le domaine légal et judiciaire. Il décrit l’opposé de la condamnation. « Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie ! Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » (Romains 8. 33-34).
Oui la justification est l’œuvre souveraine de Dieu. Par elle, il déclare juste le pécheur et satisfait à son égard les justes exigences de la loi. La loi de Dieu condamne l’être humain pécheur. Dans son Amour et dans sa Grâce, Dieu justifie les pécheurs qui se repentent et qui croient en Lui, Dieu les a aimé de toute éternité. « Ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3. 24).
La justification ne se gagne, ni ne se mérite pas. « Sachant que ce n’est pas par les œuvres de la loi que l’homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d’être justifiés par la foi en Christ et non par les œuvres de la loi, parce que personne ne sera justifié par les œuvres de la loi » (Galates 2. 16).

Dieu justifie sur la base de la justice de Jésus-Christ et de sa mort expiatoire pour les pécheurs. « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. À plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère » (Romains 5. 8-9).

La justification enlève la culpabilité du péché. Car « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1).
La justification impute la justice de Christ au pécheur qui croit en Lui. Elle la met à son compte. « Il [Abraham] ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir. C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice. Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela lui fut imputé ; c’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, qui a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification » (Romains 4. 20-25).

La justification est acquise une fois pour toutes

Il n’y a pas de degrés dans la justification. Si vous êtes croyant, vous êtes tout aussi justifié maintenant que vous le serez jamais, et au même titre que tout autre enfant de Dieu, sans aucune différence ni variation. Comme nous l’avons dit, c’est un terme légal et juridique. Dieu nous condamne à cause de notre péché : « Celui… qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et ce jugement c’est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées » (Jean 3. 18-20).

Si nous devions paraître ainsi devant le Trône de son jugement, il nous trouverait coupables et nous condamnerait à passer l’éternité en Enfer. Ce serait un verdict correct et juste. La justification est le contraire de la condamnation. Par elle, Dieu en tant que juge, nous déclare libres de toute accusation. Il ne dit pas que nous sommes innocents, car nous ne le sommes pas. Mais il nous acquitte. Nous ne sommes plus condamnés, mais le Dieu Saint nous déclare acceptables devant Lui. Si nous gardons à l’esprit notre culpabilité et le fait que nous méritons l’Enfer, cette justification est la démonstration suprême de l’Amour et de la Grâce de Dieu.

Non seulement la justification fait disparaître la condamnation, mais elle nous revêt aussi d’une justice. C’est sur la base de cette justice que Dieu traite désormais avec nous. Cette justice, dit l’apôtre Paul, est « sans la loi » (Romains 3. 21). Cela signifie qu’elle n’a rien à voir avec la manière dont on observe la loi de Dieu. C’est une justice qui vient de Dieu, qu’il nous donne. En fait, il s’agit de la Justice de Christ. Dieu met sur notre compte la Justice de son Fils qui est totalement indemne de péché. Telle est la vérité renversante qui est au coeur de l’Évangile.

« La justification ne fait pas d’un pécheur un être différent : elle le déclare juste au regard de la loi. Le pécheur a assurément besoin d’être rendu bon, et ce sera l’œuvre du Saint-Esprit à mesure qu’il le fera croître dans la grâce. Mais soyons d’abord très au clair à propos de la justification : elle ne décrit pas un état, mais une position. Elle se réfère à notre position devant Dieu. Hors de Christ, nous n’avons aucune position sinon d’être coupables et condamnés en Enfer. Mais avec Christ comme Sauveur et Substitut, nous sommes acquittés et justifiés, car il a porté lui-même notre péché.

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