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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
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L'Évangile est-il difficile à croire ?

15 Avril 2021 Publié dans #EVANGILE

L'apôtre Paul avait dans sa chair toutes les raisons d’avoir honte de l’Évangile qu’il prêchait, car ce dernier contredisait absolument tout ce que ses contemporains tenaient pour vrai et sacré. Il y a pourtant encore une autre raison qui pousse notre chair à avoir honte : l’Évangile est un message absolument incroyable, une parole apparemment absurde pour les sages de ce monde.

En tant que chrétiens, nous ne réalisons pas toujours à quel point il est complètement stupéfiant qu’une personne croie véritablement notre message. Dans un sens, l’Évangile est tellement invraisemblable qu’il ne peut s’être propagé dans tout l’Empire romain que d’une manière surnaturelle. Qu’est-ce qui pourrait pousser un païen, ignorant complètement les Écritures de l’Ancien Testament et enraciné dans la philosophie grecque ou dans les superstitions païennes, à croire un tel message à propos d’un homme nommé Jésus ?

- Jésus est né dans une famille pauvre, dans des circonstances douteuses, dans l’une des régions les plus méprisées de l’Empire romain, et pourtant l’Évangile affirme qu’Il était le Fils éternel de Dieu, conçu par le Saint-Esprit dans le sein d’une Juive vierge.
- Jésus était charpentier de métier et enseignant religieux itinérant sans formation officielle, et pourtant l’Évangile affirme qu’Il a surpassé la sagesse de tous les philosophes grecs et savants romains de l’Antiquité réunis.
- Il était pauvre et n’avait pas de lieu où reposer sa tête, et pourtant l’Évangile affirme que, pendant trois ans, Jésus a, par la parole, nourri des milliers de personnes, guéri toutes les formes de maladies possibles parmi les êtres humains, allant jusqu’à ressusciter des morts.
- Jésus a été crucifié hors des murs de Jérusalem en tant que blasphémateur et ennemi de l’État, et pourtant l’Évangile affirme que sa mort a été l’évènement central à toute l’histoire de l’humanité, le seul moyen d’être sauvé du péché et d’être réconcilié avec Dieu.
- Son corps a été placé dans un tombeau emprunté, et pourtant l’Évangile affirme que Jésus est ressuscité des morts le troisième jour et s’est présenté à beaucoup de ses disciples. Quarante jours plus tard, il est monté au Ciel et s’est assis à la Droite de Dieu.
- Ainsi, l’Évangile déclare qu’un pauvre charpentier juif rejeté par son propre peuple qui le considérait comme fou et blasphémateur, celui-là même qui a été crucifié par l’État, est le Sauveur du monde, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Devant Lui, tout genou fléchira, y compris celui de César.

Comment des êtres humains pourraient croire un tel message, si ce n’est par la puissance de Dieu ? Il n’y a pas d’autre explication. L’Évangile ne se serait jamais répandu au-delà de Jérusalem, encore moins au-delà de l’Empire romain et parmi toutes les nations du monde, si Dieu n’avait pas décidé d’accomplir son œuvre par ce moyen. Si l’Évangile était dépendant des capacités organisationnelles, de l’éloquence ou de la force apologétique de ses prédicateurs, son message serait mort dès le berceau. Aucune stratégie missionnaire, aucune ruse de marketing astucieux n’aurait jamais pu faire progresser ce message insensé pour le monde, qui est une pierre d’achoppement.

Cette vérité est à la fois un encouragement et un avertissement pour ceux d’entre nous qui s’efforcent de propager notre foi chrétienne. Premièrement, c’est un encouragement de savoir que la simple et fidèle proclamation de l’Évangile assurera sa progression continuelle dans le monde. Deuxièmement, c’est un avertissement pour que nous ne soyons pas séduits par le mensonge selon lequel nous pouvons faire avancer l’Évangile grâce à notre intelligence, notre éloquence ou nos stratégies astucieuses. De telles choses n’ont pas le pouvoir de susciter l’impossible conversion des êtres humains. Nous devons, avec un empressement rempli d’espoir, nous tourner vers le seul moyen biblique de faire progresser l’Évangile : l’annonce audacieuse et claire d’un message de l’Évangile dont nous n’avons pas honte, car « c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit » (Romains 1. 16).

Notre époque est marquée par l’incrédulité et le scepticisme. La culture ridiculise notre foi, la qualifiant de mythe sans espoir, nous considérant, soit comme des fanatiques à l’esprit étroit, soit comme de faibles victimes d’une ruse religieuse. Une telle attaque nous met souvent sur la défensive, et nous essayons de riposter en prouvant notre opinion et sa pertinence par l’apologétique. Bien que certaines formes de cette discipline soient très utiles et nécessaires, nous devons prendre conscience du fait que la puissance réside toujours dans la proclamation de l’Évangile. Nous n’avons pas plus le pouvoir de convaincre un être humain de croire que de ressusciter les morts. Ces choses sont l’œuvre de l’Esprit de Dieu. Les hommes ne sont amenés à la foi que par l’œuvre surnaturelle de Dieu, et Il a promis d’œuvrer, non au travers de la sagesse humaine ou l’expertise intellectuelle, mais par la prédication du Christ crucifié et ressuscité d’entre les morts (Romains 1. 16).

Nous devons accepter le fait que notre Évangile est un message difficile à croire pour l'être humain naturel. En dehors de l’œuvre bienveillante et puissante du Saint Esprit de Dieu, nous ne devons pas nous attendre à ce qu’on nous écoute, et encore moins à ce qu’on nous croit. Combien est vaine toute notre prédication sans la puissance de Dieu ! Combien le prédicateur doit donc être dépendant de Dieu ! Toute notre évangélisation n’est rien de plus qu’une course folle si Dieu ne travaille pas le cœur des êtres humains. Or, Dieu s’est engagé à faire précisément cela si nous acceptons de prêcher fidèlement cet unique message qui a le pouvoir de sauver : l’Évangile.

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Satan, notre ennemi public, est vaincu

14 Avril 2021 Publié dans #Divers

Connaissons-nous l’ennemi public, celui qui veut la mort éternelle de tout être humain ? Il est le meurtrier dès le commencement. Très rusé, il attire ses proies par le mensonge, leur faisant croire au bonheur, à la prospérité, à la réussite... alors qu’aucun bonheur n’est possible sur terre tant qu’il ne sera pas arrêté.

Sa première victime a été une femme (Ève) qu’il a attirée par la ruse. Cet affreux menteur lui a promis des choses extraordinaires et, par la séduction, la tentation et la convoitise, il a réussi à lui injecter un venin mortel (le péché) qui se transmet sur toute sa descendance, de génération en génération.

Contre lui devrait se former la ligue universelle de ceux qui veulent vivre. Rien ne parait plus triste, dans ce monde, que l’abdication (le renoncement) des êtres humains devant leur ennemi. Ni les fausses religions et leurs rites si vides, ni l’irréligion et ses stupides plaisanteries, ni les philosophes, ni les savants, ni même les anarchistes ne semblent voir que la clé du bonheur est là : détruire Satan le meurtrier ! Dans ce monde, on a bien arrêté des tueurs, des chefs d’organisations terroristes qui font des milliers de morts, mais de cet ennemi public n°1, le monde ne s’en soucie guère. Beaucoup l’ignorent et vont jusqu’à prétendre que Satan n’existe pas alors qu’ils savent, qu’un jour ou l’autre, ils en seront les victimes.

Et voilà pourquoi nous sommes chrétiens, dans le seul sens où ce mot doit être pris, c’est-à-dire : disciples de Jésus-Christ. Jésus-Christ est le seul ayant osé affronter et vaincre ce grand ennemi qu'est Satan. Il a résisté à toutes ses tentations et quand il est entré dans la mort, cet ennemi cruel a dû ricaner, pensant avoir réussi son coup comme il réussit pour chaque être humain, mais c’est lui qui a été vaincu ! En effet Jésus, Celui qu’il croyait être sa victime, est sorti victorieux de la mort, la mort dans laquelle il est entré justement pour nous en délivrer.

Pour nous qui sommes enfants de Dieu, Jésus le grand Vainqueur de l’ennemi public n°1 peut donc maintenant nous promettre qu’un jour, bientôt, la Mort ne sera plus (Apocalypse 21. 4) et Jésus donne, dès maintenant, la vie éternelle à tous ceux qui lui font pleinement confiance.

Par sa mort et sa résurrection, Jésus Christ a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort (Hébreux 2. 14). Satan, l’ennemi public n°1, ainsi que le monde dont il est le prince est inexorablement condamné, et si la patience de Dieu se prolonge à son égard, c’est pour que la Bonne Nouvelle de Jésus Christ, le grand Vainqueur, continue d’être annoncée pour le salut de tous ceux qui croient.

Oui, connaissez-vous le nom de cet ennemi public n°1, ce meurtrier et père du mensonge auquel ne croient plus ceux qui sont ses victimes : triomphe de son habileté ! C’est Satan, le diable, et le venin qu’il a injecté à toute l’humanité s’appelle le péché qui mène à la mort. « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur », le Grand Vainqueur (Romains 6. 23).

Vous tous qui apportez aux cimetières des fleurs accompagnées de vos pleurs, de vos regrets, de votre révolte peut-être, levez la tête et ne vous comporter plus ainsi ! Ne vous résignez pas au fatalisme, ne prenez pas votre parti de la mort. N’abdiquez pas devant elle. Ne dites jamais que : « C’est l’irréparable, l’inévitable, l’ultime défaite qu’il faut accepter ».

Non, non ! Levez vos yeux vers Jésus-Christ : Celui qui est maintenant élevé au plus haut des cieux a vaincu la mort à la croix et celui qui en avait le pouvoir, le diable. Un jour, Jésus tirera tous les morts de leurs sépulcres et les ressuscitera. Ah ! Pour que votre corps ressuscite en gloire et pour que vous connaissiez la Vie, la vraie vie, la vie éternelle, acceptez le Salut en Jésus et croyez en Jésus le Puissant Vainqueur qui veut être votre Seigneur et Sauveur.

« Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle » (Jean 3. 36).
« Je suis la résurrection et la vie, vous dit-il ; celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » (Jean 11. 25-26).

Gloire à Jésus ! Louange au Rédempteur !
En Lui, la mort a trouvé son Vainqueur.
L'ennemi même a connu sa puissance,
Et le tombeau lui rend obéissance.
Gloire à ton Nom, Seigneur Jésus !
L'Enfer et la mort sont vaincus.

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Que signifie : être chrétien ?

13 Avril 2021 Publié dans #Divers

Voici des réponses que nous entendons souvent à la question : « Êtes-vous chrétien ? »
- « Moi, je suis chrétien, j’ai fait ma communion quand j’étais jeune ; j’ai même été enfant de chœur ! ».
- « Moi je suis chrétien : je suis baptisé et je me suis marié à l’église ».
- « Moi je suis chrétien, la preuve : je vais à l’église tous les… enfin, pas tous les dimanches, mais quand je peux ».
- « Moi je suis chrétien, je récite le “Notre Père” et d’autres prières à l’occasion… ».

Baptême, communion, mariage, enterrement : quatre cérémonies suffiraient-elles pour être chrétien ? On sacrifie trois journées de sa vie – car la quatrième ne nous appartient déjà plus - et pour se donner bonne conscience, on ajoute la fréquentation de temps à autre à un office religieux, quelques prières que l’on récite par cœur, et l’on se dit être un bon chrétien ! Facile n’est-ce pas ? Mais c’est une redoutable illusion !

Qu’est-ce qu’un chrétien ?

Le mot chrétien vient du latin christianus, de Christus, le Christ. Celui qui porte le nom de chrétien porte ainsi le Nom de Christ.  En a-t-on  le  droit ?  Pour  que  nous puissions porter chacun notre nom, il a fallu qu’à notre naissance, l’état civil enregistre notre filiation. De même, pour avoir le droit de porter le nom de Christ, il faut faire partie de la famille de Dieu dans laquelle nous ne pouvons entrer que par une autre naissance, une naissance spirituelle. C’est pourquoi Jésus Christ a dit à Nicodème : « En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu’un n’est pas né de nouveau, il ne peut pas voir le royaume de Dieu … Ne t’étonne pas de ce que je t’ai dit : il vous faut être nés de nouveau » (Jean 3. 3 ; 7). Cette Nouvelle Naissance, c’est la réception d’une nouvelle vie, la vie divine que l’on obtient par la foi, en recevant Jésus Christ comme notre Seigneur et Sauveur personnel. « A tous ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu » (Jean 1. 12).

Vous avez bien lu : Être un enfant de Dieu et pouvoir donc être appelé de son Nom ou du Nom de Christ, c’est un droit, mais un droit qui n’est donné qu’à ceux qui, se reconnaissant pécheurs perdus, ont reçu Jésus comme leur Seigneur et Sauveur.

Maintenant, je vous repose la question : Êtes-vous chrétien ? Autrement dit : Êtes-vous né de nouveau ? Avez-vous reçu Jésus comme votre Sauveur personnel ? Avez-vous le droit d’être appelé de son Nom ?

Deux sortes de “chrétiens” : En fait, il y a deux sortes de chrétiens :
► Les véritables chrétiens : ce sont ceux qui connaissent véritablement le Christ et qui ont une réelle relation avec Lui. Ils ont la paix avec Dieu depuis qu’ils ont confessé leur état de péché et qu’ils ont cru en l’œuvre de son Fils accomplie parfaitement à la croix.
►Et les chrétiens de nom : ce sont ceux qui professent le christianisme sous couvert d’une religion ou d’une forme de religion ou en étant inscrit sur le registre de baptême d’une église ou ayant fait leur communion solennelle (souvent sans même en connaître la signification).

La chrétienté, c’est-à-dire l’ensemble de tous ceux qui se déclarent chrétiens, est comparée dans la Bible à une grande maison dans laquelle il y a des vases à honneur et des vases à déshonneur (2 Timothée 2. 19-20).

De quelle catégorie de chrétiens faites-vous partie ? Il vaut la peine de se poser cette question, car l’avenir éternel n’est pas le même pour tous. L'Enlèvement de l’Église se fera bientôt. Et Jésus a promis qu’Il reviendra du Ciel pour prendre avec Lui tous ses rachetés (les véritables chrétiens) qui jouiront d’une éternité de bonheur avec Lui au Ciel. A ce moment-là, ceux qui n’ont que le nom de chrétien sans avoir la vie divine en eux resteront ici-bas et se rendront compte de “disparitions” : Un mari ne trouvera plus sa femme qui elle, est véritablement croyante (ou vice-versa), des enfants ne trouveront plus leurs parents… et ils crieront comme les vierges folles qui n’avaient pas pris d’huile pour leurs lampes : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! ». Ce sera terrible quand ils entendront sa réponse : « En vérité, je vous le dis : je ne vous connais pas » (Matthieu 25. 11-12). Certains diront : « Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné dans nos rues » (Luc 13. 26) ou : « Nous avons pris la cène (ou l’eucharistie), nous avons entendu des sermons, nous avons fait la communion, nous avons été baptisés… ». La réponse sera : « Je ne vous ai jamais connus ; allez-vous-en loin de moi, vous qui pratiquez l’injustice. » (Luc 13. 27 ; Matthieu 7. 23).

Jésus revient bientôt. Quand ? Nous l’ignorons, Dieu seul le sait. Et si c’était aujourd’hui ? Et si c’était avant que vous ayez fini la lecture de ce message ? Êtes-vous prêt ?

« Prépare-toi à rencontrer ton Dieu » (Amos 4. 12), vous dit la Bible, car un jour, vous Le rencontrerez soit comme le Dieu Sauveur lorsque Jésus reviendra, soit comme le Juge lors du Jugement Dernier décrit dans le livre de l’Apocalypse. Là, ce ne seront pas les livres de baptêmes, ni ceux où sont enregistrés les membres d’une église qui seront consultés, mais « un autre livre qui est celui de la Vie… Et si quelqu’un ne se trouve pas inscrit dans le Livre de vie, il sera jeté dans l’étang de feu » (Apocalypse 20. 11 à 15)

Pour être inscrit dans le Livre de vie, il faut être né de nouveau. Venir par la foi à Jésus, c’est réellement naître à une vie nouvelle qui trouve sa source en Dieu. En se développant, cette vie nous amène à refléter quelques traits moraux de Jésus Lui-même. C’est cela, être un véritable chrétien.

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Une relation personnelle avec Dieu

12 Avril 2021 Publié dans #EVANGILE

"Personne n'a jamais vu Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, lui, l'a fait connaître" (Jean 1. 18).

Croyez-vous en Dieu ? Bien sûr, répondent beaucoup de personnes ; mais cela ne les engage pas beaucoup. La véritable question à se poser est plutôt : "Est-ce que je connais Dieu, le seul vrai Dieu, qui s'est fait connaître par son Fils Jésus Christ ? Ai-je une relation personnelle avec Lui" ?
Jusqu'à la Venue de Jésus, le peuple juif pensait connaître Dieu, et voilà que Jésus déclare : "Personne ne connait le Père , si ce n'est le Fils, et celui à qui le Fils voudra le révéler" (Matthieu 11 : 27). Cette révélation du Père par le Fils ne consiste pas en réflexions sur les attributs de Dieu. Elle est très simple, accessible aux humbles, mais elle échappe aux orgueilleux.
Ce que nous révèle Jésus sur son Père, c'est d'abord sa perfection. Il nous le dit par ses paroles, il nous le montre par sa vie. Il nous l'exprime par sa mort sur la croix. Là, brille l'Amour de Dieu d'un éclat incomparable.
On ne peut pas connaître Dieu si on ne croit pas en Jésus Christ, son Fils unique. En apprenant à connaître Jésus tel que nous le révèle le Nouveau Testament, nous apprenons à connaître Dieu le Père. Car "celui qui m'a vu, a vu le Père", a dit Jésus (Jean 14 : 9).
Ainsi donc la question pour nous est bien : "Croyons-nous au Dieu d'Amour et de Sainteté ? Avons-nous reçu le message de Jésus à son sujet ? Avons-nous accepté le Dieu Sauveur ? Il nous invite encore aujourd'hui à répondre à cet appel.

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Une relation personnelle avec Dieu commence au moment où nous réalisons notre besoin de Lui, où nous admettons être des pécheurs, et où, par la foi, nous recevons Jésus-Christ comme notre parfait Sauveur. Dieu, notre Père céleste, a toujours désiré être proche de nous, et avoir une relation avec nous. Avant qu’Adam ne pèche dans le jardin d’Éden (Genèse chapitre 3), Ève et lui connaissaient Dieu sur un plan intime, personnel. Ils marchaient avec Lui dans le jardin et conversaient directement avec lui. Mais c'est à cause du péché qu'ils ont été séparés et déconnectés de Dieu, ainsi que nous tous êtres humains.

Ce que beaucoup de personnes ne savent pas, ne comprennent pas ou négligent, c’est que Jésus nous a fait le cadeau le plus extraordinaire : l’occasion d'être sauvé et de passer l’éternité avec Dieu si nous mettons notre confiance (foi) en Lui. « Car le salaire du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 6. 23). Dieu s'est fait un être humain en la Personne de Jésus-Christ pour porter notre péché, être mis à mort, et ensuite ressusciter, prouvant ainsi sa Victoire sur le péché et sur la mort. « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8. 1). Si nous acceptons ce cadeau (ce don), nous pouvons désormais être acceptés en la présence de Dieu et pouvons entretenir une relation personnelle et vivante avec Lui.

Avoir une relation personnelle avec Dieu signifie que nous devons faire une place à Dieu dans notre vie quotidienne. Nous devons Lui adresser nos prières et méditer sur les versets de sa Parole, nous efforçant ainsi de mieux Le connaître. Nous devons prier pour recevoir la sagesse (Jacques 1. 5), ce qui est l’atout le plus précieux que nous puissions avoir. Nous devons Lui présenter nos requêtes, et les présenter au Nom de Jésus (Jean 15. 16). Jésus est celui qui nous a aimés au point de donner sa vie pour nous (Romains 5. 8), et c’est Lui qui a comblé l’abîme qui existait entre nous et Dieu, c’est Jésus qui nous a réconciliés avec Dieu.

Le Saint-Esprit nous a été donné comme conseiller et consolateur personnel. Jésus a dit : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous » (Jean 14. 15-17). Jésus a dit cela avant de mourir sur la croix, et après sa résurrection, le Saint-Esprit est devenu disponible à ceux qui désirent sincèrement Le recevoir dans leur vie. Le Saint-Esprit est celui qui vit dans le cœur des croyants pour y demeurer toujours ; Il ne nous quittera jamais. Il nous conseille, nous enseigne des vérités et transforme nos cœurs. Sans ce Saint-Esprit, nous n’aurions pas la capacité de combattre le mal et les tentations de Satan et du monde. Mais puisque nous avons le Saint-Esprit en nous, nous commençons à produire le fruit qui vient du Saint-Esprit lorsque nous le laissons agir en nous et nous diriger : l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi (Galates 5. 22-23).

Cette relation personnelle avec Dieu n’est pas aussi difficile à trouver que nous l’imaginons, et il n’existe pas de formule magique pour l’obtenir. Dès que nous devenons enfants de Dieu, nous recevons le Saint-Esprit qui va commencer à œuvrer dans nos cœurs. Nous devons prier sans cesse, lire notre Bible, et rejoindre à une église qui reconnaît l’autorité la Bible ; toutes ces choses nous aiderons à grandir spirituellement. Faire confiance à Dieu pour nous porter chaque jour de notre vie et croire qu’il est celui qui nous soutient en toute chose, c’est cela avoir une relation vivante et personelle avec Lui. Bien que nous ne voyions pas toujours de changements survenir immédiatement, nous commençons à les voir au fil du temps, et toutes les vérités deviendront claires pour nous.

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L'assurance d'être sauvé en Jésus-Christ

11 Avril 2021 Publié dans #La Vie, #Salut

Avec les dispositions requises, Jésus-Christ a donné à ceux qui venaient à Lui, l'assurance que leurs péchés étaient pardonnés lorsque se repentaient et croyait en Lui. Jésus leur disait : « Homme, tes péchés te sont pardonnés » (Luc 5 : 20). II dit à la femme : Tes péchés sont pardonnés (Luc 7 : 48) , « ta foi t'a sauvée, va en paix » (Luc 7 : 50).

La possession de la vie éternelle est assurée par la foi à quiconque met toute sa confiance en Jésus-Christ, non seulement pour un avenir lointain, mais déjà pour le présent : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3 : 36). « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit en celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5 : 24) .« En vérité, en vérité, je vous le dis: celui qui croit en moi a la vie éternelle » (Jean 6 : 47) .

Les apôtres ont affirmé avec la même certitude que ceux qui croient en Jésus-Christ possèdent dès à présent le Salut : « Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés » (Actes 10 : 43).

Nous qui avons fermement placé notre confiance en Jésus-Christ, nous pouvons donc avoir l'assurance d'être éternellement sauvés en Jésus-Christ.

L'apôtre Jean dit clairement : « Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même. Celui qui a le Fils a la vie... Je vous ai écrit ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5 : 10-13) .« Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie » (1 Jean 3 : 14).

L'apôtre Paul affirme que « l'Esprit rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (Romains 8 : 10).

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Le Paradis est aussi pour vous

10 Avril 2021 Publié dans #Paradis

"Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume ; Jésus lui dit : En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis" (Luc 23. 42, 43)

Nous êtres humains, nous l'ignorons peut-être, ou bien nous voudrions le nier… mais une place peut nous être assurée à chacun dès aujourd'hui dans le Paradis, ce lieu de bonheur infini. C'est Jésus qui l'a payée pour nous au prix de sa vie. Il nous invite dès maintenant à nous en saisir.

Les mains de Jésus qui nous l'offrent, portent des marques de blessures. Nous n'avons pas besoin que l'on nous explique quelles sont ces blessures. Ce sont celles que Jésus a subies sur la croix de Golgotha, quand il a été crucifié. Nous savons, parce que nous l'avons entendu dire, ou lu dans la Bible, que Jésus s'est livré volontairement à ces soldats qui le cherchaient, parce qu'il était venu de la part du Père pour nous sauver. Nous devons savoir que nous avons besoin d'être sauvés de nos péchés par Jésus Christ, pour que nous puissions aller au Paradis.

Alors, considérons la souffrance de Jésus en allant à la croix : Il a été fouetté, humilié, crucifié par les êtres humains, mais il a donné sa vie pour nous. Quand cela s'est passé, Jésus savait que chacun de nous allions venir au monde, et que nous aurions besoin de Lui. Regardons encore ses mains et son côté percés d'où son sang a coulé, et nous comprendrons qu'il n'y a rien à ajouter à ce parfait Salut : Jésus-Christ l'apporte gratuitement à celui qui veut bien le recevoir. Par ses souffrances, nous sommes guéris ; par sa condamnation, par l'abandon qu'il a subi de Dieu, nos péchés sont expiés, nous sommes sauvés en acceptant et en recevant le Seigneur Jésus-Christ dans notre vie. En croyant en Jésus-Christ, nous sommes par Lui, mis en relation avec Dieu le Père qui ne nous abandonnera jamais.

“Nous avons été sanctifiés par l'offrande du corps de Jésus Christ faite une fois pour toutes” (Hébreux 10. 10). Le Paradis nous a été acquis à ce prix. Nous êtres humains, voulons-nous chacun y entrer ?

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La Parole de la croix de Jésus Christ

9 Avril 2021 Publié dans #La croix

Le message fondamental de la Bible, celui que nous retrouvons dans la bouche de tous les prophètes de l'Ancien Testament, comme dans la prédication des  et disciples de Christ dans le Nouveau Testament c'est : Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié. (1 Corinthiens 1. 17-25).

La réalité historique de la crucifixion de Jésus-Christ ne fait aucun doute.

Les religieux d'Israël n'ont pas compris le sens de la mort du Christ sur la croix, ils attendaient un messie-roi et non un messie souffrant. Ils ont perçu sa crucifixion comme scandaleuse, la croix était alors un instrument de malédiction, selon qu'il est écrit dans la loi de Moïse : "celui qui est pendu est un objet de malédiction auprès de Dieu" (Deutéronome 21. 23).

Ils n'ont pas compris que Jésus venait effectivement accomplir la prophétie, comme le serviteur de l'Éternel, annoncé par le prophète Ésaïe (Ésaïe 53. 1-3).

"Je n'ai pas honte de l'évangile, car il est la puissance de Dieu pour sauver quiconque croit" (Romains 1. 16)
"La parole de la croix est folie pour ceux qui périssent, mais à nous qui obtenons le salut, elle est la puissance de Dieu" (1 Corinthiens 1. 18)

Beaucoup admirent la vie du Christ et la morale chrétienne, mais refusent d'accepter la rédemption, autrement dit la nécessité d'un salut. Pourtant, nous avons besoin, non de règles morales, ni d'amélioration, mais d'abord d'une nouvelle naissance, et la croix de Christ seule répond à notre état devant Dieu. Avant d'être notre modèle, Jésus Christ doit être notre Sauveur.

Dieu a tiré le monde du néant par la parole de sa puissance. “Il a parlé, et la chose a été ; il a commandé, et elle s'est tenue là” (Psaume 33. 9). Mais pour détruire les œuvres du diable, pour abolir le péché et annuler la mort, sa juste conséquence, et pour nous préserver du jugement redoutable que le péché entraîne, Oh quelle puissance a dû être déployée ! Quand Christ a été cloué à la croix, Dieu a exercé toute la rigueur de son jugement sur Lui à cause de nos péchés. Là, Jésus-Christ s'est offert pour l'abolition du péché par son sacrifice. Là, Jésus a triomphé par sa mort, et a rendu “impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable” (Hébreux 2. 14). La résurrection de Jésus est la preuve de son triomphe parfait.
C'est ainsi que Jésus Christ crucifié et ressuscité est Lui-même la Puissance de Dieu pour sauver celui qui croit et qui met sa confiance en Lui. La Parole de la croix fait connaître l'œuvre que Jésus-Christ a accomplie. Reçue dans le cœur par la foi, elle fait passer des ténèbres à la lumière, de la mort à la vie, de la puissance de Satan à Dieu.
Quelle œuvre étonnante ! Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant le salut des âmes, création nouvelle et spirituelle, est au-dessus de la création matérielle. Voilà pourquoi la parole de la croix est appelée “la puissance de Dieu”.
“Nous prêchons Christ crucifié, pour les Juifs occasion de chute, pour les nations folie, mais pour ceux qui sont appelés, aussi bien Juifs que Grecs, Jésus Christ la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu” (1 Corinthiens 1. 23, 24).

Pour la race humaine, rien n'est plus important que la croix du Christ. C'est à la croix qu'aboutissent tous les plans de Dieu pour pardonner à l'humanité coupable. Là sont déployées de la manière la plus magistrale sa sagesse et sa puissance l’œuvre qui y fut accomplie est la base de toute bénédiction. La croix est et elle demeurera éternellement le monument indestructible de l'Amour de notre Dieu Sauveur.

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(2) Demeurons en Christ notre ressource infinie

8 Avril 2021 Publié dans #Divers

JÉSUS-CHRIST EST UNE RESSOURCE INFINIE :

Jésus dit : « Le Père vous donne le Vrai Pain du Ciel... JE suis le Pain de Vie » (Jean 6. 32b, 35a)
La foule de personnes demandait à Jésus de lui donner du pain, mais elle n'a pas reconnu qu'Il était Lui-même le Pain de Vie. Ils travaillaient durs pour une chose périssable, mais ils ne voulaient pas recevoir le Vrai Pain qui ne périt pas. Nous voyons à nouveau ici que Jésus n'est pas celui qui donne le pain mais celui qui est Lui-même le pain.

Pourquoi suivons-nous le Seigneur Jésus ? Est-ce pour ce qu'Il peut faire pour nous ? Est-ce pour profiter de Ses bénédictions ? Est-ce parce qu'Il pourvoit à nos besoins ? Voulons-nous les dons ou le Donateur ? Si nos motivations de suivre Jésus sont les bénédictions, alors nous serons rapidement déçus. En effet, à un certain moment, beaucoup de Ses disciples Lui ont tourné le dos et L'ont quitté. Combien d'entre nous continueront à suivre Jésus quand le Seigneur ne répondra pas toujours à nos requêtes ? Le Seigneur Jésus peut nous donner du pain pendant un temps, mais il y a une différence entre regarder au Seigneur pour avoir du pain et Le regarder comme étant le pain. Que Dieu puisse nous montrer la différence. Le Don de Dieu n'est pas ce que Jésus-Christ peut faire pour nous, mais Qui Jésus est Lui-même.

Celui qui recherche le Seigneur Jésus pour le pain sera rassasié pour un temps, mais tous ceux qui recherchent le Seigneur Jésus comme étant Le Pain seront constamment rassasiés. Plus encore, ils auront suffisamment de ressources pour nourrir les autres. Il est honteux que tant de chrétiens ne demandent qu'à être remplis, et pourtant ils ne le sont toujours pas. Ils sont contents avec une maigre nourriture, avec quelques miettes tombées de la table. Ils sont constamment obsédés par être rassasiés. A ceux là, nous ne pouvons que dire qu'il est temps de rechercher le Seigneur Jésus, pas pour ce qu'Il nous donne mais pour qui Il est Lui-même.

« Les choses », même les choses spirituelles, ne peuvent satisfaire. Seul Jésus-Christ peut satisfaire, et comme toute la plénitude habite en Lui, nous n'avons besoin de rien d'autre que Christ. Finalement nous apprendrons que Christ est le Don, et quand nous y arrivons, nous sommes affermis. Nous serons capables d'apporter la Vie au Corps. Que donnons-nous aux gens, du pain ou Jésus-Christ ? Si nous donnons du pain alors ils seront dépendants de nous pour les nourrir tout le temps. Si nous leur apportons Jésus-Christ, alors ils trouveront en Lui une ressource infinie.

« Jésus lui répondit : Si tu savais quel don Dieu veut te faire et qui est Celui à qui te demande à boire, c'est toi qui M'aurais demandé à boire et Je t'aurais donné de l'Eau Vive ... Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à Moi, et que celui qui croit en Moi boive. Car, comme le dit l'Ecriture, des fleuves d'Eau Vive jailliront de Lui.» (Jean 4. 10; 7. 37b, 38).

Certains poursuivent des « fleuves » et des « trous d'eau », mais combien il est rafraîchissant de savoir que Christ est l'Eau Vive. Comment pouvons-nous connaître la différence entre Christ et ce qui est annoncé comme la manifestation de la puissance et de la présence de Dieu ? C'est très simple : celui qui boit de l'eau naturel doit continuellement boire pour rester rempli, mais celui qui connaît Christ comme l'Eau Vive voit sa soif déjà étanchée.

Ceux qui ne connaissent pas le Don de Dieu sont vides en eux. Jésus lui répondit : « Si tu connaissais le don de Dieu, si tu connaissais qui Je suis, tu m'aurais demandé, et je t'aurais donné de l'eau vive » (Jean 4. 10). Ceux qui ont faim et soif de la justice (Christ) sont continuellement rassasiés. Ceux qui ont faim et soif d'autres choses doivent constamment rechercher la prochaine ration. Nous insistons à nouveau, la question de l'abondance ou du manque de Vie spirituelle dépend de la façon dont nous voyons Jésus le Fils. Si nous voyons clairement le Fils alors nous voyons tout ce que Dieu a, et tout ce que Dieu est. En Lui est la plénitude.

Nous devons connaître le Don de Dieu. Celui qui Le connaît ne sera pas seulement satisfait, mais recevra une Vie abondante qui jaillira de l'intérieur. Si nous sommes surtout intéressés par être remplis pour nous-mêmes, alors nous aurons peu à offrir aux autres. Mais si nous connaissons le Don de Dieu, la Vie va déborder de nous. « Tu oins ma tête d'huile et ma coupe déborde. » (Psaumes 23:5b). Êtes-vous un chrétien qui déborde, avec tout ce que vous pouvez posséder de Dieu et beaucoup de surplus ? Malheureusement, cela ne décrit pas la situation de la plupart d'entre nous. Boire est un commencement, mais le but de Dieu est un débordement. Combien nous avons besoin d'une claire révélation dans le Fils ! Combien nous avons besoin de voir à quel point Jésus est précieux et combien Sa valeur est grande.

C'est ici la gloire de notre union avec le Christ : quand nous venons à Lui pour boire, nous devenons ce que nous buvons. Jésus dit clairement que des fleuves d'Eau Vive jaillissent de l'être intérieur de la personne qui connaît le Don de Dieu et qui est venue à Lui pour être rempli. Pour commencer cela coule de Lui à moi, mais finalement cela coule de moi vers l'extérieur. Qui peut me donner quelque chose que je ne possède pas déjà en Christ. La question n'est pas : es-tu dans le « fleuve », mais est-ce que le fleuve est en toi ? Dans toutes ces choses, Dieu nous dirige continuellement vers Son Fils Jésus en tant que Tout en Tous. Qu'Il puisse nous faire grâce pour Le voir Lui.

JESUS NOUS DIT DE DEMEUREZ EN MOI

« Et nous avons tous reçu de Sa plénitude, et grâce pour grâce » (Jean 1. 16).

La plénitude c'est combien ? Combien de personnes contient le mot « Tous » ? Nous devons reconnaître que « plein » signifie complet, et que « tous » contient chacun d'entre nous. « Et nous avons tous reçu de sa plénitude ». Personne, peu importe s'il paraît plus ou moins oint, a plus de plénitude que quelqu'un d'autre. Et si nous l'avons déjà reçue, alors nous n'avons rien à faire pour l'obtenir. Nous sommes rentrés en Christ quand Il est rentré en nous : nous n'avons pas besoin de rentrer en Lui encore et toujours, nous devons plutôt demeurer en Lui.

Parfois, nous voyons ce que Dieu dit, mais nous voyons aussi notre situation. Nous voyons Jésus, mais nous nous voyons aussi nous-mêmes. Dieu dit que nous sommes complets en Lui, mais nous disons que nous sommes incomplets. Dieu dit que nous sommes bénis avec toutes les bénédictions en Christ, mais nous disons que nous avons encore besoin de ceci ou de cela. Quel est le problème ?

La solution n'est pas de regarder à soi, mais de regarder à Christ. Alors nous n'aurons plus à nous préoccuper du côté pratique, il se développera de lui-même. Soyons d'abord sur Christ le Fondement : ensuite la Vie trouvera un moyen de se manifester.
Beaucoup de chrétiens ont plus de foi dans la loi du Péché et de la Mort qu'ils n'en ont dans la Loi de l'Esprit de Vie en Christ. Nous sommes davantage conscients des actions supposées du diable et de notre faiblesse que conscients de qui est Jésus le Fils de Dieu. Mais quand nous regardons vers Christ, Il grandit. Alors qu'Il grandit, nous diminuons. Nous devons devenir plus petits, Jésus doit devenir plus grand. Quand Christ prend toute la place des autres choses dans notre vision, nous expérimenterons la plénitude qui est déjà nôtre en Lui. Rappelons-nous, celui qui possède le champ possède tout ce qui y est enfoui.

Nous devons demander à Dieu une révélation dans Son Fils. Seigneur Jésus, révèle-toi à nous comme Le Tout en Tous. Illumine nos cœurs pour Te voir. Emmène-nous dans la pleine connaissance de Toi. Qu'importe que nos sentiments ou nos expériences soient contraires, nous reconnaissons que nous sommes complets en Toi. Tu fais toutes choses à merveille ! Enseigne-nous à regarder loin de tout ce qui est de l'homme et à Te regarder tel que Tu es vraiment. Merci Dieu notre Père pour le Don de ton Fils Jésus-Christ ! Amen

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(1) Jésus-Christ : Le Don et la Bénédiction de Dieu

7 Avril 2021 Publié dans #Divers

 JÉSUS-CHRIST : LE DON DE DIEU

« Car c'est en Lui, c'est dans Son corps, qu'habite toute la plénitude de ce qui est en Dieu. Et par votre union avec Lui, vous êtes pleinement comblés, car Il est le chef de toute Autorité et de toute Puissance » (Colossiens 2:9-10).

C'est nécessaire de reconnaître et d'apprécier l'importance et la valeur du Seigneur Jésus et combien Il est précieux pour nous. Dieu le Père a tout mis en Christ, étant Lui-même dans Son Fils. En ayant le Fils, en possédant le Fils, étant un avec le Fils, nous avons et nous possédons aussi tout ce que Dieu est pour nous.
Pour chacun d'entre nous, il est bon de rappeler constamment que Jésus-Christ est L'unique Don de Dieu. C'est la plénitude de Christ que nous poursuivons, la révélation de Christ tel qu'Il est réellement.
Pour trop de chrétiens, le Seigneur Jésus est « simplement » leur Sauveur. Merci Seigneur, Il est notre Sauveur, mais il y a des profondeurs et des richesses pour nous dans la Personne de Christ qui vont bien au delà du Salut.
Le Salut est la porte étroite - grandir dans la pleine connaissance de Christ est le Chemin Étroit. La porte n'est que l'entrée vers quelque chose de plus grand.
Le principe que nous avons à l'esprit ici est "Toutes Choses En Christ". Si nous voyons cela, nous serons alors délivrés des choses, des manques, de l'insatisfaction, de l'infériorité. Le Seigneur Jésus a beaucoup plus à gagner si nous entrons dans Sa plénitude maintenant, que si nous attendons une rencontre future avec Lui dans le Ciel.
C'est ici sur terre que nous avons besoin de prier pour que Son Royaume vienne et que Sa volonté soit accomplie. Que le Seigneur Jésus illumine nos cœurs alors que nous explorons ces profondeurs.

JÉSUS-CHRIST : LA BÉNÉDICTION DE DIEU

« Loué soit Dieu, le Père de notre Seigneur: Jésus le Christ, car Il nous a comblés des bénédictions de l'Esprit dans le monde céleste qui, toutes, sont en Christ » (Éphésiens 1:3).

Tout ce que nous avons et sommes en tant que Chrétiens est basé sur notre union avec le Christ. En dehors de Lui, nous n'avons rien et nous ne sommes rien. Mais en Lui nous sommes bénis avec toutes les bénédictions spirituelles. Pensons à la conclusion à laquelle cela nous mène. Si c'est vrai, alors nous avons peu de choses à demander à Dieu mais beaucoup de raisons de Le Louer.
Nous devons apprendre que nous avons déjà tout en Christ. Cette chose appelée « patience » que nous recherchons avec tant d'empressement n'est pas une chose, c'est Christ. « La victoire » n'est pas « une chose », c'est Christ. Et c'est le cas pour tout ce dont nous avons besoin. Il est certainement possible de rechercher les bénédictions spirituelles de Dieu indépendamment de Christ ou en plus de Christ.
Quelle différence cela fait quand nous réalisons que Dieu NOUS A (temps au passé) déjà bénis avec toutes les bénédictions spirituelles en son Fils Jésus.
Aussi nombreuses qu'elles puissent être, nous les avons toutes. Où et quand a-t-Il fait cela ? Merci Seigneur, cela s'est passé à la croix et s'est réalisé au moment où nous avons reçu Christ et où nous sommes entrés en Lui comme notre Tout en Tous.

Dieu le Père veut que nous recherchions d'abord à connaître réellement Christ et seulement ses bénédictions suivront. Pour Dieu, toutes bénédictions sont comprises en Christ. C'est à nouveau l'extrême valeur du Seigneur Jésus et le fait qu'Il soit si précieux qui occupe notre esprit ici. Puissions nous voir devant Dieu que le don de Dieu c'est Jésus-Christ - pas simplement beaucoup de bénédictions spirituelles que nous devons rechercher avec diligence, une par une, que nous devons accumuler comme une collection de vertus ou de grâces spéciales.

Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas beaucoup de bénédictions spirituelles à obtenir de Dieu, mais seulement qu'elles sont toutes réunies en Jésus-Christ. En ayant le Fils de Dieu en nous, nous avons tout ce qui appartient au Fils. « Dieu, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui L'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-Il pas aussi toutes choses avec Lui ? » (Romains 8. 32).

Les saintes Écritures disent qu'en Jésus-Christ sont cachés « tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colossiens 2. 3), « toutes les bénédictions spirituelles » (Éphésiens 1. 3), et « toute la plénitude de Dieu ». Puisque cela est vrai, nous maintenons devant Dieu que Son Don pour nous est Christ, et c'est dans la mesure où nous apprécions la valeur du Seigneur Jésus que nous seront satisfaits spirituellement. Nous trouvons la plénitude dans le Fils.

Dieu le Père, voulant démontrer Son grand Amour pour nous, a sacrifié Son seul Fils Jésus. En nous donnant Son Fils, Il nous a, en réalité et en fait, tout donné gratuitement. Quand l'être humain possède ce que Dieu aime le plus, il possède tout ce que Dieu a. C'est pour cela que nous n'avons que peu de choses à DEMANDER à Dieu, mais beaucoup de raisons de Le LOUER : parce qu'EN CHRIST, Dieu nous a gratuitement tout donné. AMEN !!!

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Aucune condamnation pour les enfants de Dieu

6 Avril 2021 Publié dans #Salut

« Il n’y a maintenant plus de condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Romains 8 : 1)

Une paix merveilleuse remplit celui qui s'est repentit de ses péchés et qui place toute sa confiance en Jésus. Autrefois coupable, il a appris qu'il n'y a plus maintenant de condamnation pour nous tous qui sommes en Christ : Oui nous sommes dans le Christ Jésus, place de sécurité parfaite. Autrefois, nous étions de misérable êtres humains, sans force pour accomplir le bien, mais nous avons découvert une puissance appelée : « la loi de l'Esprit de vie », qui nous affranchit enfin de « la loi du péché », c'est-à-dire de sa domination. Telles sont les deux grandes vérités que nous saisissons par la foi.

Que notre âme vienne et qu'elle réfléchisse à cette merveilleuse richesse que nous avons en Jésus-Christ : Nous qui croyons en Jésus-Christ, nous sommes actuellement, effectivement et éternellement déclarés non coupables ; nous sommes conduits hors de la prison de Satan. Nous n'avons plus de fers aux pieds comme des esclaves enchaînés ; nous sommes délivrés maintenant des liens de la loi ; « nous sommes libérés de la loi du péché et de la mort » (Romains 8 : 2), et nous pouvons marcher au large. Comme des esclaves libérés, le Sang précieux de notre Sauveur Jésus-Christ nous a entièrement lavé de nos péchés et déchargé de notre dette. « Nous avons le droit maintenant de nous approcher du trône de notre Père Céleste » (Hébreux 4 : 16). Aucune flamme de l'ennemie ne peut nous effrayer maintenant, car « Dieu nous a revêtu des vêtements du salut, Il nous a couvert du manteau de la délivrance » (Ésaïe 61 : 10). Oui, nous sommes couverts de la parfaite Justice de Jésus-Christ. Il n’y a plus de condamnation pour les enfants de Dieu justifiés en Jésus, car la Justice de Dieu ne peut frapper un innocent. Nos incapacités ont été enlevées. Nous étions autrefois incapables de voir la face de Dieu notre Père Céleste mais nous pouvons la voir maintenant en Jésus-Christ. Nous ne pouvions pas Lui parler mais maintenant nous pouvons le faire avec assurance. Autrefois, il y avait la crainte de l'Enfer pour nous mais plus aujourd’hui, car comment y aurait-il un châtiment pour ceux que Dieu a justifiés ?
Celui qui croit et qui met sa confiance en Jésus-Christ ne vient point à la condamnation et il ne peut être puni. Et plus que tout, les privilèges dont nous pouvions avoir joui comme si nous n’avions jamais péché sont notres, maintenant que nous sommes justifiés devant le seul vrai Dieu ! Nous pouvons nous bénéficier de toutes les bénédictions de Dieu, parce que « nous avons tout pleinement en Jésus-Christ » (Colossiens 2 : 10).

Tout l’amour et l’acceptation de la parfaite obéissance peuvent être obtenus maintenant parce que Jésus-Christ était parfaitement obéissant à cause de son Amour pour nous et nous a imputé son obéissance et ses mérites, tout cela « afin que nous pouvons être excessivement riches en Jésus-Christ, qui, à cause de nous, s’est fait extrêmement pauvre » (2 Corinthiens 8 : 9). Oh ! Comme elle est grande la dette d’amour et de reconnaissance que nous devons à notre Sauveur Jésus-Christ !
C’est si bon d’être accepté par toi,
Dirigé à chaque pas,
C’est si bon d’être accepté par toi,
C’est si bon parce que tu me comprends.

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Jésus ne nous condamne pas

Le texte de Jean 8. 1-12 met parfaitement en lumière le fait que Jésus ne nous condamne pas. En effet, aux versets 11 à 12, Jésus affirme à la femme adultère après lui avoir demandé si personne ne l’accusait, et aux Pharisiens : « Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ». Par le sacrifice de Jésus, nous passons des ténèbres à l’admirable lumière de Dieu. Nous avons reçu Son pardon éternel et plus rien ni personne dans notre passé, notre présent ou notre avenir ne peut nous condamner devant le Seigneur. Plusieurs autres versets bibliques nous démontrent encore cette liberté et absence de condamnation dans le Seigneur : « Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui » (Jean 3. 17) ; « Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Il n’y a donc absolument rien, ni personne, qui pourra me condamner car je suis en Jésus-Christ. » (Romains 8. 1). « Qui les condamnera ? Christ est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous » (Romains 8. 34).

La sanctification et la justification en Jésus

À la croix, Jésus prit tous nos péchés sur Lui. Quand Dieu regardait Son Fils unique sur cette croix, ce sont tous nos péchés passés, présents et futurs qu’Il voyait. Le sacrifice de Jésus nous justifie et nous sanctifie. Lorsque nous accueillons Jésus dans notre vie et que nous avons la foi, nous sommes déclarés justes et sanctifiés devant le Père. Il est important d’avoir une ferme assurance, d’y croire et de se l’approprier afin de vivre une vie libre en Christ. Nous pouvons désormais nous présenter sans tâche devant Dieu le Père. Nous avons été adoptés par Lui et quel que soit ce qui viendra dans le futur, nous Lui appartenons à Lui seul. Plus rien ne peut nous séparer ou nous arracher de Lui. Nous sommes éternellement Ses enfants. Nous nous réconfortons par ses promesses : « Parce qu'en Jésus est révélé la justice de Dieu par la foi et pour la foi selon qu’il est écrit: le juste vivra par la foi » (Romains 1. 17). « Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption » (1 Corinthiens 1. 30), « Et d'être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi » (Philippiens 3. 9) ou encore Romains 8. 33-34 et Romains 4. 22-25. La sanctification devant le Seigneur doit être également notre but quand nous sommes sauvés. Nous ne pouvons pas continuer sur la même voie pécheresse. Nous devons chercher à nous en détourner afin d’être transformés progressivement à l’image de Jésus.

Le pardon de Dieu nous permet d’accorder notre pardon à notre prochain

Le salut par le sacrifice de Jésus nous a été donné librement et gratuitement, nous sommes ainsi justifiés et sanctifiés. C’est une grâce pour nous tous chrétiens !
Alors donc que nous vivons nous-même désormais sous Sa grâce et Son pardon en acceptant Jésus, nous devons à notre tour ne pas condamner les autres et leur accorder le même pardon que celui que nous avons reçu de Dieu notre Père.

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