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L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1 : 16)
Articles récents

Jésus-Christ, le bon Berger

15 Mai 2021 Publié dans #EVANGILE

Que le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d'une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de toute bonne oeuvre pour l'accomplissement de sa volonté, et fasse en vous ce qui lui est agréable, par Jésus Christ, auquel soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen ! (Hébreux 13 : 20-21)

"L’Éternel est mon berger, je ne manque de rien." (Psaume 23 : 1)

Jésus dit : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis » (Jean 10 : 11)

Au chapitre 10 de l’évangile selon Jean, Jésus Christ se présente comme “le bon Berger” : Il aime tellement ses brebis qu’Il laisse sa vie pour les sauver.

L’épître aux Hébreux a pour but de montrer aux chrétiens d’origine juive qu’en Jésus-Christ nous avons quelqu’un de plus grand que les prophètes, les anges, Moïse et Josué. Nous y voyons Jésus-Christ dont le service est supérieur à celui d’Aaron, qui sert dans un lieu saint bien meilleur et qui a introduit une alliance meilleure. Nous y voyons Jésus-Christ dont le sacrifice, offert une fois pour toutes pour le péché, est supérieur aux sacrifices sans cesse répétés des taureaux et des boucs.

Maintenant, le sacrifice de Jésus-Christ permet l’accomplissement du plan de Dieu envers l’humanité. Il n’y a plus besoin d’autre chose. Par son précieux sang, Jésus-Christ est celui qui nous a acquis un salut éternel (Hébreux 5. 9), une rédemption éternelle (Hébreux 9. 12) et un héritage éternel (Hébreux 9. 15). Son sang versé est celui de l’alliance éternelle que Dieu veut établir avec une humanité repentante et sauvée.

De grands hommes de Dieu ont été des bergers du peuple d’Israël tout au long de son histoire, de Moïse à David. Les vrais croyants en Jésus sont maintenant sous la garde d’un plus grand Berger qu’eux : “Jésus-Christ, le grand Berger”, ressuscité d’entre les morts, monté au ciel, qui veille sans cesse sur chacune de ses brebis. C’est Dieu, notre Père Céleste, qui nous a donné un tel Berger pour nous conduire dans un chemin où nous pouvons l’honorer, et grandir dans la connaissance de sa volonté.

L’apôtre Pierre nous parle de Jésus-Christ comme “le souverain Pasteur" (1 Pierre 5. 4). Jésus-Christ est le Berger au-dessus de tous ceux auxquels le Saint Esprit a conféré le don de pasteur (Éphésiens 4. 11). Quand Jésus-Christ les rassemblera dans son Royaume, il mettra sur leur tête une “couronne inflétrissable de gloire” parce qu’ils auront eu la même sollicitude que Lui pour ses rachetés. Ils auront servi avec humilité et dévouement leur “souverain Pasteur” en se mettant au service des siens.

Notre Bon, Grand, Souverain Berger est bien digne de “ gloire aux siècles des siècles ! Amen”.

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Être prêt à partir dans l'au-delà

14 Mai 2021 Publié dans #Enfer, #Paradis, #EVANGILE

La Bible enseigne encore que nous avons tous une âme, et que c’est cette âme qui peut être blessée. Elle précise que l’âme est éternelle. C’est pourquoi la Bible dit : « il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9. 27). La Bible affirme que lorsque notre corps terrestre meurt, ce n’est pas la fin : notre véritable personne vivra éternellement.

Quand on assiste à des funérailles et qu’on regarde le cercueil, on sait que seul le corps s’y trouve. L’âme de la personne que nous avons connue n’y est pas.

Que se passe-t-il ensuite ? Pour répondre à cette question, nous devons aller vers la seule personne qui a la réponse. Certains disent : « Personne n’est jamais  revenu des morts pour nous en parler ». Bien entendu, cela n’est pas vrai : Jésus a accompli cela. Il a connu l’expérience de la mort et est revenu à la vie ; Lui seul peut parler avec autorité de la vie après la mort. Il détaille deux mondes éternels : les Cieux et l’Enfer.

L’enfer est le lieu d’où Dieu retire sa présence, et donc, toute forme de lumière ou d’amour. Jésus le décrit comme un lieu de ténèbres, de pleurs et de supplices. Certains crimes violents sont  condamnés par une peine d’emprisonnement à vie. L’Enfer est un emprisonnement éternel sans possibilité de remise de peine. Dans cette vie, Dieu a pourvu à la rémission de nos péchés en laissant Jésus subir cette terrible condamnation à mort. À vrai dire, Dieu n’envoie lui-même personne en Enfer ; des gens s’y rendent de leur propre chef en ignorant ou rejetant le seul espoir de délivrance et de vie éternelle, à savoir, Jésus-Christ.

Jésus-Christ décrit le Ciel comme le véritable foyer du peuple de Dieu (c.-à-d. de tous ceux qui se laissent sauver par Jésus en reconnaissant, dans la repentance, leurs péchés et en acceptant son offre du salut). Ces êtres humains devenus enfants de Dieu n’appartiennent pas à cette terre ici-bas. Ils sont en voyage, durant leur courte vie terrestre, vers leur vrai foyer préparé par Jésus-Christ. Il y sera. Le Saint-Esprit y sera, ainsi que les anges de Dieu et chacun des enfants de Dieu ; tous ceux, depuis la création du monde, qui L’ont aimé et qui ont cru en Lui. Le Paradis est décrit comme un lieu où l’amour et la joie sont parfaits, où la paix ne cesse jamais et où la satisfaction est à son comble : c’est un lieu si merveilleux et agréable que nous ne pouvons même pas essayer de l’appréhender ou de l'imaginer. Il n’y aura plus de péché, plus de mort, plus de mal, plus de violence ou de haine, plus de division ou de dispute, plus de diable qui tourmente et harcèle, plus de douleurs et de souffrances.

La Bible décrit le Paradis comme un endroit merveilleux et parfait où il n’y a ni tristesse, ni larmes, ni souffrance et où nous serons avec Dieu pour toujours. Et parce que cet endroit est parfait, le péché ne peut y entrer. Chacun de nous a péché et à cause de cela, un gouffre nous sépare de Dieu. Mais Jésus, le Fils parfait de Dieu Lui-même, est mort à la croix pour que nos péchés puissent être pardonnés. Aujourd’hui, même s’il nous est impossible d’être assez bons par nous-mêmes, même s’il n’existe aucune bonne action pour racheter notre péché, la mort de Jésus comble le gouffre entre Dieu et nous. Comme un pont qui relie deux berges séparées, de même la croix de Jésus relie les êtres humains avec Dieu. Celui qui passe par ce Chemin vers Dieu trouve le pardon total de tous ses péchés et la paix éternelle. À travers Jésus, nous pouvons être réconciliés avec Dieu, et savoir que si nous croyons en Christ, nous Le rejoindrons au Paradis quand la vie sur terre sera finie. C’est ce que promet la Bible. Et c’est tellement important de faire nos préparatifs aujourd’hui et de savoir où l’on va aller !

À la question posée : « Peut-on être sûr d’aller au Ciel ? », Jésus-Christ répond clairement que tous ceux qui croient et se confient en ce qu’il a souffert sur la croix seront avec Lui au Ciel. Croire en Jésus est la seule condition. « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2. 8).

Le Chemin du Salut est tout tracé. C’est Jésus qui a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14. 6). « Je suis la porte. si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 10. 9). C’est Jésus qui a payé le prix de notre entrée au Ciel, c’est Lui qui a la clef, la seule clef pour entrer au Paradis, et c’est Lui qui nous tend les bras aujourd’hui. Il nous offre son secours pour aujourd’hui et l’espérance pour l'éternité. Ne voulons-nous pas dire dès à présent « OUI » à cette invitation offerte par Jésus ?

Quelle assurance et quelle joie de connaître Jésus-Christ et de savoir que tous nos péchés ont été pardonnés, d’aller au lit le soir et de savoir que si l’on ne voit pas l’aube, on se réveillera au Ciel ! D’avoir quelque chose réglé pour toujours, c’est formidable ! C’est terminé ! Quoi qu’il arrive, « être absent du corps, c’est être présent avec le Seigneur. » (2 Corinthiens 5. 8). Le livre de Apocalypse précise : « Heureux ceux qui meurent dans le Seigneur » (Apocalypse 14. 13), dans la foi en Christ qui est la vie.

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L'Ascension du Seigneur Jésus-Christ

13 Mai 2021 Publié dans #Divers

Après sa Résurrection, le Seigneur Jésus-Christ apparaît à ses disciples à plusieurs reprises avant de monter vers Dieu son Père au Ciel dans la Gloire qu'il avait avant son incarnation. Là Il est reçu selon les honneurs qui lui sont dûs à cause des choses qu'il a souffertes (Hébreux 5 : 8).
« Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2 : 5-10).
Au Ciel, le Seigneur Jésus est souverainement élevé, au-dessus de tous, sauf de Dieu le Père
(Philippiens 2 : 10, 1 Corinthiens 15 : 27-28). Jésus est à la Droite de Dieu, c'est la position la plus puissante dans tout l'univers après celle de Dieu le Père, et tout ce que le Père fait, le Fils le fait pareillement (Jean 5 : 19).

Le fait que Jésus-Christ soit monté au Ciel nous indique aussi qu'Il reviendra de la même manière (Actes 1 : 9-11) pour nous prendre avec lui, personnellement, (Jean 14 : 3) corporellement et visiblement (Matthieu 24. 30 ; Apocalypse 1. 7) sur et avec les nuées (Apocalypse 1. 7 ; Daniel 7. 13) soudainement (1 Thessaloniciens 5. 2-3) glorieusement et avec ses anges (Matthieu 16. 27 ; 24. 30).

- Jésus a vécu une vie sans péché (1 Pierre 1 : 22), élevé à la perfection, Il peut sauver ceux qui Lui obéissent (Hébreux 5 : 9)
- Au Ciel, Jésus est notre Avocat auprès du Père, il plaide en notre faveur quand nous péchons (1 Jean 2 : 1, Hébreux 7 : 25), il est toujours prêt à nous accueillir au trône de la grâce (Hébreux 4. 14-16).
- Au Ciel, Jésus a reçu de Dieu tous les pouvoirs, Il va donc nous assister puissamment dans l'évangélisation
(Matthieu 28 : 18-20)
- Au Ciel, Jésus est notre Intercesseur, Il prie pour qu'on soit préservés du mal et gardés unis (Jean 17 : 15, Jean 17 : 21-24, Romains 8 : 34)
- Au Ciel, Jésus est pour nous comme précurseur, ce qui veut dire que nous irons le rejoindre (voir Hébreux 6 : 20).
- Au Ciel, Jésus est notre souverain sacrificateur, notre grand-prêtre, Il est aussi l'Agneau immolé
(Apocalypse 5 : 6), qui est entré avec son propre sang dans le temple céleste pour la purification de notre conscience, pour notre rédemption (Hébreux 9 : 11-14).
- Au Ciel, Jésus est en train de nous préparer une place
(Jean 14 : 3).
- Au Ciel, Jésus dans sa gloire nous envoie le Saint-Esprit avec ses dons et ses bénédictions
(Jean 7 : 39, Jean 14 : 16, 15 : 26)
- Au Ciel, Jésus est notre justice (Jean 16 : 10, Romains 3 : 22, 1 Corinthiens 1 : 30)
- Au Ciel, Jésus nous a déjà fait asseoir sur son Trône avec Lui (Éphésiens 2 : 4-7)

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Jésus a tout accompli par son sacrifice

12 Mai 2021 Publié dans #Sacrifice de Jésus

En allant à la croix, Jésus a été couronné d’épines. Il a subi les moqueries, on lui a craché au visage. Il a été cloué nu sur une croix. Il a connu la soif et la moquerie, la solitude, l’abandon, la souffrance pendant des heures. Pourtant, pour Jésus, le pire n’était pas la souffrance due au traumatisme physique, à la torture, à la crucifixion ou même à la peine émotionnelle d’être rejeté par le monde et abandonné par ses amis.
Dans le jardin de Gethsémané, Jésus vit ce combat au niveau de son âme. Sur la croix, c’est dans son esprit qu’Il le vit. Jésus expérimente un grand vide dans son esprit : celui du Père qui se retire. La plus grande souffrance connue par Jésus sur la croix fut l’agonie spirituelle et Il l’a vécue pour nous. Il a ressenti la séparation et l’abandon de son Père. C’est pourquoi Jésus s’est écrié : « Mon Dieu, Mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné » (Matthieu 27. 46). D’habitude, il appelait Dieu : Père. Mais à cet instant sur la croix, Jésus était tellement sale à cause de nos péchés qu’Il portait. Dieu le Père s’est détourné de Lui et la Justice de Dieu est tombée sur Lui. Il a connu la mort éternelle pour nous sur la croix. C’est la situation qui nous attendait pour l’éternité.

Jésus a été parfait jusqu'à la fin. Il a pardonné à ses bourreaux et à tous ceux qui se moquaient de lui. « Père pardonne leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23. 34). Personne n’a pris la vie de Jésus. Il est mort quand il l’a décidé, c’est à dire quand sa mission a été accomplie. Normalement, il aurait dû mourir d’épuisement, vidé de son sang, après les coups de fouet. C’est même Jésus qui a choisi d’offrir sa vie lors de la fête de la Pâque, pour manifester qu’Il est bien l’Agneau de Dieu : celui qui ôte le péché du monde, comme Jean-Baptiste l’a proclamé quand il Le vit venir vers lui pour être baptisé.

Par l’offrande de sa vie, lors de cette fête, Jésus annonce la fin de cette loi et qu’Il est le seul Agneau, l’Agneau de Dieu, choisi, offert par le Père, pour ôter le péché du monde. Par l’offrande de sa vie, Jésus annonce la fin des sacrifices de sang.

Dieu avait demandé à son peuple de sacrifier deux agneaux, chaque jour, sur l’autel des holocaustes du temple de Jérusalem : un le matin, l’autre le soir. Sur la croix, Jésus a choisi de remettre sa vie entre les mains de son Père, à la neuvième heure qui est l’heure de l’offrande du soir. "Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte : Eli, Eli, lama sabachtani ? C’est–à–dire, Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as tu abandonné ?" ; "Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l’esprit". (Matthieu 27. 46 et 50).

Retenons aussi ce verset aussi très important, dans l’Évangile de Jean. "Lorsque Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit" (Jean 19 : 30). « Il rendit l’esprit ». Ici encore la Bible nous apprend, une fois du plus, que Jésus est resté conscient jusqu’à la fin. C’est bien Lui qui a décidé du moment pour remettre son esprit au Père, après ses paroles « tout est accompli ».
Accompli signifie : Terminer tout ce qui avait été ordonné, achevé, payé, réaliser la dernière action qui complète une œuvre. « Tout est accompli » en grec se dit : Tételestai. L'expression Tételestai a été retrouvée sur des documents anciens datant du temps de Jésus. Elle pouvait avoir plusieurs significations intéressantes.

1) Nous la retrouvons en-tête de documents commerciaux indiquant que le montant a été payé en totalité. Le premier sens est donc : "Tout est payé".
De quoi Jésus parlait-il ?
De notre dette envers Dieu qui désormais porte le tampon : Tételestai, soit les offenses que nous avons commises et qui nous condamnent devant le tribunal de Dieu. Christ le Juste a payé notre dette à nous injustes.

2) On a retrouvé cette expression dans la bouche des artistes devant leur œuvre achevée. "Tételestai", mon chef d'œuvre est complet, rien ne peut y être ajouté.
Quel est le chef d'œuvre de Jésus ? Il est né en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volonté de Dieu. Il est le seul Homme dans l'histoire de l'humanité à avoir été obéissant au Père de sa naissance à sa mort. Jésus est le Parfait, le Juste, le Saint, le Véritable. Sa vie est un chef d'œuvre, sa mort est un chef d'œuvre et sa résurrection en est le couronnement.

3) "Tételestai" était aussi utilisé autrefois par les maçons lorsqu'un temple ou un bâtiment était terminé. "Tout est accompli". Cette expression signifiait : j'ai suivi scrupuleusement les plans de l'architecte, tout a été établi dans les règles de l'art et le dernier élément vient d'être mis en place. L'œuvre est achevée. Pour Jésus : le plan du Père est accompli parfaitement.

La vie de Jésus était prédestinée à se terminer par une mort cruelle et injuste afin de payer notre dette, à nous injustes. Si Jésus avait échappé à cette mort, son œuvre aurait été un échec.
C’est la raison pour laquelle il a refusé la boisson mêlée de fiel pour anesthésier la douleur; de même il n’a pas essayé d'échapper à la condamnation de Pilate en se déclarant innocent, sinon il aurait alors échoué dans sa mission.

Seigneur Jésus, nous vous remercions de ton Amour et de ce que tu es venu dans le monde mourir pour nous. Nous reconnaissons que nous avions dirigé notre vie comme nous l'avions décidé et qu’aussi nous avons péché contre toi. Nous croyons que tu es mort sur une croix et que tu as versé ton sang pour que nous ayons le pardon de nos péchés. Nous voulons te recevoir dans notre vie et obtenir le pardon de nos péchés. Et nous t’invitons dans notre cœur pour que tu prennes la première place, que tu sois notre Seigneur et que tu diriges notre vie, selon tes lois. Merci pour le pardon de nos péchés. Fais de chacun nous la personne que tu désires que nous soyons. Nous croyons que tu es Vivant, Ressuscité. Nous te remercions d’avoir répondu à notre prière et d’être maintenant dans notre vie. AMEN !!!

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Les derniers temps

11 Mai 2021 Publié dans #Retour de Jésus

Les éléments de la nature s’agitent autour de nous : orages, cyclones, inondations, tremblements de terre, réchauffement de la planète, etc... Les êtres humains sont de plus en plus inquiets alors que sévissent dans ce monde les famines, les épidémies, les nouvelles maladies… La création toute entière soupire et souffre (Romains 8. 22).

Discernons-nous la voix de Dieu dans tout cela ? Tout nous montre que nous arrivons rapidement à la fin d’une période : non seulement les bouleversements planétaires, mais aussi les caractères moraux décrits dans l’épître à Timothée : « Dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles : les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, vantards, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents … aimant le plaisir plutôt que Dieu, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force » (2 Timothée 3. 1-5).

Malgré ce déclin moral, déclin ayant commencé dans le jardin d’Éden, Dieu aime les êtres humains Il a prouvé son Amour en donnant son Fils unique qui est mort pour des pécheurs tels que nous (Jean 3 v.16, Romains 5 v.8).

Dieu ne veut pas la mort du méchant, mais que le méchant se détourne de sa voie et qu’il vive (Ézéchiel 18. 23 ; 33. 11).
« Notre Dieu Sauveur veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2. 4).
« Il use de patience envers vous, voulant qu’aucun ne périsse, mais que tous viennent à la repentance » (2 Pierre 3. 9).

Dieu use de patience envers le pécheur, mais le temps de sa patience prendra bientôt fin par le Retour de Jésus Christ qui prendra avec Lui tous ceux et toutes celles qui se seront repentis et auront cru en Lui. Ceux et celles qui resteront alors sur la terre connaîtront une période terrible. La Bible affirme que « toutes les tribus de la terre se lamenteront » (Apocalypse 1. 7) et que « les hommes rendront l'âme de peur dans l'attente des choses qui arriveront sur la terre habitée » (Luc 21. 26).

« Dieu est amour » (1 Jean 4. 8, 16) et à cause de son grand Amour, il fait grâce à tout pécheur repentant et croyant, en vertu du sacrifice de Jésus Christ, son Fils unique. Mais à cause de sa Sainteté, il ne peut pas tolérer le péché, et à cause de sa Justice, il doit punir le pécheur non repentant et non croyant.

Signal d'alarme

C’est parce que Dieu nous aime qu’Il nous avertit en permettant l’agitation des éléments de la nature, la propagation de nouvelles maladies telles que le coronavirus qui affecte et inquiète le monde entier. Comment cela ? direz-vous peut-être : Dieu manifeste-t-Il son Amour pour sa créature en la faisant souffrir ?

Comme la douleur dans un corps humain est un avertissement qui contraint le malade à consulter un médecin pour qu’il le soigne, Dieu permet des maux et des calamités pour servir d’avertissements et contraindre chacun à se mettre en règle avec lui.

Dieu parle de plusieurs manières :
• Autrefois par les prophètes qui n’ont pas été écoutés,
• par le Fils venu dans ce monde pour nous révéler les pensées du Père. Il a été rejeté, crucifié !
• par sa Parole, la Bible : livre lu par beaucoup mais aussi le plus combattu.
• Dieu parle aujourd’hui encore par divers évènements mondiaux souvent douloureux dans le but d’éveiller les consciences et de toucher les cœurs. Mais l’écoute-t-on ?

Avertissements sérieux pour les non-croyants, mais aussi pour les croyants :

Jésus revient bientôt ! Comment nous trouvera-t-il ? Endormis comme les dix vierges de la parabole ? « Toutes s’assoupirent et s’endormirent » est-il précisé dans Matthieu 25. 5.
"Veillons donc, car nous ne savons pas quel jour notre Seigneur viendra ; nous ne savons ni le jour, ni l’heure" (Matthieu 24. 42 ; 25. 13).
Jésus dit à ses disciples : « Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison viendra, le soir, ou à minuit, ou au chant du coq, ou le matin ; de peur qu’arrivant tout à coup il ne vous trouve endormis. Or ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez ! » (Marc 13. 35-37).

Écoute, Église bien-aimée, Ton Seigneur vient ! Tenons nos lampes allumées : Notre Epoux vient ! Voici déjà minuit qui sonne ; Nous ne voyons encore personne, Mais que son astre en nous rayonne : Notre Epoux vient !
Un cri pénètre à nos oreilles : Voici l’Epoux ! Plus de nuit, plus de longues veilles ; Voici l’Epoux ! Déjà l’appel de la trompette Nous invite à l’heureuse fête. Il dit : « Mon Église, es-tu prête ? » Réveillons-nous !

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L'efficacité du sang de Jésus-Christ

10 Mai 2021 Publié dans #Divers

Dieu seul connaît et apprécie parfaitement la valeur du sang de Christ. Bien que Dieu nous ait communiqué en grande partie ses pensées à ce sujet, nous ne devons pas oublier que nous connaissons “en partie” (1 Corinthiens 13. 12). Deux choses sont constamment et étroitement liées : une vie spirituelle prospère et une haute appréciation de la place et de la valeur du sang de Christ. Aussi, dans toute période de pauvreté spirituelle, la vraie doctrine du sang est toujours perdue de vue, si même elle n’est pas contestée ou niée. Il est donc vraiment indispensable que nous cherchions à être remplis des pensées de Dieu à ce sujet. Non seulement nous devrions comprendre ce que le sang de Christ a accompli pour le croyant, mais nous devrions saisir également, au moins dans une mesure, notre dette à l’égard de Christ; pour nous racheter et nous amener à Dieu. Jésus s’est abaissé lui-même et est devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort même de la croix (Philippiens 2. 7, 8).

Le sang de Christ a été notre rançon ; c'est l'un des principaux aspects que l’Écriture nous présente à son sujet. Plusieurs passages de la Parole de Dieu l'expriment très clairement. Pierre dit : “Vous avez été rachetés… non par des choses corruptibles, de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache” (1 Pierre 1. 18, 19). De même, “Dieu nous a rendus agréables dans le Bien-aimé. En lui (Jésus) nous avons la rédemption par son sang” (Éphésiens 1. 6, 7). Les rachetés aussi peuvent chanter : “Tu es digne… car tu as été immolé, et tu as acheté pour Dieu par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation” (Apocalypse 5. 9). Le Seigneur Jésus Lui-même exprime la même vérité lorsqu’Il dit : “Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre” (Matthieu 20. 28). Or le mot rançon désigne le prix payé pour une rédemption, pour un rachat ; et le mot rédemption signifie racheter (acheter de nouveau) ou faire sortir quelqu’un d’une condition de captivité ou d’esclavage.

Sous la Loi, le sang des sacrifices, image du sang de Christ, était entièrement pour Dieu. Il était offert, par-dessus tout, pour proclamer la gloire de Dieu et satisfaire ses exigences à l’égard du pécheur. Aussi le premier aspect de la valeur du sang de Christ est-il celui de la propitiation. C’est en effet la signification de l’acte d’Aaron lorsqu'il apportait le sang du sacrifice pour le péché au grand “jour des propitiations” (Lévitique 23. 27). Il devait prendre “du sang du taureau”, en faire “aspersion avec son doigt sur le devant du propitiatoire, vers l’orient”. Il devait agir de la même manière avec le sang du “bouc du sacrifice pour le péché” (Lévitique 16. 15). De plus, il devait faire aspersion du sang “sept fois, devant le propitiatoire”. Pourquoi sept fois ? Pour l’œil de Dieu, une seule fois suffisait ; mais, pour l'homme, Dieu condescendait à ce qu'un témoignage parfait (ce que représente symboliquement le chiffre sept) de l'efficacité de ce sacrifice soit rendu.

Dans le tabernacle au désert, le propitiatoire de l'arche (son couvercle) représentait le trône de Dieu – le trône de l’Éternel au milieu de son peuple Israël. Il est dit : “Toi qui es assis entre les chérubins” (Psaume 80. 1). Le sang mis sur le propitiatoire répondait aux exigences du trône de Dieu vis-à--vis du pécheur. C'est ainsi que le sang de Christ répond maintenant à toutes les exigences d’un Dieu Saint à l’égard des pécheurs coupables. Le sang répandu glorifie Dieu dans tous les aspects de son caractère ; sur ce fondement, Dieu peut pardonner avec justice à tout pécheur qui s’approche de Lui en se confiant dans la valeur du sang de Christ. C’est cela la propitiation ; elle est la base sur laquelle Dieu peut agir en grâce envers le monde entier. Il fait proclamer ainsi son message de grâce par ses ambassadeurs. Il supplie tous les pécheurs – les plus vils et les plus coupables – d’être réconciliés avec lui (voir 2 Corinthiens 5. 20, 21).

"Jésus est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres mais aussi pour le monde entier" (1 Jean 2. 2).

Devant Dieu, le sang de Christ est d’une valeur infinie. Jésus a répondu à toutes les exigences gouvernementales de Dieu envers un monde coupable. La question du péché a été réglée, Dieu a été publiquement honoré par son Fils Jésus ; Dieu l'a été là où nous avions publiquement déshonoré son nom par notre péché et par notre rébellion. N’oublions jamais que Dieu Lui-même, dans son merveilleux amour, a pourvu à la propitiation. “En ceci est l’amour : non en ce que nous, nous ayons aimé Dieu, mais en ce que lui nous aima (tout croyant peut le dire) et qu’il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés” (1 Jean 4. 10). Si donc sa sainteté exigeait la propitiation, son amour y a pourvu. Aussi Dieu peut être prêché maintenant dans le monde entier comme le Dieu de grâce, car Il siège maintenant sur le Trône de miséricorde. Il attend tout pécheur qui vient à Lui par la foi dans le sang de son Fils Jésus-Christ ; Il le reçoit, lui pardonne et le sauve.

La propitiation ayant été faite, Dieu est libre, à la fois en grâce et en justice, de bénir le pécheur. Quiconque s’approche de Dieu par la foi en Christ est justifié. En vertu de ce sang qui a satisfait à toutes les exigences divines – tant pour son saint gouvernement que pour sa gloire –, Dieu peut maintenant, tout en restant juste, recevoir tout pécheur qui se repent et qui croit. Quels que soient les efforts qu’un homme puisse faire, il ne pourra jamais répondre aux exigences d’un Dieu Saint. Quiconque se place sur le terrain des œuvres pour être sauvé, est perdu et demeure sans espoir de salut.

Si quelqu'un se demande encore comment on peut posséder la Justice de Dieu, la réponse est donnée par l’apôtre Paul : “La justice de Dieu est manifestée… sur tous ceux qui croient” (Romains 3. 21, 22). Il poursuit : “Tous ceux qui croient sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, lui que Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son sang… en vue de montrer sa justice dans le temps présent, de sorte qu’il est juste et qu'il justifie celui qui est de la foi en Jésus” (Romains 3. 24-26).

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L'assurance de notre Salut en Jésus-Christ

9 Mai 2021 Publié dans #Salut

Si un être humain se repent de ses péchés, reçoit personnellement Jésus-Christ dans sa vie comme son Seigneur et Sauveur et met sa confiance en Lui seul pour son salut, cet être humain peut être sûr que ses péchés sont pardonnés, que Dieu le considère comme juste et que le Seigneur Jésus-Christ vit en lui par le Saint-Esprit. Nous qui sommes sauvés par le moyen de la foi en Jésus, nous avons la vie éternelle, et nous pouvons être certain que nous l'avons reçue et que Jésus-Christ vit en nous. « Je vous ai écrit ces choses afin que sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5 : 13). « Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu » (Ephésiens 2 : 8)

Cinq raisons nous permettant d’être sûrs de notre salut :

1. La rédemption éternelle : En versant son sang pour nos péchés, Jésus-Christ a accompli « une rédemption éternelle » (Hébreux 5 : 9). Il a payé un prix très élevé (1 Pierre 1 : 18-19 ; 1 Corinthiens 6 : 20) qui nous permet d’être « gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3 : 24)

2. Le salut éternel : Nous n'avons pas besoin d'attendre le jour de notre mort pour savoir si nous serons sauvés et irons au Paradis. La Bible déclare que nous sommes déjà sauvés en reçevant dans notre vie Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur et en mettant toute notre confiance en Lui. Nous qui sommes enfants de Dieu, nous ne pouvons pas perdre ce salut, car Jésus-Christ est devenu « l’auteur d’un salut éternel » (Hébreux 9 : 15) et Dieu nous a marqués du sceau du Saint-Esprit (2 Corinthiens 1 : 22).

3. L’héritage éternel : Nous ne sommes pas seulement sauvés de la condamnation et de la perdition, mais en plus de cela, nous avons reçu un glorieux héritage en Jésus-Christ : connaître Dieu et participer à l’accomplissement de son dessein éternel. La Bible nous assure qu’il s’agit d’un « héritage éternel » (Hébreux 9 : 15). « Rendons grâces au Père, qui nous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés » (Colossiens 1 : 12-14)  .

4. La vie éternelle : La vie humaine est précieuse, mais la mort peut y mettre fin à tout moment. En revanche, la vie divine que nous avons déjà reçue en Jésus-Christ ne peut être perdue, car elle est éternelle. La Parole de Dieu nous assure que même Satan ne peut pas nous ravir de la main de Dieu : « Je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main » (Jean 10 : 28).

5. L’amour éternel : Dieu nous aime « d’un amour éternel » (Jérémie 31 : 3) et nous pouvons avoir l’assurance que rien ne nous séparera de l’Amour éternel de Dieu : « ni la mort, ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 8 : 38-39)

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« Un avenir et une espérance » (Un témoignage)

8 Mai 2021 Publié dans #Divers

Les médias l’appelait « fils de SAM », du nom de son chien qu'il élevait. Il était un meurtrier gouverné par le diable. Il a passé plusieurs années en prison. Les dix premières n’ont été que ténèbres, défaite et désespoir. Sa vie n’avait aucun sens, et il pensait toujours au suicide. Il était amer, furieux et misérable. Il n’avait que deux possibilités : tuer ou être tué. En 1977, à l’âge de 24 ans, il a vu la mort en face : les policiers l’ont encerclé, mais ils n’ont pas tiré.

Plus tard, un type l’a tailladé la gorge avec une lame de rasoir ; il l’a mis à deux doigts de la mort. Condamné à être enfermé en prison à perpétuité, sans aucun espoir de sortir, il était déchiré entre désir de mourir et instinct de survie.
En 1987, Un prisonnier (qui était chrétien) s’est approché de lui dans la cour de la prison et lui dit ceci : « Jésus-Christ vous aime ; Il a des plans pour votre vie ». Il lui a répondu, en se moquant de lui : « C’est impossible que Dieu m’aime ! Je suis trop mauvais ; tu perds ton temps ». Mais, le chrétien persévérait avec beaucoup d’intérêt pour lui. Malgré son refus, il lui parlait de l’Évangile chaque jour. Au début, « fils de SAM » écoutait avec indifférence. Mais au bout de quelques semaines, il a changé.
Un jour, le chrétien lui offrit un Nouveau Testament avec les Psaumes. « fils de SAM » y jetait un coup d’œil curieux. Plus tard il s’est mis à lire les Psaumes ; alors quelque chose a changé. Ces paroles semblait s’adresser directement à lui, surtout celle du roi David. Comme lui, il avait traversé beaucoup d’épreuves et avait beaucoup souffert.
La vie d’un roi, « fils de SAM » l’avait toujours imaginée heureuse et enviable. Pourtant, David était en détresse et criait à Dieu pour Le lui dire. « fils de SAM » aussi était malheureux, mais il ne savait que mettre sa tête dans l’oreiller pour crier.
Un jour, en lisant le Nouveau Testament avec les Psaumes, offert par son ami, son cœur a éclaté : d’un seul coup, « fils de SAM » a vu sa culpabilité, sa colère, sa honte, sa solitude, sa souffrance, tout à la foi ! Il s’est mis alors à pleurer comme jamais. A genoux, dévoré de douleur et de remords, il a épanché le trop plein de son cœur devant le Seigneur Jésus. Il lui a parlé comme s’il était là, dans sa cellule, sans être bien sûr qu’il l’écoute ! Mais quand il s’est redressé, un poids immense lui avait été enlevé. Ce fut le tournant de sa vie, le début de sa nouvelle vie en Christ, même s’il était toujours en prison.
Depuis ce soir de 1987, il s’est mis a fréquenter les services à la chapelle de la prison et à lire sa Bible avec ferveur. Il aimait le Seigneur Jésus et sa vie spirituelle grandissait.
Ses anciens compagnons le tournèrent le dos. Mais il savait qu’il était sur la bonne route. Dieu l’inondait de sa paix et il ressentait sa grâce ; en même temps il endurait la persécution et la souffrance. Dieu s’est montré fidèle, même dans ses luttes les plus dures. Pour le délivrer de lui-même et le transformer à l’image de Christ, il a entrepris une œuvre en profondeur ; elle n’est d’ailleurs pas terminée !
Aujourd’hui, il n’est plus appelé « FILS DE SAM », mais « FILS D’ESPÉRANCE ». Après plus de 23 ans passés derrière les barreaux, il peut dire que Jésus-Christ est le seul Chemin.
 
Chers lecteurs, si vous sentez que vous avez gâché votre vie, si vous n’avez jamais trouvé de quoi satisfaire vos aspirations les plus profondes, si vous êtes sans espoir, sachez que Jésus-Christ reconstruit des vie brisées.
Il peut tout changer. Ce n’est pas une réhabilitation, mais une re-création : il donne une vie toute nouvelle. Sans Christ, on est « mort dans ses fautes et dans ses péchés ». Mais Dieu est « riche en miséricorde », il nous aime « d’un grand amour ».
« Le salaire du péché c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur ».
Croyez-vous votre situation sans issue ? Vous trouvez-vous au creux de la vague après avoir visé très haut ? Poussé par le désespoir, avez-vous commis quelques fautes ? Vous apercevez vous que le diable vous a volé des années de vie ? La Bible dit que « les délices du péché » ne sont que « pour un temps ». Le diable ne dit jamais ce qui arrivera après ce temps ! Jésus-Christ vous aime, il y a de l’espoir !
L’important, c’est de savoir si vous voulez vous confier en lui comme votre Seigneur et Sauveur personnel. Jésus seul peut briser les chaînes du péché et rompre les mauvaises habitudes.
Il peux en témoigner personnellement. Christ seul peut ouvrir les menottes que Satan vous a passées.
Votre vie est-elle vide de sens ? Avez-vous soif d’autre chose ? Ni l’argent, ni aucune autre chose ne vous satisferont. L’étude peut remplir votre esprit, mais pas votre cœur vide ; les rites religieux non plus. Alors, avouez votre échec, repentez vous, croyez que Jésus-Christ, le Fils de Dieu est mort pour vos péchés, qu’il est ressuscité et qu’il est assis à la droite de Dieu.
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Jésus-Christ accomplit les prophéties sur le Messie (2)

7 Mai 2021 Publié dans #Divers

- Le Messie sera condamné injustement, maltraité, cloué sur une croix :

« Avec le bâton on frappe sur la joue le juge d’Israël » (livre du prophète Michée 4. 14). « Tous ceux qui me voient se moquent de moi : « recommande toi à l’Éternel ! », « l’Éternel le sauvera, il le délivrera puisqu’il l’aime ! »… une bande de scélérats rôdent autour de moi ; ils ont percé mes mains et mes pieds… ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique » ; « pour apaiser ma soif ils m’abreuvent de vinaigre » (Psaumes prophétiques du roi David, 22 et 69 v 22 ; environ -1000 avant J-C).

Voici ce qui est arrivé à Jésus : « Et quelques uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper » (Évangile de Marc 14, 15). « Les passants l’injuriaient : « il s’est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant , s’il l’aime ! » … Après l’avoir crucifié, ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort » (Évangile de Matthieu 27. 35-39). « Jésus dit : « j’ai soif ». Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge et ils l’approchèrent de sa bouche » (Évangile de Jean 19. 28-29).

- Le Sauveur mourra pour expier tous nos péchés, pour pardonner et délivrer parfaitement tous les êtres humains qui croiront en Lui :

« Il s’est élevé devant (Dieu) comme une faible plante…méprisé et abandonné des hommes… cependant ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé… Il était blessé pour nos péchés, brisés pour nos iniquités… L’Éternel a fait retomber sur lui toutes nos iniquités… Il s’est livré lui-même à la mort… il a porté les péchés de beaucoup d’hommes et il a intercédé pour les coupables » (Livre du prophète Ésaïe 53).

Or voici les paroles de Jésus : « Je donne ma vie pour mes brebis… Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même » (Évangile de Jean 10. 15-17) ; « si le Fils (de Dieu) vous affranchit (du péché), vous serez réellement libres » (Évangile de Jean 8. 36). Le prophète Jean-Baptiste, désignant Jésus a dit aussi : « Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Évangile de Jean 1. 29).

- Le Messie ressuscitera après sa mort :

« Après avoir livré sa vie pour le péché… il prolongera ses jours » (livre du prophète Ésaïe 53. 10) ; « (Dieu) nous rendra la vie dans 2 jours. Le 3ème jour il nous relèvera et nous vivrons devant lui » (Livre du prophète Osée 6. 2 ; environ -700 avant J-C.).
Évangile de Marc 16. 6 : « (un ange devant le tombeau vide, dit aux femmes) vous cherchez Jésus qui a été crucifié ; il est ressuscité ; il n’est pas ici ».

- Le Messie montera au cCiel après sa mort :

« Parole de l’Éternel à mon Seigneur : assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied » (Psaume prophétique de David 110. 1).

Actes 1. 9 : « Il fut élevé pendant qu’ils le regardaient et une nuée le déroba à leurs yeux ». "Jésus, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s'est assis pour toujours à la droite de Dieu" (Hébreux 10. 12).

- Le Messie reviendra à Jérusalem à la vue de tout le monde, à la fin des temps :

« Alors je répandrai sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication et ils tourneront vers moi les regards, celui qu’il ont percé ; ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique » (Livre du prophète Zacharie 12. 10).

Voici ce qu’a dit Jésus avant sa mort : « (à la fin des temps) le signe du Fils de l’homme (c’est-à-dire Jésus) paraîtra dans le ciel ; toutes les tribus de la terre se lamenteront et elles verront le Fils de l’homme venant sur les nuées du ciel avec une puissance et avec une grande gloire » (Évangile de Matthieu 24. 30).

Conclusion :

Tout ceci n’est-il pas extraordinaire ? Le parallèle entre les prophéties annonçant le Sauveur de l’humanité et la vie de Jésus-Christ montre une adéquation parfaite entre les deux ! Personne n’a le pouvoir d’influer sur le lieu, la date et le contexte de sa naissance ; non plus sur les pensées et les actes de l’ensemble de ses contemporains. Enfin, qui pourraient prédire sa résurrection ?

Le fait que tous les critères sur la naissance, la vie, la mort et la résurrection du Messie soient réunis en la personne de Jésus est l’une des preuves par excellence qu’Il est bien celui qui avait été annoncé. Oui, Jésus est le seul Sauveur annoncé. Nul doute n’est possible ! Il est Dieu fait homme, pour nous. Il est celui qui, pour nous, s’est sacrifié pour nous délivrer du mal et de la souffrance. Il est vivant aujourd’hui et s’intéresse à nous. Jésus veut permettre à chaque être humains de recevoir l’Amour de Dieu d’une façon personnelle et vivante, de recevoir l’assurance du salut et de la vie éternelle dès maintenant et pour l'éternité.

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Jésus-Christ accomplit les prophéties sur le Messie (1)

6 Mai 2021 Publié dans #Divers

La 1ère partie de la Bible (l'Ancien Testament) contient un grand nombre de prophéties très précises sur le Messie, le Sauveur de l’humanité. Or la vie de Jésus accomplit exactement toutes ces prophéties…

Savons-nous que la Bible est un livre essentiellement prophétique ? Au travers de paroles de plusieurs prophètes, elle nous délivre un message de la part de Dieu. Certaines prophéties de l’Ancien Testament concernent notamment la venue d’un Messie, c’est-à-dire d’un Sauveur de l’humanité. Ces différents textes ont été écrits entre –1500 et –500 avant Jésus-Christ. Grâce à la traduction grecque des Septante remontant à –250 avant Jésus-Christ et grâce aux manuscrits de Qûmram datant de –200 avant Jesus-Christ (écrits contenant l’Ancien Testament dans son entier plus d’autres textes), nous avons les preuves formelles que ces prophéties ont été écrites bien avant la Venue de Jésus-Christ. Or nous allons voir que la vie de Jésus correspond en tous points à celle du Sauveur annoncé (nous ne mettons ici que quelques prophéties parmi toutes celles qui existent) :

- Le Sauveur naîtra miraculeusement d’une vierge :

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel » (Livre du prophète Ésaïe 7. 14 – environ -700 avant J-C.). Emmanuel signifie « Dieu avec nous » : Jésus s'appelle Emmanuel.

- Il sera Dieu fait homme :

« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera son épaule. On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Livre du prophète Ésaïe 9. 5).

- L’époque et le lieu de sa naissance (Béthléem) ont été prédits :

* Lieu de naissance : « Et toi, Bethléem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, et dont les activités remontent aux temps anciens, aux jours de l’éternité » (Livre du prophète Michée 5. 1 – environ -700 avant J-C). Bethléem Ephrata est la ville près de Jérusalem où Marie a accouché de Jésus dans une étable.

* Date de naissance : « Depuis l'annonce du rétablissement de Jérusalem jusqu’au Messie, il y a 7 semaines et 62 semaines… et après les 62 semaines, le Messie sera retranché » (Livre du prophète Daniel 9. 25-26 – environ -600 avant J-C).

Après la destruction de Jérusalem par les Babyloniens, en -686 avant J-C, les Juifs déportés ont été autorisés à revenir dans leur pays et à rétablir leur capitale, en 450 avant J-C. Si l’on comprend qu’un jour de la prophétie correspond à une année réelle, 69 semaines (483 jours = 483 années) après –450 avant J-C, nous amènent à la troisième décennie de l’ère chrétienne (l'an 33), période du ministère et de la mort de Jésus Christ !

A un moment donné, le Sauveur entrera à Jérusalem sur un ânon :

« Sois transportée d’allégresse, fille de Sion ! Pousse des cris de joie, fille de Jérusalem ! Voici ton roi vient à toi, il est juste et victorieux ; il est humble et monté sur un âne, le petit d’une ânesse » (Livre du prophète Zacharie 9. 9 – environ -500 avant J.C.)

Or voici ce qui se passa lors de l’entrée de Jésus à Jérusalem : « ils amenèrent à Jésus un ânon sur lequel ils jetèrent leurs vêtements et firent monter Jésus… Lorsqu’il approchait de Jérusalem, toute la multitude, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus. Ils disaient : béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur ! » (Évangile de Luc 19. 35-38).

Il sera trahi :

« Ils pesèrent pour mon salaire 30 pièces d’argent. L’Éternel me dit : jette-le au potier, ce prix magnifique auquel ils m’ont estimé ! » (Livre du prophète Zacharie 11. 12-13)

Zacharie avait eu la révélation de ce qui se passerait pour Jésus : « Judas Iscariot alla vers les principaux sacrificateurs et dit : que voulez-vous me donner et je vous le livrerai. Ils lui payèrent 30 pièces d’argent… Pris de remords (Judas) rapporta les 30 pièces… ils achetèrent avec cet argent le champ du potier » (Évangile de Matthieu  26 et 27).

A SUIVRE...

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